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L'Économie du Québec


Habsfan

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Je voudrais justement que le PQ suspende l'agenda référendaire et qu'on le reporte quand la volonté populaire en aura manifesté la volonté. En attendant concentrons-nous sur les affaires et particulièrement sur ce dossier, qui a besoin de toute notre attention pour être mené à terme. Il faut avoir un bon choix de priorités, commençons par mettre de l'ordre dans la maison, faisons le ménage dans la dette et rendons le Québec plus attrayant pour les investisseurs.

 

Il faut créer la richesse avant de vouloir la distribuer. Heureusement pour nous, notre sous-sol semble prometteur et on doit lui accorder toute l'importance qu'il mérite. Cette avenue fait partie de l'objectif d'une saine économie diversifiée. Les enjeux sont considérables et il en va de notre avenir. D'abord l'indépendance économique, le politique suivra nécessairement par la suite avec qui sait, une formule encore plus attrayante que ce qui a déjà été proposée jusqu'à maintenant? Un fait demeure, l'économie bouge plus vite que la politique, et a le pouvoir de transformer les enjeux en rebrassant les cartes.

 

Commençons donc par jouer cette partie et la gagner. Il sera alors toujours temps de jouer l'autre, mais cette fois avec nettement plus d'atouts dans notre jeu.

 

Bien dit. C'est ce que j'ai toujours pensé!

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Et on ne fera plus de buisiness avec le Canada anglais en se séparant?

 

Effectivement ce sera beaucoup plus difficile.

La réponse simpliste des séparatistes c'est que ca ne changera rien, mais comme la majorité de la classe d'Affaire est federaliste sans equivoque, bien peu de seperatiste sont issue du milieu des affaires...

La question qui se pose est dont de savoir s'ils savent vraiment de quoi ils parlent et a mon avis, sans dire que non, la reponse est que ces gens mettent les ideologies bien devant le concret, ce qui est une erreur dans la situation actuelle.

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I read the funniest comments this morning on the National Post website. One commenter was saying; Quebec has it right. Keep their province clean, while they get money from Alberta from their dirty oil.

 

Many people dislike the idea of a petroleum based economy, but it will be like that for a long time. Luckily for us we have hydro-electricity (somewhat eco-friendly) in the province and not coal power plants. True we have natural gas for heating, which is still pretty nasty. No matter what, many people dislike the way things are. Wind farms aren't helpful at the moment (make too much noise and kill birds). Solar works if you have panels all over your house. Geothermal is pretty good, but costly to install.

 

We also need to develop our graphite and lithium mines. At least with that, we can work on having more battery powered vehicles and even newer technology that is graphene based (made possible because of graphite).

 

Anyways a long story short. I do hope this province starts using their oil and making money off of it and paying down the debt. If Quebec always likes comparing this province to Norway and actual country. Lets start doing stuff right (economically) speaking. So this province can stop being a slave to Canada (that is the view of the separatists).

Modifié par jesseps
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Maintenant c'est ici que le débats risque de se corser, car je fais davantage confiance au PQ pour mener à bien ce dossier puisqu'il a fait preuve d'un parti-pris indéfectible pour le Québec.

 

Je voudrais justement que le PQ suspende l'agenda référendaire et qu'on le reporte quand la volonté populaire en aura manifesté la volonté.

 

C'est un peu le problème. Le premier parti-pris indéfectible du PQ est à la Souveraineté, c'est-à-dire à une vision bien spécifique du Québec. Si le PQ peut mettre de côté son obsession souverainiste et se concentrer à améliorer la santé économique du Québec (ce qui augmenterait la probabilité d'une victoire du Oui lors d'un éventuel référendum), alors on pourrait espérer un certain développement pour le secteur pétrolier québécois (en espérant que certains ministres péquistes un peu plus intégristes comme Martine Ouellet ne fasse pas tout dérailler).

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Un autre article dans le Soleil d'aujourd'hui qui montre qu'on se dirige tranquillement vers un consensus, de la part des trois principaux partis à l'assemblée nationale. C'est à mon avis le mieux qui puisse nous arriver, avec en prime un "chien de garde" (Québec Solidaire) qui saura nous donner une critique constructive sur l'évolution du dossier. Il faut être capable de départager le pour et le contre, et ainsi arriver avec la meilleure formule d'exploitation possible, et cela dans un esprit de développement durable.

