Aller au contenu

Le Square Children's (Projet Global) - 38, 27, 27, 27, 25, 20 étages


IluvMTL

Messages recommendés

  • Réponses 1,2k
  • Créé il y a
  • Dernière réponse

Membres prolifiques

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1086637/ville-montreal-csdm-ecole-site-hopital-enfants-devimco

La Ville et la CSDM veulent une école sur le site de l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants

Publié aujourd'hui à 17 h 57Mis à jour il y a 34 minutes

 

La construction d'une école primaire est nécessaire dans le centre-ville de Montréal, estime l'administration municipale. La Ville entend continuer d'en discuter avec Devimco, le promoteur du site de l'ancien Hôpital de Montréal pour enfants, qui considère qu'il est trop tard.

« Le centre-ville est de plus en plus habité et c’est notre signature à Montréal. On veut un centre-ville habité. Il nous faut des services. Il nous faut des écoles », dit Robert Beaudry, responsable du développement économique et commercial au comité exécutif et conseiller du district Saint-Jacques, dans le centre-ville.

Il y a un an, la construction d’une école avait fait l’objet de discussions à l’Office de consultation publique de Montréal lors des audiences sur le projet Square Children’s de Devimco, qui comprend plusieurs tours d’habitation, des commerces et des services.

Le président de Devimco, Serge Goulet, avait alors parlé des plans du projet d’école. « Je crois qu’ils vont rencontrer les demandes, les normes et les exigences de la Commission scolaire de Montréal. Il faut juste qu’on me donne le signal pour me manifester », avait-il dit.

M. Goulet dit maintenant qu’il a vendu 80 % de ses condos et qu’il n’y a plus de place pour une école sur le site, peut-on lire dans Le Devoir.

La présidente de la Commission scolaire de Montréal, Catherine Harel Bourdon, est outrée. Elle affirme que Devimco avait dit que si la réponse lui parvenait avant le 21 décembre dernier, le projet aurait été possible.

« Le promoteur ne va pas me faire croire qu’entre décembre et février, il a changé ses plans et devis et il a vendu 80 % de ses condos », lance Catherine Harel Bourdon.

Elle affirme qu’il manque déjà 37 classes au centre-ville et que les besoins augmenteront avec l’immigration et le développement immobilier.

Un projet inhabituel

Robert Beaudry, lui, croit toujours au projet d’école, même s’il présente « un scénario inhabituel ». Il s’agit en effet d’un bail « clés en main », ce qui n’a jamais été fait pour le primaire et qui doit être validé par le ministère de l’Éducation.

« On est encore dans les temps pour avoir une école [et] on discute avec nos partenaires pour que ce projet se fasse », dit-il.

Il indique que d’autres terrains du centre-ville pourraient service à construire une école, rue de la Montagne et au Grand Séminaire.

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, croit lui aussi qu’une école primaire est nécessaire au centre-ville de Montréal. « Je suis déjà en discussion avec plusieurs collègues du conseil des ministres, mais aussi avec la Ville de Montréal et les commissions scolaires », indique-t-il dans un courriel.

Avec des informations de Benoît Chapdelaine

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 4 heures, Fifty a dit :

La commission scolaire blâme tout le monde alors que c'est elle le problème.  Aucune initiative et aucun sens des responsabilités.  Ils improvisent et jouent aux grands développeurs alors qu'ils n'ont aucune idée de ce qu'ils veulent.  Depuis le début que le promoteur et la FTQ poussent dans le dos de la commission scolaire dans ce dossier.  Au final, après plus d'une année et demi, la commission scolaire n'a fait aucun progrès et le promoteur doit aller de l'avant.  Une autre belle occasion de ratée.  Si le gouvernement tenait temps à avoir une école, elle aurait été imposée dès la vente du site et les plans et devis auraient été fournis à ce moment.  Toujours ben des limites à mettre la responsabilité sur le dos des développeurs que c'est la commission scolaire qui ne suit pas la parade.

Un gros cafouillage. Un manque d'esprit de décision flagrant de la Commission scolaire, et voilà que l'on apprend aujourd'hui que la Commission scolaire et le ministère de l'Éducation à la dernière minute réclament la construction d'une école. Je serais le promoteur, j'enverrais promener tout ce beau monde. Impossible de prendre ces gens-là au sérieux. C'est du n'importe quoi.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 9 minutes, santana99 a dit :

Un gros cafouillage. Un manque d'esprit de décision flagrant de la Commission scolaire, et voilà que l'on apprend aujourd'hui que la Commission scolaire et le ministère de l'Éducation à la dernière minute réclament la construction d'une école. Je serais le promoteur, j'enverrais promener tout ce beau monde. Impossible de prendre ces gens-là au sérieux. C'est du n'importe quoi.

