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Stade Olympique et site adjacent - Discussion générale


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Il y a 22 heures, Né entre les rapides a dit :

(première photo postée ci-dessus par Rocco)

Une scène enviable, loin de faire pitié, contrairement aux idées préconçues sur HoMa. 

C'est dans Rosemont ;)

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il y a une heure, tv-man a dit :

C'est dans Rosemont ;)

L'immeuble qu'on voit sur la seconde photo est le Centre Pierre-Charbonneau, dans Maisonneuve.  Par contre la première photo peut avoir été prise d'un point situé au nord de la rue Sherbrooke, donc dans Rosemont, alors merci pour la correction puisque tu détectes mieux l'angle de vue.

Dans tous les cas, ça demeure une scène "enviable" accessible aux citoyens des deux arrondissements.😊  

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  • 2 semaines plus tard...

Nouveau parc de rails Dillon Ojo

La montagne en plein cœur de la ville

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Jeudi matin. Il fait - 15 °C à Montréal et un généreux soleil point à l’horizon. Au Parc olympique, une quinzaine de planchistes dévalent pour la première fois la montagne du nouveau parc de rails Dillon Ojo. « Si Dillon pouvait voir ce qu’on a fait en son nom, il serait vraiment fier », lance Giovanni Vacca, ami du planchiste mort en 2018.

Mis à jour hier à 16h38

https://www.lapresse.ca/sports/sports-d-hiver/2022-01-20/nouveau-parc-de-rails-dillon-ojo/la-montagne-en-plein-coeur-de-la-ville.php

Katherine Harvey-Pinard La Presse

Dillon Ojo, snowboarder professionnel montréalais pour Vans, a perdu la vie à l’âge de 22 ans. Dans les semaines qui ont suivi son départ, ses parents, Élaine Charles et Francis Ojo, ont lancé la Fondation Dillon Ojo Ligne de vie, qui met sur pied des initiatives visant à soutenir les jeunes défavorisés en leur offrant la possibilité de pratiquer différents sports. C’est, en quelque sorte, la continuité de la mission entreprise par leur fils.

« [Dillon] faisait déjà de petites collectes de fonds pour des camps d’été, raconte Mme Charles à La Presse. Il avait aussi été DJ à Montréal, il voulait faire des partys pour que tout le monde soit ensemble, pour amasser des fonds à donner aux personnes défavorisées. C’était quelqu’un plein d’amour, de générosité. Il fallait qu’on continue ça. »

5/5

« Dillon parlait de façons d’améliorer l’accessibilité au snow, se souvient Giovanni Vacca, membre de l’équipe de marketing de Vans Canada. À 22 ans, penser à des choses comme ça en plein milieu de tes meilleures années de snowboarder, c’est quand même spécial. C’était son but ultime. Il prêtait souvent ses équipements, qu’il recevait gratuitement. »

C’est après avoir discuté avec des amis de Dillon que la Fondation s’est alliée à Vans Canada pour créer un parc de rails en plein cœur du Parc olympique, au pied de la Tour. Les installations sont difficiles à rater : la montagne, assez haute, comprend un saut et huit obstacles aux degrés de difficulté variés.

Je ne pourrais pas demander mieux. C’est exactement comme ça que Dillon aimerait ça.

Élaine Charles, mère de Dillon Ojo

Consultez le site de la Dillon Ojo Lifeline Foundation

Le parc a été produit par l’agence québécoise Dizzle Entertainment, en collaboration avec Today’s Park pour le design, la conception et l’entretien. Le tout a nécessité la fabrication de plus de 5000 m3 de neige.

Tout en haut de la montagne se trouvent quelques modules de difficulté débutant, pour les jeunes qui s’initient au style libre (freestyle). La difficulté augmente en descendant. Tous ceux qui le souhaitent, qu’importe leur âge, peuvent profiter des installations gratuitement, en planche ou en ski. Le site n’est cependant pas surveillé et les enfants de 10 ans et moins doivent être accompagnés d’un adulte.

Consultez les autres règlements du parc de rails Dillon Ojo

L’idée de cette initiative, on en parlait, est bien simple, et toutes les personnes rencontrées par La Presse l’ont expliquée de la même façon : rendre le sport accessible.

« Habituellement, ça prend un billet de saison. Il faut que tu prennes ton auto ou que tu ailles à une station, indique Alex Auchu, directeur marketing chez Vans Canada. Ce n’est pas accessible pour tout le monde. »

Grâce au parc de rails, « on amène la montagne à la ville », lance Louis-Félix Asselin, planchiste professionnel et ami de Dillon venu de Québec pour la journée.

« La montagne est loin de la ville, quand même, poursuit-il. Souvent, on va en faire dans des parcs où on va pelleter nous-mêmes et tout. Là, on a vraiment un endroit qui est bien construit. »

Un grand intérêt

Selon Alex Auchu, c’est le premier parc de cette ampleur à voir le jour au pays. Il s’agit d’un projet pilote, l’idée étant d’en créer d’autres dans le monde éventuellement.

Si la première étape de ce projet pilote est de mesurer l’intérêt de la communauté de snow montréalaise, ça ne devrait pas être bien compliqué… À la veille de l’ouverture officielle, mercredi soir, déjà des dizaines de jeunes sont venus dévaler la pente, raconte Giovanni Vacca.

« Si [Dillon] avait vu le nombre de personnes qu’il y avait [mardi] soir, il aurait été fier, affirme-t-il. La communauté commence à en entendre parler. Il y avait plein de jeunes, c’est le fun à voir. J’ai conduit sur la rue Sherbrooke et je voyais les gens monter du métro Pie-IX avec leur snow. »

Phil Jacques, athlète Vans, faisait partie des planchistes sur place, jeudi matin.

« Ce sont des installations assez uniques, a-t-il reconnu après une descente. Ça va amener la possibilité à plus de monde de pratiquer la planche à neige. Tout est super clean, bien installé. […] Ç’aurait été incroyable d’avoir accès à ça dans mon jeune temps. »

Prise 2

Le parc à rails est situé à quelques pas du planchodrome, accessible pendant la période estivale. « C’est la prise 2 de “Bâtissez-le et ils viendront” », lance le porte-parole du Parc olympique, Cédric Essiminy.

Ça s’inscrit dans la volonté du Parc de continuer d’être pertinent, 50 ans plus tard, et de devenir ce qu’on a toujours été, c’est-à-dire un parc urbain, actif, qui fait la promotion de l’activité physique.

Cédric Essiminy, porte-parole du Parc olympique

Contrairement au planchodrome, le Parc de rails n’est pas financé par le Parc olympique. Ce dernier a plutôt fourni le terrain et aidé à la logistique. En plus du volet événementiel, les dirigeants souhaitent offrir un volet « actif, où le parc vit par lui-même », affirme M. Essiminy.

« Il y a 100 ans, ici, il y avait un télésiège, des skieurs qui habitaient dans le coin, des lugeurs qui venaient, des structures de bois où les gens montaient et descendaient tout le long de la côte. On revient 100 ans en arrière, mais au goût du jour, avec les sports émergents, d’actualité, plus prisés de la jeunesse. »

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