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Air Canada


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  • 1 mois plus tard...
  • Administrateur

Air Canada abolira jusqu'à 2000 emplois

 

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17 juin 2008 - 08h47

 

LaPresseAffaires.com

 

Michel Munger

 

Chaque hausse de 1 $ US pour le prix du baril de pétrole aurait un impact de 26 M$ sur les dépenses annuelles en carburant chez Air Canada.

Photo: PC

 

Luttant contre la hausse des prix du carburant, la société Air Canada (AC.A) réduira 7% de sa capacité de transport, ce qui pourrait éliminer jusqu'à 2000 emplois.

 

Le transporteur aérien montréalais précise que ces changements affecteront les horaires des vols d'automne et d'hiver.

 

La direction reconnaît que cette mesure frappe une main d'œuvre qui a déjà fait des sacrifices lors de la restructuration de la compagnie.

 

«La perte de ces emplois est douloureuse compte tenu des efforts soutenus de nos employés afin de rétablir la rentabilité de la société au cours des quatre dernières années», indique Montie Brewer, PDG d'Air Canada.

 

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Le baril de pétrole brut ayant plus que doublé de prix par rapport à l'an dernier fait mal à l'industrie aérienne.

 

Chaque hausse de 1 $ US pour le prix du baril aurait un impact de 26 M$ sur les dépenses annuelles en carburant chez Air Canada. Le transporteur y consacre plus de 30% de ses dépenses d'exploitation et il prévoit une augmentation de près de 1 G$ à ce titre en 2008.

 

Par passager, ces données signifient une dépense moyenne de 230 $ pour un aller-retour en 2008, contre 146 $ en 2007 et 110 $ en 2004.

 

«Je regrette de devoir prendre ces mesures, mais elles sont nécessaires pour que la société demeure concurrentielle au cours des années à venir, ajoute M. Brewer. Air Canada, comme la plupart des transporteurs mondiaux, doit adapter ses activités et supprimer les vols qui sont devenus déficitaires compte tenu du prix actuel du carburant.»

 

Le PDG lance un avertissement, juste au cas où le prix du carburant demeurerait élevé. «Si celui-ci ne baisse pas, nous pouvons prévoir d'autres réductions de la capacité.»

 

Air Canada dit aussi que les transporteurs canadiens «sont forcés de composer avec des taxes fédérale et provinciales sur le carburant, des droits de sûreté et des redevances d'aéroport qui sont parmi les plus élevés au monde aujourd'hui».

 

En ce qui a trait aux vols touchés par la réduction de capacité, il faut s'attendre aux baisses suivantes:

 

- 2% pour les vols intérieurs;

- 13% pour les vols transfrontaliers;

- 7% pour les vols internationaux.

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  • 7 mois plus tard...

Air Canada supprime 345 emplois

 

24 janvier 2009 - 14h52

Associated Press

Toronto

 

Air Canada annonce qu'elle va supprimer 375 autres emplois, dès le 2 mars, en raison d'une baisse de sa clientèle. Ces compressions seront effectuées parmi ses 5700 agents de bord.

 

La compagnie aérienne prévoit éliminer un poste d'agent de bord en classe affaires sur chacun de ses vols transatlantiques dans le cadre de cette réduction d'effectifs.

 

Un porte-parole d'Air Canada, Peter Fitzpatrick, a déclaré au quotidien The Toronto Star que le nombre de membres de l'équipage sur ces vols sera dorénavant similaire à ses autres itinéraires. Il assure que cette décision ne va pas compromettre la sécurité des passagers.

 

Ces pertes d'emplois s'ajoutent à l'abolition de 2000 postes annoncés en juin dernier alors que le prix du pétrole était très élevé. Selon Peter Fitzpatrick, il s'agissait dans la moitié des cas de départs effectués par attrition naturelle, c'est-à-dire des départs à la retraite ou des départs volontaires.

 

Si Air Canada semble bénéficier d'un répit par rapport au coût du pétrole depuis l'été dernier, la compagnie doit maintenant faire face à une baisse de sa clientèle.

 

Le transporteur aérien attribue cette baisse aux effets de la crise économique sur les consommateurs.

 

La baisse de la clientèle a aussi contraint Air Canada à réduire son nombre de vols, de revoir certains de ses trajets et d'avoir recours à de plus petits appareils sur certaines liaisons.

 

Air Canada compte présentement 26 600 employés à travers le pays

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  • 4 semaines plus tard...

Air Canada sous la protection des créanciers?

PAR ANNE ROBERT

17 février 2009 10:51

 

Face à une saignée de liquidités, Air Canada n’aurait d’autre choix que de vendre des actifs, renégocier des accords avec les compagnies de cartes de crédit ou… se protéger de ses créanciers, estime l’analyste Fadi Chamoun d’UBS.

 

«Les flux de trésorerie d’exploitation ne suffiront pas à couvrir les obligations de financement des caisses de retraite et les remboursements de dettes arrivant à terme dans les deux prochaines années», estime Fadi Chamoun.

 

Même la baisse du prix du pétrole qui améliore les marges du transporteur ne suffiront pas à éponger les sorties de liquidités, pense l’analyste.

