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https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2020-09-30/centre-ville-de-montreal/une-application-plutot-que-des-nouveaux-stationnements.php

Centre-ville de Montréal 

Une application plutôt que des nouveaux stationnements

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PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE
L’application, que chacun pourra télécharger sur son téléphone intelligent, aidera les automobilistes à minimiser leur perte de temps autour de leur séance de magasinage, a annoncé la mairesse Valérie Plante au comité exécutif de la Ville de Montréal.

Devant les critiques constantes concernant le manque de stationnement sur les rues commerciales de Montréal, Valérie Plante a annoncé mercredi matin le lancement d’une application mobile pour aider les automobilistes à trouver un stationnement au centre-ville.

Publié le 30 septembre 2020 à 9h34
PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD
LA PRESSE

Alors que son projet de réfection de la rue Sainte-Catherine inclut l’élimination de centaines de places de stationnement sur rue, l’administration Plante a choisi sa méthode : « maximiser le stationnement qui est disponible » plutôt que d’en ajouter.

L’application, que chacun pourra télécharger sur son téléphone intelligent, aidera les automobilistes à minimiser leur perte de temps autour de leur séance de magasinage, a annoncé la mairesse au comité exécutif de la Ville de Montréal.

« Cette demande, ça fait longtemps qu’elle est là. On veut faciliter l’accès au centre-ville pour que les personnes en voiture puissent facilement se stationner », a dit Mme Plante.

Elle a ajouté que l’application mettrait l’emphase sur les stationnements souterrains, parfois snobés par les automobilistes. Ces emplacements « sont souvent juste à côté de nos boutiques préférées », a-t-elle dit. « J’aime souvent comparer [la situation] à quand on va dans un centre commercial : parfois on se trouve un stationnement juste en avant de la porte, mais souvent on est obligés de se stationner un peu plus loin. »

C’est l’Agence de mobilité durable, la société paramunicipale autrefois appelée Stationnement Montréal, qui est à l’origine du projet d’application.

Valérie Plante a ajouté que l’application permettra de payer le prix d’un parcomètre dans trois stationnements privés du centre-ville, soit celui de la tour Montréal Trust, de la tour KPMG et du 1250 René-Lévesque Ouest.

Selon les plans présentés en 2018, la réinvention de la rue Sainte-Catherine prévoit l’élimination du stationnement en bordure de chaussée, entre De Bleury et Atwater. Cela représenterait presque 500 places de stationnement en moins.

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  • 2 months later...

Montréal prolonge la gratuité des stationnements sur rue

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PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

En plus de cette mesure, la Ville de Montréal offre aussi la possibilité aux commerces de prolonger leurs heures d’ouverture jusqu’à 22 h en semaine, et jusqu’à 19 h les samedis et dimanches.

Les stationnements sur rue tarifiés resteront gratuits jusqu’au 31 janvier, les vendredis soirs de 18 h à 21 h et durant les week-ends dans l’arrondissement de Ville-Marie à Montréal.

Publié le 23 décembre 2020 à 16h51

LÉA CARRIER
LA PRESSE

La période de gratuité devait se terminer le 31 décembre, mais compte tenu des restrictions sanitaires en vigueur, elle a été prolongée à la demande des commerçants.

« Nous devons innover dans nos façons de faire et penser autrement durant cette période difficile. Dans le but de soutenir et stabiliser l’économie, le prolongement de la gratuité des stationnements tarifés sur rue au centre-ville, est l’une des actions mises en place », a annoncé la mairesse, Valérie Plante, dans un communiqué.

Des mesures avaient été annoncées en octobre dernier afin d’inciter la population à encourager les commerces locaux montréalais pendant la période des Fêtes. Ainsi, la gratuité des stationnements sur rue vise à faciliter l’accès aux artères commerciales et à rendre l’expérience de magasinage plus agréable pour les consommateurs.

En plus de cette mesure, la Ville de Montréal offre aussi la possibilité aux commerces de prolonger leurs heures d’ouverture jusqu’à 22 h en semaine, et jusqu’à 19 h les samedis et dimanches. Trois terrains de stationnement hors rue aux abords de la Plaza St-Hubert durant les weekends de novembre et de décembre sont aussi accessibles gratuitement à la population.

