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J'habite la banlieue nord de Montréal et je retrouve désormais tout ce que j'ai besoin dans mon coin.Des cinémas avec plein de stationnements,les mêmes boutiques et grands magasins qu'on retrouve à Montréal et aussi de plus en plus d'excellents restaurants ethniques.Pourquoi j'irais à Montréal en voiture où on fait tout pour me rendre la vie difficille.Pas de stationnement,des rues pleins de troues,des entraves à la circulation,des petits roitelets nabots à la Fernandez et Bergeron qui font tout pour chasser les clients potentiels qui viennent de l'extérieur. Les couronnes Nord et Sud de Montréal sont beaucoup plus autonomes qu'on le pense !

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J'habite la banlieue nord de Montréal et je retrouve désormais tout ce que j'ai besoin dans mon coin.Des cinémas avec plein de stationnements,les mêmes boutiques et grands magasins qu'on retrouve à Montréal et aussi de plus en plus d'excellents restaurants ethniques.Pourquoi j'irais à Montréal en voiture où on fait tout pour me rendre la vie difficille.Pas de stationnement,des rues pleins de troues,des entraves à la circulation,des petits roitelets nabots à la Fernandez et Bergeron qui font tout pour chasser les clients potentiels qui viennent de l'extérieur. Les couronnes Nord et Sud de Montréal sont beaucoup plus autonomes qu'on le pense !

 

Des "roitelets nabots" parce qu'ils veulent "chasser" les clients d'ailleurs?

Mais tu viens de le dire : tu as tout dans ton coin et c'est la merde Montréal! Alors ne vient pas et cesse de te prendre la tête avec eux!

 

C'est très caricatural comme commentaire! :silly:

Modifié par UrbMtl
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C'est un discours tout à fait banlieusard, comme on entends aussi avec le Dix-30. Tant que la ville se porte bien, et, avec tous les projets résidentiels qui poussent, on peut dire que c'est le cas, nos espaces commerciaux vont bien se porter. Il y a des gens qui aime la banlieue, d'autre la ville et chacun considère l'autre dans les patates!

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Bon, moi et IluvMTL sommes allés faire une ballade sur la ''Main'' entre Sherbrooke et Mont-Royal. Premièrement il faut dire qu'il y avait du monde, que l'ambiance était bonne et que la ''Main'' avait des allures de........de la ''Main'' comme on l'aime.

 

Ceci étant dit, il y a plusieurs locaux vacants et voici le compte rendu:

 

32 locaux sont vacants

 

13 entre Sherbrooke et Prince-Arthur

5 entre Prince-Arthur et Duluth

14 entre Duluth et Mont-Royal

 

11 vacants du coté Ouest et 21 du coté Est

 

Par contre, parmi ces 32 locaux vacants

 

2 sont du pour ouvrir bientot (au 3714 et une garderie au 4136)

3 sont en rénovations (3435 ex Factory bar-resto, permis pour rénover), (3547 Papas Tapas, dégat d'eau), (4171 Resto Dep Rocky's)

6 qui sont vacants mais aucune enseigne à louer

l'immeuble coin Des Pins dont la rénovation complète arrive à terme.

Le 3565, le 3783 (ex resto du libanais), le 3847 (ex London-T), le 4115 et le 4310

19 locaux vacants à louer

3467, 3475 (ex Lola & Emily), 3489 (ex Ardene),

3523, 3525, 3527 (Tous dans le meme immeuble et à louer depuis longtemps donc pourrait etre loué comme 1 grand local)

3563 (Café 54), 4089, 4095, 4141, 4192, 4385

3550 (ex Red Thai), 3552 (ex Multimag), 3790 (ex Rouge), 3870 (ex Cabane déménagé à coté)

2 dont le local est vacant et l'immeuble est à vendre, 4105, 4415.

 

Donc il y a vraiment 21 locaux vacants, 6 vacants mais dont on ne connait pas vraiment la situation et 5 qui devraient ouvrir bientot.