 

Heureusement pour nous, d'autres sont passés par ces étapes essentielles et ont démontré qu'on peut allier le développement des ressources naturelles sans nuire à l'environnement. Personnellement je crois que seul un gouvernement national a la conscience suffisante pour agir de manière responsable, parce qu'il est surveillé par la population (qu'il représente) et à tout intérêt à protéger les intérêts de cette dernière durant l'opération. On a vu toutes sortes d'abus de la part de l'entreprise privée, qui n'a généralement qu'un seul objectif prioritaire, faire de l'argent et le plus rapidement possible. La sécurité et la protection environnementale sont trop souvent perçues de manière secondaires et vues dans plusieurs cas, davantage comme des obstacles, que comme une responsabilité inhérente à leur travail.

 

Dans tous les cas je souhaite que le gouvernement provincial garde le contrôle de la ressource et de son exploitation. Allons-y au moyen de partenariats avec une participation étatique majoritaire, comme la Norvège l'a fait. Ce sera de loin la meilleure formule pour obtenir l'autre consensus indispensable pour aller de l'avant, celui de la population.

 

 

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201401/09/01-4727282-exploitation-petroliere-lassemblee-nationale-presque-unanime.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-le-soleil_article_ECRAN1POS5

 

 

Jean-Marc Salvet

Le Soleil

 

(Québec) Même si l'on est à plusieurs années de toute éventuelle exploitation de pétrole au Québec, le gouvernement Marois pourra en principe compter sur l'appui des deux principaux partis d'opposition lorsqu'il déposera ses deux projets de loi sur le développement pétrolier.

 

Il le pourra d'autant plus que les libéraux et les caquistes le soupçonnent d'avancer sans réelle conviction, et sans être totalement uni sur cette question. Ou d'être rattrapé par un principe de réalité. Ils entendent donc faire pression sur lui.

 

Libéraux et caquistes veulent ajouter leurs voix à celles des signataires du Manifeste pour tirer profit collectivement de notre pétrole, parmi lesquels figurent l'ancien premier ministre péquiste Bernard Landry, l'ancienne ministre libérale des Finances Monique Jérôme-Forget, le maire de Rimouski, Éric Forest, ainsi que des représentants du monde des affaires et de l'entreprise.

 

«Cesser de se traîner les pieds»

 

La députée libérale Julie Boulet demande au gouvernement «de cesser de se traîner les pieds dans les dossiers touchant l'exploitation de nos ressources naturelles et d'aller de l'avant avec l'exploitation responsable et durable de notre pétrole».

 

Les libéraux de Philippe Couillard cherchent à faire valoir que le gouvernement, qui a confié ce dossier à la ministre Martine Ouellet, demeure dans les faits réticent à avancer. Ils accusent de plus Mme Ouellet d'être réfractaire à tout développement économique.

 

D'emblée, par le truchement du député Gérard Deltell, la Coalition avenir Québec offre sa «collaboration» au gouvernement Marois sur cette question.

 

La ministre des Ressources naturelles a l'intention de présenter d'ici le printemps deux projets de loi encadrant le développement pétrolier au Québec. L'un en milieu maritime, pour le golfe du Saint-Laurent et son gisement Old Harry; l'autre pour le milieu terrestre, l'île d'Anticosti surtout, mais aussi la Gaspésie, par exemple.

 

«Le plus tôt sera le mieux», soutient Gérard Deltell en évoquant la présentation des projets de loi.

 

En 2012, le Parti québécois s'est engagé à créer - si des réserves pétrolières devaient un jour être exploitées au Québec - un régime de redevances sur les hydrocarbures permettant de récupérer plus de 50 % du profit avant impôt. Cela, bien sûr, si l'existence de réserves significatives est démontrée et si elles peuvent être exploitées de façon rentable.

 

«En misant sur l'exploration et l'exploitation de notre pétrole, nous pourrons contribuer à satisfaire notre demande de consommation pour les prochaines années et décennies», écrivent les auteurs du manifeste.

 

Bernard Landry et les 10 autres signataires évoquent le modèle norvégien. «La Norvège devrait nous servir d'exemple. Il s'agit d'un pays qui a su exploiter ses réserves de pétrole tout en protégeant son environnement et, surtout, tout en poursuivant le développement de ses activités maritimes, la pêche et l'aquaculture.»

 

Oppositions

 

À l'Assemblée nationale, seuls les solidaires Françoise David et Amir Khadir s'opposeront au principe même de toute éventuelle exploitation pétrolière en territoire québécois, peu importe les modalités des projets législatifs à venir.