Rappelons que les commerces non essentiels devront fermer leurs portes du 25 décembre au 10 janvier inclusivement, et ce, partout au Québec, afin de limiter la propagation du virus.

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2020-12-23/arrondissement-de-ville-marie/montreal-prolonge-la-gratuite-des-stationnements-sur-rue.php?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=algofb&fbclid=IwAR3JBT8kWWOXmTN04tKmM4AXfTStlCvH3cZU_5G5eXJMqI3Vg1VBAoyOsy8

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  • 3 months later...

Not sure what subject thread to place this, but I saw weird equipment with things in spiral as if they were doing soil tests on the parking in front of the 4 seasons... de Maison eave and de la montagne ... I’m wondering 

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  • 1 month later...

En matière de stationnements de surface voici un intéressant compromis dans cet article de La Presse.

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Planète bleue, idées vertes

Repenser le stationnement

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Romain Coste, chargé de projet de la campagne de stationnement écoresponsable au CRE-Montréal, dans le stationnement de l’aréna Rodrigue-Gilbert

Des écologistes tentent de réinventer le stationnement et ont même mis en place une certification « écoresponsable » qui s’adresse aux propriétaires de parkings du Québec.

Publié le 24 mai 2021 à 6h00

https://www.lapresse.ca/actualites/environnement/2021-05-24/planete-bleue-idees-vertes/repenser-le-stationnement.php

Gabriel Béland
La Presse

Les grands stationnements rivalisent rarement de charme : de vastes surfaces asphaltées, souvent inutilisées une bonne partie de la journée et propices aux îlots de chaleur.

On pourrait croire qu’ils représentent une cause perdue pour l’environnement. Mais certains experts veulent repenser ces espaces pour les rendre plus efficaces et moins dommageables.

« Dans l’île de Montréal seulement, on a près de 500 aires de stationnement de 100 cases ou plus. Ce sont d’énormes surfaces », note Romain Coste, du Conseil régional de l’environnement (CRE) de Montréal.

Ce chargé de projet s’occupe de la campagne de stationnement écoresponsable au CRE-Montréal. Depuis 2017, l’organisme propose une attestation pour les stationnements de 20 cases et plus.

Sept aménagements dans l’île de Montréal ont depuis reçu le sceau de l’organisme. Le CRE annonçait récemment que le projet allait s’étendre à plusieurs autres régions du Québec, soit la Capitale-Nationale, Laval, la Montérégie et le Centre-du-Québec.

Les aires de stationnement soulèvent plusieurs enjeux environnementaux. Il y a les îlots de chaleur. Il y a aussi la gestion de l’eau pluviale, alors que les stationnements sont souvent des surfaces complètement imperméables qui viennent engorger le réseau municipal.

Romain Coste, du Conseil régional de l’environnement de Montréal

Ainsi, pour être certifié écoresponsable, un stationnement devra être réaménagé, reverdi et opter pour un revêtement plus clair, qui réfléchit plus qu’il n’emmagasine les rayons du soleil.

De 240 à 137 cases

Les gestionnaires de grands stationnements sont aussi invités à offrir des emplacements pour vélos ou à indiquer les horaires des transports en commun pour « offrir des alternatives à l’auto solo ».

« Mais la cible de base est de réduire le nombre de cases, précise Romain Coste. Le message, c’est qu’il faut se questionner sur le besoin de stationnement. A-t-on vraiment besoin d’autant de cases ? »

L’un des stationnements certifiés écoresponsables dans l’est de Montréal est ainsi passé de 240 à 137 places. Au départ, le stationnement de l’aréna Rodrigue-Gilbert n’était qu’un rectangle d’asphalte.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

L’espace récupéré par l’élimination d’une centaine de cases à l’aréna Rodrigue-Gilbert a permis d’installer des îlots de verdure et des ruches. Derrière, on aperçoit une maison des jeunes qui a aussi pu être érigée là où on trouvait naguère des voitures.

