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Si on commence à charger 1$ par voiture, vous pouvez être sûr que les gens qui habitent les banlieus vont se trouver des jobs en banlieu...ce qui n'aidera pas les Montréalais!

 

Vraiment? Pour seulement 10 $ de péage par semaine ? Et ces jobs en banlieu, elles sont où ?

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je pense pas qu'un péage fasse en sorte que les banlieusards reste travailler dans leur coin plutot que de venir à Montréal.

 

je suis d'accord avec Lyle, il y a pas assez de travail sur la rive sud pour tout le monde et je pense pas qu'il y est des gens assez fou pour quitter une job dans laquelle ils ont de l'ancienneté pour bouder Montréal....au pire on peut garder le payage juste du lundi au vendredi pour éviter ainsi de nuire aux cinémas, restaurants et salle de spectacle de Montréal

 

Le chroniqueur Dubuc de La Presse disait justement à la radio hier que Montréal qui représente presque la moitié de la population de la province n'a pas assez de pouvoir et reçoit trop peu en retour ....c'est ici qu'on doit intégrer les immigrants, qu'on doit combattre le plus de criminalité, qu'il y a le plus de touristes et le plus de réparation à faire .....et pourtant la province redonne très peu en retour ....Montréal rencontre les mêmes problèmes que d'autres grandes villes ailleur dans le monde, on a trop de responsabilité et pas assez d'argent....Toronto par exemple à l'avantage d'être le siège du gouvernement provincial, donc ils ont comme pas le choix de s'en occuper....

 

plusieurs milliers de banlieusards viennent à Montréal aux spectacles,pour travailler, ils utilisent nos routes, produisent des déchets etc....mais ils ne payent pas la note....alors il faut bien qu'ils payent en quelque part.....

 

pis peut être aussi que des compagnies donc la principale clientèle se trouve à Montréal vont décider de venir s'installer sur l'île plutôt que d'avoir à payer pour traverser le pont pour livrer la marchandise....et avec elles vont venir encore plus de travailleurs de la banlieu

 

toute façon si c'est vrai que moins de banlieusards vont venir à Montréal et bien dites vous que les montréalais non plus ne vont pas aller en Banlieu magasiner dans les centres d'achats de Laval par exemple....on va bien voir c'est qui qui va avoir raison de qui ....

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  • Administrateur

Bilan montréalais

Boisclair blâme Charest

 

 

 

 

070211boisclair-andre_n.jpg

Signe que les élections approchent au Québec, le chef du Parti québécois, André Boisclair, a fait dimanche une critique sévère du bilan montréalais du gouvernement Charest.

 

M. Boisclair a accusé M. Charest d'avoir abandonné la métropole depuis son élection. Il soutient que l'inaction de Québec a eu des conséquences néfastes pour le développement de la ville en matière économique, notamment dans le secteur manufacturier qui traverse présentement une profonde crise.

 

Le chef péquiste a accusé M. Charest d'avoir manqué à plusieurs de ses engagements, notamment dans le dossier des défusions municipales qu'il a qualifiées d'opération ratée. Il a aussi reproché au premier ministre d'avoir « baissé les bras » dans le domaine du transport en commun, surtout pour le prolongement du métro à Laval, au moment où la Société de transport de Montréal est, elle aussi, en pleine crise.

 

André Boisclair a aussi dénoncé l'inaction du gouvernement dans le dossier de l'avenir du boulevard Notre-Dame, et celui de la décontamination des terrains industriels. Dans ce dossier, le chef de l'opposition préconise que Québec prenne en charge une partie de la facture en cas de projets porteurs, qu'il s'agisse de logements sociaux ou de projets industriels.

 

M. Boisclair s'est aussi dit inquiet de l'exode de plus en plus fréquent des résidents montréalais vers les banlieues et les régions. Il le chiffre à 70 000 départs par an. Pourtant, dit-il, Montréal représente la moitié du produit intérieur brut du Québec, 70 % de ses exportations et 25 milliards de dollars de revenu annuel pour l'État.

 

Il soutient que cet exode entraîne des pressions de plus en plus fortes pour les Montréalais dans les domaines de la fiscalité et de l'offre de services publics, en plus d'augmenter la circulation automobile et, par conséquent, la pollution.

