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Cirque du Soleil


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Guys, losing à bombardier or cirque du soleil is not losing the corner shop. 
 

These things take decades to build and won’t come back ever again if they falter. 
 

We cannot simply let it go, that would be a disastrous decision. 

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Le gouvernement du Québec devrait nationaliser bombardier si rien n'est fait, et créer une branche spécialisée en TEC intercité pour relier toutes les capitales régionales de la province, avec Hydro-Québec, et tout mettre ça gratuit à l'utilisateur. On vise les 300kmh rien de moins, on ne peut pas se permettre de suivre, maintenant il faut créer. On se crée notre petit Japon à nous. C'est la seule façon d'occuper le territoire au 21e siècle.

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il y a 9 minutes, vivreenrégion a dit :

Le gouvernement du Québec devrait nationaliser bombardier si rien n'est fait, et créer une branche spécialisée en TEC intercité pour relier toutes les capitales régionales de la province, avec Hydro-Québec, et tout mettre ça gratuit à l'utilisateur. On vise les 300kmh rien de moins, on ne peut pas se permettre de suivre, maintenant il faut créer. On se crée notre petit Japon à nous. C'est la seule façon d'occuper le territoire au 21e siècle.

Trop tard pour ça, la division rail est vendue à Alstom. 
 

Le Québec était pas prêt pour un Bombardier. 

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23 hours ago, Malek said:

Guys, losing à bombardier or cirque du soleil is not losing the corner shop. 
 

These things take decades to build and won’t come back ever again if they falter. 
 

We cannot simply let it go, that would be a disastrous decision. 

No.  Investing that money in small business development instead would guarantee long term success in new industries.  As it stands, its the small business that pay for propping up the larger ones with tax handouts, buybacks, etc.  Its unacceptable and needs to stop.  

If a large publicly traded or private company can't support itself, the government has NO BUSINESS propping it up.  Period.   

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https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-07-06/le-cirque-du-soleil-invite-ses-creanciers-aux-encheres.php

Le Cirque du Soleil invite ses créanciers aux enchères

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PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE
Les créanciers du Cirque du Soleil ont mal digéré la convention d’achat intervenue avec les actionnaires actuels, le fonds texan TPG Capital, la firme chinoise Fosun et la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ).

(Montréal) Alors que le plan de relance du Cirque du Soleil est critiqué par ses créanciers, l’entreprise de divertissement les invite plutôt à participer aux enchères s’ils tiennent à ce point à en devenir les nouveaux propriétaires.

Publié le 6 juillet 2020 à 17h12
JULIEN ARSENAULT
LA PRESSE CANADIENNE

Dans le cadre d’une audience qui s’est déroulée jeudi dernier devant un tribunal des faillites au Delaware, les avocats de la compagnie québécoise ont répliqué à certaines des doléances exprimées par le groupe formé de 13 institutions, dont la firme torontoise Catalyst Capital Group, qui détient sa dette garantie d’environ 1 milliard US.

« Il y a une solution très simple ici, ils peuvent participer au processus et nous les invitons, fait valoir l’un des avocats qui représentent le Cirque, Aparna Yenamandra, dans une transcription. C’est exactement ce pour quoi le processus a été mis sur pied. »

Au Canada, le Cirque, qui est privé de revenus en raison de la pandémie de COVID-19, s’est tourné vers la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC), une décision qui s’est notamment soldée par 3480 licenciements. En territoire américain, une protection similaire a été sollicitée — et obtenue — auprès des tribunaux.

Les créanciers de la société ont mal digéré la convention d’achat intervenue avec les actionnaires actuels, le fonds texan TPG Capital, la firme chinoise Fosun et la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). Les prêteurs estiment que cette proposition ne devrait pas être considérée comme le point de départ des enchères.

Ils estiment que c’est plutôt leur offre, qui ne prévoit pas de soutien financier de l’État québécois et maintiendrait le siège social du Cirque à Montréal, qui devrait être privilégiée. C’est ce qu’ils veulent notamment faire valoir lors de la prochaine audience prévue le 10 juillet devant la Cour supérieure du Québec.