Mais l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles a décidé de réaménager le lieu en 2018. Pour réduire le nombre de cases, l’aréna a signé un partenariat avec une école secondaire voisine.

L’idée est plutôt simple : le stationnement de l’école est surtout occupé les jours de semaine, celui de l’aréna, le soir et la fin de semaine. L’aréna allait se départir de plus de 100 cases, mais les automobilistes pourraient se rabattre sur l’école en cas de débordement, lors d’un tournoi de hockey, par exemple.

Avec l’espace récupéré, 47 arbres ont été plantés, tout comme des végétaux pour récupérer l’eau de pluie. Des bancs publics ont été installés, ainsi que des ruches et des nichoirs pour oiseaux.

1/2

« On a vu des garderies venir dans le stationnement avec les enfants pour faire le tour des panneaux éducatifs », raconte Louis Lapointe, directeur des travaux publics à l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles.

« Au début, des gens étaient inquiets sur la perte d’espaces de stationnement, mais on a réglé ça grâce à l’entente avec l’école secondaire. On n’a eu que de bons commentaires depuis », dit-il à propos de ce projet qui a coûté 1,8 million de dollars à l’arrondissement.

Réduire l’auto solo

L’idée n’est pas seulement de maquiller le stationnement de vert, insiste Romain Coste. Un comité de 10 experts encadre le CRE dans sa démarche, qui se veut une réelle réflexion non seulement sur l’aménagement, mais aussi sur les choix en matière de transport.

Ainsi, une entreprise qui voudrait certifier son stationnement serait invitée à remettre en question la gratuité. Ou à tout le moins, précise M. Coste, « offrir des incitatifs à ceux qui ne viennent pas au travail en voiture, par exemple ».

Les employeurs offrent souvent le stationnement gratuitement à leurs employés. Mais ceux qui se rendent au travail à pied, à vélo ou en transports en commun ne reçoivent bien souvent quant à eux aucune contrepartie.

« L’employé qui vient en automobile est en quelque sorte subventionné », dit-il, puisque l’employeur doit payer pour l’entretien des espaces de stationnement.

La Californie a d’ailleurs entériné une loi en 1992 qui oblige certains employeurs à offrir l’option à leurs travailleurs : prendre une case de stationnement ou recevoir une somme d’argent équivalente chaque mois.

Une étude faite cinq ans plus tard a conclu que la demande pour des espaces de stationnement avait chuté de 11 % dans ces entreprises. Inversement, les déplacements en transports en commun avaient grimpé de 50 % et ceux en vélo, de 33 %.

 

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  • 1 year later...
  • Administrator

Stationnement L’absence de courtoisie peut coûter cher

Mis à jour hier à 11h10
 

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PHOTO PHILIPPE BOIVIN, ARCHIVES LA PRESSE

La folie des déménagements du 1er juillet 

« DÉMÉNAGEMENT. NE PAS STATIONNER. » Ces demandes, souvent affichées dans les rues de Montréal, doivent être respectées sous peine de pénalités salées, suggère un récent jugement de la Cour du Québec. 

 

Une Montréalaise dont le déménagement a été compliqué par un camion garé – pourtant tout à fait légalement – en face de chez elle recevra un chèque de 1200 $ pour ses ennuis. L’entreprise Sanexen, propriétaire du camion, a commis une faute en refusant de le déplacer, a tranché le juge Jean-François Roberge, des petites créances. 

Lise Pépin avait averti Sanexen dès 11 h 30 la veille du déménagement – un vendredi – qu’elle aurait besoin de l’espace devant sa résidence pour faciliter les déplacements. Mais les employés de l’entreprise n’ont pas réagi. Mme Pépin avait aussi appelé la Ville de Montréal, sans succès. 

