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Reconstruction de l'autoroute Métropolitaine


Trudeau

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On 2019-08-05 at 9:31 PM, bad_monday said:

je me dis la même chose à chaque fois que je passe par là. Les travaux de bétonnage complet ont été fais à moitié. Seulement la direction ouest a été fait et ont dirait qu'ont a abandonné le projet pour la direction est. 

Je me demande la meme chose chaque fois que je passe par la. WTF is going on??! They were supposed to redo the 40 eastbound but instead they left it an incomplete mess. I just returned from 2 weeks driving on Ontario highways and while they are not perfect NOWHERE did I see anything like this. It's like the MTQ just doesn't care??

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Le problème avec les autoroutes comme la A-440 c'est qu'elles ont été construites comme étant des autoroutes municipales. Elles croisent des autoroutes régionales, provinciales et nationales. Elles n'ont pas été faites pour favoriser la fluidité du trafic.

de wiki

Citation

À noter que les voies rapides (l'autoroute comme tel) entre le Boulevard Industriel et l'autoroute 13 ont été construites dans les années 1990 alors que les voies de services parallèles à celles-ci l'ont été construites dans le milieu des années 1970

 

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Il y a 17 heures, vivreenrégion a dit :

Le problème avec les autoroutes comme la A-440 c'est qu'elles ont été construites comme étant des autoroutes municipales. Elles croisent des autoroutes régionales, provinciales et nationales. Elles n'ont pas été faites pour favoriser la fluidité du trafic.

Peut-être bien.  Mais je me souviens clairement que lors de l'annonce de sa construction (qui fut réalisée en phases), le MTQ prétendait que l'A-440 allait servir à mieux équilibrer/distribuer les flux de circulation entre l'A-25, l'A-19, l'A-15 et l'A-13.  

Ce qui est évident, c'est qu'en n'ayant pas construit de bretelles de raccordement directes* entre les autoroutes proprement dites (au lieu de s'en remettre aux voies de desserte pour cette fonction), le MTQ a limité ses dépenses.  Aujourd'hui, si on voulait corriger cette déficience, ce serait beaucoup plus coûteux, non seulement à cause de l'inflation, mais surtout parce que cela nécessiterait des réaménagements compliqués (notamment par le manque d'espace).  J'avais déjà suggéré une solution partielle qui aurait au moins évité les entrecroisements aux entrées/sorties inhérentes aux échangeurs en forme de trèfle; cette solution, inspirée de l'échangeur des autoroutes A-3 et A-5 au sud-ouest de Francfort aux abords de l'aéroport, ne requiert pas la construction de longs ponts d'étagement franchissant les autoroutes, mais seulement quatre courts ponts dans les aires des quadrants. 

* un très bel exemple est l'échangeur 400/407 au nord de Toronto, mais on a aussi pratiquement la même chose pour 401/400 et 401/404 dans la même ville.

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Faut pas chercher longtemps pour trouver le bobo,  Ministre et sous-ministre dans ce ministère ont rarement de l'expérience en génie civil ,planification ou transport... 

Chantal Rouleau, la ministre actuelle, n'a aucun ''background'' dans le domaine. 

Marc Lacroix, sous-ministres, a un Bac en éducation

Anne-Marie Lacroix, sous-ministre pour l'ingénierie avait été tassé des mesures d'urgence à cause de son incompétence dans le fiasco de la 13. On l'a remercié avec un beau poste au transport. 

C'était pas mieux avant avec la sous-ministre Dominique Savoie et sa plus-que-douteuse éthique, Robert Peoti le donneux de ticket populiste , Sam Hamad et ses fréquentations  ou Jacques Daoust avec son BAC en art... 

Pour terminer, avec les salaires ridicule qu'ils offrent aux ingénieurs, disont tout simplement qu'ils ne se ramassent pas avec la crème...

 

Les ministres en finance ont une expérience dans le domaine, même chose en santé et en éducation, pourquoi ce n'est pas le cas en transport?

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Proposition folle qu'on peut voir à la Biosphère 
Une rappel du Seoullo 7017 de Séoul!


