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Donc, trois touristes sur quatre viennent à Montréal pour autres choses que la culture. Quoi donc?

 

Je peux sans difficulté inclure les grands événements sportifs (comme le Grand Prix de Formule 1), et étirez la liste avec (?) des attraits tels que la gastronomie, ainsi que les tournées (ou «tours») qui couvrent des parties entières du pays, mais ce faisant je suis certain de laisser de côté des motifs quantitativement majeurs que je considère comme n'étant pas tellement «touristiques», tels que les voyages d'affaires, les congrès et les visites familiales ou d'amis. Mais c'est la même chose, à des degrés divers cependant, pour les autres villes considérées.

 

Un mot en passant sur les calculs concernant le «tourisme international», qui mettent des pays européens en tête de liste. Dans pratiquement tous les cas, la majorité desdits touristes internationaux sont des ressortissants des autres pays du même continent européen, voire uniquement de ceux de l'Union Européenne ou encore plus spécifiquement ceux de la zone Schengen. Je pense qu'une comparaison plus «juste» avec, disons, l'industrie touristique des USA, pour fins de calcul du tourisme international, devrait exclure ces touristes «intra-européens». Après tout, un Américain de New York qui visite San Francisco fait un voyage pas mal plus considérable qu'un Allemand de Munich qui visite Innsbruck ou Salzbourg en Autriche.

 

Il y a un peu de cela aussi dans le décompte des touristes américains à Toronto par rapport à Montréal: les régions américaines à proximité de la première sont beaucoup plus peuplées que celles proches de Montréal. Cette proximité favorise les déplacements fréquents mais de courte durée, pour des motifs plus anodins.

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^ this is a good post on both counts.

 

the significance of the culture number is that we spend a lot of money on culture in montreal and quebec, and it's interesting to see data that justify the wisdom of such outlays. culture spending helps bring tourists.

 

to reply to malek and others: the reason that international visitors are more interesting than quebec or canadian visitors is that the force multiplier is much greater for international arrivals. they spend significantly more. when we're deciding how to allocate tourist dollars, a quebec tourist is worth less than a canadian and a canadian is worth less than an american. everyone should be counted, but my figure (just over two million) counts international arrivals only because they're the impact tourists.

 

and my broader point was that for all the serious problems we have promoting montreal (language, politics, low profile, low word-of-mouth), we're still attracting a lot of them! it's impressive.

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and my broader point was that for all the serious problems we have promoting montreal (language, politics, low profile, low word-of-mouth), we're still attracting a lot of them! it's impressive.

 

Je ne vois vraiment pas en quoi la politique québécoise et canadienne empêcherait les touristes de venir à Montréal. À l'échelle internationale, le Québec est une société d'une stabilité inouïe, carrément pépère, même si un peu moins que l'ile-du-Prince-Édouard, avec un taux de criminalité très inférieur aux É-U sans parler de l'Amérique latine ou même d'une ville comme Paris, la plus visitée au monde.

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most tourists speak english and most tourists aware of montreal have the impression that it's a french-speaking city. normally, such an incorrect impression would invite correction. but the politics of quebec make it difficult to advertise that montreal is, by and large, very friendly to english-speaking travelers.

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most tourists speak english and most tourists aware of montreal have the impression that it's a french-speaking city. normally, such an incorrect impression would invite correction. but the politics of quebec make it difficult to advertise that montreal is, by and large, very friendly to english-speaking travelers.

 

le touriste qui se promène dans le vieux Montréal qui entend juste de l'anglais et qui est surpris, il est un peu naïf, surtout quand tu te trouves dans l'endroit le plus touristique de la province.

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Mon «touriste idéal» est souvent polyglotte, il peut venir des Etats-Unis, de France, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de Russie, d'Espagne, du Japon, de Chine, etc. etc. Quelque soit sa langue maternelle, il parle généralement un peu l'anglais, parfois le français aussi (une langue toujours et encore prestigieuse parmi la classe «aisée»). Il a visité New York, Paris, Londres, peut-être Moscou, Istanbul, Berlin, Tokyo, etc. Il sait que Montréal est une ville majoritairement francophone mais où la langue anglaise est également bien répandue. Il se sent donc parfaitement à l'aise à Montréal, particulièrement dans les secteurs plus «touristiques». S'il est du genre «aventurier», il recherchera même les quartiers plus typiques du Montréal francophone d'aujourd'hui. Et finalement, il ne fréquentera pas en priorité les établissements de fast-food américains (qu'on retrouve partout dans le monde) et les boutiques de «souvenirs» pas chers.

 

Et rassurez-vous: il n'est pas seul: il y a des centaines de millions comme lui dans le monde: ça s'appelle un vaste marché prometteur.;)

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