Si l’entreprise de divertissement s’est placée à l’abri de ses créanciers, ce n’était pas pour couper l’herbe sous le pied à ses créanciers, mais parce que ses finances seraient encore plus serrées à la fin du mois de septembre, lorsque le processus actuel doit culminer, puisque les liquidités s’amenuisent à chaque semaine.

« La réalité est que nous n’avions tout simplement plus suffisamment de temps devant nous pour faire avancer leur proposition [aux prêteurs] », a fait valoir Me Yenamandra.

Pas d’urgence

De son côté, l’avocat qui représente le groupe de créanciers, Evan Fleck, a plutôt fait valoir que le Cirque n’avait pas besoin de faire appel aussi rapidement à la LACC — une décision qu’il a qualifiée de « choquante » pour ses clients — en rappelant qu’un financement d’urgence de 50 millions US avait été obtenu mai dernier.

Étant donné qu’il y a toujours de l’argent dans les coffres, Me Fleck s’est demandé pourquoi l’entreprise de divertissement avait décidé de conclure, de manière précipitée, une convention d’achat avec ses actionnaires actuels.

L’offre des propriétaires du Cirque, qui valorise la compagnie à environ 420 millions US, propose l’injection de 300 millions US, notamment grâce au prêt de 200 millions US offert par Investissement Québec. En échange d’une restructuration de la dette, les créanciers obtiendraient 45 % du Cirque ainsi qu’une dette non garantie de 50 millions US, alors que les actionnaires actuels se partageraient les 55 % restants. Ils mettront sur pied deux fonds totalisant 20 millions US pour épauler les travailleurs du Cirque et payer les pigistes qui attendent toujours.

« Jusqu’à maintenant, la débitrice n’a fourni aucune justification, à notre avis, qui semble crédible pour justifier ce qui semble être une négociation [de gré à gré avec ses actionnaires] », a fait valoir Me Fleck.

Pour sa part, le groupe de créanciers proposait une conversion de la dette garantie en actions pour mettre la main sur la totalité du Cirque, ce qui aurait écarté les actionnaires actuels. D’après un document déposé auprès de la Cour supérieure du Québec, les prêteurs étaient prêts à bonifier leur mise en injectant 375 millions US d’argent neuf, par rapport à 300 millions US initialement.

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  • 2 semaines plus tard...

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-07-16/le-cirque-du-soleil-accepte-une-offre-d-achat-de-ses-creanciers.php

Le Cirque du Soleil accepte une offre d'achat de ses créanciers

(Montréal) Les créanciers du Cirque du Soleil sont en voie de prendre le contrôle de l’entreprise de divertissement puisque leur dernière offre d’achat, dans laquelle les contribuables québécois n’auront pas à contribuer financièrement à la relance et qui écarterait les actionnaires actuels, a été acceptée.

Publié le 16 juillet 2020 à 8h28 Mis à jour à 10h01
JULIEN ARSENAULT
LA PRESSE CANADIENNE

Cet accord doit être présenté vendredi devant la Cour supérieure du Québec et devra recevoir l’aval du tribunal afin d’être considéré comme soumission d’amorce en lever de rideau de la mise aux enchères de la compagnie — un processus qui devrait culminer vers la fin du mois d’août si des offres rivales sont déposées.

« La coopération du groupe des créanciers a été extraordinaire afin d’atteindre notre objectif visant à recapitaliser le Cirque, a commenté Gabriel de Alba, le directeur général et associé de Catalyst Capital Group (le principal créancier), dans une déclaration, jeudi. Catalyst et les créanciers s’engagent à respecter l’histoire du Cirque. »

Les prêteurs, qui détiennent la dette garantie d’environ 1 milliard US du Cirque, injecteraient jusqu’à 375 millions US d’argent frais, et maintiendraient le siège social de la compagnie à Montréal, selon une source au fait du dossier, mais qui n’est pas autorisée à s’exprimer publiquement. La dette serait réduite à environ 300 millions US et un fonds serait également mis en place pour retenir des employés et payer d’ex-travailleurs et artisans.

