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https://journalmetro.com/actualites/montreal/2362774/ligne-rose-ladministration-de-marc-demers-rejette-une-proposition-pour-inclure-laval/

Ligne rose: l’administration de Marc Demers rejette une proposition pour inclure Laval

12:23 16 août 2019
Par:  Zacharie Goudreault
Métro

 

L’administration de Marc Demers ne demandera pas à la Ville de Montréal de se pencher sur l’ajout d’une station à Laval dans le tracé de la ligne rose du métro actuellement à l’étude. L’avis de proposition du parti Action Laval a été rejeté cette semaine.

«Il ne faut pas arrêter à Montréal-Nord. Il faut traverser et aller à Saint-Vincent-de-Paul», a martelé vendredi en entrevue à Métro le conseiller de ce district situé dans l’est de Laval, Paolo Galati. 

Mardi, les élus de Laval ont été appelés à débattre en séance du conseil municipal d’un avis de proposition du parti Action Laval qui avait d’abord été présenté aux élus en juillet. Celui-ci recommande à l’administration du maire Marc Demers de demander au Bureau de projet de ligne rose mis en place par l’administration de Valérie Plante l’an dernier d’étudier la possibilité que cette ligne de métro traverse la rivière des Prairies pour se rendre jusqu’au district de Saint-Vincent-de-Paul.

Ce prolongement de quelques centaines de mètres par rapport au tracé initial permettrait de «donner à la population de l’est de Laval et de la Couronne Nord un accès convenable à la ligne rose projetée», mentionne l’avis de proposition.

Cette demande a toutefois été rejetée mardi par la majorité au pouvoir à Laval.

«Ils ont mis les intérêts politiques avant les intérêts des Lavallois», déplore aussi le conseiller du district de Saint-Bruno, David De Cotis, en référence aux élus du Mouvement lavallois. Selon l’élu d’opposition, il est «illogique» que l’administration municipale s’oppose à cette proposition. 

«L’est de Laval est vraiment négligé. On n’a pas vraiment de transport en commun.» -David De Cotis, conseiller du district de Saint-Bruno

Un projet «hypothétique»

Le projet de la ligne rose, qui est également étudié par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), en est encore à l’étape d’avant-projet. Le projet mis de l’avant par Projet Montréal lors des dernières élections municipales prévoyait une ligne diagonale de 29 stations reliant Montréal-Nord à Lachine en passant par plusieurs quartiers centraux. Jusqu’à maintenant, seul le «tronçon ouest» de la ligne rose entre Lachine et le centre-ville a fait l’objet d’un engagement politique concret de la part de Québec.

C’est d’ailleurs en raison de l’aspect très hypothétique de ce projet que l’administration de Marc Demers a rejeté la demande du parti Action Laval.

«La particularité de la ligne rose, c’est qu’elle n’a pas été priorisée par le gouvernement du Québec. Il n’y a pas de volonté forte du gouvernement du Québec pour réaliser la ligne rose dans son intégralité», a souligné à Métro le conseiller du district de Saint-François et membre du Mouvement Lavallois, Éric Morasse. 

Celui-ci a par ailleurs rappelé que le Service rapide par bus (SRB) du boulevard Pie-IX, dont l’entrée en fonction est prévue à l’automne 2022, «va apporter une bonification importante du transport en commun dans le secteur Saint-Vincent-de-Paul», notamment en reliant Laval à la ligne verte du réseau du métro. 

«Laissons construire ce projet-là avant de s’éparpiller dans d’autres projets […] On ne peut pas tout faire en même temps», a ajouté M. Morasse, qui est également président du conseil d’administration de la Société de transport de Laval (STL). 

En plus du projet de la ligne rose, plusieurs projets sont actuellement étudiés par l’ARTM. Ceux-ci comprennent entre autres le prolongement de la branche ouest de la ligne orange à Laval ainsi que la création d’un lien entre Longueuil et Brossard par le boulevard Taschereau.

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Ça a l'air ridicule parce qu'une telle station serait au milieu de nulle part (pas loin de l'A25, j'imagine), mais je crois que Laval aurait dû demander d'étudier la chose.