C'est comme pour l'école réclamée dans Griffintown, la CSDM fait tellement rien dans ce dossier! Pourtant le PPU a été adoptée en 2013!! Elle aurait dû prévoir l'achat d'un terrain il y a longtemps! Mais non, elle ne fait que présenter des projets d'agrandissement de l'école de la Petite-Bourgogne ... O.o
Pendant ce temps là, la Commision scolaire de Laval prévoit la construction de 11 nouvelles écoles... 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Une école au rez-de-chaussée de tours à condos n'a aucun cristie de bon sang. Belle preuve de planification déficiente de la commission scolaire. Trouvez donc un terrain, achetez-le et construisez une vraie école. De l'amateurisme d'une gang de cancres qui justement n'a pas été à l'école longtemps..

Modifié par Rocco
  • Thanks 2
  • Confused 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

1 hour ago, Rocco said:

Une école au rez-de-chaussée de tours à condos n'a aucun cristie de bon sang. Belle preuve de planification déficiente de la commission scolaire. Trouvez donc un terrain, achetez-le et construisez une vraie école. De l'amateurisme d'une gang de cancres qui justement n'a pas été à l'école longtemps..

Amen. Si on veut une école, qu'on achète un terrain, y'en a des terrains. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

École au centre-ville: le promoteur demanderait 1M$ par année

 

hopital-montreal-pour-enfants07.jpg?w=61

Le promoteur Devimco aurait exigé un loyer de près de 1 M$ par an pour que son projet immobilier prévu sur le site de l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants héberge une école primaire, a appris Métro.

Une source proche du dossier a indiqué que c’était le montant évoqué par le promoteur pour le bail d’une durée de 45 ans avec la Commission scolaire de Montréal (CSDM). Cela aurait été un point important d’achoppement dans le projet.

À Montréal, le ministère est prêt à payer un maximum de 1M$ par classe pour la construction d’une nouvelle école dont la CSDM est propriétaire, a rappelé la commissaire scolaire de Ville-Marie, Stéphanie Bellenger-Heng. Un montant maximal d’environ 14M$ dans ce cas-ci puisque 12 classes de primaire et 2 de préscolaire sont prévues. «Il est gourmand. Il demandait bien au-delà de ça sur 45 ans», a rapporté la commissaire à Métro, sans confirmer de montant précis.

En entrevue avec Métro mercredi, le président de Devimco, Serge Goulet, avait pourtant affirmé qu’il «n’y avait eu aucune négociation sur l’aspect financier du deal». Il avait avancé que les délais trop longs causés par le ministère et par la CSDM ont fait en sorte qu’il ne pouvait plus inclure l’école dans son projet. Jeudi, l’entreprise a indiqué qu’elle ne souhaitait pas faire davantage de commentaires.

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, a mentionné à Métro qu’il était «nécessaire de doter le centre-ville d’écoles primaires» et que cette responsabilité incombait aux différentes instances ainsi qu’aux promoteurs. «Les solutions devront respecter un cadre financier viable à long terme», a-t-il précisé.

Selon le responsable du développement économique au et commercial au comité exécutif, de la Ville de Montréal, Robert Beaudry, il n’y a pas le «feu dans la cabane». «On a encore le temps de faire ce projet d’école. Il est fondamental. On va regarder tout ce qui est en notre pouvoir [pour le réaliser]», a-t-il souligné.

Malgré les difficultés apparues au cours du projet immobilier prévu sur le site de l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants, M. Beaudry n’a pas montré d’inquiétude quant à l’installation d’écoles au centre-ville. «On a de très bons rapports avec les promoteurs», a-t-il dit.

Le ministre Proulx a aussi indiqué travailler à d’autres projets.

Les membres de la table d’interaction du quartier Peter-McGill espèrent toujours que le promoteur et les autorités publiques parviendront à s’entendre sur le projet de construction d’une école sur le site de l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants. Ils ont maintenu leur manifestation prévue à ce sujet samedi.

