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La LNH à Québec?


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Un ingénieur lui fera surement savoir que c'est impossible d'avoir une structure de bois de cette envergure avec cette configuration! Il devra penser à faire un plafond complètement en acier! Juste à regarder le plafond du centre Bell pour comprendre le genre de charge à supporter. Surtout qu'il y a plus de neige à Québec!

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  • 3 semaines plus tard...

Publié le 19 mars 2009 à 05h00 | Mis à jour à 08h25

 

LNH à Québec: un rêve qui n'est pas farfelu, jugent Michel Goulet et Kevin Lowe

 

1918_QUEBEC_NORDIQUES_LOGO_2.jpg

 

Le Soleil, Simon Boivin

 

(Denver) De passage à Denver, les promoteurs d'un nouveau colisée pour Québec se sont entretenus avec l'ex-vedette des Nordiques et adjoint au directeur général de l'Avalanche du Colorado, Michel Goulet, et le président des Oilers d'Edmonton, Kevin Lowe. Les conditions ne sont pas encore rassemblées, mais le rêve des mordus de hockey de voir revenir la LNH à Québec n'est pas farfelu, jugent Michel Goulet et Kevin Lowe.

 

En visite au Colorado pour se familiariser avec les rouages du Pepsi Center, où jouent les anciens Nordiques, les promoteurs d'un nouveau colisée se sont entretenus avec les deux anciens joueurs-vedettes, aujourd'hui bien placés dans l'administration de deux équipes professionnelles.

 

«Il n'y a aucun doute au niveau du hockey qu'un marché comme Québec peut avoir sa place», affirme M. Goulet, adjoint au directeur général de l'Avalanche du Colorado. «Voilà cinq ou six ans, ça aurait peut-être été plus difficile. Quand on regarde ce que vous avez là comme projet, ça peut inciter un propriétaire qui sait que ça va marcher», à transférer sa franchise.

 

L'ex-joueur étoile des Nordiques note que la vente de billets est la meilleure façon de survivre dans la Ligue nationale de hockey. À Québec, cela n'a jamais été un casse-tête, renchérit Kevin Lowe, président des Oilers d'Edmonton.

 

 

«Un peu comme dans le film Champ de rêves : si tu le construis, ils viendront, donne comme image M. Lowe. Comme membre de la LNH, je me dis que s'il y a un édifice comme ça et que l'économie est forte, il n'y a pas de raison pour qu'il n'y ait pas de hockey de LNH.» Les deux hommes sont des amis de l'un des promoteurs du projet J'ai ma place, Jocelyn Faucher, avec qui ils ont joué à l'époque avec les Remparts.

 

Rencontré dans le hall de l'hôtel, le joueur des Oilers Marc-Antoine Pouliot, qui a grandi à Québec, a assisté à la présentation du projet d'amphithéâtre de 300 millions $. «J'adorerais ça, dit-il. Ce serait extraordinaire. C'était plein avant. Je ne vois pas pourquoi ce ne le serait plus. Ce n'est pas juste pour Québec. Il y a des gens jusque dans le Bas-du-Fleuve. Pour toute la région, c'est certain que ça marcherait.»

 

Loin de la coupe aux lèvres

 

Reste qu'il y a encore loin de la Coupe Stanley aux lèvres. De l'avis de Michel Goulet, il ne faut pas espérer une nouvelle expansion de la ligue. «Je ne vois pas ça, dit-il. Il y a beaucoup d'autres choses à penser avant.» M. Lowe se garde certaines réserves en raison de son poste plus «politique» au sein de la LNH.

 

«Je sais qu'au niveau argent, à la fin [les Nordiques] n'étaient plus capables d'arriver. Mais quand on jouait-là, les meilleurs sièges étaient à 40-50 $. C'est rendu 125 $, 130 $, 200 $. Pour vivre, il faut que ce soit plein. Si la place est pleine, tu crées une ambiance, les business marchent, ça fait rouler la ville. J'ai toujours cru à ça.»

 

À l'heure actuelle, le grand manitou de la LNH, Gary Bettman, a encore les yeux tournés vers le sud. Certaines règles de fonctionnement défavorisent toujours les petits marchés, et le taux de change n'est pas à l'avantage des concessions canadiennes.

 

L'amphithéâtre d'abord

 

Mais avant de penser à la LNH, les deux hommes de hockey suggèrent de se concentrer sur le projet d'amphithéâtre. «Pour ce projet, vous n'avez pas besoin de ça en ce moment», note Kevin Lowe. «Je pense que ç'a [la LNH] un petit rapport avec ce que vous voulez faire ici», renchérit Michel Goulet.

