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Réponse sur le FB du Port

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Nous avons suivi et entendu vos commentaires concernant l’impact du bruit lié aux alarmes de recul au terminal Viau. Depuis le début de cette situation, bien que nous n’ayons pas été très présents sur les médias sociaux à ce sujet, nous avons été actifs dans la recherche de solutions et la gestion des plaintes reçues au centre de contrôle. Nos inspecteurs se sont rendus à plusieurs reprises sur le terrain pour constater et évaluer les nuisances faisant l’objet des plaintes. Nous souhaitons régler la situation dans les meilleurs délais possibles, et c’est dans ce sens que nous travaillons activement avec l’opérateur du terminal Viau pour identifier et déployer des pistes de solutions réalisables qui permettraient à la fois de réduire les nuisances dans le voisinage, tout en assurant la sécurité des travailleurs sur le terminal. 

Depuis hier, de premières actions ont été posées, telles que la diminution du débit sonore des alarmes de recul. D’autres actions sont présentement à l’étude pour améliorer la situation.

Nous avons un réel souci de bon voisinage et d’une communication transparente avec les citoyens des quartiers qui bordent les opérations portuaires. Nous nous engageons à vous informer de l’avancement de ce dossier régulièrement. Nous sommes sensibles aux plaintes des citoyens du quartier et nous vous remercions pour votre patience et compréhension. Nous vous invitons bien sûr à continuer de communiquer avec le centre de contrôle au 514-283-6911 au besoin.

 

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  • 2 semaines plus tard...

Document intéressant qui explore des façons d'améliorer la cohabitation avec les voisins du Port dans Sainte-Marie et Hochelaga.

6 minutes ago, IluvMTL said:

Fenêtre sur le fleuve
Des idées pour l'est de Montréal

Document produit par le membre du parlement de Hochelaga

http://marjolaineboutinsweet.npd.ca/fleuve

 

Fenêtre sur le fleuve

Des idées pour l'est de Montréal

Cliquez ici pour consulter notre étude.

Le port de Montréal est au cœur de l’histoire de la métropole et de l’activité économique du Canada. D’hier à aujourd’hui, il fait partie de la vie des communautés riveraines montréalaises, des quartiers Sainte-Marie à Pointe-aux-Trembles, en passant par Hochelaga.

Créateur d’emplois et de richesse, il n’en est pas moins vrai que sa présence et ses opérations quotidiennes engendrent de réelles complications pour ses voisins. Évoluant côte à côte dans des univers parallèles, le port et la ville ont fréquemment des intérêts divergents, ici comme ailleurs.

Dans les derniers mois, nous avons recensé les meilleures pratiques dans le monde afin de produire des propositions propres à la situation de l’est de Montréal, qui permettront d’améliorer significativement la relation entre la communauté urbaine et l’Administration portuaire de Montréal (APM) et développer une culture maritime permettant d’affirmer le caractère insulaire de la métropole.

Montréal a tout ce qu’il faut pour devenir à son tour un exemple de ville portuaire digne de ce nom, fière de son histoire, ouverte sur le fleuve et sur le monde. 

badge_fleuve_96_ppp_v2.jpg

 

 

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  • 2 mois plus tard...
AECG http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/506180/port-de-montreal-et-eacg

Nouvelle liaison maritime Montréal-Europe, un signal «vigoureux»

Le transporteur Maersk compte ajouter un trajet de plus chaque semaine en prévision du libre-échange

Une des particularités du port de Montréal vient du fait que les navires sont entièrement chargés et déchargés sur place.Photo: Communauté métropolitaine de Montréal Une des particularités du port de Montréal vient du fait que les navires sont entièrement chargés et déchargés sur place.

À quelques semaines de l’entrée en vigueur provisoire de l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Europe, la perspective d’une augmentation des volumes de marchandises au port de Montréal commence déjà à se dessiner avec l’ajout prévu d’une nouvelle liaison entre la ville et le continent européen. Selon un expert, il s’agit là d’un signal fort.

 

Le groupe de transport maritime Maersk, qui compte 630 navires sur les océans du globe, a indiqué dans le Globe and Mail ce week-end qu’il ajoutera dès le 30 septembre une liaison hebdomadaire supplémentaire avec l’Europe pour traiter la quantité additionnelle de biens échangés.

 

Les autorités portuaires se préparent depuis des années à l’augmentation du trafic de conteneurs entre le Canada et l’Europe. En 2015, par exemple, le port a effectué des travaux pour hausser sa capacité totale de 26 %. De plus, il veut agrandir ses installations au terminal de Contrecoeur.

 

En entrevue au Globe, le président de Maersk Line Canada, Jack Mahoney, a dit que les volumes traités par l’entreprise au Canada ont connu une hausse de 15 % cette année, notamment en raison des produits agricoles. Parmi les autres grands transporteurs qui desservent Montréal figurent Hapag-Lloyd et le deuxième groupe mondial, Mediterranean Shipping Company (MSC).

 

Ottawa et l’Union européenne ont récemment convenu que l’application provisoire de l’accord de libre-échange aura lieu le 21 septembre. L’entrée en vigueur définitive aura lieu seulement lorsque les Parlements de tous les pays auront ratifié l’accord. Le marché européen est composé de 800 millions de personnes, un bassin de consommateurs et d’entreprises qui pourrait notamment bénéficier aux PME, ont déjà indiqué les négociateurs canadiens.

 

« On ne pouvait pas espérer mieux. Vous avez le plus grand transporteur maritime au monde qui ouvre une nouvelle ligne avec la Méditerranée. C’est une très bonne nouvelle pour Montréal », a dit Claude Comtois, professeur de géographie à l’Université de Montréal et affilié au Centre de recherche sur les réseaux d’entreprise, la logistique et le transport de l’Université de Montréal (CIRRELT).

