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L'Économie du Québec


Habsfan

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il y a une heure, MtlMan a dit :

Une citée.... quoted?

:P

Merci de noter mon erreur que j'ai corrigée. Je n'étais pas tout à fait réveillé, ma réception était bien activée , mais mon émission encore en réchauffement. :D

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Il y a 3 heures, acpnc a dit :

Merci de noter mon erreur que j'ai corrigée. Je n'étais pas tout à fait réveillé, ma réception était bien activée , mais mon émission encore en réchauffement. :D

Je taquinais, car je sais que tu ne fais pas ce genre d'erreur!

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  • 1 mois plus tard...

Montréal International: des investissements étrangers de 2 milliards en 2017

PIERRE SAINT-ARNAUD
La Presse Canadienne

Publié le 02 mars 2018 à 15h16 | Mis à jour le 02 mars 2018 à 15h16

Montréal International a présenté vendredi un bilan faisant état de plus de 2 milliards d'investissements en 2017 de la part d'entreprises étrangères dans la région métropolitaine accompagnées par l'organisme de promotion économique.

Le président-directeur général de Montréal International, Hubert Bolduc, n'était pas peu fier de présenter ces résultats, qui marquent une augmentation de 50% par rapport à 2016 et de 100% par rapport à 2015.

En tout, ce sont près d'une cinquantaine d'entreprises qu'a accompagnées l'organisme dans leurs projets d'implantation ou d'expansion qui ont créé près de 4400 emplois directs, près de 9000 emplois indirects et assuré le maintien de plus de 850 autres emplois.

Selon les économistes de Montréal International, ces investissements représentent à eux seuls 15% de la croissance économique du Québec en 2017.

La part du lion se situe sans surprise du côté de la haute technologie, qui s'est accaparé plus du tiers des investissements, mais qui est responsable de la moitié des emplois créés.

Le commerce de détail et de gros vient au deuxième rang, avec 22 % des investissements et 11% des emplois. Viennent ensuite les secteurs de l'agroalimentaire, de l'aérospatiale et des sciences de la vie.

Fait à noter, l'écrasante majorité des investissements, soit 64%, provenaient d'Europe, les Amériques se situant loin derrière à 28% avec l'Asie qui ferme la marche à 8%. Créé en 1996, Montréal International (MI) a pour mandats d'«attirer dans la région métropolitaine des investissements étrangers, des organisations internationales et des talents stratégiques, ainsi que de promouvoir l'environnement concurrentiel du Grand Montréal », selon ce qui est écrit sur le site Internet de l'organisme. 

Amazon

Hubert Bolduc n'a par ailleurs pas caché sa vive déception que Montréal n'ait pas réussi à se classer dans la courte liste des villes candidates pour recevoir le deuxième siège social du géant du commerce en ligne Amazon.

«Ces résultats seraient encore meilleurs si on n'avait pas pris deux mois pour travailler sur Amazon», a-t-il laissé tomber.

Un autre volet du bilan de l'organisme a été la capacité d'attirer quelque 300 travailleurs étrangers hautement spécialisés, un travail qui devient crucial avec les pénuries de main-d'oeuvre que connaît le Québec.

À ce sujet, le premier ministre Philippe Couillard, qui assistait au dévoilement de ces résultats, a pressé le gouvernement fédéral «d'adapter rapidement les programmes, les rendre plus souples et les étendre à d'autres catégories de travailleurs également».

Il en a profité pour faire valoir qu'au-delà de Montréal, «la pénurie de main-d'oeuvre touche toutes les régions du Québec, jusqu'à la Gaspésie» et que, justement, dans les régions, la pénurie ne se limitait plus aux travailleurs spécialisés, mais aussi aux travailleurs non qualifiés.

Il a d'ailleurs réclamé d'Ottawa qu'il mette rapidement à jour les statistiques pertinentes «parce qu'elles tiennent compte de chiffres d'emploi qui datent de quelques années et vous savez à quel point la situation s'est massivement transformée au Québec».

 

http://www.lapresse.ca/affaires/economie/201803/02/01-5155947-montreal-international-des-investissements-etrangers-de-2-milliards-en-2017.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_cinemaStandard__4249193_section_POS2

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  • 3 semaines plus tard...

Les fermes de cryptomonnaies bannies de Brome-Missisquoi pour trois mois

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1090993/bitcoin-ferme-entreprises-cryptomonnaies-bannie-brome-missisquoi-moratoire-bitfarms

Publié il y a 55 minutes
Des milliers d'ordinateurs disposés dans un entrepôt.

Bitfarrms possède des centres de calculs informatiques où de superordinateurs sécurisent le réseau informatique pour pouvoir effectuer des transactions de cryptomonnaies. Photo : Radio-Canada

Inquiète des impacts négatifs engendrés par l'arrivée de centres dédiés au minage de cryptomonnaies comme Bitfarms sur son territoire, la MRC de Brome-Missisquoi a imposé un moratoire temporaire pour y interdire leur propagation, a appris Radio-Canada.