«J’espère que le promoteur va prendre ses engagements envers la communauté», a martelé Mme Bellenger-Heng qui prendra part à l’événement.

Cession de terrain

La CSDM a plusieurs fois réclamé de la Ville qu’elle lui cède des terrains pour pouvoir construire des écoles, notamment au centre-ville.

Robert Beaudry a affirmé à Métro que la Ville serait un «facilitateur» pour ériger de nouvelles écoles, mais n’a pas voulu s’avancer sur «quelle solution l’administration va prendre».

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

4 hours ago, acpnc said:

École au centre-ville: le promoteur demanderait 1M$ par année

 

hopital-montreal-pour-enfants07.jpg?w=61

Le promoteur Devimco aurait exigé un loyer de près de 1 M$ par an pour que son projet immobilier prévu sur le site de l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants héberge une école primaire, a appris Métro.

Une source proche du dossier a indiqué que c’était le montant évoqué par le promoteur pour le bail d’une durée de 45 ans avec la Commission scolaire de Montréal (CSDM). Cela aurait été un point important d’achoppement dans le projet.

À Montréal, le ministère est prêt à payer un maximum de 1M$ par classe pour la construction d’une nouvelle école dont la CSDM est propriétaire, a rappelé la commissaire scolaire de Ville-Marie, Stéphanie Bellenger-Heng. Un montant maximal d’environ 14M$ dans ce cas-ci puisque 12 classes de primaire et 2 de préscolaire sont prévues. «Il est gourmand. Il demandait bien au-delà de ça sur 45 ans», a rapporté la commissaire à Métro, sans confirmer de montant précis.

En entrevue avec Métro mercredi, le président de Devimco, Serge Goulet, avait pourtant affirmé qu’il «n’y avait eu aucune négociation sur l’aspect financier du deal». Il avait avancé que les délais trop longs causés par le ministère et par la CSDM ont fait en sorte qu’il ne pouvait plus inclure l’école dans son projet. Jeudi, l’entreprise a indiqué qu’elle ne souhaitait pas faire davantage de commentaires.

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, a mentionné à Métro qu’il était «nécessaire de doter le centre-ville d’écoles primaires» et que cette responsabilité incombait aux différentes instances ainsi qu’aux promoteurs. «Les solutions devront respecter un cadre financier viable à long terme», a-t-il précisé.

Selon le responsable du développement économique au et commercial au comité exécutif, de la Ville de Montréal, Robert Beaudry, il n’y a pas le «feu dans la cabane». «On a encore le temps de faire ce projet d’école. Il est fondamental. On va regarder tout ce qui est en notre pouvoir [pour le réaliser]», a-t-il souligné.

Malgré les difficultés apparues au cours du projet immobilier prévu sur le site de l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants, M. Beaudry n’a pas montré d’inquiétude quant à l’installation d’écoles au centre-ville. «On a de très bons rapports avec les promoteurs», a-t-il dit.

Le ministre Proulx a aussi indiqué travailler à d’autres projets.

Les membres de la table d’interaction du quartier Peter-McGill espèrent toujours que le promoteur et les autorités publiques parviendront à s’entendre sur le projet de construction d’une école sur le site de l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants. Ils ont maintenu leur manifestation prévue à ce sujet samedi.

«J’espère que le promoteur va prendre ses engagements envers la communauté», a martelé Mme Bellenger-Heng qui prendra part à l’événement.

Cession de terrain

La CSDM a plusieurs fois réclamé de la Ville qu’elle lui cède des terrains pour pouvoir construire des écoles, notamment au centre-ville.

Robert Beaudry a affirmé à Métro que la Ville serait un «facilitateur» pour ériger de nouvelles écoles, mais n’a pas voulu s’avancer sur «quelle solution l’administration va prendre».

 

 

no school?? hummm, is this good thing or bad thing for this project? 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est une mauvaise chose parce qu'on avait la possibilité de planifier le terrain en fonction de la présence d'une école avant de le vendre à un promoteur pour la moitié de la valeur de l'évaluation foncière (25m vs. 45m).

Le public se voit maintenant obligé de :

  1. Accepter les conditions du promoteur ($$$)
  2. Construire sur un autre terrain qu'il possède (lequel?)
  3. Création d'une réserve foncière sur une partie le terrain ($$$)

On perdra dans tous les cas. Vraiment déplorable. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...