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SIEGE SOCIALE... Montreal

 

Il y a moins de siège social partout au Canada, on pourrait dire , le déclin du Canada.

 

''Overall, there were just under 4,000 head offices in Canada in 2002.''

 

''Canada had 22 fewer main offices in 2011 from a year earlier, for a total of 2,843. ''

 

 

http://www.bdc.ca/EN/about/mediaroom/news_releases/Pages/mid_sized_decline.aspx

 

 

donc le Canada perd plus de 1000 sièges sociaux en 10 ans.

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Ces avocats se replacent ailleurs, ils ne perdent pas leurs jobs!

 

Il y avait 600 employés de soutien pour les 550 avocats d'Heenan Blaikie.

 

Je ne sais pas combien d'avocats il y avait au bureau de Montréal, mais il doit y avoir un ratio assez élevé d'employés de soutien qui se retrouvent sans emploi.

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This may be the start of a trend in coming years. There are simply too many Canadian law firms for too few corporate clients. Increasingly, I think we will see either national mergers or international purchases of our big firms (remember Ogylvie Renault with Norton Rose - ostensibly a merger but really Norton Rose is much much larger)

It's unfortunate for those of us concerned with Montreal that today's news is about Heenan Blaikie, but the future will hold more bad news for these firms across the country.

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Je sais pas pourquoi celui ci me dérange pas trop...Il y a un surplus d'avocats en ce moment de toute façon...Il vont pouvoir se recycler dans un autre domaine dans le pire des scénario.

 

parce que...

 

Oui mais Heenan avais sont siège à Montréal, on parle de beaucoup de postes administratives avec d'execellent salaire ici (TI, marketing, payroll, facturation etc.) C'est vraiment une perte majeure.

 

Comme l'a bien expliqué GDS, ce ne sont pas seulement des avocats, mais les employés d'un SIÈGE SOCIAL qui seront perdus. Ce ne sont pas des jobs à 9.75$ de l'heure, mais des jobs à 60,000$, 80,000$ et 100,000$ par année!!!!

 

Malheureusement ton attitude démontre ce qui ne va pas bien au Québec depuis un certain temps!

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Encore une fois, j'aimerais mentionner que je ne dis pas que c'Est le désastre au Québec, mais nous pouvons faire mieux!

 

Les bons coups du Québec

 

http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201402/06/01-4736123-les-bons-coups-du-quebec.php

 

FRANCIS VAILLES

La Presse

 

Et si l'on voyait les choses autrement? Si l'on s'attardait un instant aux bons coups du Québec, plutôt qu'aux cauchemars économiques publiés au cours des dernières semaines? Car des bons coups, il y en a eu.

 

Entendons-nous, les études de l'économiste Robert Gagné, de HEC Montréal, et de l'équipe Godbout-Fortin-Arseneau, de l'Université de Sherbrooke, gardent leur pertinence. Ces études occultent toutefois les succès du Québec ces dernières années.

 

Essentiellement, la première étude soutient que le Québec vit au-dessus de ses moyens, tandis que la seconde estime que si rien n'est fait, le Québec verra son déficit croître sans cesse d'ici 15 ans à cause du vieillissement de la population.

 

Voyons voir certains de nos bons coups économiques.

 

D'abord, le Québec a fait un rattrapage spectaculaire sur le plan de l'emploi depuis 20 ans. À cet égard, la meilleure statistique pour mesurer la vigueur du marché du travail est le taux d'emploi, soit la proportion de la population qui occupe un emploi. Au Canada, le taux d'emploi en 2013 était de 61,8%.

 

Or, depuis la dernière grande récession, il y a 20 ans, le taux d'emploi au Québec a progressé de 6,3 points de pourcentage, plus que partout ailleurs au Canada. En comparaison, l'Ontario a progressé de 2,0 points de pourcentage, l'Alberta, de 4,8 points, et le Nouveau-Brunswick, de 5,1 points. Pendant ce temps, la Colombie-Britannique a fait du surplace.

 

Aujourd'hui, le taux d'emploi au Québec, à 60,3%, demeure sous l'Ontario (61,3%) et l'Alberta (69,7%), mais il est au-dessus de la Colombie-Britannique (59,9%) et du Nouveau-Brunswick (56,6%). Surtout, le bond du Québec depuis 20 ans est exceptionnel, notamment chez les jeunes, dont le taux de chômage est plus faible que dans le reste du Canada ou en Europe.

 

Deuxième bonne nouvelle: le niveau de vie a davantage progressé au Québec qu'en Ontario, selon l'étude de HEC Montréal. Ce niveau de vie, exprimé par le produit intérieur brut (PIB) par habitant, a crû au rythme annuel de 1,29% au Québec depuis 1981, comparativement à 1,17% en Ontario. Dans l'ensemble du Canada, en dépit du boom des provinces pétrolières, le niveau de vie a bondi de seulement 1,3% par année, guère plus qu'au Québec.

