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Activité commerciale dans Griffintown


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Un bureau de poste avant une école. Ça fait du sens.

 

On sait tous que la mythologie grecque comporte un grand nombre de «dieux»: à chacun sa spécialité ou son champ de prédilection. Pour Montréal, il y a deux gouvernements, et deux capitales. Faut pas demander à un dieu de se mêler des affaires de l'autre. Toutefois, il y a un avantage: si on demande une école, on ne risque pas de se faire dire par le dieu Québec (qui a l'éducation dans ses cordes) d'attendre, sous prétexte qu'on a déjà reçu un cadeau (le bureau de poste).

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C'est très exact comme observation.

 

En plus de cela, i'un ne devrait pas empêcher l'autre.

Une école et un bureau ne peuvent pas se substituer mutuellement.

 

Il y a eu un bureau de poste sur Saint-Jacques qui a été fermé alors que la population de Griffintown commençait à augmenter. Plus que jamais, c'est beaucoup plus logique d'en ouvrir un dans un quartier en pleine croissance.

 

Espérons l'ouverture prochaine d'une nouvelle école.

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  • 2 semaines plus tard...

Un autre magasin de meubles/déco, Kartell, s'installe dans Griffintown (je crois que le 1120 rue Wellington est local dans l'Hexagone au coin de Young, car la RBC = 1100, et Klub Athkletik = 1150)

 

En même temps ITEM a fait faillite et a fermé ses portes!

 

via Index-Design :

 

 

Kartell s’installe à Montréal ce printemps

 

 

En visite au Salon Del Mobile de Milan, Index-Design a rencontré Lorenza Luti, directrice marketing de Kartell pour discuter de l’ouverture prochaine de la boutique Kartell dans le quartier Griffintown.

ID – Pourquoi avez-vous décidé d’ouvrir une boutique Kartell à Montréal ?

 

LL – Depuis un peu plus de 10 ans, Kartell a installé différentes boutiques et Shop in Shop à travers le monde. L’idée a toujours été de positionner Kartell graduellement dans toutes les villes importantes. C’est finalement après 135 boutiques et points de vente Kartell que nous arrivons au Canada, plus spécialement à Montréal. Normalement, nous débutons avec une salle d’exposition Kartell (flagship store) dans la capitale et nous poursuivons dans les villes les plus importantes. Par la suite, nous ajoutons des Shop in Shop dans les boutiques établies avec qui nous avons une bonne relation. Ce sera le cas pour Montréal. Nous poursuivrons le développement de Kartell à Toronto avec un Pop-up Store. Finalement, nous ouvrirons un site Internet transactionnel pour permettre aux designers et architectes canadiens de faire leur commande en ligne.

 

ID – Vous ouvrirez donc une boutique à Montréal avant d’ouvrir à Toronto ?

 

LL – Oui, effectivement. En fait, nous souhaitons ouvrir deux boutiques, une à Montréal et l’autre à Toronto. C’est une question de localisation, nous avons trouvé l’endroit à Montréal avant de trouver celui à Toronto. La boutique montréalaise sera située au 1120, rue Wellington dans le quartier Griffintown. Elle n’est pas très grande, mais idéale pour nos besoins. Nous aurons également une très belle terrasse qui sera ouverte de mai à octobre devant la boutique. Ce sera très agréable comme endroit. L’idée est aussi de changer la vitrine quatre à cinq fois par année selon les campagnes mondiales afin de présenter les nouveaux produits et les best sellers.

ID – Parlant de nouveaux produits, est-ce que tous les produits présentés au Salone Del Mobile sont à l’étape du prototype ou certains seront mis en marché prochainement ?

 

LL – Une dizaine de produits seront lancés dans les prochains mois, d’autres sont encore à l’étape du prototype. Ils seront graduellement sur le marché dans les prochaines années. Une fois lancée, un produit Kartell est disponible dans tous les pays où nous sommes présents. Par exemple, la lampe Aledin par Alberto et Francesco Meda sortira prochainement. Nous sommes déjà à l’étape du moule. Si tout ce passe bien, le produit sera sur le marché l’année prochaine dès janvier. Pour l’ouverture de la boutique à Montréal, nous aurons le sofa Uncle Jack par Philippe Starck que nous avons lancé l’année dernière. Nous aurons également des bestsellers tels que la chaise masters par Philippe Starck et Eugeni Quitllet, la famille de produits Ghost ainsi que la table d’appoint Componibile d’Anna Castelli Ferrieri. Certains produits, comme cette table d’appoint, ont une très longue vie.