« Ce choix et cette attitude de l’Entrepreneur ne correspondent pas à ce qu’une personne prudente et diligente ferait dans des circonstances objectivement similaires. Par conséquent, l’Entrepreneur a donc commis une faute civile, et il doit indemniser le préjudice direct et immédiat subi par la Résidente », écrit le juge Roberge, dans sa décision rendue en février. « Le Tribunal estime que la Résidente a suivi de manière diligente la procédure pour prévenir un problème. » 

Le déménageur de Mme Pépin lui a facturé 700 $ supplémentaires en raison des délais et des efforts nécessaires pour contourner le camion de Sanexen. « Notre devis est basé sur un accès libre pour garer notre camion », avait précisé avant coup le déménageur. 

La femme a obtenu le paiement de cette facture par l’entreprise, ainsi que 300 $ pour le « stress psychologique » lié à cette situation. Facture totale : un peu plus de 1200 $ en incluant les intérêts. 

Facteur aggravant pour Sanexen : « La preuve démontre par photo qu’un espace est disponible pour stationner le camion à un autre endroit sur la rue », relève le juge Roberge. Le déplacement du véhicule est donc « une solution simple, réaliste et raisonnable ». 

L’entreprise s’était uniquement défendue en faisant valoir que son « permis lui permet de se stationner n’importe où sur la rue ». 

Sanexen n’a pas rappelé La Presse. Nous n’avons pas pu joindre Mme Pépin.

https://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-faits-divers/2023-03-02/stationnement/l-absence-de-courtoisie-peut-couter-cher.php#

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Il n'y aurait pas eu de problème si la dame avait fait sont déménagement en bicyclette...

🚲😝

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lapresse.ca
 

Revenus annuels de 500 millions | Montréal appelée à tarifer tout son stationnement sur rue d’ici 2035

Henri Ouellette-Vézina

Montréal pourrait dégager plus de 500 millions par année, en moyenne, en tarifant toutes ses cases de stationnements sur rue, selon le Conseil régional de l’environnement de Montréal (CRE-MTL). Dans son « livre blanc » sur l’occupation du domaine public, qui paraîtra mardi, l’organisme propose de « changer la culture » du stationnement dans la métropole.

« On veut surtout mettre en lumière de façon concrète à quel point le stationnement occupe un espace et des ressources considérables à Montréal. C’est un fait reconnu par tout le monde dans le milieu de l’aménagement et des transports, mais ça prend aujourd’hui une discussion publique », affirme le responsable du transport de l’organisme, Blaise Rémillard.

Son groupe calcule, en se basant sur une méthodologie proposée par le Victoria Transport Policy Institute qui prend en compte le coût du terrain et les frais de construction, que le coût annuel moyen d’une case de stationnement est d’environ 1275 $ par année pour la Ville de Montréal. En multipliant ce nombre par le nombre de cases de stationnements gratuites, soit environ 450 000, on arrive à 573,7 millions de dollars.

« C’est l’équivalent d’un SRB », lance M. Rémillard à la blague, en référence à la facture totale d’environ 653 millions du Service rapide par bus sur l’axe Pie-IX.

Pour récupérer ces fonds, l’organisme suggère à la Ville de « tarifer progressivement », jusqu’en 2035, toutes les cases de stationnement sur rue, « afin d’éliminer leur gratuité » à terme. Dans l’intervalle, on propose aussi de « retirer les espaces de stationnement qui ne sont pas rentables faute d’avoir suffisamment d’automobilistes prêts à payer le juste prix pour leur usage », pour ensuite « attribuer à ces espaces une nouvelle fonction au bénéfice de la collectivité́ ».

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PHOTO ÉDOUARD PLANTE-FRECHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Blaise Rémillard

Mieux gérer l’espace

Des listes d’attente pourraient aussi être mises en place pour l’émission de vignettes de stationnement sur rue réservé aux résidants (SRRR), afin de « prioriser certains ménages en fonction de l’absence d’accès à un stationnement hors rue et des critères établis de dépendance à l’automobile », suggère le Conseil régional.

Parce que « tout le monde doit faire sa part », M. Rémillard affirme que l’ajout de cases de stationnement dans les immeubles résidentiels existants devrait également être interdit. Ses équipes appellent également à « réduire les superficies autorisées de stationnement de surface dans les nouvelles constructions, pour privilégier le stationnement en structure ou souterrain », et de « graduellement tendre vers l’interdiction du stationnement de surface ».