 

« Ça donne un signal extrêmement vigoureux sur la perception qu’ont les transporteurs de l’aspect positif de l’accord de libre-échange avec l’Europe », a ajouté M. Comtois. « Prenons un exemple : le boeuf de l’Ouest canadien destiné au marché européen. La seule place par où il passera, c’est Montréal. »

 

Une des particularités du port de Montréal vient du fait que les navires sont entièrement chargés et déchargés sur place, contrairement à d’autres ports qui peuvent servir d’arrêt temporaire vers une autre destination finale.

 

Lien avec les pôles

 

Une commission parlementaire se penche actuellement sur le projet de loi 85, déposé par le gouvernement Couillard en 2015 et visant à concrétiser deux « pôles logistiques », celui de Contrecoeur et un autre dans la municipalité des Cèdres. De plus, il vise à « faciliter les projets d’investissement dans les zones industrialo-portuaires de la région métropolitaine de Montréal ».

 

Dans son mémoire soumis la semaine dernière, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain a fait valoir que « l’entrée en vigueur prochaine de l’AECG entre l’Union européenne et le Canada laisse entrevoir une hausse de l’achalandage des activités portuaires, qui s’ajoutera à la tendance déjà observée depuis quelques années ». Selon elle, le port de Montréal « est à l’épicentre de l’industrie du transport et de la logistique de la région métropolitaine, et il joue un rôle de premier plan à l’échelle de la côte nord-est américaine ». La présence de pôles près du port pourrait entraîner le développement d’industries « légères », a-t-elle estimé.

 
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  • 4 semaines plus tard...

Notons en parallèle le déclin du tonnage transporté sur la Voie Maritime du Saint-Laurent: maximum record en 1979  --74 millions de t.; 2015 --36 millions.  Cela est dû à la capacité plus limitée «Seawaymax»  par rapport aux navires pouvant accoster au Port de Montréal (en aval).  Il devient donc de plus en plus apparent que la perte de l'avantage montréalais à la suite de l'ouverture de la Voie Maritime en 1959 s'est considérablement estompé. (En d'autres mots: Montréal a retrouvé son avantage)

Bonnes nouvelles pour Montréal, moins bonnes pour Toronto et les autres ports des Grands Lacs--en ce qui a trait au trafic maritime transatlantique.  

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  • 2 mois plus tard...

Le port de Montréal n'est plus dans le circuit de l'avenir du transport maritime mondial. Il faut des bateaux qui peuvent transporter 10,000 conteneurs et plus, et seulement le port de Québec peut le faire.

http://www.journaldequebec.com/2017/12/12/le-port-de-quebec-cree-un-terminal-de-conteneurs-de-classe-mondiale
 

 

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Le Port de Montréal réfute tout déclin de ses activités de manutention de conteneurs et défend sa position de leader en la matière sur le Saint-Laurent, après que le Port de Québec eut fait part de son intention d’investir ce secteur d’activité maritime.
 

La vice-présidente aux affaires publiques du Port de Montréal, Sophie Roux, n’a pas caché sa surprise d’apprendre qu’un terminal de conteneurs était destiné à l’agrandissement du port de Québec dans le secteur de Beauport. «On l’apprend en même temps que tout le monde», a-t-elle indiqué au Soleil lors d’une entrevue téléphonique, quelques heures après l’annonce.

Celle-ci a laissé poindre son scepticisme par rapport à l’argumentaire développé par le président-directeur général de l’Administration portuaire de Québec (APQ), Mario Girard, et le maire de Québec, Régis Labeaume. 

Ils affirment que les ports du Saint-Laurent sont en perte de vitesse et Montréal mal positionnée pour accueillir les nouveaux navires de fort gabarit. Ceux-ci ont besoin de 15 mètres de profondeur d’eau pour transporter jusqu’à 10 000 conteneurs. Montréal compte sur une profondeur d’eau de 11,3 mètres et accueille des bateaux de 6000 conteneurs maximum. 

«La relance du Saint-Laurent, ce n’est pas quelque chose qu’on sent. On est un port en pleine croissance, ce n’est pas quelque chose qui nous touche. Ça fait 50 ans qu’on fait la manutention des conteneurs à Montréal et les lignes maritimes nous choisissent pour des atouts qu’on a, la proximité des marchés, la chaîne intermodale. On travaille étroitement avec tous les ports du Saint-Laurent, toutes les  autorités portuaires du Canada, ce n’est pas comme si on a un dialogue à amorcer», a répliqué Mme Roux. 

La porte-parole du Port de Montréal a relativisé l’espace éventuellement disponible à Beauport. Les 17 hectares planifiés équivalent au tiers du terminal Viau récemment agrandi. Il y en a trois autres à Montréal et un cinquième au stade de projet à Contrecoeur. 

En 2015 et 2016, Montréal a transbordé 1,4 million de conteneurs. Antérieurement, la croissance était d’environ 4 à 5 % par année. Mme Roux annonce une «année record» en 2017. 

Cette dernière invite le pdg du Port de Québec à venir expliquer son projet dans la métropole. Elle a déjà plusieurs questions sur le plan d’affaires : «C’est quoi l’écosystème logistique qui va accompagner ça? On parle de quels cargos? Quelle est la clientèle desservie? Qui sont les partenaires financiers là-dedans? Quelle va être la capacité?»

Mardi, Mario Girard a «tendu la main» à Montréal pour repenser l’accueil des navires et la répartition des conteneurs, mais n’a pas dit clairement s’il avait entamé des négociations. Mercredi, sa porte-parole, Marie-Andrée Blanchet, a répété que «les ports de Montréal et Québec se parlent et nous entendons poursuivre le dialogue avec eux».

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