Aller au contenu

Wealthy international home buyers favoring Montreal over Toronto and Vancouver.


Olivier Benny

Messages recommendés

Mtl: 206

Van: 1239

Tor: 2947

 

eeesshhh! Je ne pensais pas qu'il y avait un si grosse différence. Nous n'avons même pas 10% du nombre de maisons d'un million vs Toronto et à peine 16% du nombre de Vancouver. C'en est prèsque pathétique!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 25
  • Créé il y a
  • Dernière réponse

Membres prolifiques

Si le prix des maisons est plus bas à Montréal, c'est surtout à cause du grand nombre de locations en comparaison d'autres marchés. Il en coute ainsi beaucoup moins cher pour se loger ici que pratiquement n'importe où dans les grandes villes nord-américaines. Ce qui me fais dire que Montréal est plus abordable pour vivre qu'ailleurs sur le continent. Plus facile aussi d'acheter en comparaison. A Vancouver les résidents originaux ont déserté la ville en grand nombre parce que c'est devenu prohibitif. A Toronto il faut souvent cohabiter pour se payer quelque chose de décent, ou s'endetter pour la vie pour un endroit plus ou moins central.

 

C'est le contrôle des loyers qui maintient cette situation à Montréal, l'histoire de la ville étant très différente et plus ancienne que les autres villes canadiennes. De toute façon je pense qu'on y trouve notre compte et sur le plan social, c'est plus avantageux. Maintenant si on regardait les statistiques pour les maisons entre 500,000 et un million, on trouverait probablement des chiffres tout aussi élevés toute proportion gardée. Finalement je préfère la situation montréalaise qui est moins spéculative et plus accessible pour le commun des mortels.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a une différence, Vancouver est overrated et Toronto construit des boites de carton à 500k$. Les imbéciles sont ceux qui décident quand même d'acheter. Ces villes vont se retrouver avec une population qui ne peut que louer. Si vous voulez voir à quoi ressemble une maison de 1million à Vancouver,...

http://vreaa.wordpress.com/2013/02/24/where-in-the-world-would-you-pay-888000-to-live-in-this-beauty/

qui est assez stupide pour payer ça......

En voyant une dompe qui vaut 890 000$, il est facile de voir pourquoi ils ont 1000+ maisons de plus de 1 million. Le cabanon chez mes parents est presque aussi gros.

 

http://vreaa.files.wordpress.com/2013/12/business-insider.jpg

Modifié par vivreenrégion
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Yes I would, but ......... si les investisseurs sont à grande majorité Chinois ou asiatiques, il faut faire la part des choses. Prend le total d'investisseurs minus ceux asiatiques = combien en reste-t-il ? et qui sont ceux qui restent ? d'où viennent-ils ? à Montréal il est préférable que la majorité des investisseurs soient Européens(ils ont les mêmes valeurs que nous). On peut voir que ce sont les asiatiques qui font gonfler les prix à Vancouver au détriment de la population locale. Si tu avais 1 million$ à dépenser, où irais-tu le mettre, dans quelle ville ? Moi je crois mark que tu irais le mettre ici même, à Mtl (Grand Montréal).

Modifié par vivreenrégion
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si d'après ce graphique il n'y a pas de bulle immobilière au Canada, je ne m'appelle pas Rocco.

Lorsqu'on sort des grandes régions métropolitaines, le prix est beaucoup plus raisonnable. La bulle est principalement pour les grandes villes. Le ratio prix-salaire est acceptable en région.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Supposons que je suis un Martien en voyage exploratoire à Montréal, Toronto et Vancouver. Dans un premier temps, j'ai examiné le stock d'habitations des trois villes, sans m'enquérir des prix, ce que j'ai fait ensuite, dans une seconde étape. Voici ce que j'ai découvert: Montréal renferme le plus grand nombre de maisons somptueuses dans des quartiers huppés, suivie de Toronto et, assez loin derrière, Vancouver. De plus, c'est à Montréal que j'ai vu les plus vastes quartiers d'habitations à moyenne densité, dans des quartiers relativement denses (mais moins qu'en Europe, la différence se manifestant non pas tant quant au taux d'occupation du sol que dans la hauteur standard des bâtiments). A l'inverse, c'est à Toronto et Vancouver, plus qu'à Montréal, que j'ai remarqué le plus grand nombre de hautes tours d'habitations. Poursuivant mon chemin dans les zones de banlieues à faible densité, j'ai été frappé par la disparité quant à la taille standard des maisons, nettement plus petites à Montréal.

