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REM (ligne A) - Discussion générale


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https://www.newswire.ca/fr/news-releases/devimco-immobilier-attend-toujours-la-reponse-de-la-ville-de-montreal-a-son-offre-de-contribuer-a-l-amenagement-d-une-nouvelle-station-du-rem-au-bassin-peel-883852641.html

Devimco Immobilier attend toujours la réponse de la ville de Montréal à son offre de contribuer à l'aménagement d'une nouvelle station du REM au bassin Peel 

NOUVELLES FOURNIES PAR

Devimco Immobilier 

Déc 07, 2020, 10:30 ET

Serge Goulet proposera un projet de partenariat à la mairesse pour relancer le centre-ville

Cliquez ici pour télécharger les visuels.

MONTRÉAL, le 7 déc. 2020 /CNW Telbec/ - Alors que la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a dévoilé la semaine dernière la seconde phase du plan de relance visant notamment à développer le secteur du Bassin Peel, Devimco Immobilier réitère son offre de contribuer à l'aménagement d'une station du Réseau express métropolitain (REM) dans le secteur. Formulée il y a déjà deux ans, cette proposition avait pour but d'accélérer le développement de ce secteur stratégique encore peu développé, situé à l'entrée du centre-ville.

Confrontée maintenant à la pandémie et à l'urgence d'agir, Devimco Immobilier proposera à la mairesse de Montréal un projet de partenariat (sous la forme d'un « New Deal ») pour contribuer à la relance du centre-ville, durement touché par l'impact de la pandémie.

C'est ce qu'a annoncé, aujourd'hui en conférence de presse, Serge Goulet, le président de Devimco Immobilier, qui projette de réaliser, au bassin Peel, un vaste projet immobilier multifonctionnel, incluant la création d'un pôle d'emplois innovants, comprenant notamment des projets culturels, récréotouristiques et patrimoniaux répondant en tout point au plan de relance rendu public la semaine dernière par la mairesse de la Ville de Montréal.

Mercredi, M. Goulet participera à un panel du forum stratégique sur le centre-ville de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Il en profitera pour présenter de nouveaux exemples de contribution du secteur privé dans la création ou l'amélioration d'infrastructures publiques. Avec cette proposition (« New Deal »), il veut contribuer à relancer l'économie du centre-ville, lourdement affectée par les effets de la pandémie, aux côtés de la Ville de Montréal, du gouvernement du Québec et du gouvernement fédéral.

Concernant l'ajout d'une nouvelle station du REM, M. Goulet s'interroge sur le silence inquiétant de la Ville de Montréal. « La ville analyse cette demande depuis plus de deux ans, alors que le problème de mobilité du secteur est déjà réel et reconnu par tous. Selon nos informations, la ville envisagerait de payer elle-même la construction de cette nouvelle station, augmentant ainsi le fardeau des contribuables. Chaque mois qui passe augmentera les coûts de construction de cette station. La ville doit prendre sa décision avant la mise en opération du REM. Le dossier traîne en longueur. C'est le temps d'agir », a-t-il affirmé.

Le président de Devimco Immobilier évalue que cette nouvelle station contribuera à améliorer la mobilité dans le secteur, réduire les nuisances liées au trafic automobile, notamment le bruit et la qualité de l'air, et ce, au bénéfice des résidents actuels et futurs. Par ailleurs, les retombées économiques de cette station dans le quartier représentent plusieurs milliards de dollars. En effet, cette station accélérerait le développement du bassin Peel et de tout le secteur Bridge-Bonaventure, lequel est le plus grand territoire à rezoner de Montréal.

« Cette gare serait la plus payante de tout le réseau du REM. Elle serait un véhicule de développement extraordinaire du secteur Bridge-Bonaventure, d'une superficie de 2,3 km2. Et les redevances de transport (estimées à 200 millions $) perçues des développeurs par la Caisse de dépôt et placement du Québec seraient les plus importantes de ce réseau de train », a-t-il précisé.

M. Goulet a rappelé que la Ville de Montréal avait aménagé une première station dans Griffintown (la station Bernard-Landry) dans un milieu déjà développé et qui ne rapportera aucune redevance.