Un texte de Charles Beaudoin

Les élus ont adopté à l’unanimité mardi lors du conseil des maires de la MRC une résolution qui empêchera toute implantation de centres de traitement de données ou agrandissement de ces derniers pour une durée de trois mois.

« Pendant ce temps-là, le conseil va réfléchir à l’adoption d’un règlement pour mieux encadrer les permis de construction de ce type d’entreprises-là sur notre territoire », explique le directeur général de la MRC, Robert Desmarais.

L’entreprise spécialisée en cryptomonnaies Bitfarms possède trois centres de calculs à Farnham (5575 mètres carrés), Notre-Dame-de-Stanbridge (1394 mètres carrés) et Cowansville (4645 mètres carrés). Une autre entreprise de plus petite envergure se trouve également à Bromont.

« Il y a beaucoup d’autres demandes également de la part de centres comme ceux-là », fait remarquer M. Desmarais.

Ces centres-là occupent des espaces assez importants, créent peu d’emplois, ont une demande en électricité extrêmement importante et entraînent des nuisances au niveau du bruit, parce que ça prend des ventilateurs extrêmement forts pour sortir la chaleur qui est générée par les ordinateurs dans les entrepôts.

Robert Desmarais, directeur général de la MRC Brome-Missisquoi

Des avis d'experts seront demandés par les municipalités de la MRC afin de leur permettre de légiférer. Il n'est pas exclu que le moratoire soit prolongé.

« Pour le moment, le conseil ne voit pas les retombées positives, sociales, économiques ou environnementales de ce type d’entreprises-là », laisse tomber Robert Desmarais.

Pourtant, Bitfarms, qui s’est récemment installée à Magog, doit s’implanter à Sherbrooke au cours des prochains mois, où elle a promis d’investir 250 millions de dollars et créer 250 emplois.

« Il y a peut-être des entreprises qui vont faire de la recherche et du développement, mais la plupart des demandes d’entreprises qu’on a eues sur notre territoire, c’était pour installer des entrepôts d’ordinateurs qui feraient simplement les calculs pour faire du minage de cryptomonnaies. Dans ces cas-là, c’est très peu de création d’emplois », affirme Robert Desmarais.

Le maire de Bromont, Louis Villeneuve, a été élu pour la première fois le 5 novembre 2017.
Le maire de Bromont, Louis Villeneuve Photo : Radio-Canada

L’alarme a été sonnée au cours des dernières semaines notamment par Bromont, où une ferme de minage de cryptomonnaies aurait accaparé 30 des 36 mégawatts disponibles de la ville.

« C’est essentiellement de la consommation d’énergie », déplore le maire de Bromont, Louis Villeneuve.

Tu peux avoir un immense bâtiment, avec beaucoup de serveurs, de cartes graphiques, qui vont consommer énormément d’énergie et ça n’a aucun apport économique pour la ville en plus de créer des problèmes environnementaux.

Louis Villeneuve, maire de Bromont

L’entreprise en question lorgnait Bromont alors qu’Hydro-Québec viendrait d’y investir près de 80 millions de dollars depuis deux ans pour augmenter la capacité électrique de la municipalité.

« C’est là que le conseil a jugé que c’est devenu extrêmement sérieux. Si on ne veut pas hypothéquer le développement futur de Bromont et de toute la région, il faut vraiment réfléchir à savoir si on veut ce genre d’entreprises sur notre territoire », soutient Robert Desmarais.

« Hydro-Québec a fait dans la région des investissements importants pour augmenter la capacité électrique de certaines villes et certains parcs industriels pour le développement futur de la région et ces centres-là viendraient chercher toute la capacité excédentaire électrique, ce qui fait qu’on se retrouverait avec un problème de non-capacité électrique pour du développement futur », précise-t-il.

 

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Ça reviens à ce que je disait, C'est du gaspillage d'électricité pour le Québec le minage. Pas d'emplois créé pour une consomation massive d'électricité. Je pense que l'on devrais tout simplement interdire ces fermes et apporter des centres de données qui sont un peu mieux à ce niveau. (plus d'emplois, et c'est une infrastructure pour les gens d'ici). 

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1 hour ago, Davidbourque said:

C'est du gaspillage d'électricité pour le Québec le minage

Suis d'accord avec toi, il y a effectivement peu (ou pas) de valeur ajoutée dans ces projets.

Par contre, c’est un excellent débouché pour écouler nos surplus d’électricité – en autant que le tarif exigé soit profitable pour HQ (avec une longueur de contrat appropriée).

Ça serait encore plus rentable si HQ pourrait en interrompre la livraison durant les pointes hivernales.

 

Modifié par YUL
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  • 2 mois plus tard...
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