 

Le chiffre que je ne possède pas c'est le pourcentage de locaux vacants et à louer car nous n'avons pas fait le compte des locaux occupé et il est important de dire qu'il y en a beaucoup de locaux loué. On est loin de l'hécatombe. Je crois, et j'espère, qu'il y a de beaux jours qui s'en viennent pour la ''Main''.

 

Journée agreeable pour rédecouvrir cette partie de la Main. Merci de l'avoir compiler les données!

Nous avons maintenant des donnés auxquelles nous pouvons nous baser. Dommage que nous n'avons pas des chiffres des années anterieures pour comparer, mais je suis toujours inquiet de trouver autant d'endroits vacants dans le Plateau (le 'hood' le plus branché et dense en amérique).

 

Les causes (et surtout des solutions possibles pour stopper cette tendance) méritent d'être explorer par le SDC et l'arrondissement.

Modifié par IluvMTL
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  • 2 semaines plus tard...

J'ai communiqué avec le Directeur général de SDC du boulevard Saint-Laurent, Glenn Castanheira et je lui ai fait parvenir les résultats de la marche exploratoire de Steve36 et moi.

 

Sa réponse m'a beaucoup encouragée!

Lui et son équipe semblent travailler trés fort sur les differents problématiques, dont cette rue fait face depuis ces dernieres années. Nous devons voir leurs fruits (de solution) bientot, je suis convaincu.

Modifié par IluvMTL
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http://journalmetro.com/actualites/montreal/301372/splendeurs-et-miseres-de-la-main/

 

actu-rue-saint-laurent.jpg?w=618&h=408&crop=1

Un passant déambule devant une enfilade de vitrines vides sur le boulevard Saint-Laurent. Entre les rues Sherbrooke et Prince-Arthur, le taux d’inoccupation des commerces est actuellement de 30 % sur la Main.

 

Le mythique boulevard Saint-Laurent, entre les rues Sherbrooke et Mont-Royal, n’a pas bonne mine depuis quelque temps déjà. Mais invoquer uniquement les interminables travaux ou le prix des parcomètres est trop facile, croient certains. Analyse d’un coma annoncé et d’un début de résurrection.

 

Une image à refaire

Le chiffre fait froid dans le dos. Entre les rues Sherbrooke et Prince-Arthur, 11 commerces sur 36 sont vacants. Un taux d’inoccupation d’un peu plus de 30 %, digne des pires années de récession. Pour une artère qui revendique son caractère festif et ses boutiques uniques, le côté tristounet du coin n’est pas très invitant et des commerçants blâment pour cela les autorités municipales.

 

Mais ils se sont possiblement tirés dans le pied en contestant de façon trop forte la durée des travaux et la hausse du prix des parcomètres, croit Glenn Castanheira qui dirige la Société de développement commercial du boulevard Saint-Laurent. «Ça a donné l’impression que magasiner sur la Main, c’était l’enfer», selon lui. Pour remédier à la morosité, l’ancien propriétaire de la rôtisserie Coco Rico a plusieurs idées.

 

4 %

Sur la Main, seulement 40 % des clients sont des résidants du quartier. Le manque de stationnements et la hausse du prix des parcomètres ont donc une plus grande incidence que sur l’avenue du Mont-Royal, où 60 % de la clientèle est locale.

Pour les vitrines vides, la SDC investira 15 000 $ pour que l’organisme UMA habille cinq d’entre elles de photographies d’artistes, plus invitantes que du papier brun. Un premier festival mural sera aussi organisé du 13 au 16 juin pour décorer les murs pleins de graffitis et M. Castanheira ne désespère pas de pousser l’arrondissement à installer plus de bancs et de bacs à fleurs devant les boutiques pour donner à la rue un aspect moins gris et bétonné.

