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TOD Terminus Rive-Sud (10 000 logements) - 6-25 étages


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ACPNC: Ce sont oui des bons exemples de terrains que tu mentionnes par contre, dans certains des cas pourquoi ne sont-ils pas encore développés c'est l'oppositions des residents limitrophes qui empêchent des développements profitable a ceux qui voudraient le faire. Porte Ste-Marie a vu quelques projets se faire rabrouer par les gens du coins car trop dense ou ne correspondent pas a ce qu'ils veulent ou pour cause de gentrification du secteur, meme chose pour les berges du Canal Lachine, ou oui il y a eu des immeubles de construit, mais en ce moment c'est plus difficile car l'administration locale est contre.

 

La peur de gentrification des secteur influence beaucoup le ré développement et redynamisation de secteurs prometteurs en ville centre. Tout comme ce n'est pas tout le monde qui veut rester dans un duplex de style plateau, on a beau chialer ou être contre, reste que s'il se construit encore autant de maison unifamiliales détachées dans la région de montréal, c'est que les gens veulent et aspirent encore à ce genre de vie.

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La peur de gentrification des secteur influence beaucoup le ré développement et redynamisation de secteurs prometteurs en ville centre. Tout comme ce n'est pas tout le monde qui veut rester dans un duplex de style plateau, on a beau chialer ou être contre, reste que s'il se construit encore autant de maison unifamiliales détachées dans la région de montréal, c'est que les gens veulent et aspirent encore à ce genre de vie.

 

La maison familiale a elle aussi beaucoup changée durant les 50 dernières années. Il ne se fait plus de bungalows comme j'ai grandit à Châteauguay. Mais je trouve dommage que la perception de l'urbanisme reste retranchée dans les deux extrêmes: un quartier plus que centenaire ou le modèle uniforme du quartier d'unifamiliales.

 

Où sont les quartiers récents pensés pour offrir les avantages des deux? Pourquoi on ne peut pas penser ces quartiers avec une meilleure mixité démographique (jeunes, familles, personnes âgées) et d'usage? Tout ce qu'on gagnerait, ce sont des quartiers objectivement meilleurs pour pratiquement tout le monde. Dans les faits, il n'y a pratiquement aucune offre dans les quartiers contemporains recherchant une part de la mixité des vieux quartiers, tout en offrant les avantages que l'on attribut à la banlieue.

 

On peut aller chercher de la densité dans les quartiers périphériques tout en offrant encore une offre d'unifamiliales. On pourrait même avoir une offre plus diversifié pour les familles dans un même quartier, parfois plus dense... Si cette densité est accompagnée de services adéquats et d'une réflexion sur ce que cette population peut supporter comme services de proximité, ce qui n'existe pratiquement pas à Montréal et aux alentours dans les nouveaux développements. Difficile donc pour une famille de faire ce choix et d'encourager ce genre de développement.

 

Sinon, quand on pense des projets mixtes, ce sont des monstres de tours à condos, accompagnés de gros centres commerciaux et de gros espaces de bureaux. Est-ce qu'un jeune couple voudra rester là une fois que le premier enfant est en route? Jamais. C'est le temps d'aller dans un quartier d'unifamiliales uniformes, sans service, un peu plus loin, avec son lot de nouveaux problèmes. C'est un grand aspect de la gentrification à Montréal, cette capacité relativement nouvelle à retenir les familles dans les quartiers centraux. Si une personne aime son milieu dense et qu'elle a la possibilité d'élever sa famille dans le secteur, en gardant ces avantages, beaucoup feront ce choix. Pas tous, mais beaucoup. Et c'est une bonne chose pour l'urbanisme de notre région.

 

Bref, je préfère voir une densité plus uniforme sur notre territoire, plutôt que de se plaindre que les gens des quartiers centraux n'ont font pas assez.

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Ça devrait changer avec une volonté pour le développement des terrains avec la Stratégie Centre-Ville. Pour le reste, je suis d'accord avec ACPNC : ne touchons pas à ces terres agricoles. Il reste en masse de place ailleurs, même sur le tracé du REM (Chevrier, Pierrefonds, Sunnybrooke, la branche A40). Il faut juste de la volonté politique de dire que dans la CMM, on ne s'étale plus. Promoteurs, vous voulez construire, allez-y, mais on construit sur la ville existante.

On voit d'ailleurs que ça commence, avec le développement du centre commercial Wilderton, ou celui en lobbying en ce moment près de Montpellier/ Côte-Vertu.

La place ne manque pas, il faut juste accompagner correctement les promoteurs et les développeurs.

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  • 3 semaines plus tard...
Il faut juste de la volonté politique de dire que dans la CMM, on ne s'étale plus.