Pour M. Goulet, l'occasion est belle de créer un véritable quartier TOD (Transit oriented development) s'inscrivant directement dans les orientations du plan métropolitain d'aménagement et de développement (PMAD) de la Communauté métropolitaine de Montréal.

Projet mixte et zone d'innovation

En 2016, la Ville de Montréal avait déposé sa Stratégie centre-ville qui visait à « orienter la croissance urbaine vers le cœur de la région métropolitaine en densifiant, en priorité, le territoire du centre-ville » qui englobe la partie nord du secteur Bridge-Bonaventure, soit le bassin Peel.

« La mairesse a dit souhaiter voir se réaliser au bassin Peel un projet mixte et un pôle d'emplois. C'est exactement notre intention et nous espérons pouvoir collaborer avec son administration pour réaliser notre projet », de dire M. Goulet en ajoutant que la mise en valeur de cette entrée unique à Montréal contribuerait à relancer le centre-ville.

Devimco veut réaliser un projet à forte mixité (résidentiel, culturel, récréotouristique, patrimonial, institutionnel et commercial) qui permettrait de transformer complètement cet ancien quartier industriel en quartier multifonctionnel, en tout respect avec la Stratégie centre-ville de la Ville de Montréal et les recommandations de l'Office de consultation publique de Montréal sur le secteur Bridge-Bonaventure.

D'une superficie d'environ cinq millions de pieds carrés et d'une valeur de 2,5 milliards de dollars, le projet de Devimco se démarquerait notamment par l'implantation d'un pôle d'emploi - une zone d'innovation visant le développement et la commercialisation d'entreprises de technologies propres. Pour la création de cette zone d'innovation, Devimco Immobilier est l'un des partenaires de iCycle, un OBNL fondé par Cycle Capital Management, la plus importante société d'investissement privé en capital de risque en technologies propres au Canada.

À ce sujet, M. Goulet s'est dit enthousiaste de la décision de la mairesse de Montréal de situer une zone d'innovation au bassin Peel.

À propos de Devimco Immobilier

Devimco Immobilier est un chef de file du développement immobilier au Québec qui se démarque dans la mise en œuvre de projets immobiliers d'envergure, dont des complexes de type « lifestyle » et TOD (Transit-Oriented Development) alliant des composantes commerciales, affaires, loisirs et résidentielles. Associant innovation et créativité, Devimco Immobilier participe au rayonnement des milieux créés et des communautés dans lesquelles ils s'inscrivent, au bénéfice de ses occupants et de ses visiteurs. Récemment, Devimco est devenu le premier membre de l'Institut sur les villes de nouvelle génération de l'Université Concordia.

Depuis 2005, Devimco Immobilier réalise le projet le District GriffinMD, un véritable milieu de vie où tout le tissu social d'une vraie communauté sera représenté. Elle développe aussi SOLAR UniquartierMC, le plus important projet TOD au Québec. Devimco Immobilier procède également à la construction du Square Children'sMC, nouveau projet phare qui permettra de revitaliser le site de l'ancien Hôpital de Montréal pour enfants et de redonner un nouveau souffle au quartier. Le promoteur a entamé cette année la construction du MAA Condominiums et PenthousesMC, situé au centre-ville de Montréal sur la rue Peel, un projet aussi riche que l'histoire du club sportif qu'il permettra de revitaliser. Le coup de lancement de Maestria CondominiumsMC, le plus grand projet résidentiel à usage mixte jamais construit à Montréal et situé au cœur du Quartier des Spectacles, a également été donné à la fin de 2019. Il fut suivi, en 2020, par le lancement d'Auguste & Louis condominiumsMC, un projet unique qui constitue la toute première phase du Quartier des lumières situé sur le site de l'ancienne maison de Radio-Canada.

SOURCE Devimco Immobilier

Renseignements: Caroline Des Rosiers, 514-880-2881, cdesrosiers@national.ca

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https://devimco.com/

 

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LOGIQUE CONTAMINÉE !

Inqualifiable, choquant, désespérant…

Le député péquiste Sylvain Gaudreault n’a pas mâché ses mots lorsqu’il a réagi à la décision de faire enfouir en Ontario 600 tonnes de matières dangereuses du chantier du REM, plutôt que de les faire décontaminer de façon écologique au Québec.

Il a eu entièrement raison de s’indigner.