 

Écosystème fragile

«Le succès d’une artère commerciale tient à la bonne proportion de boutiques de jour et de commerces de nuit», fait valoir M. Castanheira. Actuellement, la portion sud, sous la rue Prince-Arthur, est en déséquilibre. American Apparel, Ardène, Telus, Jola & Emily et Multimags ont fermé boutique et le cinéma Excentris ne joue plus aussi bien qu’avant son rôle d’aimant à clients.

 

Le secteur est aussi particulièrement victime de la spéculation qui a eu raison des plus petits. «Quand une rue a vécu grâce aux bars qui rapportent des loyers de 20 000 $ par mois, c’est dur pour les propriétaires de passer à des commerces de jour qui rapportent moins de 4 000 $. Ils préfèrent souvent laisser les commerces fermés», déplore M. Ferrandez.

 

«Ce qu’on privilégie pour la rue, c’est l’installation d’entreprises pourvoyeuses d’emplois, de commerces de jour, et que les bars et les restaurants s’insèrent là-dedans, pas qu’ils deviennent la priorité au détriment des autres.» – Luc Ferrandez, maire de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal

Dans d’autres cas, comme celui de la boutique Ardène, la maison mère a écarté l’idée de créer un concept de boutique à l’image du boulevard. «On aimerait pouvoir agir plus en amont auprès des propriétaires et des commerçants pour pouvoir les conseiller. C’est pourquoi en 2014, on va ouvrir une boutique-conseil sur la rue», indique le directeur de la SDC.

 

Réglementation à revoir

L’enfer est pavé de bonnes intentions, dit le proverbe. C’est vrai pour la création des terrasses extérieures, censées dynamiser les artères. «Chez nous, elles sont beaucoup trop chères et les règles adminis*tratives sont trop contraignantes pour qu’un nombre suffisant de commerces en installe et que cela ait un effet sur l’ambiance de la rue», croit Glenn Castanheira.

 

Pour ce qui est des incivilités et des bagarres à la sortie des bars, plusieurs commerçants demandent que la législation soit assouplie. La fin de la vente d’alcool serait maintenue à 3 h du matin, mais on donnerait jusqu’à 4 h aux bars pour se vider, étalant ainsi la sortie des clients imbibés. «On aimerait aussi que les commerces de détail puissent fermer à 20 h la fin de semai**ne, comme cela se fait au centre-ville, car notre clientèle est composée à 15 % de touris*tes qui font du magasinage en soirée», affirme M. Castanheira. Sur ce point, l’arrondissement et le député Amir Khadir ont déjà offert leur soutien, reste à convaincre le gouvernement.

 

actu-saint-laurent-vitrine.jpg?w=413&h=310

 

Pour les vitrines vides, la SDC investira 15 000 $ pour habiller cinq d’entre elles de photographies d’artistes plus invitantes que du papier brun. / Mathias Marchal/Métro

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  • 3 semaines plus tard...

http://www.montrealgazette.com/life/trendy+block/8426158/story.html

 

Casual Restos: SuWu

 

SuWu’s decor and menu put the focus on hipster fun while raising the bar for this strip of St-Laurent Blvd.

 

By Sarah Musgrave, Special to The Gazette May 23, 2013

 

MONTREAL - If there is an algorithm that entrepreneurs could use to build an aspiring “hipster restaurant,” it may well have been used in the creation of SuWu, a recent addition to the Main’s bar scene. Looking around as we walked past the blackboard menu of bubblies (tick), took our seats at one of the tall communal tables (tick) next to the gleaming subway tile (tick), we recited a virtual checklist of on-trend fixtures: Edison bulbs. Mason jars. Reclaimed barn wood on the walls. Ironic taxidermy (in this case, the mounted head of a carousel horse). Old-school hip hop on the sound system. A requisite reference to Brooklyn among cheekily named cocktails. Natural wines on the drink list. And an open kitchen that turns out comfort food — the next generation. SuWu ticks all those boxes, and then some.