Sur la page FB d'Albert Mondor

Créer un grand potager/verger urbain sur l’autoroute métropolitaine

Ma formidable équipe et moi avons créé un projet fou appelé Metropoligne 40 ayant pour but d’enfouir les voies de circulation automobile sous l’actuel tronçon surélevé de l’autoroute métropolitaine compris entre la rue Saint-Laurent et le boulevard Pie IX et de rénover cette structure suspendue afin de la transformer en un magnifique potager/verger urbain.

L’aménagement comestible créé sur cette structure sera essentiellement accessible aux piétons et aux cyclistes. Comme la MetropoLigne 40 fera trois kilomètres de longueur, ses diverses portions seront reliées par un train léger (monorail) électrique.

L’agriculture urbaine occupe une place prépondérante dans le concept de la MetropoLigne 40 puisque l’objectif est de créer sur cette infrastructure le potager/verger urbain suspendu le plus important de la planète. Environ 50 tonnes de tomates et plus de 2 millions de pommes, de poires et de prunes seront récoltées chaque année sur la MetropoLigne 40. Ce jardin nourricier subviendra donc aux besoins alimentaires d’une importante partie de la population montréalaise.

Au milieu du 19e siècle, plusieurs terres où passe actuellement l’autoroute métropolitaine étaient occupées par des fermes où l’on cultivait de nombreuses plantes légumières et fruitières. À cette époque, on retrouvait environ 1400 agriculteurs à Montréal. La terre était tellement fertile qu’on disait de l’île de Montréal qu’elle était alors le jardin du Canada.

Il y a 150 ans, Montréal était garnie de vergers et de jardins dans lesquels on produisait des végétaux excellents et variés dont des fraises savoureuses et le fameux melon de Montréal, servi dans les grands hôtels de New-York. Dans les vergers, il semble que l’on cueillait surtout des pommes mais également des prunes et des abricots. On retrouvait même des vignobles sur le mont Royal.

Afin de recréer ce grand potager et verger que fut autrefois Montréal, en plus de végétaux nectarifères attirant les insectes pollinisateurs, diverses plantes légumières et fruitières seront massivement cultivées sur la MetropoLigne 40. Une place importante sera également réservée aux variétés de fruits et de légumes que cultivaient nos ancêtres venus d’Europe et issus des peuples des Première Nations.

L’élevage d’animaux, tels que les abeilles, les poules et les chèvres, sera également pratiqué sur la MetropoLigne 40. L’aquaculture en eau recirculée, l’élevage d’insectes pour fabrication d’aliments, l’algoculture (culture d’algues riches en protéines) et la myciculture (culture de champignons) se feront sous le tablier de cette structure suspendue.

Un marché où seront vendues les denrées comestibles produites dans ce parc linéaire sera ouvert au public. Combiné à un centre de renseignements et d’interprétation de la MetropoLigne 40, ce marché sera situé dans l’arrondissement Saint-Michel, à proximité de l’actuelle Tohu.

Afin que ce parc linéaire soit le plus accessible possible par les citoyens, nous prévoyons la construction de nombreux ascenseurs, escaliers et passerelles donnant accès à la MetropoLigne 40 à partir des quartiers Ahuntsic, Saint-Michel et Villeray. Des passerelles donneront aussi accès directement à certains édifices très achalandés érigés près de cette structure. Il y aura également un lien entre la MetropoLigne 40 et le Parc Frédéric-Back.

Places, belvédères, cafés et restaurants – dans lesquels seront servis les produits frais récoltés sur place – seront construits sur la MetropoLigne 40 afin de favoriser les rencontres et les relations entre les citoyens. De plus, diverses oeuvres d’art d’artistes locaux et canadiens seront installées dans ce parc linéaire.

La MetropoLigne 40 permettra à Montréal de se distinguer sur la scène internationale et, surtout, de rassembler ses citoyens autour d’un projet utile et novateur dont ils seront fiers, et répondant aux immenses défis environnementaux du 21e siècle. Ce projet bénéfique à maints points de vue nous permettra de redéfinir notre vision des infrastructures urbaines et d’enrichir notre définition des espaces verts.