Du simple point de vue de notre impact environnemental, il est gênant de voir que le consortium NouvLR – mandaté par la Caisse de dépôt et placement du Québec – a décidé d’opter pour l’enfouissement de ces pierres hautement contaminées.

À l’heure où Québec multiplie les appels à encourager l’économie d’ici, bouder une firme québécoise pionnière dans son domaine est embarrassant.

On a bien senti que même le ministre de l’Économie Pierre Fitzgibbon était mal à l’aise avec la décision de choisir « la façon la moins chère » de gérer les déchets contaminés.

« Il faudrait encourager les entreprises québécoises à utiliser les processus québécois », a-t-il reconnu, alors qu’on le questionnait à ce sujet à Québec.

Ce qui est clair, c’est que cette nouvelle affaire révélée par notre collègue Vincent Larouche jette encore une fois une lumière crue sur les failles du système actuel en ce qui concerne la gestion de sols contaminés au Québec.

Le fléau des déversements sauvages de sols contaminés a fait scandale au cours des dernières années.

Mais le fait est que les choix faits en toute légalité par ceux qui gèrent des terrains contaminés génèrent aussi leur lot d’aberrations.

Le réflexe, selon une logique de développement durable, devrait être de se dire : si on peut traiter et revaloriser, pourquoi enfouir ?

Or, actuellement, la logique qui prévaut encore trop souvent c’est : si on peut payer moins cher la tonne pour enfouir, pourquoi diable se donnerait-on la peine de songer à la décontamination ?

Oh, la situation s’améliore, bien sûr ! Ce n’est, après tout, qu’à la fin des années 80 que le Québec s’est doté pour la première fois d’une politique portant sur la réhabilitation des terrains contaminés.

Et au cours des 20 dernières années, la quantité des sols traités au Québec a bondi.

Mais ça demeure encore insuffisant.

En moyenne, on a évalué à 520 000 tonnes métriques chaque année (entre 2016 et 2018, inclusivement) la quantité de sols contaminés qui aboutit dans l’un ou l’autre des quatre « lieux commerciaux d’enfouissement sécuritaire » au Québec. Sans compter ceux qui se retrouvent, comme dans le cas du REM, en Ontario. Ni, évidemment, les déversements illégaux.

La bonne nouvelle, c’est que le gouvernement se dit préoccupé et que ses bottines commencent à suivre ses babines.

À preuve, dans la foulée du plus récent scandale, Sylvain Gaudreault a déposé mercredi un amendement au projet de loi 66 – celui qui vise à accélérer quelque 180 projets d’infrastructures et que le gouvernement caquiste souhaite voir adopter d’ici Noël – afin de minimiser les risques de dérapages en matière de gestion des sols contaminés.

Et la ministre Sonia LeBel a donné son aval à cet amendement après de légères modifications.

On précise désormais que « le traitement et la valorisation des sols contaminés doivent être favorisés » dans le cas des projets qui vont être accélérés. Le principe est bon, voyons voir, maintenant, comment il sera mis en application.

Le problème, c’est qu’on précise aussi que des mesures de traçabilité de ses sols devront être adoptées… mais seulement quand le système que Québec veut mettre en place va être opérationnel.

La balle est maintenant dans le camp du ministère de l’Environnement. C’est que le règlement sur la traçabilité des sols contaminés demeure encore à l’état de projet. Il devait pourtant être en vigueur l’automne dernier !

Bref, il reste encore du chemin à faire. Mais le fait est que la mise au jour du scandale du chantier du REM nous aura permis de faire, cette semaine, un pas de plus dans la bonne direction.

Source: https://plus.lapresse.ca/screens/44f4fde1-41bc-4523-8230-fca01d1595f8__7C___0.html?utm_content=facebook&utm_source=lpp&utm_medium=referral&utm_campaign=internal share&fbclid=IwAR1uMjBvhcjjczyU-BhqsSEcbWFehkx8Gyah1sqM0SP2D9X8Uo1z99pJX_w

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Selon le modèle du Bassin Peel la station serait directement après le pont Wellington? Je m'attendais à ce que ce soit plus au sud. Ce serait quoi la distance avec la station Griffintown?

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il y a une heure, Decel a dit :

Selon le modèle du Bassin Peel la station serait directement après le pont Wellington? Je m'attendais à ce que ce soit plus au sud. Ce serait quoi la distance avec la station Griffintown?

