Aller au contenu

Le Village - Projets et nouvelles


IluvMTL

Messages recommendés

Il y a 10 heures, Rocco a dit :

Franchement, je n'ai pas été impressionné par le vidéo de candidature. D'une banalité navrante, rien pour distinguer Montréal. Peu surpris du résultat.

Pas mal d'accord. J'étais moi même surpris du "charme européen"... me semble que c'est un "pitch" strictement nord-américain. Le reste de la planète, ben je pense qu'ils vont aller en Europe pour vivre le charme européen 😛

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201912/04/01-5252341-le-village-gai-retire-des-slogans-controverses.php

Quote

Le Village gai retire des slogans controversés

 

Certaines phrases affichées sur les 147 tubulaires rétroéclairés qui ont fait leur apparition le long de la rue Sainte-Catherine, sèment la controverse.

Certains messages à connotation sexuelle affichés sur de nouvelles installations dans le Village gai ont été retirées mercredi matin, après avoir suscité de vives critiques.

Publié le 04 décembre 2019 à 11h36

 

Mayssa Ferah
La Presse

Si les emblématiques boules multicolores du Village gai de Montréal ont émerveillé les passants, il en est autrement des nouvelles installations hivernales qui les remplacent.

Certaines phrases affichées sur les 147 tubulaires rétroéclairés qui ont fait leur apparition le long de la rue Sainte-Catherine, sèment la controverse. Trois d’entres elles ne font pas l’unanimité et seront retirées. Il s’agit de « J’aime quand tu viens » « Drag-moi où tu veux » et « F* ck les étiquettes ». Selon certains, ces propos encouragent la propagation de stéréotypes néfastes liés aux communautés LGBTQ+.

« Le village mérite assurément mieux que des citations à double sens sexuelles », insiste le comédien Alex Perron dans un commentaire émis sous une publication de la page Facebook de la Société de Développement Commercial (SDC) du Village.

« C’est aberrant ces citations à double sens, péjoratif, qui sexualisent. Des années à combattre les préjugés. Décevant ! », lance Stéphane Champagne, un utilisateur de Facebook, sous la même publication.

Plusieurs considèrent le concept comme étant « dégradant » et déplorent le message négatif que ces phrases pourraient véhiculer.

La SDC du Village a toutefois réagit par le biais de sa page Facebook. « Sensibles aux commentaires de la population, le conseil d’administration et la direction de Village Montréal ont choisi de retirer certains affichages sur les tubulaires installés depuis lundi pour la saison hivernale 2019-2020. Certains slogans, qui ont suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, se voulaient humoristiques, pour apporter de l’authenticité, de la légèreté, de l’humour et de la joie dans le Village. »

Certains slogans seront conservés, comme « À pied, à poil ou à paillettes », « L’avenir sera rose », « Dur à queer » et « L’art rend gai-e ».

Le concept qui remplacera les fameuses boules couleur arc-en-ciel sera dévoilé au public en janvier prochain.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 mois plus tard...
Il y a 4 heures, p_xavier a dit :

Version plus lisible avec image

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202002/12/01-5260572-village-gai-des-nuages-remplaceront-les-boules-roses.php

Village gai: des «nuages» remplaceront les boules roses

1b6e1e72-4d55-11ea-82bb-0eda3a42da3c.jpg
IMAGE TIRÉE DE DOCUMENTS DE LA VILLE DE MONTRÉAL
Le projet « La Tête dans les nuages »

Les célèbres boules roses qui étaient suspendues comme un long ruban au-dessus de la rue Sainte-Catherine Est dans le Village gai de Montréal seront remplacées par des cônes devant rappeler la forme de nuages.

Publié le 12 février 2020 à 9h00
SARA CHAMPAGNE
LA PRESSE

Après avoir annoncé la fin de l’installation « Les Boules roses », la Société de développement commercial (SDC) du Village s’était mise en quête d’une nouvelle création pour maintenir l’attrait du quartier. À la suite d’un concours international de design, c’est l’œuvre « La Tête dans les nuages » qui a été retenue, a-t-on appris mardi soir au conseil d’arrondissement de Ville-Marie.

L’œuvre consiste à relier par câble des sortes de cônes, appelés officiellement des pendentifs, pour former des « éclats, des gouttes ou des nuages » multicolores, selon la perspective des visiteurs.

L’objectif ultime est de l’installer de façon permanente à l’aide de l’ancienne infrastructure des boules roses, devenues ensuite multicolores ; un système de soutien qui avait fait ses preuves contre les intempéries.

De Saint-Hubert à Papineau

L’arrondissement de Ville-Marie a approuvé, mardi soir, la réalisation de tests de sécurité de l’œuvre avant son déploiement prévu au printemps. On se rappellera qu’en 2011, la Ville de Montréal avait craint qu’en cas d’incendie, les boules roses n’entravent le passage des pompiers. Un scénario qui s’était répété plus tard avec le projet d’installer des guirlandes lumineuses sur le boulevard Saint-Laurent.

