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Il y a 3 heures, Davidbourque a dit :

La densité ne s'arrête pas aux nombres de résidents mais au nombres d'espace utile. Un secteur industrielle peut avoir une très haute densité d'emplois (et donc une haute densité) tout en ayant aucun résident. Un secteur avec un bon mix commercial-bureau-résidence est plus dense qu'un secteur avant le même nombre de citoyens, mais sans commerces et résidences. 

Le but de la densité n'est pas de faire des tours ou d'entassé le plus de citoyens dans un territoire donné mais bien de concentrer les destinations et maximiser l'utilisation du territoire.

Les destinations peuvent être des lieux de loisir, des commerces, des lieux d'emplois, des lieux de résidences, etc.

 

J'aime bien ta définition de la densité.  Il faudra toutefois qu'elle gagne une notoriété suffisante pour qu'on ne la confonde pas avec la définition usuelle qui se limite au nombre d'habitants par unité de surface.

Si je me réfère à ton deuxième paragraphe, qui définit le  «but de la densité», j'en arrive à penser qu'il serait peut-être plus exact de  parler de «concentrer les destinations et (optimiser) l'utilisation du territoire».  Mais il y aurait encore un «hic» avec cette définition:  il est question de destinations, mais pas un mot n'est dit sur les «origines».  Normalement, les lieux de résidence sont considérés comme des points d'origine.  Pour aplanir cette difficulté, on pourrait remplacer «destinations» par «activités urbaines», un terme qui inclut également la fonction résidentielle.  

Finalement, en cela comme en bien d'autres choses, l'optimum et le maximum ne se confondent pas.  Une «densité» maximale (limitée seulement par les possibilités techniques) n'est pas considérée comme étant optimale.  Il est également nécessaire de s'entendre sur les critères qui contribueront à l'optimalité.  Or, au moins une partie de ces critères est subjective et/ou varie en importance selon le contexte.  Par exemple, l'optimisation du territoire de Singapour ne donne pas les mêmes résultats que celle (l'optimisation) de Brasilia.  Un pays qui dispose d'une surabondance de terres arables n'accordera pas la même attention à leur préservation qu'un autre pays où elles sont rares. 

La densité, quelle que soit sa définition, ne doit pas devenir une nouvelle religion. 

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Il y a 2 heures, fastboi a dit :

https://globalnews.ca/news/3954609/population-density-in-toronto-fraser-institute/

Montreal is far from being dense. Even less then Vancouver and half that of New York.

 

Montreal is less dense than New York ??? Who would have tought ? Stop the press! 

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Il y a 2 heures, fastboi a dit :

https://globalnews.ca/news/3954609/population-density-in-toronto-fraser-institute/

Montreal is far from being dense. Even less then Vancouver and half that of New York.

 

Ce n'est pas la première fois que je vois ces calculs STUPIDES.  Prenons l'exemple de Vancouver: 615,000 habitants sur 115 km carrés.  C'est pour la ville proprement dite, qui n'inclut pas l'aéroport et très peu d'activités industrielles.  Même le port maritime comporte plusieurs sites qui ne sont pas dans les limites de la ville. La banlieue, beaucoup plus vaste, n'est pas incluse dans leurs calculs.

Un calcul infiniment plus représentatif mettrait en rapport la population totale de l'agglomération urbaine avec la superficie de cette dernière.  Et un calcul plus «fin» se limiterait aux zones à prédominance résidentielle  --pour tenir compte du fait qu'en fonction des vocations principales de chacune des villes, les usages non résidentiels nécessitent des superficies plus ou moins grandes.

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Né entre les rapides a raison. Changeons les limites pour le Montréal d’avant les fusions et elle dépassera la densité, telle que calculée ici, Vancouver et Boston. Ces calculs sont indicatifs, sans plus. Reste que la ligne rose passerait au travers de quartiers « moyennement denses », quelque chose à mi chemin entre la densité de la banlieue et celle d’une ville comme Paris. Il pourrait y avoir de la densification dans certains secteurs.

Modifié par Anderson
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On devrait avoir le go aujourd'hui pour le bureau de projet de ligne rose:

http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201807/03/01-5188190-lartm-impose-une-structure-jugee-lourde-et-meprisante.php

"Incidemment, le projet de ligne rose du métro, cher à l'administration de la mairesse Valérie Plante, aura droit à un « bureau spécifiquement dédié à cet axe », étant donné le « plus faible niveau d'avancement des études » dans l'axe de cette ligne « et l'envergure du programme d'études » qu'elle nécessitera."