Ça semble être encore une fois être un move politique de Goulet. J'imagine un petit mandat de 20 000$ à une petite firme d'architecte pour pondre quelques rendus d'un projet prémâché... comme la dernière fois. Je ne vois pas à qui il s'adresse cette fois par contre? Le projet de stade est moins de l'avant ces derniers temps. Peut-être pour négocier le zonage avec la Ville? Je l'ignore.

Pour le visuel de la station du REM en vert fluo c'est clairement du wishful thinking. À cet endroit, la voie du REM est en angle, en porte-à-faux sur les autres rails et en début de courbe, ça me semble très peu probable de voir une station là.

Le 2020-11-05 à 08:40, budgebandit a dit :

From the Devisubox camera yesterday (Nov 4 2020): 

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Le patron du REM à la Caisse de dépôt débarque du train

Macky Tall va rejoindre Alain Bellemare chez le géant américain Carlyle

 

SYLVAIN LAROCQUE

 Lundi, 7 décembre 2020 16:23MISE À JOUR Lundi, 7 décembre 2020 23:45

Alors que le Réseau express métropolitain (REM) est confronté à de nouveaux retards et dépassements de coûts, son grand patron, Macky Tall, quitte la Caisse de dépôt et placement du Québec pour s’en aller à Washington.

M. Tall deviendra coprésident du secteur des infrastructures au Carlyle Group, un géant de la gestion d’actifs dont le siège est situé dans la capitale américaine.

Il restera à la Caisse jusqu’à la fin de 2020 et entrera en service chez Carlyle à la fin mars 2021, après une « période de refroidissement » de trois mois. La Caisse ne lui versera pas d’indemnité de départ, a assuré lundi un porte-parole de l’institution, Maxime Chagnon.

« On m’a offert un défi vraiment unique et c’est une opportunité à laquelle je ne pouvais pas dire non », a insisté le principal intéressé au cours d’un entretien téléphonique avec Le Journal.

En 2019, Macky Tall a eu droit à une rémunération totale d’un peu plus de 3 millions $ à la Caisse de dépôt.

« Macky est l’un des dirigeants les plus expérimentés et respectés dans l’industrie mondiale des infrastructures », a déclaré le PDG de Carlyle, Kewsong Lee, dans un communiqué.

M. Tall a assuré que son départ n’avait rien à voir avec les difficultés du REM. CDPQ Infra, dont il est PDG depuis 2015, a récemment annoncé un retard de 18 mois dans la mise en service du segment du REM sous le mont Royal et des coûts additionnels qui pourraient atteindre des centaines de millions de dollars.

« Je ne pense pas qu’il y a d’autres projets dans le monde, de cette complexité-là, qui ont pu avancer aussi rapidement, donc je suis très fier d’où en est le projet et surtout très confiant dans la suite des choses », a affirmé Macky Tall.

Snobé pour le poste de numéro un

Le dirigeant a par ailleurs soutenu qu’il ne quittait pas par dépit après avoir vu le poste de PDG de la Caisse lui glisser entre les doigts, au début de l’année. 

Le comité de sélection de l’institution l’avait recommandé pour succéder à Michael Sabia, selon La Presse, mais le premier ministre François Legault lui avait préféré un autre vice-président, Charles Émond.

« À la suite de ce choix, Charles m’a donné de beaux défis, a martelé M. Tall. On a une bonne relation. »

Il reste qu’après la débâcle boursière du mois de mars, dans laquelle la Caisse s’est mal tirée d’affaire, M. Émond a retiré la responsabilité des « marchés liquides » à Macky Tall pour muter celui-ci aux placements privés.

Chez Carlyle, M. Tall pourrait croiser Alain Bellemare, ancien PDG de Bombardier. En août, Carlyle a nommé M. Bellemare « dirigeant d’exploitation » pour les secteurs de l’aéronautique, de la défense et des services aux gouvernements.

M. Tall a tenu à dire qu’il avait connu seize « belles années » à la Caisse de dépôt et qu’il reviendra « régulièrement » au Québec. 

« Je vais faire un travail aux États-Unis, mais le Québec restera la maison. »

https://www.journaldemontreal.com/2020/12/07/depart-du-grand-patron-du-rem

 

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