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Cinq start-up montréalaises à surveiller en 2012.


bxlmontreal

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Il n'y a pas trois ans, trouver de nouvelles pousses technologiques montréalaises prometteuses relevait du défi. Cette année, c'est faire le tri dans le lot de ces jeunes «start-up» qui est le plus difficile. Sur les talons de Beyond the Rack et de Woozworld, en voici cinq qui pourraient faire leur marque en 2012.

 

 

 

Gamerizon

 

Gamerizon se spécialise dans les jeux mobiles grand public. Le succès de sa série de jeux mobiles Chop Chop lui a permis de décrocher un financement de 5 millions, l'automne dernier. Les ambitions du studio montréalais sont cependant bien plus élevées que cela: l'entreprise se voit comme le prochain Zynga, géant du jeu vidéo de prochaine génération. «L'entreprise a certainement les moyens de générer des revenus annuels supérieurs à 100 millions», estime Chris Arsenault, directeur du fonds iNovia, qui participe au financement de l'entreprise.

 

Hopper

 

Les sites de voyage se suivent et se ressemblent. Hopper risque de tomber comme un pavé dans la mare. Trois ans de développement et 8 millions en financement obtenus à la fin de l'été 2011 font monter les attentes pour ce moteur de recherche fondé par trois anciens d'Expedia. L'objectif: répondre à des requêtes comme «meilleures plages d'Europe» ou «villes d'Espagne» avec des résultats concrets: noms de lieux, vols abordables, hébergement sur mesure. «Il n'existe pas d'Amazon, d'iTunes ou de Google pour le voyage. C'est ce que Hopper compte devenir», a récemment déclaré Frédéric Lalonde, cofondateur de Hopper.

 

iGet.it

 

Des sites tels Amazon, eBay et Groupon semblent avoir saturé le magasinage à rabais sur l'internet, alors les fondateurs de iGet.it ont opté pour la formule inverse: offrir peu de produits exclusifs, triés sur le volet, à des acheteurs fortunés. Des ventes éclair qui devraient plaire aux fabricants désireux de liquider leur inventaire sans dégrader la valeur de leur marque, explique Jean-Yves Martineau, cofondateur du site. «C'est simple et ingénieux. En plus, l'équipe a déjà un oeil sur l'évolution future du site», dit Jean-Sébastien Cournoyer, de Real Ventures, un des principaux investisseurs dans iGet.it.

 

Planora

 

Planora s'est dotée d'un nouveau PDG en novembre dernier: Pierre Donaldson, ancien membre du conseil de Mediagrif et partenaire depuis 2005 dans le fonds BlackBerry chez JLA Ventures. C'est généralement bon signe de voir un investisseur effectuer un tel saut. Spécialisée dans la conception automatisée d'horaires de travail sur mesure, Planora a notamment permis à la SAQ de réduire sensiblement le coût de gestion de ses 3000 employés. Prochain objectif: prendre d'assaut le marché anglophone des moyennes et grandes entreprises.

 

Wajam

 

Google et Microsoft ne jurent plus que par la recherche sociale. Wajam se targue de les avoir coiffés au poteau. La jeune entreprise montréalaise propose aux internautes un plugiciel gratuit qui compile les recommandations de leurs contacts sur Facebook, Twitter ou ailleurs, et qui intègre les plus pertinentes dans les résultats de recherche de Bing, Google, Amazon, TripAdvisor et Yelp, notamment. Wajam vient d'ajouter une fonction de recommandation de séquences vidéo. Ne reste plus qu'à trouver une façon de rendre cette opération profitable.

 

 

 

http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/201201/09/01-4484049-cinq-start-up-montrealaises-a-surveiller-en-2012.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-lapresseca_267_accueil_ECRAN1POS2

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La preuve que Mtl change.

Il n'y a pas trois ans, trouver de nouvelles pousses technologiques montréalaises prometteuses relevait du défi. Cette année, c'est faire le tri dans le lot de ces jeunes «start-up» qui est le plus difficile.

 

Bravo.

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L'augmentation des startups n'est cependant pas propre à Montréal, on le voit partout. Arrivée de nouvelles capacités technologiques et montée de freelancers/pigistes dans la population active. Ce qui est plus rare c'est un écosystème capitaliste qui favorise l'enracinement à long terme des startups, et pour cela, j'entends que Montréal a besoin de relever la barre, avec plus d'argent vers la commercialisation.

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  • Administrateur
L'augmentation des startups n'est cependant pas propre à Montréal, on le voit partout. Arrivée de nouvelles capacités technologiques et montée de freelancers/pigistes dans la population active. Ce qui est plus rare c'est un écosystème capitaliste qui favorise l'enracinement à long terme des startups, et pour cela, j'entends que Montréal a besoin de relever la barre, avec plus d'argent vers la commercialisation.

 

 

C'est là que les américains battent à pleines coutures les européens pour les startups... y avait un superbe article dans l'econmist là dessus.

 

Bref, faudrait regarder du côté sud de notre frontière pour de l'inspiration là dessus.

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