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  • 2 semaines plus tard...

http://montrealgazette.com/business/local-business/je-vois-montreal-coming-into-focus

 

Je Vois Montréal coming into focus

Peter Hadekel

PETER HADEKEL, SPECIAL TO MONTREAL GAZETTE

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Published on: November 6, 2014Last Updated: November 6, 2014 12:26 PM EST

mont-royal

 

 

A scenic view of Montreal from the Mount-Royal mountain in Montreal, photographed on September 30, 2013.

 

Marie-France Coallier / Montreal Gazette

 

Jacques Ménard, the chairman of BMO Nesbitt Burns and president of BMO Financial Group in Quebec, is one of Montreal’s most civic-minded business people.

He’s been a driving force behind efforts to improve the dropout rate at Montreal high schools, focusing on ways that local communities can make a difference in their schools.

 

Now he wants to spark a revolution in the way Montreal functions. Tired of years of negative publicity about corruption, crumbling infrastructure and economic exodus, Ménard is pushing a new approach: a bottom-up initiative in which citizens take more responsibility for their city.

 

On Nov. 17, BMO and the Montreal Board of Trade will team up to host Je vois Montréal, an event that promises to deliver more than talk.

 

More than 200 projects were submitted by local groups. They will be culled to 120 projects and will be reviewed by several hundred corporate and civic leaders who will provide their feedback in an all-day session at Place des Arts.

 

By the end of the day, project sponsors will decide whether to sign contracts that commit them to act on their proposals.

 

Ménard is trying to combat the defeatist notion that even if individuals have a good idea on their own, it won’t make much difference in the end.

 

With Je vois Montréal, participants will have plenty of company and will see that “other folks are doing something to make their city better,” he says.

 

The projects range widely, from beautifying the urban area to helping international students feel more at home; from mentoring new entrepreneurs to finding new housing for the city’s homeless.

 

Some are ambitious such as the Université de Montréal’s Darlington Project. It would create “an ecological corridor” that would link the university’s future Outremont campus with a nearby stream, collecting and managing rain water and providing new opportunities for community gardeners.

 

The Caisse de dépot et placement is pushing a plan that would open up seats on the boards of local companies to successful young entrepreneurs who could benefit from the networking opportunities they would get.

 

One project would provide small and medium-size enterprises in Montreal with consulting and marketing advice from business students at local universities.

 

Another seeks to launch a universal smart card for the 170,000 post-secondary students in Montreal that would offer special services and discounts in cooperation with thousands of local merchants, cultural institutions and service outlets.

 

Ménard is hoping to tap the kind of creativity that can only come from the grassroots. The public is invited to look at the projects, comment on them and vote for them at jevoismtl.com.

 

“We’ve had so much of the top-down approach — we know what’s good for you,” Ménard says. “Yes, there is a role for government, but communities really thrive when citizens decide to take ownership of their future.”

 

The idea came after Ménard commissioned a consulting report that looked at how several other cities around the world with similar problems had managed to turn things around.

 

The places in question, such as Manchester in Great Britain, Melbourne in Australia, Philadelphia and Pittsburgh in the U.S., all had one thing in common: a high level of community involvement.

 

Organizers realized that citizens from all walks of life — community groups, universities, the scientific, cultural and economic milieus — needed to come forward with their own initiatives.

 

Project sponsors will be able to “stress test” their proposals with others in the community who can probe, ask questions and make suggestions.

 

Then, if all looks good, there’s a public commitment to act with the signing of a formal contract. One condition is that there’s no government funding involved.

 

Montreal has little time to waste. The consulting report commissioned by Ménard showed that measured against the five other largest Canadian cities over the last 15 years, this city had the lowest growth in GDP, the highest unemployment rate and the lowest growth in disposable income. Demographic growth also failed to keep pace.

 

The projects presented at Je vois Montréal won’t reverse those trends over night and they are not necessarily heavy on job creation or new investment.