 

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Yeah, speaking of density. Le Plateau is about 2.5x more dense than Vancouver. If you removed the new suburban boroughs and only focused on Montreal's original core it would not only be the most dense city in Canada, but one of the top in North America.

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https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1110712/transport-collectif-montreal-15-millions-gouvernement-couillard-quebec-metro

Le projet de ligne rose du métro fera l’objet d’une première étude

Publié aujourd'hui à 4 h 59 Mis à jour à 7 h 58

Le gouvernement Couillard donnera le coup d'envoi aujourd'hui à des études sur plusieurs projets de transport collectif dans la grande région de Montréal, dont la proposition d'une ligne rose du métro, dans l'axe nord-est et sud-ouest à Montréal.

Un texte de Sébastien Bovet, chef du Bureau parlementaire à Québec

Une somme maximale de 14,75 millions de dollars pourra être investie dans ces analyses qualifiées « d’avant-projets pour un mode de transport structurant ».

Selon nos informations, d’autres projets importants de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) ont été choisis pour étude :

  • le prolongement de la ligne orange vers l’ouest à Montréal et à Laval
  • le prolongement de la ligne jaune à Longueuil
  • l’axe du boulevard Taschereau à Longueuil
  • l’axe de la ligne de train Mascouche au nord de la métropole et à Montréal
  • le prolongement du service rapide par bus (SRB) Pie-IX
  • le développement d’un SRB dans l’axe de la rue Notre-Dame entre le nord-est et le centre-ville de Montréal

Selon nos informations, le ministre des Transports André Fortin voudra mettre l’accent sur le fait que les projets ciblés viennent des élus municipaux et qu'ils répondent aux besoins des villes concernées, notamment Montréal.

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  • 1 mois plus tard...

La mairesse de Montréal, Valérie Plante, ne renoncera pas à la ligne rose

PUBLIÉ LE DIMANCHE 12 AOÛT 2018

Le projet de ligne rose pour le métro de Montréal n'est pas une utopie, soutient la mairesse Valérie Plante. Le bureau de projet est déjà sur pied, dit-elle, et l'argent viendra de Québec. Ce n'est pourtant pas dans les plans de François Legault, qui mène dans les derniers sondages préélectoraux. « Nous, on avance », explique-t-elle à Christiane Charette.

Valérie Plante promet de jouer un rôle actif dans la campagne électorale provinciale québécoise qui commence la semaine prochaine. Elle compte interpeller directement les chefs et leur parti sur les enjeux qui lui tiennent à cœur, dont la réforme de la fiscalité municipale.

Les impôts fonciers sont pratiquement les seuls revenus disponibles pour les villes du Québec et c’est ce qui explique que les taxes municipales accablent autant les propriétaires, selon elle.

Les villes ont besoin d’oxygène. On parle d’un point de TVQ, de l’écofiscalité, etc. Il faut qu’on réfléchisse, parce que le modèle actuel n’est pas viable.

 Valérie Plante, mairesse de Montréal

La signature de Valérie Plante à la Ville de Montréal : espaces verts et mobilité

Valérie Plante voudrait qu’on se souvienne de son mandat à la mairie comme celui qui a permis de sauvegarder les derniers grands espaces verts de la ville, dont les milieux humides. L'amélioration de la mobilité est aussi l'une de ses priorités, avec un réinvestissement dans la STM « après 20 ans de sous-financement ».

Il y a 25 ans que la dernière station de métro a été construite dans la métropole québécoise. La ligne rose demeure un projet qui permettra un plus grand développement social et économique, croit-elle. « Moi, je ne lâcherai pas, explique la première femme élue à la mairie de l'histoire de Montréal. « Le nombre de voitures augmente plus vite que la population ».

Valérie Plante bouge ses mains en expliquant l'importance de mieux réfléchir la mobilité. Valérie Plante compte jouer un rôle actif dans la campagne électorale provinciale qui s'annonce au Québec. À sa gauche, le chef de la CAQ, François Legault. Photo : Radio-Canada/Étienne Côté-Paluck

https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/christiane-charette/segments/entrevue/82968/valerie-plante-mairie-mairesse-montreal-projet-montreal

Modifié par mtlurb
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