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REM (ligne A) - Discussion générale


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2e vidéo : Deuxième épisode de notre série documentaire dans les coulisses du REM. Les 26 stations seront toutes accessibles universellement et équipées d’ascenseurs, il était donc important de concevoir les voitures accessibles pour tous et adaptées aux limitations fonctionnelles (motrices ou visuelles).

 

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Signes que nous sommes rendus à une autre phase dans la réalisation du REM, il y a eu au cours de la dernière semaine un article du Journal Métro et un photo-reportage dans l'appli de La Presse + * sur la fabrication des poutres du REM à Pointe-Sainte-Charles.

https://journalmetro.com/local/sud-ouest/2328308/des-poutres-du-rem-fabriquees-a-pointe-saint-charles/

21:26 28 mai 2019   By:  abourque

Des poutres du REM fabriquées à Pointe-Saint-Charles

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Ces poutres seront transportées par camion sur les différents chantiers du REM.  Photo: Photos: La Voix Pop – Denis Germain

Dans les anciens ateliers ferroviaires de Pointe-Saint-Charles, la vie a repris depuis janvier. Quelque 25 travailleurs fabriquent les poutres en béton destinées à la structure aérienne du Réseau express métropolitain (REM), qui reliera le canal Lachine et le terminal de la Rive-Sud.

L’ampleur des défis du consortium NouvLR, responsable de l’ingénierie et de la construction du train léger sur rail de 67 km du REM est colossal. L’équipe vient tout juste de terminer la fabrication de la 25e des 270 poutres de type NEBT (New England Bulb Tee).

«Notre objectif est de réaliser une poutre par jour», explique Sylvain Tremblay, gestionnaire de projet pour

Toutes les étapes de fabrication sont régies par des normes strictes et rigoureuses. «Nos employés sont des menuisiers, monteurs, manœuvres, ferrailleurs, cimentiers qui ont déjà une expertise sur d’autres projets, dont le récent pont Champlain», ajoute M. Tremblay.

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Sylvain Tremblay, gestionnaire du projet chez NouvLR

Fierté

Dans l’immense hangar de 3 250 m2, on distingue la haute grue qui transporte les blocs de béton. «Notre fierté, dit le gestionnaire d’expérience, c’est de construire les plus hautes poutres NEBT jamais construites au Québec, à l’exception du pont de l’autoroute 30.»

Juste à côté, on aperçoit d’immenses toiles. Le béton est ainsi chauffé durant 12 à 15 heures, déposé sur des grillages qui diffusent la chaleur. Chaque pièce est entreposée durant trois jours avant d’être expédiée par camion sur les différents chantiers du REM.

Juste en face de l’atelier de Pointe-Saint-Charles, les piliers sont alignés aux abords du chemin de fer du CN. «On va pouvoir transporter les poutres directement, limitant ainsi nos déplacements», explique Jean-Vincent Lacroix, le relationniste du REM.

Déjà, le gestionnaire du projet Sylvain Tremblay rêve à la phase 2 du REM. Il pourra compter sur l’expérience et l’expertise de ses travailleurs qui résident tous dans le Grand Montréal.

 270

Nombre de poutres en T qui seront installées sur le trajet du REM entre le canal Lachine et la Rive-Sud de Montréal.

100 ans

La durée de vie des poutres qui mesurent de 32 à 37 mètres de hauteur et pèsent environ 60 tonnes.

NouvLR

NouvLR est responsable de l’ingénierie et de la construction du système de train léger sur rail du Réseau express métropolitain (REM), le plus grand projet de transport collectif des 50 dernières années. Le consortium est composé de SNC-Lavalin, Dragados Canada, Groupe Aecon Québec, Pomerleau et EBC.

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De cet angle, on voit l’impressionnante poutre transportée par grue.

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Des travailleurs installent des câbles de précontrainte qui solidifieront le béton.

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Cet ouvrier s’apprête à couper un câble. Photos: Denis Germain

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https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201905/28/01-5227925-lusine-a-poutres-du-futur-rem-sactive.php

Publié le 29 mai 2019 à 11h00 | Mis à jour le 29 mai 2019 à 11h00

L'usine à poutres du futur REM s'active

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Faisant chacune entre 31 et 37 mètres de long et pesant de 50 à 60 tonnes, ces poutres préfabriquées sont assez standard dans l'industrie, à la différence près que celles-ci font 2 mètres de hauteur.  PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE

TEXTES: TRISTAN PÉLOQUIN, PHOTOS: MARTIN TREMBLAY
La Presse

*  Il y a plus de photos dans l'édition du 29 mai 2019 de l'appli La Presse +

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Exode vers les banlieues... ou accroissements du nombres de TODs (comme, entre autres, ce à quoi on se dirige aux stations Du quartier, Panama, Île-des-Soeurs, Pointe-Claire, Kirkland) ?  Si l'arrivée du REM (et autres projets de ce genre) peut favoriser la mobilité des gens, tant mieux !