Dans une résolution soumise aux élus, on explique donc que « La Tête dans les nuages » doit résister au vent, à la pluie, au poids de la neige, au verglas et au feu, avant d’être déployée entre la rue Saint-Hubert et l’avenue Papineau. Le Service incendie Montréal (SIM), le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et les travaux publics procéderont à son inspection à partir d’un prototype qui sera installé dans un espace ouvert non fréquenté, précise-t-on.

Exceptionnellement, l’administration municipale accorde la somme de 75 000 $ pour réaliser les tests de performance et de sécurité de « La Tête dans les nuages ». Cet argent servira notamment à fabriquer la maquette pour les tests. Des recommandations seront soumises aux élus avant que le feu vert soit donné à l’installation permanente.

Concours

« La Tête dans les nuages » a été sélectionnée à l’issue d’un concours international de design piloté par la SDC du Village, avec du financement de la Ville de Montréal. Les firmes d’architecture gagnantes sont du Québec et de New York : Collectif Escargo (créateur de la place publique de la rue Masson, dans Rosemont) et WXY Studio (terminal militaire de Brooklyn).

À la SDC du Village, le porte-parole Stefan Campbell a indiqué qu’aucun commentaire officiel ne serait émis avant la fin des tests et l’inauguration officielle de la nouvelle œuvre, prévue au mois d’avril. Au début de l’automne, la SDC affirmait que le projet choisi devrait avoir une durée de vie utile d’au moins cinq ans.

L’ancienne œuvre de Claude Cormier, inaugurée en 2011, a connu sa dernière saison l’été dernier. Elle avait remporté plusieurs prix et mentions. Elle était devenue l’un des symboles de la métropole avec les années. M. Cormier n’a pas encore commenté publiquement le concept retenu par la SDC.

Le budget préliminaire à l’étude

  • Conception artistique : 220 000 $
  • Fabrication des éléments décoratifs de la canopée (« Tête dans les nuages »), avec assemblage des pendentifs sur les câbles : 810 250 $
  • Plan de construction : 158 750 $
  • Honoraires d’ingénierie en structure : 125 000 $
  • Développement de l’installation : 82 500 $

Source : arrondissement de Ville-Marie

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'aime bien l'idée de perpétuer un ciel de couleurs pour cette partie de rue emblématique de Montréal. Différents des boules de couleurs, ces pendentifs devraient scintiller au soleil et au gré du vent, créant ainsi un effet dynamique, en bougeant à la manière de vagues à la surface de l'eau ou d'herbes hautes dans un champ.

De ce fait l'installation devrait être encore plus visible à distance et attirer la curiosité des visiteurs. On pourrait peut-être aussi la nuit, orienter des projecteurs qui se réfléchiraient sur les pendadifs pour offrir une version nocturne du spectacle diurne. De véritables jeux de lumières qui danseraient au-dessus de la foule. Il s'agit en fait d'ajouter une dimension festive permanente à la Catherine Est, et surprendre les badauds par une animation programmée dans une ambiance électrisante et sans cesse renouvelée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 semaines plus tard...

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202002/28/01-5262832-les-boules-arc-en-ciel-au-coeur-dune-poursuite-judiciaire.php

Les boules arc-en-ciel au cœur d’une poursuite judiciaire

f766f939-5a99-11ea-b33c-02fe89184577.jpg
PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
Les boules arc-en-ciel de la rue Sainte-Catherine Est ont été accrochées pour la dernière fois en 2019. 

Les emblématiques boules arc-en-ciel de la rue Saint-Catherine Est se trouvent au cœur d’un feuilleton judiciaire. L’entreprise de l’homme d’affaires montréalais Peter Sergakis poursuit l’association des commerçants du Village gai pour ne pas avoir payé entièrement l’entreposage de la célèbre œuvre suspendue. Cette dernière réplique en réclamant à son tour des frais, soit le remboursement de permis de cafés-terrasses impayés.

Publié le 29 février 2020 à 0h00
SARA CHAMPAGNE
LA PRESSE

Toute cette affaire a commencé en mai 2018, quand la Société de développement commercial (SDC) du Village a été avisée par l’entreprise Sergakis que le prix du local commercial d’entreposage des boules et de ses câbles passait de 600 $ par mois à 3500 $.

Au total, l’entreprise du célèbre homme d’affaires, Placements Sergakis inc., réclame un montant de 35 412,35 $ à la société commerciale à but non lucratif, largement subventionnée par la Ville de Montréal. Il s’agit du solde à percevoir sur une période de près d’un an. La date du procès est prévue au mois de mai.