 

The menu reads like a database of recent food trends reorganized for search engine optimization: Cheeseburger empanadas with Thousand Island dressing; meatball sub tacos; truffle oil popcorn; and the mandatory poutine, personalized with rye sauce and green peppercorns. And there is mac ’n’ cheese, but of course. Putting it in a grilled cheese sandwich sounded gimmicky — gross, even — but we had to try it. Oozing with cream, perked up with spring onions beneath the browned, buttery surface of the bread, it was more than a pale yellow starchfest. It overkilled us softly.

 

I enjoyed most of the dishes that hit the table, more than I expected to. The Cobb salad, yet another signifier in the realm of hipster dining, was fun. Accoutrements came in a separate jar, colourfully layered with avocado, blue cheese, chunks of lardons and chopped hard-boiled egg. (Smart move, separating the yolk and white to keep it looking clean.) You pour in the vinaigrette, shake it up, empty the dressed ingredients onto the bed of lettuce and grilled chicken, and mix it all together. Brightened by that tongue-snapping blue cheese and vinegar, this was a more than decent salad, especially in a bar context where it’s refreshing to get something green, crunchy and fresh.

 

Also fun: an order of homemade pogos came cutely plugged into a wooden block, like some kind of tiki sculpture. The hotdogs were more like home-battered, in a fresh, fluffy, doughnut-like coating, with ranch sauce for dipping. (I missed the mustard just a little bit.)

 

On a plate of ribs and potato salad, the star wasn’t the meat — although it was tender and easy to dislodge from the bone, in a sweet and tangy barbecue sauce that wanted some back heat. It was the firm-to-the-tooth tiny spuds in their creamy mustard seed and herb coating.

 

The one real miss was the top recommendation from our server: chicken and biscuits. Those two word generate some serious expectations, and the added promise of kimchee had me geared up. What we got tasted like 3 a.m. falafel. Fried flavours and creamy gribiche overwhelmed any hot and sour kimchee notes. Plus, the biscuit had already broken apart, making it awkward to handle.

 

Dessert was kids’ stuff. If the chocolate-stuffed Rice Krispie “panini” didn’t wow me — it was tough on the teeth and one-dimensional in taste — it might have been better appreciated without the Rolling Rock we were finishing up.

 

SuWu had some surprises, and some contradictions. The drinks list, for example, is long on natural wines. It’s intriguing that the place has aligned itself with the growing movement toward minimal-intervention, as-nature-intended wineries, but I’m not sure the focus really fits the place. It’s at odds with the beer selection, which demonstrates completely different ethics. In lieu of Quebec’s craft scene, mass-production and overseas breweries are represented on tap: Stella, Boddingtons and a house session beer that we were told was brewed by Labatt.

 

All in all, this was a fun place to spend a few hours — and for most of those hours, we could actually hear each other talk without straining. It’s a more food-oriented spot than a person would think stepping into the room (word is there are Toqué! alum working in the kitchen). It’s certainly a total transformation of long-running resto bar Cafeteria, which hung on for years at this address. It made sense to hear that owners Nathan Gannage and Zach Macklovitch have their hands in event management, under the name Saint Woods. Their investment here is a step up for this devolving strip of St-Laurent Blvd. For now, SuWu is showing more commitment to quality than a lot of places on the block — this particular block, and a few others in town.

 

Read more: http://www.montrealgazette.com/Casual+Restos+SuWu/8426158/story.html#ixzz2ULrSRev9

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Ca faisait un petit bout que j'y étais pas passe de jour, le désastre que j'appréhendais il y a une couple d'années s'est réalisé.

 

 

Dommage.

 

 

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Le boulevard Saint-Laurent ne peut pas faire autrement que de renaître. Dans quelques années il sera à nouveau l'endroit à la mode de la ville avec de nouveaux entrepreneurs,de nouveaux preneurs de risque avec de nouvelles visions.

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