Fort bien, mais pour être efficace, la volonté de contrer l'étalement ne doit pas se limiter au territoire de la CMM. En disant cela, je pense d'abord à la partie du territoire des Laurentides située au-delà de la limite nord de la CMM, car dans ce cas, j'ai l'impresion que la Loi sur la protection du territoire agricole ne suffit pas à enrayer l'étalement: on y trouve notamment 1) des terres boisées et/ou montagneuses non protégées, ainsi que 2) des zones peu densément bâties ayant originellement servi pour des résidences secondaires. Pour visualiser le phénomène, songez que la sortie de l'autoroute des Laurentides pour l'A-50 se situe au kilomètre 29 (mesuré à partir de la Métropolitaine), alors que des localités comme Shawbridge, Piedmont et Saint-Sauveur, toutes au nord de Saint-Jérôme, sont à peine de 20 à 30 kilomètres plus loin. J'ai bien peur qu'on y observe un important phénomène d'«exurbanisation», risquant d'annuler les efforts de la CMM. Curieusement (ou peut-être pas!), c'est le maire Labeaume qui sonnait l'alarme il y a quelque temps à propos de l'amorce d'un phénomène semblable au-delà des limites de la Communauté Métropolitaine de Québec...

Si on n'agit pas, on aura manqué notre coup. Sciemment?

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Fort bien, mais pour être efficace, la volonté de contrer l'étalement ne doit pas se limiter au territoire de la CMM. En disant cela, je pense d'abord à la partie du territoire des Laurentides située au-delà de la limite nord de la CMM, car dans ce cas, j'ai l'impresion que la Loi sur la protection du territoire agricole ne suffit pas à enrayer l'étalement: on y trouve notamment 1) des terres boisées et/ou montagneuses non protégées, ainsi que 2) des zones peu densément bâties ayant originellement servi pour des résidences secondaires. Pour visualiser le phénomène, songez que la sortie de l'autoroute des Laurentides pour l'A-50 se situe au kilomètre 29 (mesuré à partir de la Métropolitaine), alors que des localités comme Shawbridge, Piedmont et Saint-Sauveur, toutes au nord de Saint-Jérôme, sont à peine de 20 à 30 kilomètres plus loin. J'ai bien peur qu'on y observe un important phénomène d'«exurbanisation», risquant d'annuler les efforts de la CMM. Curieusement (ou peut-être pas!), c'est le maire Labeaume qui sonnait l'alarme il y a quelque temps à propos de l'amorce d'un phénomène semblable au-delà des limites de la Communauté Métropolitaine de Québec...

Si on n'agit pas, on aura manqué notre coup. Sciemment?

 

ce phénomène est présent ici depuis longtemps. Montréal se classe 1ère au Canada pour l'expansion des exurbs, et ce depuis plusieurs années. La preuve, St-Jean fait maintenant partie de la zone métropolitaine. Les exurbs ne sont pas si mauvais si la personne ne travail pas sur l'île de Montréal. Tu peux bien habiter à St-Sauveur, mais si tu travailles à Blainville, l'impact est minime. Plus le core de la région métropolitaine grossit, plus on augmente les chances de voir apparaître de futurs exurbs. Un autre exurb sur la Rive-Sud, Marieville. On peut dire que maintenant, la banlieue de Montréal s'étend à l'est de la rivière Richelieu. Pour la croissance d'ici 2036, c'est la MRC de Mirabel où l'on observera la plus forte croissance de la population. augmentation de près de 50%. les villes situées encore plus au nord arrivent au 3e rang au Qc, pour 2036. MRC Rivière-du-Nord, 43%. cette MRC compte 115,000 habitants, alors 43% nous amène à 165,000 habitants. Mirabel aura 60,000 habitants, Blainville-Ste-Thérèse aura 190,000 habitants. On ne peut pas retenir les gens.

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ce phénomène est présent ici depuis longtemps. Montréal se classe 1ère au Canada pour l'expansion des exurbs, et ce depuis plusieurs années. La preuve, St-Jean fait maintenant partie de la zone métropolitaine. Les exurbs ne sont pas si mauvais si la personne ne travail pas sur l'île de Montréal. Tu peux bien habiter à St-Sauveur, mais si tu travailles à Blainville, l'impact est minime. Plus le core de la région métropolitaine grossit, plus on augmente les chances de voir apparaître de futurs exurbs. Un autre exurb sur la Rive-Sud, Marieville. On peut dire que maintenant, la banlieue de Montréal s'étend à l'est de la rivière Richelieu. Pour la croissance d'ici 2036, c'est la MRC de Mirabel où l'on observera la plus forte croissance de la population. augmentation de près de 50%. les villes situées encore plus au nord arrivent au 3e rang au Qc, pour 2036. MRC Rivière-du-Nord, 43%. cette MRC compte 115,000 habitants, alors 43% nous amène à 165,000 habitants. Mirabel aura 60,000 habitants, Blainville-Ste-Thérèse aura 190,000 habitants. On ne peut pas retenir les gens.