Malaka Ackaoui, architecte paysagiste et urbaniste, Valéry Simard, architecte paysagiste, Bertrand Dumont, horticulteur, Philippe Lupien, architecte et architecte paysagiste, ainsi que moi-même, Albert Mondor, biologiste et horticulteur, ont conçu ce formidable projet de MetropoLigne 40. Cette proposition est actuellement présentée dans le cadre de l’exposition MTL+ à la Biosphère.

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Le 2019-08-16 à 13:00, ScarletCoral a dit :

Proposition folle qu'on peut voir à la Biosphère 
Une rappel du Seoullo 7017 de Séoul!


Sur la page FB d'Albert Mondor

Créer un grand potager/verger urbain sur l’autoroute métropolitaine

Ma formidable équipe et moi avons créé un projet fou appelé Metropoligne 40 ayant pour but d’enfouir les voies de circulation automobile sous l’actuel tronçon surélevé de l’autoroute métropolitaine compris entre la rue Saint-Laurent et le boulevard Pie IX et de rénover cette structure suspendue afin de la transformer en un magnifique potager/verger urbain.

L’aménagement comestible créé sur cette structure sera essentiellement accessible aux piétons et aux cyclistes. Comme la MetropoLigne 40 fera trois kilomètres de longueur, ses diverses portions seront reliées par un train léger (monorail) électrique.

L’agriculture urbaine occupe une place prépondérante dans le concept de la MetropoLigne 40 puisque l’objectif est de créer sur cette infrastructure le potager/verger urbain suspendu le plus important de la planète. Environ 50 tonnes de tomates et plus de 2 millions de pommes, de poires et de prunes seront récoltées chaque année sur la MetropoLigne 40. Ce jardin nourricier subviendra donc aux besoins alimentaires d’une importante partie de la population montréalaise.

Au milieu du 19e siècle, plusieurs terres où passe actuellement l’autoroute métropolitaine étaient occupées par des fermes où l’on cultivait de nombreuses plantes légumières et fruitières. À cette époque, on retrouvait environ 1400 agriculteurs à Montréal. La terre était tellement fertile qu’on disait de l’île de Montréal qu’elle était alors le jardin du Canada.

Il y a 150 ans, Montréal était garnie de vergers et de jardins dans lesquels on produisait des végétaux excellents et variés dont des fraises savoureuses et le fameux melon de Montréal, servi dans les grands hôtels de New-York. Dans les vergers, il semble que l’on cueillait surtout des pommes mais également des prunes et des abricots. On retrouvait même des vignobles sur le mont Royal.

Afin de recréer ce grand potager et verger que fut autrefois Montréal, en plus de végétaux nectarifères attirant les insectes pollinisateurs, diverses plantes légumières et fruitières seront massivement cultivées sur la MetropoLigne 40. Une place importante sera également réservée aux variétés de fruits et de légumes que cultivaient nos ancêtres venus d’Europe et issus des peuples des Première Nations.

L’élevage d’animaux, tels que les abeilles, les poules et les chèvres, sera également pratiqué sur la MetropoLigne 40. L’aquaculture en eau recirculée, l’élevage d’insectes pour fabrication d’aliments, l’algoculture (culture d’algues riches en protéines) et la myciculture (culture de champignons) se feront sous le tablier de cette structure suspendue.

Un marché où seront vendues les denrées comestibles produites dans ce parc linéaire sera ouvert au public. Combiné à un centre de renseignements et d’interprétation de la MetropoLigne 40, ce marché sera situé dans l’arrondissement Saint-Michel, à proximité de l’actuelle Tohu.

Afin que ce parc linéaire soit le plus accessible possible par les citoyens, nous prévoyons la construction de nombreux ascenseurs, escaliers et passerelles donnant accès à la MetropoLigne 40 à partir des quartiers Ahuntsic, Saint-Michel et Villeray. Des passerelles donneront aussi accès directement à certains édifices très achalandés érigés près de cette structure. Il y aura également un lien entre la MetropoLigne 40 et le Parc Frédéric-Back.