 

Pour une décentralisation

 

M. Boisclair s'est dit solidaire du maire Gérald Tremblay, qui affirme que la ville centre ne peut plus augmenter les taxes foncières, sous peine d'accélérer l'exode qu'il veut freiner, et que la Ville a besoin de nouveaux revenus. André Boisclair promet donc que, s'il est élu, il donnera à la Ville de Montréal les pouvoirs législatifs que M. Tremblay réclame, c'est-à-dire le pouvoir d'aller chercher de nouvelles sources de revenus sans être obligé d'aller quémander des autorisations à Québec.

 

En matière d'environnement, le chef péquiste a rappelé que les épisodes de smog augmentent d'année en année à Montréal. Il a déploré que la réglementation sur la qualité de l'air ne soit pas harmonisée sur l'ensemble du territoire.

 

M. Boisclair a terminé en disant que le destin de Montréal est étroitement lié à celui du Québec, en précisant que toutes les régions doivent s'unir au lieu de se méfier l'une de l'autre. Il a cité en exemple la rénovation du métro de Montréal qui entraînera la création de milliers d'emplois à l'usine Bombardier de La Pocatière.

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Vraiment? Pour seulement 10 $ de péage par semaine ? Et ces jobs en banlieu, elles sont où ?

 

Franchement, j'espère que tu n'est pas sérieux? Il y a plus de 700,000 personnes qui vivent sur la RIve Sud, des Job il y en a partout.

 

Les parcs Industriels de Boucherville, Longueuil, St-Hubert, Brossard, Candiac etc.

 

Les bureaux à Longueeil, sur le Boul Taschereau à Brossard, le long de la 20 à Boucherville, le Long de la 30...and everywhere in between.

 

La majoritée des gens que je connais qui vivent sur la Rive Sud, travaillent sur La Rive-Sud.

 

Ce n'était certainement pas le cas il y a 10-12 ans de cela. Avant la majorité des gens que de connaissais vivaient sur la Rive-Sud et travaillaient en ville, mais depuis 6-7 ans il y en a de plus en plus qui sont écoeurés de se tapper le traffic de la ville et perdre tout sont temps en voiture!

 

je pense pas qu'un péage fasse en sorte que les banlieusards reste travailler dans leur coin plutot que de venir à Montréal.

 

je suis d'accord avec Lyle, il y a pas assez de travail sur la rive sud pour tout le monde et je pense pas qu'il y est des gens assez fou pour quitter une job dans laquelle ils ont de l'ancienneté pour bouder Montréal....

 

Continuez à penser comme ça et vous allez voir que plus que les années avancent, et plus que les banlieus prennent de l'importance dans la région métropolitaine. C'est cette ignorance des gens qui ne sortent jamais de l'île qui va finir par vous rattraper. Pas assez de travail??? tu serais surpris!

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  • Administrateur

Taxation : Charest ne bougerait pas avant les élections

Sébastien Rodrigue

La Presse

 

 

Le gouvernement Charest n'aura pas le courage à la veille des élections de donner de nouveaux pouvoirs de taxation à la Ville de Montréal de crainte de froisser l'électorat du 450, selon le président du comité exécutif de Montréal, Frank Zampino.

«Je ne m'attends pas à ce que Québec tranche le dossier au risque de se mettre la banlieue à dos», laisse-t-il tomber. M. Zampino espère tout de même voir une mention dans la mise à jour budgétaire prévue mardi prochain. «Je suis réaliste, si je suis un élu du Parti libéral du Québec, je n'ai pas intérêt à donner à Montréal avant les élections ce qu'ils demandent», ajoute-t-il.

 

Le président du comité exécutif souligne, par exemple, que Montréal et les villes de banlieue n'arrivent pas à s'entendre sur le financement du métro de Montréal après des mois de discussions. Montréal souhaite que les municipalités paient 37% du métro, tandis que l'offre des villes de banlieue ne dépasse pas 20 %.

 

La ministre responsable de la région de Montréal, Line Beauchamp, fait valoir pour sa part que les villes de banlieue ont tout de même reconnu qu'elles devaient financer le métro de Montréal. La ministre ajoute qu'un mandataire a été nommé pour sortir le dossier de l'impasse. Mme Beauchamp a toutefois déclaré que Montréal devait pouvoir compter sur des revenus «prévisibles» et «stables».

 

 

 

M. Zampino espère que le prochain gouvernement donnera suite aux demandes de Montréal. La semaine dernière, le maire Gérald Tremblay a plaidé pour que la métropole soit moins dépendante de l'impôt foncier. L'administration Tremblay-Zampino envie le Toronto City Act qui donne à la Ville reine le pouvoir d'installer des péages, de taxer les stationnements, l'alcool, les cigarettes et les billets de spectacles.