Duvernay-Est connaît un fort développement, le quartier industriel à proximité est en pleine expansion et Terrebonne-Mascouche connaissent un vrai boom. Il y a de la place pour un stationnement incitatif et un terminus régional, et si ça peut encourager le développement intelligent de l'est de Laval, why not? On est en train de réviser le master plan pour ce quartier et les règlements d'urbanisme de toute la ville. 

Cependant, l'avantage indéniable d'une station à Laval serait pour Terrebonne-Mascouche (plus de 150 000 habitants). Du Terminus Terrebonne - où pas mal tous les bus EXO de la MRC se rendent - jusqu'à cette station, ça prend environ 7 minutes. Le TEC de la MRC des Moulins est exécrable à l'heure où on se parle, avec des fréquences de passage lamentables et une fréquentation risible, et, résultat, tout le monde prend son char et le trafic empire d'année en année. La distance aux pôles de la région et les nombreuses ruptures de charge y sont pour quelque chose.

Imaginez maintenant que tous les autobus qui desservent Terrebonne-Mascouche, au lieu de terminer leur course à Terrebonne près de la 25, prennent un petit 7-8 minutes de plus et se rendent directement à un métro. Ça serait révolutionnaire, et je suis sûr que ça pourrait changer les habitudes de milliers de gens et contribuer à capter les navetteurs qui iraient autrement congestionner les routes de Laval et Montréal. Ça éviterait aussi à plein de gens de prendre un autobus de plus, s'entasser dans la 19 et aller engorger la ligne orange. 

Je ne dis pas qu'il faut le faire et que ça vaudrait assurément le coup. Je dis juste qu'on aurait dû demander d'étudier cette extension et ses impacts sur le projet de ligne rose et sur le réseau de transport métropolitain en général. C'est rare que je side avec l'opposition lavalloise, mais là-dessus, j'ai rien à redire.  

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Sans être pour une station à Laval, cette sortie me fait penser que la façon de convaincre la CAQ du projet serait bonifier le tracer pour un métro régional (mais une 2e branche au centre plutôt qu’à l’est)

Il me semble aussi que le développement dans l’est de Laval est limité, l’administration voulant d’une part diriger les projets de développement vers le centre de l’île et protéger certaines aires naturelles et agricoles à l’est.

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Il y a 8 heures, AP241 a dit :

Moi j'ai toujours un bémol quand on veut faire de nouvelles stations de métro pour aider au développement futur quand en ce moment il y a des quartiers centraux et très denses de montréal qui n'en n'ont même pas!

Et on ne veut pas une ligne orange #2 avec la rose, on ne veut pas que les trains se remplissent à Laval et qu'à Montréal on ne soit plus capable de rentrer dedans!

Ce serait peut-être un bon moment alors en créant une toute nouvelle ligne de changer un peu le pattern et de faire des voies de contournement à Montreal pour avoir des trains Express 

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Chronique d'Allison Hanes dans La Gazette

https://montrealgazette.com/opinion/columnists/allison-hanes-has-valerie-plantes-pink-line-morphed-into-something-else

Allison Hanes: Has Valérie Plante's Pink Line morphed into something else?

If the Pink Line is now an extension of a different project, will it still follow the same route?

ALLISON HANES, MONTREAL GAZETTE

Updated: August 26, 2019

 

At the beginning of summer, Mayor Valérie Plante wore a pink dress to a press conference that she insisted was a major step toward building a new Pink Line of the Montreal métro, her signature election promise.

Plante’s office sought to remind citizens of this supposed achievement Monday, issuing the first in a series of communiqués touting the mayor’s accomplishments during the summer.

Indeed, the announcement in question occurred in late June, between the Fête nationale and Canada Day holidays, when many Montrealers were not paying much attention. But the timing also obscured the peculiarity and vagueness of this apparent development, something that deserves re-examining now.

First of all, Plante seemed to be the only one celebrating the news as anything to do with the Pink Line. The announcement itself was of a complicated shell game, whereby Montreal renounced $800 million in federal cash so it could be put toward Quebec City’s far more advanced tramway project in exchange for equivalent funds from the Quebec government for its own transit initiatives. But in a nod to Montreal’s magnanimity, the Coalition Avenir Québec agreed to study a western spur of its east-end tramway project linking Lachine to downtown and inscribe it among capital works priorities for the next decade.