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201906/04/01-5228824-le-rem-risque-daccentuer-lexode-vers-la-banlieue-selon-une-etude.php

Publié le 05 juin 2019 à 05h30 | Mis à jour à 06h14

Le REM risque d'accentuer l'exode vers la banlieue, selon une étude

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Avec sa plus récente étude, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) donne une explication économique du phénomène de l'exode des ménages âgés de 25 à 44 ans de Montréal vers la banlieue. PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

ANDRÉ DUBUC  La Presse

Le Réseau express métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt ne sera pas entièrement positif pour Montréal, puisque son efficacité pousserait de jeunes familles à quitter la métropole pour la banlieue.

Ce scénario est évoqué par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), organisme fédéral qui analyse le marché immobilier depuis des décennies, dans une étude publiée ce matin. L'étude porte sur les économies qu'il y a à vivre en banlieue. C'est dans sa conclusion que la SCHL aborde l'impact de nouveaux modes de transport collectif, sans nommer le REM.

« Au cours des prochaines années, si le prix des maisons unifamiliales sur l'île de Montréal continue d'augmenter à un rythme plus rapide qu'en banlieue [ce qui est le cas depuis cinq ans], tout laisse croire que ce mouvement migratoire sera appelé à se poursuivre », écrit l'auteur Francis Cortellino, chef analyste de la SCHL à Montréal.

« De nouveaux modes de transport collectif qui diminuerait le coût et/ou le temps de déplacement vers le lieu de travail, permettront sans doute aussi aux ménages qui migrent en banlieue de réaliser des économies encore plus grandes lors de l'achat d'une habitation (en incluant les frais de déplacement) », poursuit la SCHL dans le document intitulé S'éloigner pour acheter : le déplacement en vaut-il le coût ?.

Un meilleur système de transport collectif, comme le REM, réduira le temps consacré au transport entre la maison et le travail. Le futur train électrique desservira notamment l'ouest de Laval, Deux-Montagnes, l'ouest de l'île de Montréal et Brossard.

Par exemple, le temps de parcours entre la gare de Deux-Montagnes et la gare Centrale sera réduit de 10 minutes, soit une économie de temps de 6 à 7 heures par mois pour de jeunes parents à l'horaire chargé.

« D'un point de vue purement mathématique, si le coût ou si le temps de déplacement diminuent, d'après les calculs que j'ai faits, ça va favoriser la banlieue », avance M. Cortellino, dans un entretien.

Il ajoute que ce sera à l'usage que l'on connaîtra l'impact du REM sur la dynamique immobilière. Il souligne que le choix du quartier de résidence dépend de multiples facteurs et pas seulement de la qualité de la desserte en transports en commun.

Moins cher en banlieue

Avec sa plus récente étude, la SCHL donne une explication économique du phénomène de l'exode des ménages âgés de 25 à 44 ans vers la banlieue.

Les ménages font un gain net de près de 400 $ par mois, près de 5000 $ par an, en déménageant en banlieue dans des maisons moins chères, même en tenant compte du surcoût relatif au transport et au temps additionnel consacré au déplacement.

L'étude porte sur le déplacement du soutien principal de la famille. Si deux personnes ou plus par ménage font la navette quotidienne entre la ville et la banlieue, les économies fondraient rapidement.

Dans son calcul, la SCHL a tenu compte du financement hypothécaire de la maison, des frais de transport additionnels, mais elle a exclu les taxes foncières. Une décision méthodologique qui a pour effet de minimiser le gain net de la plupart des secteurs étudiés, puisqu'à taux de taxation égal, les taxes sont plus élevées à Montréal, les maisons étant plus chères.

La famille qui traverse la rivière des Prairies pour vivre à Laval économise en moyenne 382 $ par mois en contrepartie d'un temps de déplacement additionnel de 10 heures par semaine. Qui plus est, les nouveaux banlieusards aboutissent habituellement dans une maison de construction plus récente et plus spacieuse que s'ils étaient restés sur l'île.

Selon ce calcul, chaque heure de transport additionnel causé par l'éloignement vaut 38 $ l'heure en moyenne pour cette famille lavalloise (382 $ divisés par 10 heures). À titre comparatif, le salaire horaire moyen d'un employé dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal varie entre 23 et 28 $.