 

Pour le reste, un peu comme ce fut le cas à Winnipeg, les promoteurs du projet J'ai ma place se sont fait suggérer de revoir à la baisse leur capacité d'accueil envisagée. Bien placé pour en parler parce qu'il souhaite un nouvel amphithéâtre pour son équipe, Kevin Lowe croit que le chiffre idéal est de 18 000 sièges. Il a aussi fait quelques suggestions, telles que construire une patinoire d'entraînement à même l'édifice, pour que l'équipe puisse l'utiliser même lorsqu'il y a des spectacles. Aussi, faire un effort pour surélever les premières rangées de sièges pour améliorer la vision des spectateurs, et garder une seule couleur de bancs pour contrer l'impression que certaines places sont mauvaises.

 

Il faut aussi offrir certains billets à bas prix. «Les politiciens qui investissent dans un projet aiment pouvoir dire que c'est pour tout le monde», a souligné M. Lowe.

 

Jeudi, les cinq membres de l'organisation J'ai ma place visiteront le Pepsi Center, qui compte 18 004 places assises.

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Publié le 19 mars 2009 à 05h00 | Mis à jour à 08h25

 

LNH à Québec: un rêve qui n'est pas farfelu, jugent Michel Goulet et Kevin Lowe

 

1918_QUEBEC_NORDIQUES_LOGO_2.jpg

 

Le Soleil, Simon Boivin

 

(Denver)

 

L'ex-joueur étoile des Nordiques note que la vente de billets est la meilleure façon de survivre dans la Ligue nationale de hockey.

 

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Moi la question qui tue que je poserais à ce monsieur........avez-vous au moins pris la peine de calculer le nombre de loges corporatives nécessaires pour faire vivre à nouveau les nordiques? Et puis-je voir vos calculs?

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Kevin Lowe l'a dit dans ce texte. Quand les Nordiques sont partis, les meilleurs sièges se vendaient 40-50$. la moyenne était aux alentours de 20-25$ le siège. Les gens pouvais se permettre de dépenser 800$ par année pour un billet de saison. Aujourd'hui, la moyenne se situe aux alentours de 90-100$ le billet...c'est 3600 à 4000$ par année PAR BILLET. je ne crois pas qu'il y a assez de gens dans la région de Québec qui peuvent se permetrre de dépenser 8000$ par année sur des billets de saison!

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  • 1 mois plus tard...

Publié le 12 mai 2009 à 08h06 | Mis à jour à 08h07

 

Jean-François Bégin: la LNH à Québec, ou l'oeuf et la poule

 

Jean-François Bégin

La Presse

 

Avec toutes les histoires d'horreur financières au sujet des Coyotes de Phoenix, des Thrashers d'Atlanta et des autres franchises plus ou moins moribondes de la Ligue nationale de hockey, il était inévitable que la possibilité d'un retour de la LNH à Québec revienne à l'ordre du jour.

 

Le président milliardaire de la Ligue continentale russe, Alexander Medvedev, a fait sa part pour alimenter la machine à rumeurs, la semaine dernière. En marge du Championnat du monde de hockey, à Berne, il a déclaré qu'il était intéressé à acquérir une équipe de la LNH et qu'il procédait à la vérification diligente des livres de trois clubs.

 

Les dépêches en provenance de Suisse ne disaient pas si M.Medvedev avait été inspiré par le premier des deux épisodes de Tout le monde en parlait consacré aux Nordiques (deuxième partie ce soir à 19h30 à Radio-Canada). Mais l'homme d'affaires a aussi dit qu'il était «étrange» que Québec, où il a séjourné lors du Championnat précédent, l'an dernier, n'ait pas de club dans la LNH.

 

Il n'en fallait pas plus pour qu'on prête à cet influent monsieur (il est aussi vice-président du conseil de Gazprom, premier exportateur mondial de gaz naturel, et membre du conseil de la Fédération internationale de hockey sur glace) l'intention de faire migrer vers Québec un des canards boiteux de Gary Bettman.

 

On va un peu vite en affaires.

 

Que les Coyotes de Phoenix se noient dans un océan d'encre rouge, que les Thrashers demeurent les parents pauvres du sport à Atlanta ou que les Islanders continuent de se produire devant des foules de moins de 14 000 personnes dans leur grange délabrée de Long Island, ce n'est pas demain la veille qu'un de ces clubs ou un autre va déménager à Québec.

 

Même si Gary Bettman parvient un jour à surmonter sa réticence bien documentée au déménagement de franchises (du moins, dans l'ère post-Nordiques/Jets/Whalers), Québec a un handicap majeur par rapport à d'autres marchés qui courtisent la LNH: il ne possède pas d'amphithéâtre moderne.

