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This Ingenious Way to Build Bridges Will Fix Our Crumbling Infrastructure


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Something this efficient will never happen in Quebec. They've been working on the first bridge over the 15 going into Laval for months and they seem to have barely made any progress. Installing a bridge over night would be miraculous here. The website where the link video is embedded says had it not been raining this would have taken 4-6 hours... HOURS.... http://www.wired.com/autopia/2013/10/abc/

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Ceci suppose que les culées du pont sont en bon état.

L'avantage de pré-fabriquer le pont à côté de l'endroit où il sera installé, est de réduire au minimum la période de fermeture à la circulation.

Pour ce qui est de la démolition de l'ancien viaduc, pas de problème. Celui de Sainte-Julie avait disparu en une nuit.

Il peut arriver également qu'une reconstruction de viaduc soit également une occasion de remise à niveau.

Ex: construire plus large et avec un meilleur dégagement au sol (Comme à Drummondville). Dans ce cas, c'est nécessairement plus long.

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Technique très intéressante et je suis convaincu que le MTQ en connait l'existence. Après tout il y a des ingénieurs compétents partout et l'ÉTS notamment est certainement au fait de ce qui se fait de mieux dans le monde. Il faut dire que pour procéder de la sorte, il faut avoir un espace voisin apte à recevoir la nouvelle structure, en attendant de la faire glisser sur son nouveau support. Pas toujours possible ou évident. Au Québec on est pas plus con qu'ailleurs, et notre problème était davantage un problème de corruption que de conception et de réalisation. C'est aussi une question de volonté politique et encore là n'importe qui, qui proposerait quelque chose de plus efficace et économique, trouverait oreille pour l'entendre.

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Comme mentionnée plus haut, tout ce qui se rapproche d'un syndicat va toujours privilégier plus de travail pour ses membres, et ce, d'une façon le moins efficace possible. C'est toute la beauté du syndicalisme...

 

Je ne connais pas cette méthode, mais si ca pouvait faire sauver du temps (et de l'argent) on trouvera bien un moyen de l'écarter...

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Comme mentionnée plus haut, tout ce qui se rapproche d'un syndicat va toujours privilégier plus de travail pour ses membres, et ce, d'une façon le moins efficace possible. C'est toute la beauté du syndicalisme...

 

Je ne connais pas cette méthode, mais si ca pouvait faire sauver du temps (et de l'argent) on trouvera bien un moyen de l'écarter...

 

Quelle mauvaise foi! Pourquoi ne pas dire directement que tous les syndiqués sont des idiots qui ne connaissent rien au travail, et qui cherchent par tous les moyens à fourrer le patron ou l'entreprise. J'ai été syndiqué toute ma vie et j'ai milité dans le syndicat dans un but constructif, comme l'extrême majorité de mes collègues qui s'y ont investis.

 

Nous avons souvent apporté (surtout avant la glissade à droite de la compagnie) à notre entreprise toutes sortes de méthodes pour améliorer les conditions de travail et la productivité. Tout cela parce que nous savions que si la compagnie allait bien et qu'elle demeurait compétitive, nous protégions en même temps nos emplois et notre avenir. Il faut être assez imbécile pour se tirer dans le pied en mettant les bâtons dans les roues de son employeur.

 

On ne peut pas généraliser les pratiques de certains syndicats voyous, qui sont une minorité. Pareil pour certains employeurs qui abusent en cultivant une mentalité de confrontation et d'absence de respect vis à vis du personnel. Te lire est une désolation. C'est justement pour se protéger contre ce genre d'attitude méprisante, comme tu le démontres si bien, qu'on a besoin de syndicats, afin de protéger les employés des décisions arbitraires des petits boss.

 

Une convention collective est un document légal qui est censé protéger employeurs et employés contre les abus de part et d'autre. Étrangement en dépit de la présence du syndicat, mon expérience a été que la compagnie pour laquelle je travaillais dans les dernières années, a et continue encore aujourd'hui, à enfreindre toutes sortes de clauses qui sont soumises en permanence à l'arbitrage. C'est payant pour l'employeur parce qu'il gagne du temps et de l'argent au détriment des ententes signées. Quant au syndicat il perd énormément de temps en procédures et requêtes de toutes sortes. La tactique est simple et bien connue: noyer le syndicat pour le rendre le plus possible inopérable.

 

Alors avant de taper sur les syndiqués comme un enragé. Réfléchis donc à ton comportement qui s'apparente bien plus au patron véreux et opportuniste qui cherche à avoir le beurre et l'argent du beurre.

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Quelle mauvaise foi! Pourquoi ne pas dire directement que tous les syndiqués sont des idiots qui ne connaissent rien au travail, et qui cherchent par tous les moyens à fourrer le patron ou l'entreprise. J'ai été syndiqué toute ma vie et j'ai milité dans le syndicat dans un but constructif, comme l'extrême majorité de mes collègues qui s'y ont investis.

 

Nous avons souvent apporté (surtout avant la glissade à droite de la compagnie) à notre entreprise toutes sortes de méthodes pour améliorer les conditions de travail et la productivité. Tout cela parce que nous savions que si la compagnie allait bien et qu'elle demeurait compétitive, nous protégions en même temps nos emplois et notre avenir. Il faut être assez imbécile pour se tirer dans le pied en mettant les bâtons dans les roues de son employeur.