« Il faudrait que ces ménages qui ont quitté Montréal pour la banlieue accordent beaucoup de valeur à leur temps pour que l'option d'acheter une maison en banlieue ne représente plus une source d'économie. »

- Francis Cortellino, auteur de l'étude

Pour la Rive-Sud, les gains étaient plus importants pour ceux qui partent pour la périphérie comme Châteauguay, 656 $ d'économie par mois, et pour Delson, Saint-Constant et les autres villes de la MRC du Roussillon, à 400 $ par mois.

Pour les ménages qui s'établissent dans la couronne nord, le gain net est de 383 $ par mois, mais ils doivent consacrer 10 heures de plus par semaine au transport. Avec un écart positif de 631 $ par mois, les économies les plus importantes sont observées dans le secteur de Deux-Montagnes, là où justement le REM établira son terminus Nord.

A contrario, quitter Laval pour déménager dans la couronne nord ou quitter l'agglomération de Longueuil pour plus loin sur la Rive-Sud ou à Saint-Jean-sur-Richelieu ne génère pas d'économies pour la peine.

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Ça ne fait aucun sens de faire une étude sur le coût des déplacements en ne considérant que le coût d'une seule personne dans le ménage. Tout le monde se déplace, y compris les enfants, et pour plus de raison que le travail.

L'attrait de vivre en vivre, c'est de pouvoir carrément se débarrasser d'une  voiture ou deux pour la famille, comparer à la banlieue plus éloignée (3 voitures à Terrebonne, c'est commun, par exemple). Si on compare juste une personne seule qui conduit un peu moins VS une personne qui conduit un peu plus, ça ne donne pas un portrait pertinent. 

Faut aussi voir le temps de déplacement pour tout le monde. Surtout si un ado fait beaucoup de trajet pour les études, c'est un gros point handicapant. 

Néanmoins, le REM est surtout dans des zones construites, et il a une demande des familles pour les banlieues, alors mieux vaut que ces ménages soient dans un TOD qu'ailleurs. C'est pas une mauvaise chose, sauf si la CAQ réalise son merveilleux plan d'envoyer le REM à travers les champs de patates de la région métropolitaine plutôt que de consolider les zones bâties.

Aussi, je me demande à quel point des gens sont hésitants entre vivre en ville et en banlieue, quand ils ont les moyens des deux, lorsqu'on voit à quel point le style de vie opposant parfois les deux est polarisant. J'ai l'impression que beaucoup de gens ont une préférence claire quand ils débattent de la chose.

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il me semble effectivement que l'étude a été fait pour rendre la banlieue gagnante. Quoi que dans la réalité, les gens vont prendre beaucoup plus de racourci que cette étude. 

Surtout que la comparaison sera souvent Maison vs Condos en ville. C'est sur que ce n'est pas la même chose, mais c'est plus réaliste. 

 

Mais il est vrai que d'offrir du transport en banlieue va augmenté son attrait. Cependant je ne pense pas que ça soit la fin du monde. On est du pour plus de transport sur l'ile c'est certain mais tant qu'à faire du transport en banlieue, aussi bien que ça soit en transport en commun rapide et fréquent comme le REM. 

 

 

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Il y a 4 heures, Chuck-A a dit :

Exode vers les banlieues... ou accroissements du nombres de TODs (comme, entre autres, ce à quoi on se dirige aux stations Du quartier, Panama, Île-des-Soeurs, Pointe-Claire, Kirkland) ?  Si l'arrivée du REM (et autres projets de ce genre) peut favoriser la mobilité des gens, tant mieux !

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201906/04/01-5228824-le-rem-risque-daccentuer-lexode-vers-la-banlieue-selon-une-etude.php

Publié le 05 juin 2019 à 05h30 | Mis à jour à 06h14

Le REM risque d'accentuer l'exode vers la banlieue, selon une étude

1645560-avec-sa-plus-recente-etude.jpg

Avec sa plus récente étude, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) donne une explication économique du phénomène de l'exode des ménages âgés de 25 à 44 ans de Montréal vers la banlieue. PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

ANDRÉ DUBUC  La Presse

Le Réseau express métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt ne sera pas entièrement positif pour Montréal, puisque son efficacité pousserait de jeunes familles à quitter la métropole pour la banlieue.

Ce scénario est évoqué par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), organisme fédéral qui analyse le marché immobilier depuis des décennies, dans une étude publiée ce matin. L'étude porte sur les économies qu'il y a à vivre en banlieue. C'est dans sa conclusion que la SCHL aborde l'impact de nouveaux modes de transport collectif, sans nommer le REM.