 

Selon ces deux députés, extraire du pétrole québécois, un hydrocarbure essentiellement non conventionnel, ne ferait que retarder «un virage inévitable vers les énergies vertes».

 

«Le gouvernement du Parti québécois démontre un plus grand appétit pour le pétrole que les conservateurs à Ottawa, estime Amir Khadir. Il doit se tenir debout face à un lobby pétrolier qui a plus à coeur les intérêts de ses actionnaires que le bien commun.»

 

À l'instar des groupes environnementaux, Québec solidaire soutient que le Québec n'est pas la Norvège et que les éventuelles conditions d'exploitation y seraient totalement différentes.

 

Durant la dernière campagne électorale, le Parti québécois a davantage parlé de l'importance de diminuer la consommation de pétrole provenant de l'étranger - grâce à l'électrification des transports - que d'exploration et d'exploitation de pétrole. L'un et l'autre sont complémentaires, répond-on aujourd'hui.

 

Chaque année, le Québec dépense plus de 13 milliards $ pour acquérir du pétrole provenant de pays étrangers, ce qui affecte d'autant sa balance commerciale.

 

 

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Canada hit by unexpected rise in jobless rate

 

Canada’s unemployment rate unexpectedly rose from a five-year low last month led by the largest drop in full-time work since 2011.

 

The jobless rate rose to 7.2 per cent from 6.9 per cent while employment fell by 45,900 in December, Statistics Canada said today in Ottawa. Economists surveyed by Bloomberg News projected a 14,100 job increase and an unchanged unemployment rate according to the median forecasts.

 

The weaker job market, tepid exports and sluggish business investment are hampering economic growth. Bank of Canada Governor Stephen Poloz said in an interview last month that a rotation of demand from indebted consumers is taking longer than he expected and predicted the economy won’t reach full output for two years.

 

Full-time employment declined by 60,000 workers in December, the most since October 2011, while part-time positions increased by 14,200.

 

The report caps a year of labour market weakness with 102,000 jobs created in 2013, a 0.6 per cent increase that was the slowest since 2009, Statistics Canada said. Employment growth slowed from 1.8 per cent in 2012. The number of unemployed rose by 24,300 during the year, greater than the 19,200 annual increase in full-time work. For every full-time job created last year, four part-time jobs were added, the data show.

 

Potash Corp. of Saskatchewan Inc., the world’s largest fertilizer producer by market value, said last month it will cut its global workforce by 18 per cent amid weaker-than-expected demand in emerging markets. Canada’s postal service said Dec. 11 it will cut its workforce by as many as 8,000 over five years, or almost 12 per cent, to reduce costs.

 

Natural resource companies fired 8,000 workers in December, Statistics Canada said, and education employment dropped by 18,500.

 

Private companies cut 26,300 workers and public-sector employment rose by 18,200 in December.

 

Workers designated by Statistics Canada as employees fell by 8,000, and the self-employed category dropped by 37,900.

 

The jobless rate in Ontario, the most populous province, jumped to 7.9 per cent from 7.2 percent as employment fell by 39,300, Statistics Canada said.

 

The labour force participation rate remained at 66.4 per cent, the lowest in more than a decade, for a fourth month in December.

 

Average hourly wages of permanent employees rose 2 per cent in December from a year earlier, slower than the prior reading of 2.3 per cent.

 

The share of Canadians who say their jobs are secure declined to 45.9 per cent on Jan. 3 from 48.9 per cent on Dec. 6, according to the Bloomberg Nanos Canadian Confidence Index.

 

Here’s the breakdown by province (previous month in brackets):

 

Newfoundland 10.8 (12.3)

 

Prince Edward Island 11.5 (11.4)

 

Nova Scotia 9.2 (8.8)

 

New Brunswick 9.7 (9.7)

 

Quebec 7.7 (7.2)

 

Ontario 7.9 (7.2)

 

Manitoba 5.5 (5.6)

 

Saskatchewan 3.9 (4.1)

 

Alberta 4.8 (4.7)

 

British Columbia 6.6 (6.7)

 

Statistics Canada also released seasonally adjusted, three-month moving average unemployment rates for major cities but cautions the figures may fluctuate widely because they are based on small statistical samples. (Previous month in brackets.)