It seems more like everyone came out even, but this western part of the tramway is what Plante considers an advancement for the Pink Line. (Never mind that Chantal Rouleau, the provincial minister responsible for Montreal, was calling it something different.)

Whatever you want to call it, the news raises important questions: When did the Pink Line morph into a tramway? And if the Pink Line is now an extension of a different project, will it still follow the same route?

Neither Plante nor Rouleau offered any trajectory, cost estimate or completion date for what they unveiled two months ago. And after highlighting it again Monday, Plante’s spokesperson, Geneviève Jutras, said the exact route and the technology for the western part of the Pink Line have not yet been determined. Both will be studied by the Autorité régionale de transport métropolitain, although Jutras did note that the Pink Line was always supposed to travel above ground in the west.

This sudden ambiguity stands in sharp contrast to Plante’s earlier announcements about the Pink Line.

But this sudden ambiguity stands in sharp contrast to Plante’s earlier announcements about the Pink Line. When she unveiled it as the centrepiece of Projet Montréal’s election platform in 2017, it had a price tag ($6 billion), a timeline (in service by 2028), a length (29 kilometres), estimated travel times (22 minutes from Montreal North to downtown and eight minutes from Notre-Dame-de-Grâce), as well as a list of station names plotted on a map that hinted at a likely trajectory (like Saint-Pierre, Cavendish, Regent St. and Greene Ave.).

Opponents and skeptics may have had fodder to challenge Plante’s pitch as an over-optimistic pipe dream. And they did. But any voter along that diagonal magenta slash was able to examine their proximity to an eventual métro station and imagine a future in a less congested city. And they certainly did.

The Pink Line was an alluring enough promise that it helped Plante clinch the mayoralty. It also contributed to Projet Montréal breakthroughs in Lachine and N.D.G. So the sudden paucity of detail should be of serious concern to those who believe in and back her plan.

If the western leg of the Pink Line gets fast-tracked as part of an east-end tramway project, what of the eastern part of the métro, linking far-flung Montreal North, St-Léonard and Vieux Rosemont to the centre? Among Plante’s strongest arguments for the Pink Line were that these areas are badly underserved by transit and a new métro is needed to relieve the pressure on the overburdened Orange Line. But now the most crucial component may get put on the back burner.

And the east-end tramway, though still uncharted, is likely to be routed along Notre Dame St. East. A western leg to Lachine suggests a path along Notre Dame St. West, south of the Ville-Marie Expressway and Highway 20, perhaps through St- Henri, Côte-St-Paul, Ville-Émard and LaSalle.

In this case, it would bypass N.D.G. entirely — bringing back bitter memories of a promised western arm of the Blue Line that never arrived and compounding the feeling that Montreal’s west end (including the neighbouring municipalities of Hampstead and Côte-St-Luc) often gets short shrift.

Plante deserves credit for refusing to take no for an answer as the CAQ government repeatedly poured cold water on her idea, establishing a project office to conduct complementary studies while the ARTM does its own due diligence on the Pink Line and using her unflappable optimism to keep a worthwhile project alive against long odds.

Compromise is an inevitable part of moving a plan from conception to reality, but Plante must be careful not to abandon her original vision — or the voters who endorsed it.

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  • 1 mois plus tard...

L'ajout de cette station (Iberville/Masson) me semble faire bien du sens.  Évidemment, si la diagonale de la ligne rose se faisait un jour. 

Et encore (et toujours) là, ce ne sont que des promesses électorales. 

Ligne rose: le NPD «embarque» et suggère une station au coin d’Iberville-Masson

Nima-Machouf-Alexandre-Boulerice-Chu-Anh
Photo: Josie Desmarais/Métro  |  Alexandre Boulerice estime que la mairesse Valérie Plante a très «bien représenté Montréal» lundi devant l’ONU.