 

But they are designed to make the city a better place in which to live and work and that’s an important first step.

 

phadekel@videotron.ca

 

sent via Tapatalk

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  • 2 semaines plus tard...

j'ai bien aimé ce projet de consultation public fait de la bonne façon. J'espère que l'Office de consultation Public était à l'écoute. j'aime que pour la plupart ça soit des idées citoyennes et payé par le privé. Par contre, certain projet étaient, bien, les ruches urbaines et le houblons sur les toits, mais ça ne relance pas une métropole internationale comme YUL ça! Je crois que Montréal est à la croisé des chemins, d'ici 5 à 10 ans, il faudra se replacer ou l'Ouest canadien prendra le dessus comme Toronto l'a fait dans les années 70.

 

Le problème en ce moment est le cynisme d'ne certaine classe de la société, qui ne juge les politicien que sur ce que les médias leur disent, sans vraiment en savoir plus sur ce qui se passe. J'applaudie Radio-Canada ici d'avoir embrasser ce projet depuis quelques semaine et toutes la journée d'aujourd'hui, peut être ça ravivera en eux une certaine flamme de la ville. Par contre, la "classe TVA" n'était pas à l'écoute, plus préoccupé par la poule aux œufs d'or. Les cyniques, c'est ceux qui ne sont pas éduqué sur ce qui se passe. Le projet Je vois MTL ne s'adressait pas à eux. Juste à écouter l'entrevue de Dutrisac au 98,5 avec l'organisateur du cette journée pour voir ce que la radio de chialeux en pense de ce projet.

 

J'ai regardé une bonne partie sur les médias sociaux et sur livestream et des idées, payé par le privé, il en pleut, il faut simplement les "matcher" avec le bon portefeuille pour financer leur idées. Surtout qu'il ne faut pas compter sur Harper et sa pute Couillard qui se fout éperdument de ce que nous, les citoyens, pensons. Je veux plus de "je vois MTL" et plus de "c2mtl" ce sont ces rassemblement qui font avancer la ville. Pas le cynisme.

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http://www.ledevoir.com/politique/montreal/424199/180-projets-emergent-de-je-vois-mtl

 

180 projets émergent de «Je vois Mtl»

Denis Coderre recrute Diane De Courcy pour donner suite aux propositions

 

18 novembre 2014 |Jeanne Corriveau, Karl Rettino-Parazelli | Montréal

Le maire de Montréal, Denis Coderre, s’adressant aux participants de «Je vois Mtl», à la Place des Arts.

Photo: Jacques Nadeau Le Devoir

 

Le maire de Montréal, Denis Coderre, s’adressant aux participants de «Je vois Mtl», à la Place des Arts.

Rarement a-t-on vu autant de gens d’affaires, d’universitaires, de politiciens et de citoyens réunis sous un même toit et autour d’une même cause. L’événement « Je vois Mtl » a permis lundi d’accoucher de 180 projets pour relancer la métropole, que ses instigateurs promettent de concrétiser. En réponse aux sceptiques qui n’y voient que des paroles en l’air, le maire Denis Coderre s’est engagé à créer un bureau de suivi impliquant l’ancienne ministre péquiste Diane De Courcy.

 

« À partir de maintenant, je vous ai à l’oeil », a lancé le maire Coderre au moment de recevoir le livre énumérant tous les engagements que ses signataires devront honorer au cours des prochaines années, selon un échéancier établi. Il a du même coup annoncé que l’ex-ministre de l’Immigration, Diane De Courcy, serait étroitement associée au bureau de suivi des projets qu’il entend mettre sur pied. « J’ai peut-être des défauts, mais je dis ce que je fais et je fais ce que je dis. Donc, ça va se faire », a-t-il lancé.