Cette nouvelle offre écartera l’arrangement évalué à environ 420 millions US et annoncé avec les actionnaires actuels, le fonds texan TPG Capital, la firme chinoise Fosun et la Caisse de dépôt et placement du Québec, le 29 juin, lorsque le Cirque s’est tourné vers la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC). Ceux-ci misaient sur le prêt de 200 millions US offert par l’État québécois.

« L’apport de capitaux constitue seulement une première étape dans la relance d’un Cirque en santé », a souligné dans une déclaration le trio d’actionnaires, sans indiquer s’il comptait revenir à la charge avec une offre bonifiée si c’est la proposition des créanciers qui obtient le statut de soumission d’amorce.

Privé de revenus depuis la mi-mars en raison de la crise sanitaire provoquée par la pandémie de COVID-19, le Cirque a annulé ses 44 spectacles et a licencié quelque 3480 personnes. Ses créances totalisent plus de 1,6 milliard US.

Dans le cadre du processus d’enchères, d’autres acquéreurs potentiels pourront déposer une offre. Lors d’une audience devant la Cour supérieure, vendredi dernier, l’avocat représentant Québecor avait laissé entendre que le conglomérat comptait tenter sa chance.

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https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-07-20/cirque-du-soleil-un-risque-pour-la-caisse-de-depot-et-le-fonds-ftq.php

Cirque du Soleil : un risque pour la Caisse de dépôt et le Fonds FTQ

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PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE
L’offre d’achat des créanciers du Cirque du Soleil risque d’écarter la présence québécoise au sein de son actionnariat depuis sa fondation en 1984, mais aussi d’engendrer des pertes de plusieurs dizaines de millions de dollars à la Caisse de dépôt et placement du Québec et au Fonds de solidarité FTQ.

(Montréal) L’offre d’achat des créanciers du Cirque du Soleil risque d’écarter la présence québécoise au sein de son actionnariat depuis sa fondation en 1984, mais aussi d’engendrer des pertes de plusieurs dizaines de millions de dollars à deux des plus importants investisseurs institutionnels de la province : la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et le Fonds de solidarité FTQ.

Publié le 20 juillet 2020 à 13h53
JULIEN ARSENAULT
LA PRESSE CANADIENNE

Aux yeux de certains observateurs, la débâcle de cette entreprise de divertissement vient rappeler qu’il n’est pas toujours possible de conjuguer le double mandat visant à générer des rendements tout en épaulant des sociétés québécoises.

« Ça s’appelle un investissement, a laissé tomber le professeur de stratégie à HEC Montréal Louis Hébert, au cours d’un entretien téléphonique, lundi. Il y en a qui fonctionnent et d’autres qui ne fonctionnent pas. On a vu les pour et les contre des stratégies visant à favoriser les entreprises québécoises. »

Considérée depuis vendredi dernier comme soumission d’amorce dans le cadre du processus d’enchères du Cirque, l’offre d’au moins 1,2 milliard US du groupe de créanciers garantis risque d’écarter le trio d’actionnaires actuels — la Caisse, le fonds texan TPG Capital et la firme chinoise Fosun — s’il ne revient pas à la charge. Celui-ci pourrait tout perdre.

Lundi, la CDPQ n’a pas voulu s’avancer sur les sommes qui étaient en jeu dans le dossier.

Dans son plus récent rapport annuel, le bas de laine des Québécois se limitait à estimer que sa participation initiale de 10 %, acquise en 2015, valait entre 50 millions et 100 millions en date du 31 décembre dernier. À cela s’ajouterait le montant investi en février pour racheter les 10 % qui appartenaient toujours au cofondateur Guy Laliberté. La Caisse avait aussi prêté 30 millions US à l’entreprise l’an dernier.