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Le président du comité exécutif souligne, par exemple, que Montréal et les villes de banlieue n'arrivent pas à s'entendre sur le financement du métro de Montréal après des mois de discussions. Montréal souhaite que les municipalités paient 37% du métro, tandis que l'offre des villes de banlieue ne dépasse pas 20 %.

 

I'm all in favour of giving Montreal some extra taxation powers, but I find that the city is being a little greedy in this instance. The metro currently has 1 station in the suburbs (soon to be 4). 4 stations out of 68 = 5.8% The fact that the suburbs are willing to pay 20% is pretty nice of them. 37% is just unrealistic!

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I'm all in favour of giving Montreal some extra taxation powers, but I find that the city is being a little greedy in this instance. The metro currently has 1 station in the suburbs (soon to be 4). 4 stations out of 68 = 5.8% The fact that the suburbs are willing to pay 20% is pretty nice of them. 37% is just unrealistic!

 

si au moins il y avait un moyen de savoir le pourcentage d'utilisateur provenant de chaque ville, ça serait plus facile de taxer...le nombre de station ne représente pas nécessairement le nombre d'utilisateur, les 4 stations en banlieu vont surment avoir plus de monde que bien des stations à Montréal.

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si au moins il y avait un moyen de savoir le pourcentage d'utilisateur provenant de chaque ville, ça serait plus facile de taxer...le nombre de station ne représente pas nécessairement le nombre d'utilisateur, les 4 stations en banlieu vont surment avoir plus de monde que bien des stations à Montréal.

 

Tu apportes un bon point! Mais encore là, je crois que 37% c'est un peu trop.

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  • Administrateur

ca va surement dependre des projections d'achalandage des nouvelles stations.

 

faut pas oublier que les basses laurentides utilisent henri bourassa et que plusieurs villes de la monteregie utilisent longueuil.

 

Moi je suis toujours en faveur des concepts utilisateur-payeur.

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  • 2 semaines plus tard...
  • Administrateur

Ce qui devait arriver, arriva!

 

Montréal abuse des parcomètres

 

André Beauvais

Le Journal de Montréal

27/02/2007 08h19 - Mise à jour 27/02/2007 08h28 e-journaldemontreal.gif

pix.gifpix.gif20070227-081902-g.jpg Les marchands craignent que la tarification passe à 2 $ l'heure et dénoncent l'imposition des tarifs tous les soirs de la semaine ainsi que le dimanche après-midi.

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Des commerçants de la Promenade Fleury, dans le nord de la ville, se préparent à affronter la Ville de Montréal quant à «l'abus des parcomètres». Les marchands craignent que la tarification passe à 2 $ l'heure et dénoncent l'imposition des tarifs tous les soirs de la semaine ainsi que le dimanche après-midi.

 

 

La Ville doit modifier les tarifs prochainement, comme cela a été fait dans les rues commerciales de plusieurs autres arrondissements, mais on s'y oppose fermement sur la rue Fleury.

 

 

Il y a deux semaines, c'est un commerçant de l'avenue du Mont-Royal qui partait en guerre contre les parcomètres dans cet arrondissement. Sur la Promenade Fleury, c'est Giovanna Giancapro qui coordonne cette campagne de protestation d'au moins 30 marchands qui font signer des requêtes par leurs clients.

 

 

Elle affirme que c'est «irresponsable pour la Ville de faire ça aux commerçants, qui travaillent déjà très dur pour payer les taxes».

 

 

Mais au bureau de l'arrondissement, Marie-Élaine Ladouceur informe que le tarif est actuellement de 75 cents et qu'il passera «seulement» à 1 $ l'heure.

 

 

Tarification le dimanche

 

Giovana Giancapro ne fait confiance à personne: «On ne les croit plus, dit-elle, et on se demande pourquoi pénaliser le peu de clients qu'on a le dimanche après-midi en ajoutant cette période à la tarification.»

 

 

Elle se demande pourquoi la Ville ne prend pas exemple sur l'arrondissement d'Outremont, qui n'a pas haussé ses tarifs sur l'avenue Laurier, à l'ouest de l'avenue du Parc, dans un secteur où se trouvent plusieurs restaurants.

 

 

Mme Giancapro veut «servir» au maire Gérald Tremblay et à l'arrondissement une «petite révolte» aussi importante que celle des marchands de l'avenue du Parc.

 

 

«Ces gens-là ne reculent habituellement avec leurs décisions que si on crie fort. Alors, on va crier très fort», promet-elle.

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