Aller au contenu

Messages recommendés

  • 1 mois plus tard...

Publié le 06 avril 2017 à 14h35 | Mis à jour à 14h35

 

Peugeot crée une filiale pour piloter son retour en Amérique du Nord

 

 

Le groupe automobile français PSA Peugeot Citroën a annoncé jeudi la création d'une entité Amérique du Nord, pour piloter son retour aux États-Unis, et vient de lancer son service de location de voiture entre particuliers à l'aéroport de Los Angeles.

 

Cette entité dédiée «a d'abord pour mission de lancer des services de mobilité avec les partenaires du groupe», selon un communiqué publié jeudi.

 

Le constructeur vient de lancer, sous la marque Free2Move et avec son partenaire Travel Car, une offre de location de voiture entre voyageurs à l'aéroport de Los Angeles, et qui pourrait ensuite être déployée plus largement aux États-Unis.

 

TravelCar (ex-TravelerCar) propose au voyageur qui arrive en auto --au lieu de payer le stationnement-- de mettre en location sa voiture lors de ses déplacements, le véhicule étant alors assuré et cette location rémunérée.

 

1ère étape d'un retour en Amérique du Nord

 

Ce lancement «constitue une 1ère étape du déploiement de Free2Move aux Etats-Unis», précise le groupe.

Viendront ensuite le déploiement d'«offres de mobilité composées de modèles du groupe», puis la commercialisation des véhicules des marques du groupe PSA.

 

Le retour de PSA aux États-Unis avait été annoncé en avril 2016, et s'inscrit dans un plan à long terme appelé «Push to pass». Le constructeur veut dérouler un plan à dix ans qui, s'il est concluant, aboutira à la distribution commerciale de ses véhicules Outre-Atlantique.

 

«Avec la création de la nouvelle entité PSA Amérique du Nord, le groupe franchit une étape importante dans le déploiement de son projet d'entrée progressive dans la région», a déclaré le président de PSA, Carlos Tavares, cité dans le communiqué.

 

Par ailleurs, les discussions sont toujours en cours avec le groupe Bolloré, qui a remporté en décembre le marché du service d'autopartage électrique à Los Angeles.

 

http://auto.lapresse.ca/actualites/201704/06/01-5086062-peugeot-cree-une-filiale-pour-piloter-son-retour-en-amerique-du-nord.php

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est en lien avec la co-entreprise entre PSA Peugeot-Citroen et Exagon Motors avec l'appui d'Hydro-Québec qui avait été annoncé en 2016

 

http://www.montrealinternational.com/en/news/2016/01/psa-peugeot-citroen-and-exagon-motors-bring-cutting-edge-electric-vehicle-expertise-to-quebec/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 10 mois plus tard...

The project fell through and the government lost $14 million.

Quote

Contrairement à ce qu’il affirmait il y a deux semaines, le gouvernement du Québec a tourné le dos à un projet d’usine de véhicules électriques de plus de 600 millions $ impliquant le groupe français Peugeot-Citroën (PSA), a appris Le Journal.

Journal de Quebec

  • Sad 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 8 minutes, jesseps a dit :

Contrairement à ce qu’il affirmait il y a deux semaines, le gouvernement du Québec a tourné le dos à un projet d’usine de véhicules électriques de plus de 600 millions $ impliquant le groupe français Peugeot-Citroën (PSA), a appris Le Journal.

Journal de Quebec

Selon nos informations, le projet était à un stade très avancé. « Les différents partenaires autour de la table étaient prêts à foncer et à développer une nouvelle filière automobile de véhicules électriques au Québec qui aurait généré des milliards $ de retombées économiques. On parlait d’un nouveau Bombardier », a indiqué au Journal une source européenne bien au fait du dossier.

Or, contrairement à ce que le gouvernement du Québec a laissé entendre récemment, le manufacturier Peugeot-Citroën (PSA) ne s’est jamais désisté du projet.

« C’est Québec par l’entremise de son bras investisseur, Investissement Québec, qui a décidé d’abandonner le projet. Ils ont tiré la plogue du jour au lendemain surprenant tout le monde autour de la table », a fait valoir une autre source qui se questionne sur la volonté de mousser la filière de l’auto à hydrogène au Québec.

Au moins cinq villes au Québec avaient attiré l’attention des promoteurs pour accueillir la future usine d’assemblage de voitures électriques, soit Bromont, Valleyfield, Saint-Jean, Mirabel et Vaudreuil. C’est toutefois à Bromont, en Estrie, que le projet d’usine devait voir le jour. Un entrepreneur avait même été sélectionné pour la construction de l’usine, dont les travaux devaient commencer ce printemps dans le Parc scientifique.

À la Ville de Bromont, la responsable des communications Catherine Page n’a pas voulu « confirmer ni infirmer » nos informations, préférant ne pas commenter le cas.

Avec cette volte-face, une autre source du monde de l’automobile soutient que le Québec a « perdu la face » auprès des grands constructeurs mondiaux.

----

Les élections s'en viennent. J'ai hâte de voir comment le gouvernement va essayer d'expliquer ce fiasco.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

The question that needs answering is how much in the way of government handouts this project was expecting.  

The last thing the government needed was another Ericsson (the Vaudreuil datacenter) situation where everything from city tax breaks to grants were offered up front only to have the thing close a year after opening.  Not to mention the tens of millions Hydro Quebec spent beginning the 120Kv line Ericsson insisted for that place.  

Modifié par SKYMTL
  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 11 heures, nephersir7 a dit :

Les élections s'en viennent. J'ai hâte de voir comment le gouvernement va essayer d'expliquer ce fiasco.

Il vaut peut-être mieux pour le gouvernement de demeurer le plus discret possible.  «Tenter d'expliquer»,  c'est risquer d'entrer dans des détails confidentiels ou susceptibles de l'être.  C'est aussi risquer de susciter d'autres questions portant à controverse.  Le plus simple est de déclarer que le gouvernement et PSA ne sont pas parvenus à une entente.  Les citoyens en majorité comprendront que ce sont des choses qui arrivent.  Personne n'imaginera que le gouvernement, de gaieté de coeur,  aurait tout bonnement laissé passer une belle opportunité de création d'emplois.  On présumera qu'il avait de bonnes raisons.  Il n'y en a pas beaucoup qui y verront un quelconque complot.

Imaginons un instant un scénario opposé: Québec et PSA s'entendent, on annonce le projet.  Combien de questions sur les concessions de Québec?  Combien d'accusations (à tort ou à raison) d'avoir fait des cadeaux à une entreprise étrangère?

Si le «deal» avait été clairement avantageux pour le Québec, il n'y aurait pas eu de gêne à en vanter les mérites.  Manifestement, ce n'était pas le cas.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 année plus tard...

There is a report circulating that Peugeot by 2026 will be back in North America selling cars. It will be interesting to see how well they sell.

It be great to see if they make a 2026 Alpine A110 for the North America market.

  • Like 1
  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

They shall very likely resort to the exact same strategy as Renault: selling Renault technology / platform under the Nissan brand

Most probably Opel just like these are sold as Vauxhall in the UK and Holden in Aussie / NZ

Gonna be tricky especially I know the curve is starting to tip down for PSA in China

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...