 

Merci pour ta réponse étoffée, qui démontre que tu connais bien le phénomène. J'avoue qu'instinctivement, j'avais tendance à penser, tout comme toi, que «les exurbs ne sont pas si mauvais si la personne ne travail(le) pas sur l'île de Montréal». Mais maintenant, je n'en suis plus certain. Voici donc quelques raisons de mon questionnement. Les déplacements ne sont pas exclusivement motivés par le travail; si ce n'est pas la «personne» elle-même, ses enfants et/ou son conjoint sont ou seront amenés à se rendre régulièrement à Montréal pour les études, les soins de santé, les loisirs, le magasinage ou même le travail. Certes, ce serait la même chose si cette «famille» ou «ménage» habitait plutôt dans une zone dense désignée à l'intérieur de la CMM, MAIS la propension à utiliser la voiture particulière (individuelle) serait naturellement moindre dans le second cas que dans le premier, principalement à cause de l'impossibilité d'une desserte par TEC dans les exurbs. Deuxièmement, l'accroissement substantiel de la population dans les exurbs incitera nombre d'entreprises à s'y établir, afin de capter ce marché, mais aussi afin d'accéder au bassin de main d'oeuvre qui est en train de se constituer. Immanquablement, ces nouveaux emplois dans les exurbs attireront aussi des résidants de l'ìle de Montréal, qui devront toutefois s'y rendre en automobile; il suffit d'observer la densité de la circulation à «contre-courant» pour en mesurer déjà l'importance. Au total, on se retrouvera avec une région économique beaucoup plus vaste; si on peut admettre que le NOMBRE de déplacements à l'intérieur de cette vaste région ne serait pas plus élevé que pour une région aussi peuplée mais moins vaste (plus concentrée), il est presque certain que la longueur moyenne des parcours serait nettement supérieure, et la proportion d'usagers de TEC, inférieure.

 

Tu écrits en conclusion que «On ne peut pas retenir les gens». Mais alors, comment pourrait-on à la fois empêcher les gens de s'établir dans de vastes zones à l'intérieur de la CMM, et n'imposer aucune contrainte (autre que la protection du territoire agricole) dans les territoires encore plus vastes qui jouxtent la CMM?

 

Face à problématique complexe qui sous-tend nos discussions, je commencerais par une simple prescription: planifier l'aménagement à l'échelle de la grande région de Montréal, et non pas seulement dans les limites de la CMM.

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Merci pour ta réponse étoffée, qui démontre que tu connais bien le phénomène. J'avoue qu'instinctivement, j'avais tendance à penser, tout comme toi, que «les exurbs ne sont pas si mauvais si la personne ne travail(le) pas sur l'île de Montréal». Mais maintenant, je n'en suis plus certain. Voici donc quelques raisons de mon questionnement. Les déplacements ne sont pas exclusivement motivés par le travail; si ce n'est pas la «personne» elle-même, ses enfants et/ou son conjoint sont ou seront amenés à se rendre régulièrement à Montréal pour les études, les soins de santé, les loisirs, le magasinage ou même le travail. Certes, ce serait la même chose si cette «famille» ou «ménage» habitait plutôt dans une zone dense désignée à l'intérieur de la CMM, MAIS la propension à utiliser la voiture particulière (individuelle) serait naturellement moindre dans le second cas que dans le premier, principalement à cause de l'impossibilité d'une desserte par TEC dans les exurbs. Deuxièmement, l'accroissement substantiel de la population dans les exurbs incitera nombre d'entreprises à s'y établir, afin de capter ce marché, mais aussi afin d'accéder au bassin de main d'oeuvre qui est en train de se constituer. Immanquablement, ces nouveaux emplois dans les exurbs attireront aussi des résidants de l'ìle de Montréal, qui devront toutefois s'y rendre en automobile; il suffit d'observer la densité de la circulation à «contre-courant» pour en mesurer déjà l'importance. Au total, on se retrouvera avec une région économique beaucoup plus vaste; si on peut admettre que le NOMBRE de déplacements à l'intérieur de cette vaste région ne serait pas plus élevé que pour une région aussi peuplée mais moins vaste (plus concentrée), il est presque certain que la longueur moyenne des parcours serait nettement supérieure, et la proportion d'usagers de TEC, inférieure.

 

Tu écrits en conclusion que «On ne peut pas retenir les gens». Mais alors, comment pourrait-on à la fois empêcher les gens de s'établir dans de vastes zones à l'intérieur de la CMM, et n'imposer aucune contrainte (autre que la protection du territoire agricole) dans les territoires encore plus vastes qui jouxtent la CMM?