 

Le maire Coderre a pris la parole au terme d’une journée d’échanges hors du commun aux quatre coins de la Place des Arts. Ce ne sont pas 1000 personnes, comme prévu, mais bien 1500 qui ont finalement participé au brassage d’idées proposé par le président de BMO Groupe Financier, Jacques Ménard, et par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) pour donner un « nouvel élan » à Montréal. À tour de rôle, des leaders de tous les horizons, politique, économique, social et communautaire, ont d’abord soumis à leurs pairs près de 200 projets, gros ou petits, connus ou tout à fait inusités. La majorité d’entre eux ont ensuite accepté de signer un engagement officialisant leur volonté de passer à l’action dans les délais prévus.

 

« C’est un événement important dans l’histoire de Montréal et du Québec contemporain, a déclaré le premier ministre Philippe Couillard dans le discours de clôture de l’événement. On a rarement vu ça, comme formule. Il ne s’agit pas de projets du haut vers le bas […] On a privilégié la démarche contraire, et elle est beaucoup plus porteuse. »

 

Parmi les nombreuses thématiques abordées au fil des ateliers, on compte notamment la valorisation de Montréal en tant que ville universitaire, sa place dans le monde, son statut de métropole culturelle ou encore l’économie sociale qui s’y manifeste sous toutes les formes. « Aujourd’hui, c’est une vaccination contre le cynisme, affirme le président et chef de la direction de la CCMM, Michel Leblanc. Il faut ramener le débat dans le concret pour éviter que les gens aient l’impression qu’il s’agit d’un show de boucane. »

 

Heureusement, souligne le commissaire aux célébrations du 375e anniversaire de Montréal, Gilbert Rozon, 2017 devient le point de convergence de plusieurs initiatives. « Ça nous donne une date butoir, mais ce n’est pas la fin. Il faut ajouter des étages à l’édifice montréalais avec des projets qui vont durer et se répéter. Il faut que 2017 soit un tremplin, pas une falaise », dit-il.

 

Le choc des idées

 

Répartis sur plusieurs étages de la Place des Arts, des petits groupes se sont réunis en ateliers pour discuter des projets qui ont été soumis au cours des derniers mois. Volontairement, les organisateurs ont composé des groupes réunissant des participants aux horizons différents. De cette disparité, on voulait faire émaner des idées originales.

 

Pour discuter du « parcours-relais » entre l’aéroport et le centre-ville, un projet piloté par la Banque Nationale, il y avait notamment une ingénieure, un architecte-urbaniste, anthropologue, une mécène et un spécialiste de la publicité.

 

Le projet consiste à installer sept oeuvres monumentales le long de l’autoroute, des arbres géants. « On dit que Montréal est une ville de design, mais ça ne paraît pas quand on sort de l’aéroport », a commenté Lise-Anne Amyot, vice-présidente à la Banque Nationale, avant de lancer la discussion.

 

Le projet est encore en gestation. Il faudra d’abord trouver des mécènes pour financer chaque oeuvre. Les idées jaillissent. On comprend vite qu’il s’agit d’un projet passablement coûteux et que de telles oeuvres ne pourront faire totalement oublier les chantiers et les cônes orange qui parsèment ce chemin de la « honte ».

 

Les projets discutés étaient hétéroclites. En après-midi, le « dragon » Alexandre Taillefer a présenté son projet de taxi vert qui conduira, espère-t-il, à la création d’une mutuelle du taxi pour dépoussiérer cette industrie et remplacer la flotte actuelle par des véhicules électriques.

 

Quelques étages plus bas, des participants s’intéressaient plutôt aux ruelles. Le Regroupement des éco-quartiers a proposé de créer quatre parcours en connectant des ruelles, verdies ou non aménagées, pour favoriser la pratique d’activités comme le jogging, la marche nordique ou la cardio-poussette.

 

Dans un autre registre, Louis Arsenault, vice-président Attraction de talents, promotion et communications chez Montréal international, a lancé l’idée d’un « Réseau des ambassadeurs du Grand Montréal » afin d’attirer les étudiants, travailleurs étrangers et touristes tout en aidant les entreprises d’ici à exporter à l’étranger.