 

On ne peut pas généraliser les pratiques de certains syndicats voyous, qui sont une minorité. Pareil pour certains employeurs qui abusent en cultivant une mentalité de confrontation et d'absence de respect vis à vis du personnel. Te lire est une désolation. C'est justement pour se protéger contre ce genre d'attitude méprisante, comme tu le démontres si bien, qu'on a besoin de syndicats, afin de protéger les employés des décisions arbitraires des petits boss.

 

Une convention collective est un document légal qui est censé protéger employeurs et employés contre les abus de part et d'autre. Étrangement en dépit de la présence du syndicat, mon expérience a été que la compagnie pour laquelle je travaillais dans les dernières années, a et continue encore aujourd'hui, à enfreindre toutes sortes de clauses qui sont soumises en permanence à l'arbitrage. C'est payant pour l'employeur parce qu'il gagne du temps et de l'argent au détriment des ententes signées. Quant au syndicat il perd énormément de temps en procédures et requêtes de toutes sortes. La tactique est simple et bien connue: noyer le syndicat pour le rendre le plus possible inopérable.

 

Alors avant de taper sur les syndiqués comme un enragé. Réfléchis donc à ton comportement qui s'apparente bien plus au patron véreux et opportuniste qui cherche à avoir le beurre et l'argent du beurre.

 

 

Techniquement, il ne tape pas sur les syndiqués, mais sur les syndicats. Ce n'est pas la même chose. Les syndicats font leurs "profits" avec les cotisations syndicales, et plus il y a d'employés, plus le syndicat récoltera de cotisations (qu'il pourra détourner vers des carrés rouges au autres causes). Il n'y a pas grand chose de plus payant pour un syndicat qu'un fonctionnaire inefficace. S'il est permanent, il sera très difficile de congédier ce fonctionnaire. Il faudra engager d'autres employés pour compenser son inefficacité. De plus, contrairement à une entreprise privée, il est presque impossible pour un gouvernement de faire faillite (tant qu'il reste des contribuables à presser comme des citrons) ou de délocaliser ses activités. La carotte est placée de façon que ce soit plus payant pour un syndicats qu'une organisation ait besoins de plus d'employés pour faire un même travail. Ça ne veut pas dire que les syndiqués veulent être inefficaces (encore moins qu'il aiment travailler avec des gens inefficaces) De plus, si Jean-Martin Aussant peut dire qu'on ne peut pas faire confiance au privé dans la santé parce qu'il est plus profitable pour celui-ci de ne pas guérir complètement les patients, on peut dire de la même façon qu'un syndicat n'a pas intérêt à ce que l'organisation où travaillent les employés qu'il représente soit efficace (c'est encore plus vrai dans un gouvernement à cause du plus faible risque de fermeture).

 

En ce qui concerne cette méthode de construction, ça semble intéressant. Il faut absolument augmenter la productivité au Québec. J'espère que suite à la corruption dans l'industrie de la construction, on va commencer à changer les façon de faire. Un peu (ou même beaucoup) d'innovation ferait beaucoup de bien.

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Que sont les syndicats sans les syndiqués? Pas plus qu'une entreprise sans employé. Dans un monde idéal on n'aurait pas besoin de syndicats, mais cela suppose que les patrons soient de la meilleure foi possible et réalisent que le succès de leur entreprise dépend du bon traitement de leurs employés. Dans les années 80 on disait: traitez bien vos employés et ils traiteront bien vos clients. C'est encore vrai aujourd'hui avec ou sans syndicat. La nature humaine n'a pas changé et ne changera pas, à moins que le niveau de conscience ne s'élève substantiellement. C'est vrai des deux côtés, patronat-employés. Tout est relié au climat de confiance et au respect des règles de part et d'autre.

 

Cependant le milieu des affaires a pris depuis longtemps un virage à droite et les gouvernements ont suivi. Une lente érosion des conditions de travail et des changements drastiques dans les conventions collectives, ont fait reculer la société aux conditions qui prévalaient bien avant les années 80, du temps des grèves générales et des conflits sociaux. Pour la première fois les jeunes ne profitent plus des avancées des anciens et la disparition, pour plusieurs, des régimes de pension, les condamnent à une retraite plus tardive et nettement plus aléatoire.

 

Du temps des belles années des hauts taux d'intérêt, les compagnies ne se gênaient pas pour piger dans la caisse ou prendre congé. Appauvrissant du même coup le capital du fond qui ne pouvait plus palier aux mauvaises années à venir. Aujourd'hui nous sommes dans la situation inverse et tout les dirigeants veulent se départir de leurs responsabilités qui ne sont pourtant que conjoncturelles. Littéralement on jette le bébé avec l'eau du bain, en appliquant une solution permanente à un problème temporaire.

 

On ouvre donc la porte à des conflits futurs et au retour des années difficiles, parce qu'on a fait le choix de la facilité au lieu de tenter des ajustements ponctuels. Le gouvernement Harper s'en mêle en forçant des lois mamouths qui s'attaquent directement et sournoisement aux syndicats, en tentant de paralyser leurs actions. Si le rapport de force des années 80 disparait définitivement, on ne fera pas disparaitre les revendications sociales, on aura seulement créé une autre crise.

 

Plus ça change plus c'est pareil. Une désolante lutte où la loi du plus fort continue de s'appliquer. Le véritable progrès viendra, non pas avec ces nouvelles technologies qui sont à mon avis extraordinaires. Mais quand les relations humaines suivront la même course du progrès technologique.

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