 

La situation pourrait se corser si les clauses comprises dans les accords de cartes de crédit qu’a passé la compagnie venaient à être exigées.

 

Pour l’analyste Claude Proulx de la BMO, la trésorerie d’Air Canada n’est pas un souci dans le court terme mais pourrait le devenir d’ici 2010. Il table sur des ventes d’actifs qui lui permettront de passer la crise.

 

Quant aux accords avec les compagnies de cartes de crédit, Claude Proulx les relègue au chapitre des «problèmes mineurs». Il pense que ces compagnies n’interprèteront pas les contrats à la lettre mais en profiteront pour extirper des montants supplémentaires d’Air Canada.

 

De ce fait l’analyste de la BMO reste neutre pour le titre.

 

Ces recommandations interviennent après que les analystes Cameron Doersken de Versant Partners et Jacques Kavafian de Research Capital ont aussi abaissé leurs cibles.

 

Vers 10 h30 à Toronto, le titre d’Air Canada perdait 8,78% à 1,35 dollars.

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  • 1 mois plus tard...

Air Canada: passera, ne passera pas?

 

Voyons-y de plus près.

 

Le départ de Montie Brewer et son remplacement par Calin Rovinescu viennent précipiter les événements et en ont amené plusieurs à spéculer que la société est sur le point de se placer sous la protection de la loi sur la faillite.

 

Ce n’est pas une option à exclure dans quelques mois, mais c’est vraisemblablement encore un peu tôt.

 

Air Canada a récemment conclu de nouvelles ententes de financement. Elle vient surtout tout juste de finaliser un financement avec le bras aéronautique de GE, un événement qui ne se serait pas matérialisé si le transporteur était à la veille d’avoir recours à la protection des tribunaux.

 

Il apparaît cependant clair que le conseil d’administration de la compagnie est fort préoccupé et a décidé de jouer son va-tout.

 

M. Rovinescu est loin d’être un inconnu chez Air Canada et dans l’industrie aérienne. Entre 2000 et 2004, il a travaillé pour la compagnie d’abord à titre de responsable du développement corporatif et de la stratégie, puis à titre de responsable de la restructuration.

 

Il fut un élément clef dans la première réorganisation d’Air Canada. Il connaît également fort bien les marchés financiers, et arrive d’ailleurs de chez Genuity Capital, une boîte dont il est cofondateur.

 

On le dit brillant, mais aussi fort dur en affaires. La rumeur veut qu’en 2004, l’acceptation par les syndicats de concessions salariales était conditionnelle à ce qu’il remette sa démission. C’est tout dire.

 

Portrait de situation

 

Le nouveau grand patron peut-il réussir à sauver Air Canada?

 

Jetons d’abord un œil sur l’état des lieux.

 

Dans une note de recherche, l’analyste Ben Cherniavsky estime que dans les prochains 6 à 12 mois, la compagnie devra faire face à trois enjeux financiers importants.

 

1-L’échéance d’environ 600 M$ de dettes.

2-Une injection de 475 M$ dans la caisse de retraite pour renflouer sa solvabilité.

3-Des dépenses en capital de près de 120 M$.

 

La baisse des prix des carburants devrait donner un peu d’oxygène à la société. Mais ce ne sera pas suffisant. Monsieur Cherniavsky calcule qu’en tablant sur un prix du baril de pétrole à 43$ US, et après avoir assumé sa contribution à la caisse de retraite, Air Canada devrait générer des flux de trésorerie opérationnels de 110 M$.

 

C’est dire qu’il manque entre 500 et 600 M$ pour fermer la boucle.

 

Vrai, la compagnie a déjà des liquidités de 1G $ en mains. Mais ses conditions de crédit la force à maintenir 900 M$ d’encaisse à son bilan… Il n’y a donc pas de véritable coussin.

 

En temps ordinaire, les banques prêteraient peut-être. Mais nous ne sommes plus en temps ordinaire. Bien que la compagnie ait été en mesure d’obtenir certaines lignes de crédit ces derniers mois, on peut penser que le départ de monsieur Brewer et l’arrivée de monsieur Rovinescu sont une illustration que cette source de financement est tarie.

Les options

 

Il ne semble donc guère plus rester comme option que de vendre le mobilier de la maison.

 

Air Canada a plusieurs appareils en sa possession, dont 10 Boeing 777 qu’elle pourrait vendre ou louer et espérer obtenir des liquidités de près de 500 M$. On dit de cet appareil qu’il est moderne et recherché. Du moins, il l’était jusqu’à il n’y a pas si longtemps, puisque la société a procédé à une opération du genre en mars, opération qui lui a permis de récolter 48 M$.

 

La demande est-elle encore là? Ou assez forte pour 10 autres appareils?

 

C’est ce que l’on pourrait savoir dans quelques mois.

 

En attendant, il ne serait pas surprenant de voir monsieur Rovinescu commencer à faire un peu de lobbying auprès du gouvernement fédéral et de sociétés aériennes étrangères.