 

Face à problématique complexe qui sous-tend nos discussions, je commencerais par une simple prescription: planifier l'aménagement à l'échelle de la grande région de Montréal, et non pas seulement dans les limites de la CMM.

 

je n'irais pas jusqu'à dire que je connais bien le phénomène, mais si on regarde les Megalopoles, on se rend compte que les pôles d'attractions secondaires sont très importants. On ne peut pas construire une ville-région avec un seul pôle d'activité, ici on parlerait du centre-ville ou de Montréal centre. Nous sommes chanceux, nous possédons plusieurs zones à haut potentiel de croissance. Il y a des zones d'emplois à l'ouest, à l'est, au nord et au sud de l'île de Mtl. Contrairement à ce que plusieurs pensent, ce n'est pas mauvais d'avoir un développement vers l'extérieur. Il faudra utiliser les TOD pour concentrer ces zones et les rendre permanentes. Le Grand Montréal reste quand même une petite région métropolitaine en superficie, moins de 5000 km². Il faut aussi éviter de croire que les banlieues nuisent à la croissance de l'emploi sur l'île. Je ne comprend pourquoi on utilise le mot ''compétition''. En voulant tout ramener sur l'île, on ne pourra jamais se doter d'une ville-région. Les jobs doivent être éparpillées sur l'ensemble de la zone URBAINE, qui compte 3.7M habitants. Donc 500,000 personnes qui habitent à l'extérieur de la zone urbaine. C'est ce % qui doit diminuer avec le temps. 12% . La zone urbaine va continuer de grossir et gagner en population, c'est du positif.

Modifié par vivreenrégion
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Sans doute le projet le plus absurde de toute la région métropolitaine.

 

Il est écrit dans l'article que «Le REM, clairement, est une infrastructure qui permet la densification, ce qui est une chose recherchée, surtout en banlieue.»

 

 

Et c'est totalement vrai.

 

Mais faux pour ce projet-ci.

 

 

*L'action de densifier, c'est d'augmenter le nombre de logement/ha d'un territoire déjà exploiter. Densifier la banlieue, ce serait construire des bâtiments dans le stationnement du mail champlain, développer le terrain de la Place Portobello, éliminer tous les stationnements de surface du DIX30, construire au-dessus du stationnement incitatif de la station Panama, construire des maisons unifamilales entre les maisons unifamilales existantes autour des stations, transformer les maisons unifamiliales en duplex, voir en triplex.

 

Mais pas empiler plus de 15 000 personnes dans un terrain enclavé! Et le point n'est même pas que ce soit agricole ou non, en banlieue ou non, c'est juste de ne pas cannibaliser le peu de demande dans un seul projet, à un endroit ou toute qualité de vie est improbable. Les gens ne sont pas des robots, il doit y avoir une vie en dehors de la maison et du travail, et ce n'est pas une marche en famille sur la 30 qui va combler ce besoin.

 

 

*Il faut construire la ville sur la ville, et la banlieue sur a banlieue.

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Il faut comprendre que la philosophie des développeurs dans ce genre de mégaprojet, c'est de s'assurer d'une importante clientèle quasi captive qui vivra dans ses condos et ses logements, qui consommera dans ses commerces, y mangera et s'y divertira. Et comme si ce n'était pas suffisant, ils essaieront d'attirer plus de gens de la ville- centre, en faisant valoir l'efficacité du REM et la diversité de leur offre commerciale comme expérience "unique" et ludique.

 

En d'autres mots ces promoteurs veulent poursuivre l'étalement urbain, en faisant concurrence au passage directement aux zones urbaines déjà développées. Bien sûr tout en occupant la mince ceinture verte au de-là de l'A 30, le seul véritable poumon vert de la Rive-Sud. Pourtant il y a place pour bien plus d'un million dans l'ensemble des grandes villes sur l'ile et la banlieue immédiate, même plus, si on densifie plus adéquatement. C'est donc là qu'il faut dépenser nos énergies, à l'intérieur du périmètre déjà équipé de couteuses infrastructures, avant d'en construire de nouvelles.

 

On n'a plus le choix, le discours environnementaliste n'est pas une fantaisie de rêveurs. Mais une solution durable qui doit aller de pair avec la révolution énergétique. Et cela afin de limiter, à défaut de contraindre, les changements climatiques. La croissance de nos villes ne fait qu'agrandir en surface le désert d'asphalte et de béton, gaspiller nos derniers espaces verts et créer plus d'ilots de chaleur, qui rendent le coeur des villes de plus en plus invivables durant les grandes canicules. Il faut impérativement changer de paradigme pour être cohérents avec nous-mêmes, en encourageant enfin notre développement vers le centre urbain, plutôt que vers les périphéries.

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