 

ID – Comment faites-vous la sélection des designers avec qui vous développez vos produits ?

 

LL – Tout commence avec la relation que nous avons avec les designers. Mon père les rencontre d’abord pour discuter et pour établir cette relation avant même de parler de la conception d’un produit. En fait, la première rencontre n’est jamais pour discuter d’un produit en particulier. C’est plutôt pour établir une relation et évaluer si de part et d’autres, nous souhaitons travailler ensemble. C’est aussi pour que le designer comprenne comment nous travaillons, pour savoir si nous avons la même philosophie, bref pour expliquer en profondeur qui est Kartell. Ensuite, lorsque la relation est bien établie, les designers commencent à créer et à trouver leur voie. Nous ne les briefons pas trop. Nous pensons que si nous donnons un brief trop serré, nous perdrons de leur créativité. Ainsi, chaque designer trouve sa propre voie pour créer à l’intérieur de Kartell.

 

ID – Pour terminer, quel serait votre plus grand rêve pour Kartell ?

 

LL – Notre rêve serait que l’on puisse retrouver un produit Kartell dans chaque maison. Nous aimons le fait que nos objets fassent partie d’environnements plus éclectiques, que chaque personne l’interprète à sa façon.

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Un magasin de meubles de plus. Je ne serais pas surpris s'il y a un jour un petit Ikea.

Griffintown a maintenant la spécialité meubles. C'est comme la rue Saint-Hubert qui a celle des robes de marées.

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Un magasin de meubles de plus. Je ne serais pas surpris s'il y a un jour un petit Ikea.

Griffintown a maintenant la spécialité meubles. C'est comme la rue Saint-Hubert qui a celle des robes de marées.

 

Je suppose qu'un magasin de meuble à Griffintown permet de rejoindre aussi la clientèle du centre-ville sans avoir à payer un loyer du centre-ville?

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La construction a un effet d'entrainement sur un ensemble d'activités économiques. Ne dit-on pas d'ailleurs: quand la construction va, tout va. Ici on peut dire que Griffintown et tout l'ouest le long du canal Lachine notamment, sans oublier le coeur du centre-ville tout juste au nord, sont en plein développement. Des milliers de nouveaux condos et logements sont en chantier et plusieurs autres viendront s'ajouter dans les années et décennies à venir. Le territoire est immense et le potentiel incroyable, compte tenu du fait qu'on est soit dans ou à proximité du centre-ville.

 

Une des retombées directe de l'arrivée de nouveaux logements est bien sûr l'ameublement. Beaucoup de gens profitent de surfaces plus grandes ou plus petites, pour remeubler leur espace ou simplement le moderniser. C'est donc une occasion en or pour l'industrie du meuble, qui est assurée d'une clientèle nombreuse et régulière. Surtout qu'ici la densité urbaine garantit de bonnes affaires avec en prime tous ces nouveaux propriétaires, souvent jeunes, de classe moyenne ou professionnelle, qui représentent le consommateur idéal pour ce type de services.

 

On peut alors espérer la venue d'autres commerces du genre, comme des boutiques d'accessoires notamment, qui viendront sûrement compléter l'offre en produits durables, tout en soutenant la vitalité économique du secteur. C'est vraiment une ville dans la ville qui se bâtit, plusieurs projets à la fois et le phénomène n'est pas près de se tarir.

 

Ajoutons à cela le futur SLR qui désenclavera encore plus cette partie urbaine, et vous aurez une ville en pleine effervescence. Elle saura peut-être à terme faire un pied de nez à la banlieue, autant pour la rétention de ses résidents, que pour l'attrait des mégacentres commerciaux, devenus moins concurrentiels et certainement moins pertinents pour ces citadins dans l'âme.

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  • 2 semaines plus tard...

Un salon de coiffure pour hommes appelé "Notre barbier" vient d'ouvrir sur Notre-Dame, au coin de Jean-D'Estrées (à côté de l'ETS). Une coupe coûte 30$.

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