 

D’autres projets, qui n’étaient pas encore au point, ont été débattus dans la « zone lab ». C’est le cas notamment du projet de navette d’autobus électriques et de funiculaire d’Axio Stratégies qui préconise un meilleur accès au mont Royal.

 

Ce foisonnement d’idées a conduit à la sélection, en fin de journée, de 180 projets qui pourraient se réaliser.

 

Le rideau à peine tombé, Michel Leblanc n’a pas écarté l’idée de répéter l’expérience. « Est-ce qu’on aura un Je vois Mtl 2, est-ce que ce sera un Je vois Mtl tous les deux ans, c’est prématuré de le dire. Mais on ne laissera pas tomber de bons projets qui émergeraient dans quelques mois », a-t-il dit.

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Tout le monde a des idées, de les rendres publiques n'accélérera en rien leur aboutissement, ce qu'il manque c'est de la volonté et surtout du CASH!

 

Je vois Montréal a été un gigantesque brain-storming qui a réuni toute une panoplie de gens influents de tous les horizons, vers un objectif commun: dynamiser le développement de la ville. Avant de courir après le cash, il faut des idées porteuses et en faire la diffusion publique de manière pratique et efficace. On peut dire ici: mission accomplie, parce que déjà des projets concrets apparaissent sous le radar. On ne doutera pas alors de la volonté d'agir de la part des autorités, comme de la communauté des affaires, devant un tel spectacle d'intentions.

 

On ne dérange pas tout ce beau monde sans qu'il y ait une motivation sérieuse et un véritable esprit de concertation dans le milieu. Alors mettons de côté notre cynisme des mauvais jours, parce qu'il y une véritable prise de conscience qui se généralise. Et quand une population se met derrière ses décideurs, elle peut se permettre non seulement de rêver, mais surtout de voir ses rêves se concrétiser réellement.

 

J'en profite pour donner une mention spéciale au maire Coderre, qui s'entoure de plus en plus d'une équipe solide dans tous les domaines, afin de donner un coup de pouce réel à tous les projets porteurs à Montréal. La force d'un chef ne tient pas en premier lieu à ses propres idées et qualités personnelles, mais bien davantage dans les compétences de tous les gens qui l'entourent et qui font équipe avec lui.

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Cet évènement est d'une importance capitale ne serait-ce que pour l'énergie qui s'en dégage et pour la démonstration que les citoyens veulent faire quelque chose pour améliorer et faire avance Montréal. J'ai bien aimé la mixité et la diversité des gens/groupes présents car autant venaient du milieu communautaire, du milieu scolaire, des gens d'affaires, des politiciens et de jeunes entrepreneurs etc...

 

ps: Mais ou étaient nos valeureux syndicats ?

 

Maintenant, il faut capitaliser sur cette énergie pour qu'elle atteigne la population en générale et qu'elle nous apporte quelques projets bien concrets. Et j'ai bien l'impression que les projets n'ont pas fini d'arriver.

 

Il reste deux gros problèmes que les gouvernements devraient faire pour nous aider mais nul n'est besoin d'en parler ici car il ne faut pas que le tout devienne trop politique. Pour l'instant, la mobilisation est essentielle et elle doit continuer.

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Tout le monde a des idées, de les rendres publiques n'accélérera en rien leur aboutissement, ce qu'il manque c'est de la volonté et surtout du CASH!

 

Et le chiâlage public interminable aide encore moins....

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Ce sont effectivement de beaux projets mobilisateurs, mais les problèmes fondamentaux de Montréal demeurent. Faible taux d'entreprenariat, faible richesse per capita, taxation municipale excessive, bureaucratie imposante (avec 215 élus, un record mondial). Mais bon, il faut changer d'attitude et être optimiste, c'est notre seule option.

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