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Les 2 solitudes c'est tellement vrai. Pourquoi le Quebec n'a pas un projet Erasmus avec le reste du Canada.

Ca changerai tellement les mentalités de l'un et de l'autre.

 

Je reve au jour que l'on oserai avoir un premier ministre anglophone ou allophone au Quebec.

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Membres prolifiques

Les 2 solitudes c'est tellement vrai. Pourquoi le Quebec n'a pas un projet Erasmus avec le reste du Canada.

Ca changerai tellement les mentalités de l'un et de l'autre.

 

Je reve au jour que l'on oserai avoir un premier ministre anglophone ou allophone au Quebec.

Comme chef d'état, il y a des femmes, des homosexuelles et même un noir aux États Unis, alors tout est possible.[emoji4]

 

sent via Tapatalk

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Ce fut mon politicien favori, celui qui m'a fait aimer la politique. Celui qui m'a inspiré et qui m'a donné envie de me cultiver, de m'instruire et surtout, celui qui m'a fait grandir d'un pied !

 

Son geste de traverser l'assemblée nationale pour aller tendre la main à Robert Bourassa un certain jour de 1990 (je crois) fut le déclenchement de mon intérêt pour la politique et pour les affaires en générales.

 

Et ses réalisations concernant la Caisse de dépôt, la SGF, sa participation dans la nationalisation d'hydro Québec, sont indéniablement des moments forts pour l'économie moderne du Québec.

 

Grace à lui, le Québec n'est peut-être pas indépendant politiquement parlant, mais plus que jamais, les québécois sont indépendants et le Québec est un reconnu comme un pays, ne serait-ce que symboliquement. Et ca, c'est déjà beaucoup!

 

Bravo Monsieur.....et merci !

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1990 l'épisode souverainiste de Bourassa c'est pour cela que Parizeau lui a serré la main. On connait la suite Bourassa en est revenu de cette épisode apres l'echec du lac meech. Parizeau lui n'a jamais changer d'avis. Parizeau etait contre le lac meech etait contre tout entente avec le federal c'est un separatiste borné. Il a poignarder Levesques dans les annés 80 il a poignarder pauline marois et Bouchard et j'en passe. La belle mere par excellence du PQ

 

J'ai pas trop d'admiration pour un borné pareil.

J'en reviens pas qu'on oublie tout ca.

 

 

 

Ce fut mon politicien favori, celui qui m'a fait aimer la politique. Celui qui m'a inspiré et qui m'a donné envie de me cultiver, de m'instruire et surtout, celui qui m'a fait grandir d'un pied !

 

Son geste de traverser l'assemblée nationale pour aller tendre la main à Robert Bourassa un certain jour de 1990 (je crois) fut le déclenchement de mon intérêt pour la politique et pour les affaires en générales.

 

Et ses réalisations concernant la Caisse de dépôt, la SGF, sa participation dans la nationalisation d'hydro Québec, sont indéniablement des moments forts pour l'économie moderne du Québec.

 

Grace à lui, le Québec n'est peut-être pas indépendant politiquement parlant, mais plus que jamais, les québécois sont indépendants et le Québec est un reconnu comme un pays, ne serait-ce que symboliquement. Et ca, c'est déjà beaucoup!

 

Bravo Monsieur.....et merci !

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En 1995 Parizeau planifiait utiliser la caisse de depot pour financer son projet d'independance si le oui avait passé. C'est le meme qui dit que c'est pas grave si on est endetté.

 

On dirait un dieu économique ou quoi. Comme si la caisse de depot était totalement sa création. Dans les années 60 beaucoup de choses se sont batis au Quebec c'est le fait de plusieurs personnes dans le cabinet

 

Ne pas oublier que Jean Lesage occupait a la fois le poste de premier ministre et de ministre des finances dans les années 60.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernement_Jean_Lesage

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En 1995 Parizeau planifiait utiliser la caisse de depot pour financer son projet d'independance si le oui avait passé. C'est le meme qui dit que c'est pas grave si on est endetté.

 

On dirait un dieu économique ou quoi. Comme si la caisse de depot était totalement sa création. Dans les années 60 beaucoup de choses se sont batis au Quebec c'est le fait de plusieurs personnes dans le cabinet

 

Ne pas oublier que Jean Lesage occupait a la fois le poste de premier ministre et de ministre des finances dans les années 60.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernement_Jean_Lesage

 

Est-ce que Jacques Parizeau t'a congédié d'une quelconque job pour être de mauvaise foi comme tu l'es? C'est pas subtil ton affaire.

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Mauvaise foi je dirai pas. On a tendance a le béatifié pas mal trop.

 

Le suposé démocrate qui comparait les électeurs a des homard qui allait se prendre dans la cage ouais...

 

Donner moi une couple d'ontarien qui píetine le drapeau du Québec et on gagne notre referendum.

Entrevue au Los Angeles Times.

 

http://articles.latimes.com/1994-12-11/opinion/op-7592_1_jacques-parizeau/2

Modifié par andre md
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C'est pas mal ca entre les deux mais on a tendance a oublier pas mal de chose. Quand j'entend dernierement certains politicien parler de lui en admiration :shiftyeyes: Ya pas mal d'hypocrisie.

On a aussi tendance à démoniser pas mal trop aussi. La réalité est souvent entre les deux.
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Tout ce que dit André Md sur Parizeau est vrai. C'est l'autre côté de la médaille : Parizeau pouvait être incroyablement cynique, manipulateur et orgueilleux.

 

"60% de ce que nous sommes a voté oui". On oublie trop cette autre phrase du discours de 95, en un sens pire que l'autre, sur l'argent et le vote ethnique. Parce que c'est bien Parizeau qui a relancé l'obsession d'un "nous" exclusif. Et il ne sait jamais excusé. Il a eu beau être contre la charte des valeurs de Marois, Drainville et consort, ça n'enlève pas le fait qu'il avait contribué à nourrir l'esprit qui l'a inspirée, avec ce "60% de ce que nous sommes".

 

Au fond, comme il aimait le rappeler, c'est vrai que Trudeau et lui avaient plusieurs points communs. "Nous mettrons nos sièges en jeu pour que les choses changent", avait dit Trudeau en 1980 pour convaincre les Québécois nationalistes de voter non. Elles ont changé en effet, mais pas dans le sens de ce que voulait la majorité. C'était là la cage à homards de Trudeau.

 

D'où vient un tel cynisme ? Sans doute du même mélange de conviction profonde d'avoir raison, d'orgueil de la supériorité intellectuelle et d'ivresse du pouvoir.

 

Cela dit, Trudeau et Parizeau ont à leur compte plus de réalisations utiles que tous ici, sans doute, nous n'en auront jamais. Les intellectuels qui réussissent à être aussi de grands hommes d'action sont admirables à bien des égards. Mais leur zèle a aussi un côté inquiétant, puisque rien n'est plus têtu qu'une idée.

 

C'est toutefois normal que sur la place publique la mort soit plutôt l'occasion du rappel de la partie la plus valable d'un bilan, et le bilan de Parizeau ne manque pas de choses positives.

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