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TGV: Liaison Windsor - Québec


mtl_yul

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Presse Canadienne

14/10/2007

 

 

Selon un nouveau rapport de Via Rail obtenu en vertu de la Loi d'accès à l'information, il est temps d'arrêter d'étudier le concept d'un train à grande vitesse entre Montréal et Toronto et de prendre une décision.

Le document soutient que les avantages du service à grande vitesse ont clairement été démontrés et que de nouvelles études sont inutiles: il faut maintenant décider où placer le projet dans la liste de priorités du gouvernement.

 

Le rapport, daté du 14 août, a été préparé par un ingénieur consultant pour le conseil d'administration de Via Rail, qui s'intéresse à nouveau à l'idée d'un train à grande vitesse reliant Toronto, Ottawa et Montréal.

 

André Gravelle, de la société UMA Engineering, s'est penché sur sept études qui ont examiné, depuis 1984, la faisabilité du projet, dont le coût estimé va jusqu'à 11,1 milliards $. Il a aussi pris en compte une étude de 2004 sur un lien similaire entre Calgary et Edmonton, dont le coût estimé à 3,4 milliards $.

 

M. Gravelle a noté que toutes les études canadiennes ont conclu qu'un investissement important du gouvernement était nécessaire pour construire les infrastructures, comme ça a été le cas ailleurs, notamment en France et au Japon.

 

Toutefois, une fois que la liaison entre Montréal et Toronto sera construite, le volume de passagers devraient être assez important pour assurer n'importe quelle entreprise gestionnaire de faire des profits.

 

L'ingénieur a cité une étude de 1991 qui indiquait que près du tiers des passagers qui utiliseraient un train à grande vitesse utilisaient l'avion, laissant entendre que l'industrie aérienne a aidé à tuer le projet dans l'oeuf.

 

Un porte-parole de Via Rail, Malcolm Andrews, a affirmé que le rapport de M. Gravelle avait été commandé pour le conseil d'administration parce que plusieurs de ses membres étaient nouveaux dans l'entreprise et voulaient être informés des enjeux importants pour la société de la Couronne.

 

Il a averti que le rapport de M. Gravelle ne reflétait pas nécessairement la position de l'organisation.

 

La semaine dernière, le gouvernement fédéral a annoncé des investissements de 692 millions $ sur cinq ans dans Via Rail pour l'aider à reconstruire ses infrastructures vieillissantes. Le ministre des Finances, Jim Flaherty, avait indiqué que ces nouveaux fonds serviraient, entre autres, à réduire les émissions de gaz à effet de serre en réduisant les déplacement en automobile.

 

Via Rail reçoit 170 millions $ par année en subventions pour le transport de ses 4,1 millions de passagers.

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  • 1 mois plus tard...
  • Administrateur

Train rapide entre Québec et Montréal: le recteur de Laval présidera un comité de soutien

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Le président de la Société des traversiers du Québec, Georges Farrah, et le ministre Couillard lors de l'inauguration des nouveaux locaux de la gare fluviale de Québec.

Le Soleil, Érick Labbé

 

 

 

Pierre Pelchat

Le Soleil

Québec

Le projet de train rapide entre Québec et Montréal, évalué à près de 500 millions $, sortira prochainement de sa voie d’évitement. Le recteur de

l’Université Laval, Denis Brière, vient d’accepter de présider un comité pour soutenir les projets structurants d’accès à la région dont celui d’un train rapide.

 

 

Le ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Philippe Couillard, s’est réjoui du choix de M. Brière pour diriger le comité. Il estime que le recteur a les qualités de rassembleur requises pour développer un consensus régional sur la nécessité d’un train rapide.

Selon le ministre, il est crucial pour infléchir le gouvernement fédéral et l’amener à débloquer des fonds que la région présente un front uni sur le projet de train rapide. «Avant d’aller plus loin, il faut que la région dise de façon quasiunanime qu’elle est en faveur de ce projet qu’elle juge prioritaire pour la région et qu’il n’y ait pas de factions qui s’opposent. C’est l’élément essentiel et primordial pour le succès de la démarche», a-t-il commenté, hier, en marge de l’inauguration des nouveaux locaux de la gare fluviale de Québec de la Société des traversiers du Québec.

 

Le ministre n’entend pas partir en guerre contre le ministre fédéral des Transports, Lawrence Cannon, qui n’a pas retenu l’idée de développer un train rapide

lors de l’annonce récente d’investissements de 700 millions $ dans VIA Rail au cours des cinq prochaines années.

 

«Il faut voir le projet de train rapide de façon distincte de l’annonce qui a été faite. On ne s’attendait pas lors de cette annonce qu’on parlerait du train rapide», a-t-il affirmé.

 

M. Couillard a rappelé que le premier ministre Charest est un fervent partisan d’une liaison ferroviaire rapide entre la capitale et la métropole du Québec. «Le premier ministre est lui-même très très attaché à ce dossier-là», a-t-il dit.

 

Le ministre croit qu’un des principaux avantages du train rapide sera la réduction des gaz à effet de serre (GES) par une utilisation moins grande de l’automobile pour circuler entre Québec et Montréal alors que la population est grandement préoccupée par les changements climatiques dus aux GES.