Joint par La Presse, M. Sergakis explique que le prix était une aubaine pour un local commercial au centre-ville. « Je me disais que l’association aidait les commerçants. Mais on s’est fait fourrer par eux, excusez l’expression. Il reviendra au juge de décider », a résumé M. Sergakis, lorsque joint par La Presse.

Dans la première poursuite déposée à la Cour du Québec au sujet du local où étaient entreposées les boules, on apprend que Sergakis inc. et la SDC du Village entretenaient une « bonne relation contractuelle depuis six ans, de mois en mois, avec un bail à durée indéterminée », le tout conclu verbalement.

Dans sa défense, la SDC ajoute qu’elle occupait « paisiblement » un local du 864, rue Sainte-Catherine Est depuis septembre 2012 pour entreposer ses boules.

Selon la preuve qu’entendent présenter les avocats de la SDC du Village, les chèques de 600 $ plus taxes ont d’ailleurs continué d’être encaissés « sans réserve » une bonne partie de l’année 2018, et ce, jusqu’au mois de décembre. Les choses se sont corsées quand la société commerciale a reçu une lettre, en décembre 2018, lui enjoignant de payer un montant de 23 333,96 $.

À la SDC du Village, le nouveau directeur général, Yannick Brouillette, a indiqué qu’il y avait bel et bien un « différend avec Placements Sergakis inc. », sans émettre d’autres commentaires.

Selon les documents de Cour obtenus par La Presse, la SDC du Village entend démontrer lors du procès qu’elle avait avisé Placements Sergakis inc. qu’elle n’avait pas les moyens de payer un tel loyer. Selon sa compréhension de l’entente verbale, il aurait été convenu de continuer à occuper les locaux jusqu’au début de la saison estivale, période d’installation des boules dans le quartier gai. Ou jusqu’à que Sergakis trouve un autre locataire.

Terrasses

La SDC a depuis intenté à son tour une poursuite. L’association réclame à Placements Sergakis inc. des soldes impayés de permis de café-terrasse. Les établissements concernés sont la brasserie Rebel et la Station des sports, toutes deux situées dans la zone piétonne estivale de la rue Sainte-Catherine. 

Au total, l’entreprise de l’homme d’affaires aurait omis de verser la somme de 23 126,11 $ pour l’installation de terrasses en 2019. Un seul versement de 12 960,18 $ aurait été fait sur une facture totale de 36 086,29 $, selon la preuve déposée par l’association commerciale.

Au téléphone, l’homme d’affaires estime qu’il a payé ce qu’il avait à payer à la SDC. 

Cette année, j’ai reçu une facture de 11 000 $ à payer en cotisations pour le complexe Sky, un établissement sur trois étages. Ça n’a pas d’allure, la cotisation au pied carré.

— Peter Sergakis

« On a besoin des SDC, mais la grosse partie des cotisations devrait être payée par la Ville de Montréal, pas par nous », poursuit M. Sergakis.

Pour alléger le fardeau financier des exploitants dans le quartier gai, l’administration de Valérie Plante a annoncé, le 14 février dernier, une diminution du taux de taxation prévu pour les cafés-terrasses de l’arrondissement de Ville-Marie, de 9,5 % à 4 %.

La Ville de Montréal ne commente pas les litiges devant les tribunaux. Mais dans le contexte de l’annonce sur les terrasses, la mairesse de Montréal a indiqué que le nouveau règlement permettra aux commerçants d’économiser de 500 $ à 30 000 $ par année, selon la superficie des terrasses, de la valeur du rôle foncier et de la durée du permis demandé.

La cotisation en bref

La cotisation est obligatoire pour les membres des Sociétés de développement commercial (SDC). Les membres doivent acquitter leur cotisation pour avoir droit de vote lors des assemblées de la société. Les cotisations sont perçues par la Ville de Montréal et remises intégralement au conseil d’administration de chacune des sociétés. Elles sont assujetties à la TPS et la TVQ, sauf exception.

Source : Ville de Montréal

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 39 minutes, ScarletCoral a dit :

Selon la preuve qu’entendent présenter les avocats de la SDC du Village, les chèques de 600 $ plus taxes ont d’ailleurs continué d’être encaissés « sans réserve » une bonne partie de l’année 2018, et ce, jusqu’au mois de décembre. Les choses se sont corsées quand la société commerciale a reçu une lettre, en décembre 2018, lui enjoignant de payer un montant de 23 333,96 $.

Si c'est effectivement ce qui s'est produit, too bad pour M. Sergakis. Encaisser des chèques sans réserve pour un montant moindre du montant réclamé équivaut à donner quittance à la SDC. Ce serait trop facile de continuer à encaisser les paiements de l'autre partie à un litige comme si tout était beau, pour ensuite réclamer la différence, comme ce qui semble s'être passé ici.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...