« Au cours des prochaines années, si le prix des maisons unifamiliales sur l'île de Montréal continue d'augmenter à un rythme plus rapide qu'en banlieue [ce qui est le cas depuis cinq ans], tout laisse croire que ce mouvement migratoire sera appelé à se poursuivre », écrit l'auteur Francis Cortellino, chef analyste de la SCHL à Montréal.

« De nouveaux modes de transport collectif qui diminuerait le coût et/ou le temps de déplacement vers le lieu de travail, permettront sans doute aussi aux ménages qui migrent en banlieue de réaliser des économies encore plus grandes lors de l'achat d'une habitation (en incluant les frais de déplacement) », poursuit la SCHL dans le document intitulé S'éloigner pour acheter : le déplacement en vaut-il le coût ?.

Un meilleur système de transport collectif, comme le REM, réduira le temps consacré au transport entre la maison et le travail. Le futur train électrique desservira notamment l'ouest de Laval, Deux-Montagnes, l'ouest de l'île de Montréal et Brossard.

Par exemple, le temps de parcours entre la gare de Deux-Montagnes et la gare Centrale sera réduit de 10 minutes, soit une économie de temps de 6 à 7 heures par mois pour de jeunes parents à l'horaire chargé.

« D'un point de vue purement mathématique, si le coût ou si le temps de déplacement diminuent, d'après les calculs que j'ai faits, ça va favoriser la banlieue », avance M. Cortellino, dans un entretien.

Il ajoute que ce sera à l'usage que l'on connaîtra l'impact du REM sur la dynamique immobilière. Il souligne que le choix du quartier de résidence dépend de multiples facteurs et pas seulement de la qualité de la desserte en transports en commun.

Moins cher en banlieue

Avec sa plus récente étude, la SCHL donne une explication économique du phénomène de l'exode des ménages âgés de 25 à 44 ans vers la banlieue.

Les ménages font un gain net de près de 400 $ par mois, près de 5000 $ par an, en déménageant en banlieue dans des maisons moins chères, même en tenant compte du surcoût relatif au transport et au temps additionnel consacré au déplacement.

L'étude porte sur le déplacement du soutien principal de la famille. Si deux personnes ou plus par ménage font la navette quotidienne entre la ville et la banlieue, les économies fondraient rapidement.

Dans son calcul, la SCHL a tenu compte du financement hypothécaire de la maison, des frais de transport additionnels, mais elle a exclu les taxes foncières. Une décision méthodologique qui a pour effet de minimiser le gain net de la plupart des secteurs étudiés, puisqu'à taux de taxation égal, les taxes sont plus élevées à Montréal, les maisons étant plus chères.

La famille qui traverse la rivière des Prairies pour vivre à Laval économise en moyenne 382 $ par mois en contrepartie d'un temps de déplacement additionnel de 10 heures par semaine. Qui plus est, les nouveaux banlieusards aboutissent habituellement dans une maison de construction plus récente et plus spacieuse que s'ils étaient restés sur l'île.

Selon ce calcul, chaque heure de transport additionnel causé par l'éloignement vaut 38 $ l'heure en moyenne pour cette famille lavalloise (382 $ divisés par 10 heures). À titre comparatif, le salaire horaire moyen d'un employé dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal varie entre 23 et 28 $.

« Il faudrait que ces ménages qui ont quitté Montréal pour la banlieue accordent beaucoup de valeur à leur temps pour que l'option d'acheter une maison en banlieue ne représente plus une source d'économie. »

- Francis Cortellino, auteur de l'étude

Pour la Rive-Sud, les gains étaient plus importants pour ceux qui partent pour la périphérie comme Châteauguay, 656 $ d'économie par mois, et pour Delson, Saint-Constant et les autres villes de la MRC du Roussillon, à 400 $ par mois.

Pour les ménages qui s'établissent dans la couronne nord, le gain net est de 383 $ par mois, mais ils doivent consacrer 10 heures de plus par semaine au transport. Avec un écart positif de 631 $ par mois, les économies les plus importantes sont observées dans le secteur de Deux-Montagnes, là où justement le REM établira son terminus Nord.

A contrario, quitter Laval pour déménager dans la couronne nord ou quitter l'agglomération de Longueuil pour plus loin sur la Rive-Sud ou à Saint-Jean-sur-Richelieu ne génère pas d'économies pour la peine.

Ce n'est pas nécessairement une mauvaise chose.  Ça diminuerait la pression sur les logements à Montréal et ça pourrait limiter les hausses de loyers.  Et comme tu l'as mentionné, les alentours des stations en banlieue peuvent devenir des mini-TOD.  Il est préférable de voir quelqu'un vivre à Laval ou à St-Eustache et se rendre au centre-ville en REM que de voir quelqu'un vivre à Ahuntsic et se rendre à la même destination en voiture.

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