Places, belvédères, cafés et restaurants – dans lesquels seront servis les produits frais récoltés sur place – seront construits sur la MetropoLigne 40 afin de favoriser les rencontres et les relations entre les citoyens. De plus, diverses oeuvres d’art d’artistes locaux et canadiens seront installées dans ce parc linéaire.

La MetropoLigne 40 permettra à Montréal de se distinguer sur la scène internationale et, surtout, de rassembler ses citoyens autour d’un projet utile et novateur dont ils seront fiers, et répondant aux immenses défis environnementaux du 21e siècle. Ce projet bénéfique à maints points de vue nous permettra de redéfinir notre vision des infrastructures urbaines et d’enrichir notre définition des espaces verts.

Malaka Ackaoui, architecte paysagiste et urbaniste, Valéry Simard, architecte paysagiste, Bertrand Dumont, horticulteur, Philippe Lupien, architecte et architecte paysagiste, ainsi que moi-même, Albert Mondor, biologiste et horticulteur, ont conçu ce formidable projet de MetropoLigne 40. Cette proposition est actuellement présentée dans le cadre de l’exposition MTL+ à la Biosphère.

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Seigneur! C'est trop une bonne idée, ça ne passeras jamais ici! (Mon cynisme parle)

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C’est un beau rêve..... qui restera un rêve malheureusement. N’oubliez pas que les matières dangereuses sont interdites dans les tunnels. Cela voudrait donc dire qu’il faudrait détourner l’industrie du camionnage, ce qui est utopique à mon avis. 

Mais c’est une belle idée. 

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il y a une heure, Faitlemou a dit :

Seigneur! C'est trop une bonne idée, ça ne passeras jamais ici! (Mon cynisme parle)

 

il y a 49 minutes, Malek a dit :

Si c’est pour avoir plus de capacité et l’enfouir go go! 

Joli, mais ça ne répond pas à une question: par où transiteront les matières dangeureuses?  A moins que le volume de celles-ci soit tellement modeste qu'il n'y aurait pas d'objection à diriger les camions les transportant sur des voies parallèles en surface?  Aussi, je remarque que l'esquisse ne montre pas (ne prévoit pas?) d'entrées et de sorties entre les voies express souterraines et les rues transversales sur toute la longueur de  son parcours;  est-ce délibéré, et quelles en seraient les conséquences?

A propos de la capacité  --nombre de voies (souterraines): l'esquisse montre (seulement) trois voies par direction, mais je ne vois pas d'obstacles à élargir l'emprise, qui pourrait "facilement" occuper tout l'espace sous les voies parallèles en surface.  Dans tous les cas (quel que soit le nombre de voies), dès lors qu'on construit en tunnel à cet endroit, il faudra prévoir comment passeront les égoûts qui sont orientés "nord-sud"; un tunnel suffisamment profond serait probablement requis;  mais cela soulève une autre question: comment s'effectura la transition entre le tunnel et les voies en surface à l'est de Pie IX et à l'ouest de saint-Laurent?  --C'est techniquement faisable, mais encore faut-il le prévoir. 

Et un autre point concernant la capacité: si celle-ci est augmentée dans le tronçon "central" concerné,  il faudra qu'il en soit de même aux deux extrémités, probablement au moins jusqu'à l'A-25 à l'est et l'A-520 à l'ouest.

Dernier point: il ne suffit pas de concevoir un projet dans sa forme finalisée; il faut aussi déterminer comment s'effectuera la transition entre A (le présent) et B (le projet terminé), compte tenu de l'obligation de maintenir une capacité adéquate en tout temps durant les travaux.  L'ampleur du défi devrait être assez évidente quand on considère les travaux sur l'échangeur Turcot.  C'est beaucoup plus compliqué que de réaliser un projet en rase campagne.

Toutes ces considérations prises ensemble illustrent (un peu plus) la véritable complexité de l'opération.  

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