Journal Métro  |  ÉLECTIONS - ROSEMONT- LA PETITE-PATRIE  |  11:26 25 septembre 2019  |  Par:  Henri Ouellette Vézina

«On embarque dans la ligne rose». C’est le message qu’a lancé mercredi le chef adjoint du Nouveau parti démocratique (NPD), Alexandre Boulerice. Son parti propose qu’une nouvelle station de métro s’intègre au tracé entre Lachine et Montréal-Nord, au coin des rues D’Iberville et Masson.

«L’ajout de stations sur la ligne orange est une bonne idée et ça aide les gens de Laval, mais ça l’engorge également, analyse le député de Rosemont-La-Petite-Patrie. Un axe transversal comme la ligne rose ferait en sorte de désengorger nos routes et, potentiellement, tout le réseau de métro.»

S’il est trop tôt pour évaluer les coûts associés à ce chantier, le parti entend «s’asseoir avec la Ville de Montréal» prochainement pour évaluer les options sur la table.

La nouvelle station «Masson» coûterait à elle seule «plusieurs millions de dollars» selon le député. Celui-ci promet que son gouvernement financera l’ensemble du projet cher à l’administration de Valérie Plante.

Le NPD entend aussi soutenir les municipalités dans leurs efforts en mobilité par un fonds de 6,5 G$ dédié au transport collectif. Cette réserve exclusive aux villes permettrait «financer de manière plus stable et permanente les projets de transport structurant», de Montréal à Québec en passant par la Gaspésie, où il manque cruellement d’autobus selon le parti.

Les priorités de ce fonds seront déterminées «en fonction de la démographie» de chaque secteur, sans «abandonner» les banlieues et les régions. L’essentiel serait de «réduire les GES» et de minimiser «l’empreinte carbone» de nos déplacements.

Un engagement bien reçu

Au cabinet de la mairesse de Montréal, l’appui du NPD est bien reçu et salué. La porte-parole du comité exécutif, Laurence Houde-Roy, rappelle que Valérie Plante a déjà demandé aux partis fédéraux, le 16 septembre dernier, de soutenir son projet de ligne rose et d’investir dans la lutte aux changements climatiques.

«Les besoins [en mobilité] sont énormes à Montréal. La ligne orange est saturée, les pistes cyclables sont plus utilisées que jamais et les routes sont congestionnées. Il faut sortir de la logique de l’auto-solo», avait alors déclaré la mairesse.

Cette dernière a très «bien représenté Montréal» lundi devant l’ONU quand elle a soutenu que les municipalités doivent être au cœur de l’effort planétaire contre les changements climatiques, d’après Alexandre Boulerice.

La Ville a notamment révélé qu’elle visait à diminuer sa production de gaz à effet de serre (GES) de 55% d’ici 2030.

«Les villes ont besoin d’aide et d’appui. Le fédéral doit en faire beaucoup plus.» -Alexandre Boulerice, chef adjoint du NPD

De son côté, l’ancienne journaliste et candidate du NPD dans Honoré-Mercier, Chu Anh Pham, a souligné qu’il ne faut pas attendre la réalisation de projets de transport déjà en cours pour en lancer d’autres. «Le prolongement de la ligne bleue, on nous le promet depuis 30 ans. Je vais vraiment le croire quand je le voir. On ne crachera pas dessus, mais il faut beaucoup plus», avance-t-elle.

Le prolongement de la ligne bleue «n’ira pas plus loin qu’Honoré-Beaugrand en termes d’est-ouest», se désole aussi la candidate.

«Toute la partie de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, la Pointe de l’île, c’est complètement isolé, parce qu’il n’y a pas de transport en commun», ajoute-t-elle.

https://journalmetro.com/elections-federales-2019/2382227/ligne-rose-le-npd-embarque-et-suggere-une-station-au-coin-diberville-masson/

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  • 3 semaines plus tard...
Le 2019-09-30 à 20:15, Chuck-A a dit :

L'ajout de cette station (Iberville/Masson) me semble faire bien du sens.  Évidemment, si la diagonale de la ligne rose se faisait un jour. 

Et encore (et toujours) là, ce ne sont que des promesses électorales. 