 

C'est un manque qu'espère combler un groupe lancé l'automne dernier par un comptable respecté de Québec, Mario Bédard. «La vraie chose qui va amener un club de la LNH à Québec, ce sont les infrastructures. Présentement, des villes comme Winnipeg ou Kansas City sont en avance sur Québec parce qu'elles ont des infrastructures. Pour un propriétaire qui songe à déménager son équipe, Québec n'est pas une priorité.»

 

À l'automne, le groupe de M.Bédard, qui était trésorier de la Société du 400e, a lancé le projet «J'ai ma place» (http://www.jaimaplace.com). L'idée est de vendre des droits sur les sièges d'un éventuel amphithéâtre multifonctionnel de 18 000 places dont le coût de construction est présentement estimé à 240 millions. «Je veux m'assurer que les gens de Québec veulent d'un nouvel amphithéâtre. Et la façon de le prouver, c'est qu'un nombre intéressant de sièges soient vendus.»

 

À ce jour, le groupe a recueilli 3,5 millions de la part d'entreprises et d'individus, qui ont accepté de verser 25 000$ (loges corporatives) ou 5000$, 3000$ ou 1500$ pour les sièges individuels. Détail encourageant: 55 loges (sur environ 80) ont été vendues à ce jour. «Ça fait plusieurs années qu'on entend qu'il n'y a pas assez d'argent à Québec, alors pour démentir cette rumeur, on a commencé par essayer de vendre ces salons», dit M.Bédard.

 

On est toutefois encore très loin de l'objectif initial de 50 millions que le groupe s'était fixé pour convaincre la Ville de Québec et les gouvernements provincial et fédéral de contribuer financièrement. Ce qui n'est pas très surprenant: difficile de persuader les gens de sortir leur fric si tout ce qu'on offre, c'est une priorité d'achat de billets pour un hypothétique spectacle de Madonna ou de U2. Ça prend autre chose: un club de hockey.

 

Mario Bédard est convaincu que la LNH reviendra à Québec. «Je ne ferais pas tout ça si je n'y croyais pas. Québec est un marché naturel. Avec la région de Chaudière-Appalaches, c'est 1,2 million de personnes. Il y a aussi beaucoup plus d'argent à Québec que lors du départ des Nordiques, en 1995. Et il n'y a pas d'autre sport majeur. Ici, le hockey deviendrait la pierre angulaire, contrairement à ce qui se passe à Denver, par exemple, où l'Avalanche a de la difficulté au chapitre de l'assistance parce l'équipe ne gagne plus et doit lutter avec sept ou huit équipes de sport.»

 

Selon M.Bédard, il n'est pas nécessaire que le «nouveau Colisée» soit terminé - un processus qui pourrait prendre cinq ans, dit-il - avant de songer à approcher formellement la LNH. Mais il estime qu'il lui faudra avoir recueilli des engagements financiers d'au moins 25 millions (l'équivalent de 5000 sièges et 70 «salons»).

 

«J'ai rencontré Kevin Lowe (grand patron hockey des Oilers d'Edmonton) et ce qu'il m'a dit rejoint ce que je pense: tu n'as pas deux chances. La journée où je vais me rapprocher de Gary Bettman, il faudra que ce soit avec quelque chose de sérieux.»

 

Résumons: il est difficile d'être pris au sérieux par les décideurs de la LNH sans des engagements financiers substantiels, lesquels passent par l'appui massif de la population. Mais il est difficile de convaincre la population si on ne peut au préalable lui promettre «le retour des Nordiques». Épineux problème. Qu'est-ce qui vient en premier: l'oeuf ou la poule? Faudrait demander à Alexander Medvedev ce qu'il en pense...

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  • 1 mois plus tard...

Rien de vraiment nouveau ou concret, mais au moins, on en parle encore :

 

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LNH

À quand une équipe à Québec?

 

- Stéphane Cadorette

Le Journal de Québec

22/06/2009 09h25

 

 

LNH

À quand une équipe à Québec?

 

- Stéphane Cadorette

Le Journal de Québec

22/06/2009 09h25

 

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LNH - À quand une équipe à Québec?

Plusieurs fans de Québec rêvent au retour des Nordiques.

© LA PRESSE CANADIENNE/Clément Allard

 

 

Aux yeux de Marcel Aubut, jamais au cours des dernières années les conditions à un retour éventuel de la LNH à Québec n'ont été autant réunies qu'en ce moment.

 

D'une part, M. Aubut se réjouit de la vente du Canadien à la famille Molson, qu'il juge comme «une nouvelle exceptionnelle, une tradition qui retourne dans la famille».

 

D'autre part, le fait que trois groupes québécois se soient manifestés lui fait dire que le contexte économique a changé pour le mieux depuis le départ des Nordiques de Québec vers Denver, en 1995.