Déjà radié

Lorsque le Cirque s’est tourné vers la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC) à la fin juin, le Fonds de solidarité FTQ n’a pas tardé à confirmer qu’il ne s’attendait pas à revoir la couleur des 30 millions US (comptabilisés à 39,9 millions CAN) prêtés l’an dernier.

Au cours d’une entrevue téléphonique avec La Presse canadienne à la fin juin, le président et chef de la direction du Fonds, Gaétan Morin, avait rappelé que le risque faisait partie de la stratégie d’investissement de l’institution.

« La question, c’est : est-ce que c’est le genre d’investissement dans lesquels ils (la Caisse et le Fonds) devaient se lancer ? » s’est demandé l’expert en gouvernance et professeur à l’Université Concordia Michel Magnan, au bout du fil.

« Le Cirque est dans un secteur tributaire des dépenses discrétionnaires. Si l’économie ralentie, c’est certain que ça va planter. »

M. Magnan n’est toutefois pas allé jusqu’à critiquer les interventions financières réalisées par la Caisse et le Fonds, en soulignant qu’il était toujours « facile » d’analyser le dossier « après coup ». Le professeur a également estimé qu’il était « difficile » de juger si la CDPQ avait eu raison ou non de racheter les dernières actions de M. Laliberté en février dernier, alors que la COVID-19 avait déjà provoqué l’annulation de spectacles en Chine, où le Cirque était présent.

Conditions

La proposition des créanciers garantis fixe les conditions minimales à respecter pour le dépôt d’éventuelles offres rivales et écarte la convention d’achat initialement intervenue entre le Cirque et ses propriétaires actuels.

Elle propose de mettre jusqu’à 375 millions US — sans aide gouvernementale — à la disposition de la compagnie. Deux fonds totalisant 20 millions US seront également créés pour verser les sommes dues aux ex-travailleurs et artisans. L’entente prévoit un engagement pour le maintien du siège social du Cirque à Montréal pendant au moins cinq ans.

Alors que M. Magnan doute de cette promesse, M. Hébert, lui, a estimé que les prêteurs voulaient éviter des dispositions trop contraignantes.

« S’ils n’ont pas l’obligation de conserver le siège social à Montréal, sans doute que le prix obtenu (en cas de transaction) sera supérieur, a estimé le professeur de stratégie à HEC Montréal. Cela est peut-être perçu par certains acquéreurs comme un obstacle. C’est malheureux, mais c’est comme cela que les investisseurs financiers pensent. »

On aura jusqu’au 18 août pour soumettre une proposition rivale visant à acquérir le Cirque. Si nécessaire, les enchères auront lieu le 25 août. La transaction devrait être conclue d’ici le 30 septembre. Québecor ne fera pas partie des enchères, mais le conglomérat a néanmoins tendu la main aux créanciers. Par l’entremise de sa société Lune Rouge, M. Laliberté serait toujours en train d’analyser le dossier.

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  • 5 semaines plus tard...

le Cirque n'est plus une propriété québécoise

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1727532/cirque-soleil-vente-caisse-depot-placement-quebec

Les créanciers du Cirque du Soleil en prennent les commandes

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Une scène du spectacle « Totem » du Cirque du Soleil présenté en décembre dernier, à Düsseldorf, en Allemagne.
PHOTO : GETTY IMAGES / JOSHUA SAMMER

La Presse canadienne
2020-08-18 | Mis à jour hier à 21 h 42

Un groupe de créanciers du Cirque du Soleil s'installera aux commandes de l'entreprise de divertissement, un scénario qui, dans l'immédiat, écartera la présence québécoise au sein de l'actionnariat de la troupe qui a vu le jour en 1984.

Les prétendants avaient jusqu'à 17 h, mardi, pour soumettre une proposition supérieure à celle de 1,2 milliard de dollars américains émanant de la douzaine de prêteurs garantis menés par la firme torontoise Catalyst Capital Group.