Ligne rose: le NPD «embarque» et suggère une station au coin d’Iberville-Masson

Nima-Machouf-Alexandre-Boulerice-Chu-Anh
Photo: Josie Desmarais/Métro  |  Alexandre Boulerice estime que la mairesse Valérie Plante a très «bien représenté Montréal» lundi devant l’ONU.

Journal Métro  |  ÉLECTIONS - ROSEMONT- LA PETITE-PATRIE  |  11:26 25 septembre 2019  |  Par:  Henri Ouellette Vézina

«On embarque dans la ligne rose». C’est le message qu’a lancé mercredi le chef adjoint du Nouveau parti démocratique (NPD), Alexandre Boulerice. Son parti propose qu’une nouvelle station de métro s’intègre au tracé entre Lachine et Montréal-Nord, au coin des rues D’Iberville et Masson.

«L’ajout de stations sur la ligne orange est une bonne idée et ça aide les gens de Laval, mais ça l’engorge également, analyse le député de Rosemont-La-Petite-Patrie. Un axe transversal comme la ligne rose ferait en sorte de désengorger nos routes et, potentiellement, tout le réseau de métro.»

S’il est trop tôt pour évaluer les coûts associés à ce chantier, le parti entend «s’asseoir avec la Ville de Montréal» prochainement pour évaluer les options sur la table.

La nouvelle station «Masson» coûterait à elle seule «plusieurs millions de dollars» selon le député. Celui-ci promet que son gouvernement financera l’ensemble du projet cher à l’administration de Valérie Plante.

Le NPD entend aussi soutenir les municipalités dans leurs efforts en mobilité par un fonds de 6,5 G$ dédié au transport collectif. Cette réserve exclusive aux villes permettrait «financer de manière plus stable et permanente les projets de transport structurant», de Montréal à Québec en passant par la Gaspésie, où il manque cruellement d’autobus selon le parti.

Les priorités de ce fonds seront déterminées «en fonction de la démographie» de chaque secteur, sans «abandonner» les banlieues et les régions. L’essentiel serait de «réduire les GES» et de minimiser «l’empreinte carbone» de nos déplacements.

Un engagement bien reçu

Au cabinet de la mairesse de Montréal, l’appui du NPD est bien reçu et salué. La porte-parole du comité exécutif, Laurence Houde-Roy, rappelle que Valérie Plante a déjà demandé aux partis fédéraux, le 16 septembre dernier, de soutenir son projet de ligne rose et d’investir dans la lutte aux changements climatiques.

«Les besoins [en mobilité] sont énormes à Montréal. La ligne orange est saturée, les pistes cyclables sont plus utilisées que jamais et les routes sont congestionnées. Il faut sortir de la logique de l’auto-solo», avait alors déclaré la mairesse.

Cette dernière a très «bien représenté Montréal» lundi devant l’ONU quand elle a soutenu que les municipalités doivent être au cœur de l’effort planétaire contre les changements climatiques, d’après Alexandre Boulerice.

La Ville a notamment révélé qu’elle visait à diminuer sa production de gaz à effet de serre (GES) de 55% d’ici 2030.

«Les villes ont besoin d’aide et d’appui. Le fédéral doit en faire beaucoup plus.» -Alexandre Boulerice, chef adjoint du NPD

De son côté, l’ancienne journaliste et candidate du NPD dans Honoré-Mercier, Chu Anh Pham, a souligné qu’il ne faut pas attendre la réalisation de projets de transport déjà en cours pour en lancer d’autres. «Le prolongement de la ligne bleue, on nous le promet depuis 30 ans. Je vais vraiment le croire quand je le voir. On ne crachera pas dessus, mais il faut beaucoup plus», avance-t-elle.

Le prolongement de la ligne bleue «n’ira pas plus loin qu’Honoré-Beaugrand en termes d’est-ouest», se désole aussi la candidate.

«Toute la partie de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, la Pointe de l’île, c’est complètement isolé, parce qu’il n’y a pas de transport en commun», ajoute-t-elle.

https://journalmetro.com/elections-federales-2019/2382227/ligne-rose-le-npd-embarque-et-suggere-une-station-au-coin-diberville-masson/

Comment se faire du capital politique sur les projets des autres à 5 jours d'une élection. Et puis il y a toujours été question d'une station à Masson...

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