 

Toronto 8.4 (8.2)

 

St. John’s, N.L. 5.9 (5.9)

 

Halifax 6.8 (6.5)

 

Moncton, N.B. 7.7 (7.7)

 

Saint John, N.B. 7.0 (8.0)

 

Saguenay, Que. 7.4 (7.8)

 

Quebec 4.7 (4.9)

 

Sherbrooke, Que. 7.0 (7.1)

 

Trois-Rivieres, Que. 8.3 (8.2)

 

Montreal 8.0 (7.9)

 

Gatineau, Que. 6.9 (6.4)

 

Ottawa 5.9 (5.7)

 

Kingston, Ont. 6.0 (5.9)

 

Peterborough, Ont. 6.0 (5.7)

 

Oshawa, Ont. 6.9 (6.6)

 

Hamilton, Ont. 6.7 (6.8)

 

St. Catharines-Niagara, Ont. 8.8 (8.6)

 

Kitchener-Cambridge-Waterloo, Ont. 6.1 (6.0)

 

Brantford, Ont. 5.1 (4.1)

 

Guelph, Ont. 7.5 (7.4)

 

London, Ont. 7.8 (7.5)

 

Windsor, Ont. 7.8 (8.5)

 

Barrie, Ont. 5.2 (5.1)

 

Sudbury, Ont. 6.8 (6.9)

 

Thunder Bay, Ont. 5.9 (6.3)

 

Winnipeg 5.8 (5.9)

 

Regina 4.2 (3.9)

 

Saskatoon 4.2 (4.2)

 

Calgary 4.7 (4.6)

 

Edmonton 5.5 (5.1)

 

Kelowna, B.C. 6.9 (6.2)

 

Abbotsford, B.C. 8.0 (7.5)

 

Vancouver 6.4 (6.6)

 

Victoria 4.5 (4.3)

 

Lien: http://www.thestar.com/business/2014/01/10/canada_hit_by_unexpected_rise_in_jobless_rate.html

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C'est une mauvaise nouvelle pour la fin de l'année, et ça touche le Canada au complet. Le dernier mois à été particulièrement brutal pour l'Ontario. Il y avait pourtant une amélioration dans les derniers mois.

Modifié par vanatox
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L'Ontario va devenir la première récipiendaire de la péréquation. Ils sont dans un merdier qui va durer plusieurs années.

 

C'est une mauvaise nouvelle pour la fin de l'année, et ça touche le Canada au complet. Le dernier mois à été particulièrement brutal pour l'Ontario. Il y avait pourtant une amélioration dans les derniers mois.

 

Back to reality.. le chomage du Quebec a grimpe +0.5% en Decembre. Fully explains why the PQ is using diversion tactics from a crap economy.

 

from Les Affaires

 

"Le marché de l’emploi québécois connaît aussi un mois de décembre difficile. Au Québec, 10 200 emplois ont été perdus en décembre, toujours selon Statistique Canada. Il s’est perdu 10 100 emplois à temps plein et 100 emplois à temps partiel.

 

 

Le taux de chômage bondit de 7,2% à 7,7%. Cette hausse importante doit cependant être nuancée puisqu’elle ne s’explique pas seulement par les pertes d’emplois, précise Statistique Canada.

 

 

Près de 12 100 personnes ont rejoint le marché du travail en décembre. C’est un signe généralement positif puisqu’il envoie le signal que les travailleurs ont confiance en leurs chances de trouver du travail.

 

 

Toujours au Québec, l’emploi a stagné en 2013 avec une progression de 0,1%. Le temps plein a reculé de 1,3% et le temps partiel a avancé de 6,1%."

 

Et devinez quoi, on nous dira que c'est à cause du PQ!!! Bien sûr les chiffres le confirment n'est-ce pas? Le Québec taux de chômage de 7.2 à 7.7 , l'Ontario notre modèle et province de référence (?) 7.2 à 7.9. Montréal voit son taux baisser de 8 à 7.9 ,tandis que Toronto monte de 8.2 à 8.4 en dépit de la surconstruction. Je n'ai pas envie de faire de la démagogie ici, mais je peux affirmer que nous sommes mieux gérés que certains voudraient le laisser entendre et qu'on a certainement pas de leçons à recevoir du ROC.

 

Nous continuerons à prendre nos responsabilités et faire les choix qui nous conviennent. Les choses peuvent donner l'impression que tout avance lentement, mais les dossiers économiques sont complexes et nécessitent des décisions bien réfléchies et en consensus, afin d'obtenir les meilleurs résultats en bout de ligne.

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