 

J'ai voulu ensuite m'informer sur les prix demandés. Commençant par la donnée statistique la plus courante--le prix médian, j'ai appris que Vancouver était largement en tête, suivie de Toronto, et de Montréal loin derrière. On me fournit les explications classiques (taux de croissance différenciés, impact de la riche immigration asiatique, revenu médian des ménages, prépondérance des locataires à Montréal, etc.) Mais je n'étais pas complètement satisfait des explications fournies. Alors je me suis rappelé quelques éléments fondamentaux. D'abord, la médiane ne dit pas tout; il faut au moins tenir aussi compte de la moyenne et de la dispersion des prix. Ensuite, pour l'importante portion des stocks d'habitation constituée d'unifamiliales en banlieue, il fallait absolument normaliser la taille et les autres caractéristiques, pour faire une juste comparaison.

 

Je suis donc retourné sur le terrain, pour faire des comparaisons de cas "comparables" en tous points ou presque. Avec cet exercice, j'ai trouvé que des écarts "réels" de prix existent bel et bien, mais qu'ils sont largement moins considérables que ce qu'une simple consultation des prix médians" donnait. Je pouvais finalement me concentrer sur ce que nous appelons des "aberrations", d'en identifier les causes et de faire mes pronostics sur l'évolution de ces cas. Tout cela se retrouvera dans mon rapport au Grand Conseil!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ton Martien devrait aussi voir qu'environ le ¼ des condos à Vancouver ne sont pas habités. La ville se meurt. La ville est en quelques sortes une banque pour aller y déposer son argent...

devrait passer une loi nationale, si tu achètes, tu dois y habiter, sinon, bebye.

Modifié par vivreenrégion
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

its ok Habsfan - there's always an excuse!

 

:rotfl:

 

Tu sais, quand je fais une intervention, c'est ouvert à un débat pertinent. Si tu penses que ma réflexion sur le prix médian est erronée, je serai heureux de connaître ton point de vue, et peut-être même d'apprendre quelque chose.

Modifié par vincethewipet
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ton Martien devrait aussi voir qu'environ le ¼ des condos à Vancouver ne sont pas habités. La ville se meurt. La ville est en quelques sortes une banque pour aller y déposer son argent...

devrait passer une lois nationale, si tu achètes, tu dois y habiter, sinon, bebye.

 

Son cousin Terrien avait une petite idée du phénomène, mais manifestement mon Martien a omis cet aspect. Merci de me le rappeler, je lui en ferai part. Ceci dit, Vancouver est peut-être un cas extrême (mis à part certaines villes chinoises, mais les informations là-bas sont un peu opaques), mais ce n'est pas un cas unique. Paris intra-muros compte un pourcentage très élevé de logements inoccupés, bien que pour des raisons différentes. Et à Toronto, les condos achetés par des spéculateurs sont généralement mis en location, ce qui au moins a un effet bénéfique sur l'offre globale de logements locatifs dans cette ville. Quant à ta proposition obligeant les acheteurs à habiter leur logement, je conçois un peu ce qui la motive, et en même temps je présume que tu imagines bien les difficultés inhérentes à l'application d'une telle "loi", sans compter l'opposition que susciterait son dépôt avant même son adoption. Mais discutons d'une autre incidence probable: si cette "loi" s'appliquait exclusivement aux nouveaux achats de condos (une hypothèse très vraisemblable), la demande se répercuterait sur a) les condos existants et b) les maisons unifamiliales existantes. Or, c'est probablement sur ce segment que la surenchère actuelle a amené les plus grandes aberrations (e.g. les bicoques à $700,000-900,000).

 

Je conviens que globalement, le prix de l'habitation à Vancouver est totalement déconnecté de la capacité des gens "ordinaires" nouvellement arrivés (par opposition à ceux établis depuis longtemps, qui ont payé bien moins) d'acquérir une maison dans la ville. Leurs options sont de s'établir très loin en banlieue dans la vallée du fleuve Fraser, ou de louer. Et le phénomène n'est pas vraiment nouveau--lors de mes très nombreux voyages d'affaires dans cette ville, surtout dans les années 1990, j'ai connu plusieurs personnes dans cette situation. Les conséquences sont très graves, et les solutions, pas faciles à trouver. Le gouvernement britannique a reconnu un problème similaire pour Londres et toute la région sud-est de l'Angleterre, mais je n'y ai pas vu encore de moyens efficaces d'enrayer la tendance. Au contraire, l'argent étranger y afflue, pendant que les dépenses publiques sont restreintes. Que dire de plus! --A part se demander si un certain "débordement" de la vague dans une ville comme Montréal est une bonne, ou une mauvaise chose.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...