« Nous n'avons pas reçu une offre supérieure à celle de nos prêteurs. »

— Caroline Couillard, porte-parole du Cirque

La Cour supérieure du Québec, qui supervise le processus en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC), devra officialiser le tout dans une audience plus tard ce mois-ci.

Dans un courriel, le directeur général et associé de Catalyst, Gabriel de Alba, a estimé qu'il s'agissait d'un excellent dénouement pour l'entreprise, ses employés ainsi que ses artistes pour éventuellement recommencer à offrir des spectacles.

« Maintenant que les récents faux pas de la compagnie sont derrière nous, nous sommes impatients de conclure rapidement la transaction et de la soutenir pour qu'elle ravive la magie et le talent artistique qui ont fait du Cirque du Soleil une marque mondiale emblématique. »

— Gabriel de Alba, PDG de Catalyst

Cela écartera les actionnaires actuels de l'entreprise : le fonds texan TPG Capital, la firme chinoise Fosun et la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), qui avaient acquis une participation majoritaire dans le Cirque lorsque son cofondateur Guy Laliberté avait décidé de ne conserver que 10 % de la compagnie.

Au neutre

Incapable de générer des revenus après avoir annulé ses 44 spectacles dans le monde en raison de la crise sanitaire provoquée par la pandémie de COVID-19, le Cirque s'est tourné vers la LACC à la fin de juin, ce qui a mené au licenciement d'environ 3500 employés.

Les prêteurs proposent d'allonger jusqu'à 375 millions de dollars américains – sans aide gouvernementale – à la disposition de la compagnie. Deux fonds totalisant 20 millions seront également créés pour verser les sommes dues aux ex-travailleurs et artisans. L'entente prévoit un engagement pour le maintien du siège social du Cirque à Montréal pendant au moins cinq ans.

Notre avenir passera par le numérique et accordera la priorité à la gouvernance et à la responsabilité sociale, a indiqué M. de Alba.

Dans l'immédiat, le président et chef de la direction du Cirque Daniel Lamarre devrait conserver son poste, selon ce qu'a indiqué une source au fait du dossier, mais qui n'était pas autorisée à parler publiquement.

Les créanciers étaient parvenus à s'entendre avec le Cirque après avoir signalé qu'ils s'opposaient à la convention d'achat ayant été annoncée entre la compagnie et ses actionnaires, qui misaient sur un prêt de 200 millions de dollars américains offert par l'État québécois dans le cadre de leur stratégie de relance.

Des changements?

Une fois qu'ils seront installés aux commandes, les créanciers pourraient accueillir de nouveaux investisseurs au sein de l'actionnariat du Cirque. Après avoir signalé qu'il ne ferait pas partie du processus d'enchères, le conglomérat de télécommunications Québecor avait tendu la main aux créanciers en exprimant son intérêt à participer à la relance du Cirque.

Toute proposition rivale devait être supérieure d'au moins 1,5 million de dollars américains à l'entente intervenue avec les prêteurs du Cirque. De nombreux observateurs estimaient qu'il était peu probable de voir d'autres prétendants se manifester.

M. Laliberté, qui a vendu sa participation restante de 10 % pas plus tard qu'en février – à l'aube de la pandémie mondiale de COVID-19 – à la Caisse pour 75 millions de dollars américains, avait démontré de l'intérêt à l'endroit de la compagnie. Le milliardaire n'a toutefois pas déposé d'offre en bonne et due forme pour remettre la main sur la troupe qu'il a cofondée.

Pour le bas de laine des Québécois et le Fonds de solidarité FTQ, l'aventure se termine en queue de poisson.

La CDPQ a radié ses investissements évalués à 170 millions de dollars américains. Le Fonds a également confirmé qu'il ne reverrait pas la couleur des 30 millions prêtés au Cirque l'an dernier.

La clôture de la transaction est prévue le 30 septembre d'après les informations figurant dans les documents déposés auprès du tribunal.

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