 

Pas de concurrence

 

Le ministre de la Santé et des Services sociaux ne voit pas de contradiction entre la modernisation de l’aérogare de Québec et un possible train rapide. «Ce serait une erreur de voir de la concurrence entre les modes de transport. Chaque mode de transport va bénéficier du succès de l’autre», a-t-il soutenu.

 

Joint en Tunisie, le président de la Chambre de commerce de Québec, Daniel A. Denis, s’est réjoui de la nomination de M. Brière à la tête du comité sur les projets pour un meilleur accès à la région. La Chambre entend toutefois prendre le leadership du dossier d’un rapide entre Québec et Montréal, mais aussi jusqu’à Ottawa. M. Denis entend obtenir l’appui des chambres de commerce présentes le long du parcours du futur train rapide. Il compte multiplier les démarches en ce sens au cours des prochaines semaines. Du côté des élus municipaux, il souhaite que

le maire de Québec, Régis Labeaume, mette à l’épaule à la roue pour développer un front commun.

 

La Chambre veut avoir terminé ses devoirs d’ici le déclenchement de la prochaine campagne électorale fédérale qui pourrait avoir lieu l’an prochain et pouvoir interpeller les partis politiques sur le dossier du train rapide.

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Quel gaspillage d'argent.

 

Je m'excuse, mais si Montréal a besoin d'un lien rapide ce n'est pas avec Québec mais bien avec NYC, Toronto et Boston avant tout! Je veux bien croire qu'un lien rapide entre la Capitale et la Métropole serait bien, mais ce n'est pas réaliste. Il y a beaucoup, beaucoup plus de monde qui voyagent entre MTL-TOR, MTL-NYC et MTL-BOS que Montréal-Québec.

 

Commencons avec un TGV entre MTL et TOR pour ensuite voir si les américains ne seraient pas intéressaés de se joindre à nous(compléter le réseaux avec des liens entre NYC-BOS, BOS-MTL, TOR-NYC et MTL-NYC) et par la suite, on pourrait rajouter des liens MTL-QUÉ et MTL-OTT. Mais commencer avec MTL-QUÉ serait un perte d'argent et de temps!

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Quel gaspillage d'argent.

 

Je m'excuse, mais si Montréal a besoin d'un lien rapide ce n'est pas avec Québec mais bien avec NYC, Toronto et Boston avant tout! Je veux bien croire qu'un lien rapide entre la Capitale et la Métropole serait bien, mais ce n'est pas réaliste. Il y a beaucoup, beaucoup plus de monde qui voyagent entre MTL-TOR, MTL-NYC et MTL-BOS que Montréal-Québec.

 

Commencons avec un TGV entre MTL et TOR pour ensuite voir si les américains ne seraient pas intéressaés de se joindre à nous(compléter le réseaux avec des liens entre NYC-BOS, BOS-MTL, TOR-NYC et MTL-NYC) et par la suite, on pourrait rajouter des liens MTL-QUÉ et MTL-OTT. Mais commencer avec MTL-QUÉ serait un perte d'argent et de temps!

 

 

Quand cette ligne ne fonctionnera pas très bien, les politiciens se féliciteront publiquement de ne pas avoir mis plus d'argent pour un vrai TGV vers New York, Boston ou Toronto. Je suis peut être trop cynique mais ça ressemble à du sabotage planifié.

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  • Administrateur

Je peux te dire qu'il ya beaucoup de fonctionnaires (et autres qui tournent autour du gouvernement) qui font MTL-QUÉ!!! Et comme tu sais qu'il y a tellement de fonctionnaires au Québec, et qui abusent du "coucher à Québec" parcequ'ils veulent pas faire le voyage dans la même journée... je crois qu'à long terme, on aura plus d'efficacité... Les fonctionnaires pourront faire l'aller-retour dans la même journée.

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Je peux te dire qu'il ya beaucoup de fonctionnaires (et autres qui tournent autour du gouvernement) qui font MTL-QUÉ!!! Et comme tu sais qu'il y a tellement de fonctionnaires au Québec, et qui abusent du "coucher à Québec" parcequ'ils veulent pas faire le voyage dans la même journée... je crois qu'à long terme, on aura plus d'efficacité... Les fonctionnaires pourront faire l'aller-retour dans la même journée.

 

je n'ai pas de doutes qu'il y a plein de gens qui font Montréal Québec en une journée...mais les chiffres ne se comparent mêmes pas à Toronto ou NYC!

 

Penses y, il a un vol Montréal-Toronto a chaque heures les jours de la semaine..every freaking hour!

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disons 320 $ pour un billet aller-retour utilisable dans la même semaine. ( je me base sur les prix d'un aller-retour Londres-Paris en TGV)

 

en avion et autobus, il doit environ y avoir 7000 allers-retour par jour entre les 2 villes * chiffres très approximatifs

 

supposons que la moitié décide d'utiliser le train ( bonne estimation selon moi)

 

3500*320 = 1 120 000 $ de recettes par jour

 

 

 

 

Frais pour construire les rails, les caténaires, achat du matériel roulant, centre d'entretien: 4 milliards ( Chiffre honnête)

 

4 milliards ammorti sur 10 ans a un taux de 6%

paiements mensuels de 41 millions !!!

Ca semble difficilement rentable. Et faut pas oublier les frais quotidiens, l'électricité, les employés, la publicité...

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