 

Cela dit, le niveau de vie demeure inférieur au Québec, toutes proportions gardées, mais notre économie n'a pas été stagnante.

 

Autre signe de réjouissance: les dépenses publiques annuelles par habitant ont crû moins vite au Québec qu'ailleurs au Canada depuis 30 ans, selon HEC Montréal. Le bond est de 40% au Québec, après inflation, comparativement à 56% en Ontario et 48% dans l'ensemble du Canada.

 

On s'entend, les administrations publiques du Québec continuent de dépenser nettement plus qu'ailleurs au Canada, à 16 139$ par habitant (14 690$ par habitant au Canada). Le Québec offre toutefois plus de services aux citoyens et, surtout, il y a une volonté de contrôler la croissance des dépenses, comme en témoignent les derniers budgets du gouvernement.

 

Autre bonne nouvelle depuis cinq ans: les investissements. Depuis la crise de 2009, le volume annuel des investissements en immobilisations a crû à un rythme légèrement supérieur au Québec que dans celui des provinces non pétrolières.

 

En 2013, le volume des investissements en immobilisations au Québec était de 21,3% supérieur à celui de 2009, comparativement à 20,5% en Ontario et à 20,3% en Colombie-Britannique. En Alberta, le boom se poursuit, avec une croissance de 53% par rapport à 2009. Et au Nouveau-Brunswick, les investissements sont en baisse de 6%.

 

Aujourd'hui, la part des investissements globaux au Québec est même supérieure à celle de l'Ontario, toutes proportions gardées, soit 9,4% du PIB comparativement à 8,4% du PIB chez notre voisin. Ces données ne sauraient masquer le retard relatif du Québec en matière d'investissement dans les machineries et équipements, mais encore une fois, elles donnent une perspective différente de la question.

 

Bien franchement, je crois que le Québec a des défis économiques très importants à relever et qu'il faut éviter de porter des lunettes roses. La dette publique est la plus importante des provinces canadiennes - et de loin - et elle ne cesse de croître. Les dépenses publiques annuelles sont les troisièmes au monde, à 47% du PIB, et les impôts sont aussi à un sommet. Notre productivité est plus faible qu'ailleurs au Canada et beaucoup plus faible que celle des principaux pays industrialisés. Et notre population vieillit.

 

Néanmoins, il est faux de dire que les Québécois n'ont rien fait de bon depuis un quart de siècle et qu'ils sont des incapables, comme le répètent certains détracteurs. Plusieurs données comme l'emploi le démontrent, tout comme le succès mondial de nombreux entrepreneurs, artistes, sportifs et scientifiques.

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  • 3 semaines plus tard...

Dans quelques semaines, les derniers employés d’Heenan Blaikie auront complètement déserté le bureau de Montréal. Six étages du 1250 René-Lévesque Ouest, une des rares tours à bureaux de classe AAA, seront alors vides. Des bureaux entièrement neufs, rénovés au cours des derniers mois à coups de millions de dollars (certaines sources affirment que les améliorations locatives ont coûté 9 millions de dollars).

 

Mais aussi triste que cela puisse être, ces luxueux bureaux risquent de ne pas être vides bien longtemps. Car ils intéressent déjà plusieurs locataires, dont le cabinet Stikeman Elliott, installé présentement presque en face, dans la Tour CIBC. Un groupe d’avocats du bureau montréalais de Stikeman a même été aperçu la semaine dernière sortant de la salle de réception d’Heenan Blaikie, après une petite visite des lieux, a appris Droit-inc.

 

Il faut dire que Stikeman est en mode recherche. Le bail du cabinet dans la Tour CIBC arrive à échéance en avril 2017. Trois ans, c’est loin, direz-vous, mais quand on a neuf étages à déménager, il faut s’y prendre d’avance.

 

Joint par Droit-inc, le directeur général du bureau de Montréal de Stikeman, Me Jocelyn Poirier, a confirmé que le cabinet explorait actuellement plusieurs options, dont celle de rester dans la Tour CIBC ou encore de déménager dans un autre immeuble.

 

http://www.droit-inc.com/article12086-Stikeman-lorgne-t-il-les-bureaux-d-Heenan

 

« Pour l’instant, tout est sur la table », indique Me Poirier.

 

Chose certaine, la fermeture d’Heenan pourrait représenter une chance inouïe de s’installer dans des bureaux ultra luxueux. Un courtier en immobilier commercial a eu la chance de les visiter la semaine dernière et il confirme qu’ils sont « sensationnels ».

 

Reste à voir comment un cabinet comme Stikeman, ou tout autre locataire intéressé, pourrait en profiter. Car il reste la question des travaux qui ont coûté les yeux de la tête. Qui va payer? Heenan? Les ex-associés d’Heenan? Les nouveaux locataires? Pour l’instant, tout est possible…

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