 

«C'est le jour et la nuit», lance-t-il avec enthousiasme. Le hockey au Québec vit de bonnes nouvelles dans son ensemble, que ce soit avec la vente du Canadien à des Québécois ou la disponibilité éventuelle de fonds publics», dit-il.

 

Réactions aux 100M$

 

Me Aubut a ainsi réagi aux propos du ministre des Finances du Québec, Raymond Bachand, qui a affirmé hier que le prêt pouvant aller jusqu'à 100 M$ que le gouvernement Charest s'engageait à verser aux acheteurs du Canadien serait toujours disponible dans le cas où des investisseurs souhaitent une franchise à Québec.

 

«Peu importe les montants avancés, on doit retenir qu'on a un ministre des Finances qui dit que les fonds sont bel et bien disponibles. Il y a une fenêtre d'occasions pour Québec qui n'était pas là avant. Avec la vente du Canadien qui est réglée, tout le focus peut maintenant être placé sur Québec», explique l'avocat et président du comité olympique canadien.

 

Invitation à Quebecor

 

Bien entendu, M. Aubut ne modifie pas pour autant son habituel discours. «Il faut voir tout ça comme d'excellentes nouvelles pour Québec, dans le contexte où on érige un nouvel aréna. Sinon, on oublie tout ça», prévient-il.

 

À cet effet, il ne se mêle toujours pas dans la besogne abattue par le groupe de Mario Bédard, même s'il dit apprécier la teneur des efforts jusqu'ici.

 

«Il m'a demandé conseil, mais je ne peux pas vraiment m'impliquer avec tout ce que j'ai sur les épaules maintenant. Je pense qu'ils font très bien ça», mentionne-t-il.

 

Enfin, à l'instar de Mario Bédard, Marcel Aubut a aussi invité Quebecor à s'impliquer dans le dossier du retour d'une équipe de la Ligue nationale à Québec.

 

«L'entreprise a démontré que son offre pour le Canadien était intéressante et je pense qu'à Québec elle est la bienvenue. Ce serait extraordinaire», conclut-il.

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Pour Québécor, implanter une équipe à Québec pourrait être un beau prix de consolation. Ça couterait beaucoup moins cher que d'acheter le Canadien et ça donnerait de la programmation à la chaine sportive qu'ils veulent lancer. Il reste encore le problème du Colisée et le fait que l'équipe risque de ne pas être très rentable. Sans compter que Bettman ne semble pas être intéressé à déménager des équipes en faillite du sud des États-Unis, lui qui ne pouvait pas se débarasser assez vite des équipes canadienne déficitaires il y a une douzaine d'années...

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Pour Québécor, implanter une équipe à Québec pourrait être un beau prix de consolation. Ça couterait beaucoup moins cher que d'acheter le Canadien

 

Pas sur de ça!? 200 millions$ pour une concession et un autre 250 à 300 millions$ pour la construction d'un nouvel arena!

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Pas sur de ça!? 200 millions$ pour une concession et un autre 250 à 300 millions$ pour la construction d'un nouvel arena!

 

Le nouvel arena va probablement être financé (ou à tout le moins co-financé) par le gouvernement, ce qui en réduira le prix. On tombe nettement en-dessous du prix pour acheter le Canadien (mais in se retrouve avec une franchise beaucoup moins rentable).

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  • 4 semaines plus tard...

QUEBEC - L'homme d'affaires Pierre-Karl Péladeau croit que la ville de Québec a le potentiel pour construire un amphithéâtre pouvant accueillir une équipe de la Ligue nationale de hockey (LNH) et il entend s'impliquer sérieusement dans les efforts menés en ce sens.

 

En entrevue au 'Journal de Québec', le PDG de Quebecor explique que Québec est une ville de hockey, bien plus que certaines villes américaines qui possèdent pourtant une équipe de la LNH présentement.

 

M.Péladeau signale toutefois que le projet de ramener une équipe à Québec demandera du temps.

 

La ville a perdu les Nordiques qui ont déménagé à Denver en 1995. A l'époque, le propriétaire des Nordiques, Marcel Aubut, avait expliqué le départ de l'équipe par la petitesse du marché de Québec et par la hausse des salaires des joueurs.

 

Il voulait que les pouvoirs publics financent la construction d'un nouveau Colisée mais le gouvernement du Québec avait écarté cette éventualité.

 

Par ailleurs, Pierre-Karl Péladeau répète qu'il est déçu de n'avoir pu se porter acquéreur du Canadien de Montréal, il y a quelques semaines.

 

http://www.rds.ca/hockey/chroniques/278761.html

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