Le « livre blanc » du CRE-MTL propose aussi d’implanter un « système de bonus-malus » pour les propriétaires qui souhaitent « innover » en verdissant leur stationnement, ou en y installant des bornes électriques par exemple. Ces propriétaires verraient alors leur taux de taxe sur le stationnement diminuer.

« On ne veut pas enlever la voiture de la ville. C’est simplement de mieux choisir où on la veut et quand on la veut. Plus la ville va aller en se développant, plus la rareté de l’espace, on va devoir la gérer », persiste le responsable, qui suggère de réinvestir les centaines de millions qui seraient récupérés dans les transports collectifs, le verdissement et la construction de logements abordables.

Une tarification modulaire dès cette année ?

Au comité exécutif montréalais, la responsable de la mobilité, Sophie Mauzerolle, affirme que la Ville « n’en est pas à court terme à se doter d’une vision unilatérale de la tarification du stationnement ». « Ceci dit, la tarification reste pour nous un levier de la mobilité durable », soutient-elle.

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PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

Sophie Mauzerolle

L’Agence de la mobilité durable (AMD) compte d’ailleurs lancer une application mobile d’ici deux à cinq ans pour rendre plus de données disponibles en temps réel pour les Montréalais, notamment sur le stationnement, afin de « raffiner » les débats sur la question. « Où sont les places, quelle est la réglementation sur chacune d’entre elles ? Est-ce qu’il y a des places dans tel secteur ? C’est ce genre de question à laquelle on pourra répondre. Et on pense que ça aura un impact très fort sur le comportement des gens », disait en août dernier le directeur général de l’AMD, Laurent Chevrot.

Montréal compte aussi mettre en place un projet de tarification modulaire dès cette année, ce qui permettrait de changer le prix du stationnement sur certaines artères en fonction du moment de la journée. « Ça induirait un taux de roulement plus important, et pour les commerçants, plus de clients. Il faut mettre le bon outil au bon endroit », résume Mme Mauzerolle.

La Ville envisage aussi de rendre permanent un autre projet pilote : la lecture automatisée des plaques, qui permet de collecter des données sur la provenance des véhicules et leur circulation sur le territoire.

« On ne peut pas non plus demander aux gens de délaisser leur voiture s’il n’y a pas d’alternatives. Tout passe aussi par des réseaux de transport collectif plus forts, une offre d’autopartage plus intéressante et un réseau cyclable structurant », conclut l’élue, qui souligne que l’arrivée du Réseau express métropolitain (REM) sera aussi l’occasion de « réfléchir la gestion du stationnement en bordure des nouvelles stations ».

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Je suis tellement content d'être allé un voir un moine tibétain afin qu'il m'enseigne comment garder tout son calme face à des gens qui visiblement ne vivent pas sur la même planète dans la même ville que la nôtre.

Dans toute son infinie sagesse il m'a appris :  « Face à une personne dont les propos sont totalement loufoques, ne t'abaisses pas son niveau... tu lévites !  »

 

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C'est effectivement très audacieux comme proposition, mais je crois sincèrement qu'elle sera très difficile à appliquer surtout si elle dépasse un certain seuil de tarif. Comme c'est majeur comme politique, il faudra consulter l'ensemble de la population montréalaise pour en obtenir l'aval. Je garde donc mes doutes quant à sa réalisation, du moins à moyenne échéance. À ce propos je serais très intéressé de savoir ce qui se fait ailleurs dans le monde sur le sujet.

Je m'attend donc à une très forte résistance et à un débat endiablé autant du côté des montréalais que des acteurs économiques et de l'Opposition. Toutefois cette annonce aura l'effet d'un électro-choc pour réveiller tout le monde à propos des revenus de la Ville qui stagnent sérieusement, tandis que les dépenses augmentent considérablement années après années. Entendu que Québec aura probablement le dernier mot, puisque c'est le gouvernement qui tient ultimement les cordons de la bourse.

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