 

Auprès d’Ottawa, au sujet de l’amortissement du déficit de la caisse de retraite. Il ne s’agit pas d’être alarmiste. Mais il se pourrait que l’évaluation de monsieur Cherniavsky sur la contribution annuelle d’Air Canada soit conservatrice. Dans une récente analyse, Canaccord Capital évalue que le déficit actuariel du fonds de pension devrait atteindre 3,2 G$ en 2009 (comparativement à 1,2 G $ lors de la dernière évaluation). L’analyste Tom Varesh parle d’une obligation de renflouement annuelle non pas de 475 M$, mais de 600 M$. Et c’est si des changements à la loi sont apportés pour permettre d’allonger la période d’amortissement! Sinon, la contribution devrait normalement grimper à 865 M$ par année.

 

Auprès des sociétés aériennes, le lobbying pourrait bien avoir lieu dans les bureaux de la Star Alliance. Un projet fédéral est à l’effet d’augmenter à 49% la limite de propriété étrangère chez les transporteurs canadiens. Les partenaires n’ont peut-être pas les reins très solides, mais il n’en reste pas moins qu’Air Canada est un fournisseur de trafic intéressant. En 1999, UAL et Lufthansa y étaient allées d’un support financier à Air Canada sur ce motif.

 

Évidemment, entre ces séances de lobbying, il y aura aussi d’importants matchs de boxe avec les syndicats. Des syndicats qui, après le règlement de 2004 avec Robert Milton et monsieur Rovinescu, ont vraiment l’impression de s’être fait avoir.

 

Passera, passera pas Air Canada?

 

Difficile à dire, mais à moins d’un redressement rapide de l’économie, on ne jouerait pas la maison là-dessus.

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  • 2 années plus tard...
Air Canada plans to create a discount leisure airline to compete on routes to Europe, Mexico, the Caribbean and other popular vacation spots, a move that will ratchet up the competitive pressure on tour operators such as Transat A.T. Inc.

 

The country’s largest airline is actively drawing up a business plan to launch a low-cost carrier (LCC) with four Boeing 767s and six Airbus A319s, with the potential to increase that fleet to 50 planes, according to a letter of understanding attached to the tentative labour pact between the company and the Air Canada Pilots Association.

 

The mandate of the LCC will be limited to the market segment seeking low-cost air travel,” according to the letter. “The LCC is not intended to replace mainline routes the company considers financially viable. The LCC’s success and viability depends on the parties’ ability to fulfill this mandate on a competitive basis.”

 

The project is the latest sign of the airline’s aggressiveness as it claws its way back from the financial difficulty it got into during the recession. In addition to the new discount carrier, Air Canada recently said it would return to Billy Bishop Toronto City Airport, a decision aimed at recapturing market share among business travellers that it has lost to upstart Porter Airlines Inc.

 

Air Canada envisages having 30 Airbus planes and 20 Boeings in the new division. Those planes can carry between 120 and 213 passengers in their current configurations, but business class would be removed for the discount airline and replaced with “premium economy” seating.

 

The airline and the pilots’ union have agreed to negotiate a pay structure for the discount unit.

 

“Air Canada and ACPA wish to establish a labour relations structure covering the pilot-employees of the low-cost carrier,” said the letter. A new lower-wage classification of pilots would be started, though the letter cautions that “the full scope and details of the terms and conditions governing the LCC cannot be realistically contained in this LOU [letter of understanding].”

 

Transat is the country’s largest tour operator, followed by fast-growing Sunwing Travel Group, which merged in 2009 with Signature Vacations.

 

Other tour operators vying for Canadian leisure travellers include WestJet Vacations and Thomas Cook Canada Ltd.’s Sunquest Vacations. Air Canada competes in the charter market through its wholly-owned division, Air Canada Vacations.

 

Air Canada Vacations already operates in markets such as Mexico, the Caribbean, U.S. sun destinations, Europe, Central and South America and Asia, but its tour packages generally target mid- to higher-end travellers in the charter sector.

 

ACPA spokesman Paul Howard declined to comment on the letter of understanding, which is dated March 17, noting that union negotiators only began to publicly unveil the tentative agreement Monday in Vancouver, the first stop in a cross-country tour this week to provide details to more than 3,000 Air Canada pilots. ACPA’s master executive council has authorized an April 15-27 ratification vote for the tentative labour pact reached last month.

 

“We wouldn’t comment on the substance of a collective agreement before we’ve even briefed our own members on it,” Mr. Howard said, noting that additional meetings with pilots will be held this week in Winnipeg, Montreal and Toronto. “We’re in the process of explaining what’s in the agreement.”

 

Air Canada declined comment.

 

ACPA is the first of the airline’s unions to agree to tentative contract terms.

 

The Canadian Auto Workers union, which represents customer service agents and call centre staff, resumed bargaining last week aided by a federal conciliator. Management proposals on table include the creation of new classifications in call centres, says the CAW, whose collective agreement expired Feb. 28.

 

The Canadian Union of Public Employees began labour talks last week on behalf of flight attendants, while the International Association of Machinists and Aerospace Workers has scheduled introductory bargaining meetings this month with Air Canada.

 

Labour pacts at ACPA, CUPE and IAMAW expired March 31.

 

(Courtesy of The Globe and Mail)

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