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Pour ce qui est de l'expansion de la LNH vers l'Europe, je crois que c'est une bonne idée.

 

Il y a des gros marchés qui pourraient être exploités. Londres(10million+), Moscou (10 millions+), St-Petersbourg (5 millions+), Berlin (4 millions+), Prague (2 millions), Stockholm (2 millions), et même peut être une des villes riches de la Suisse (Geneve ou Zurich) ou le Hockey est très populaire.

 

Il y a beaucoup d'argent en Europe, et si on place des équipes dans des marchés où le Hockey est populaire, ça pourrait très bien marché!

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Pour ce qui est de l'expansion de la LNH vers l'Europe, je crois que c'est une bonne idée.

 

Il y a des gros marchés qui pourraient être exploités. Londres(10million+), Moscou (10 millions+), St-Petersbourg (5 millions+), Berlin (4 millions+), Prague (2 millions), Stockholm (2 millions), et même peut être une des villes riches de la Suisse (Geneve ou Zurich) ou le Hockey est très populaire.

 

Il y a beaucoup d'argent en Europe, et si on place des équipes dans des marchés où le Hockey est populaire, ça pourrait très bien marché!

 

J'ai des doutes pour Moscou et les autres villes de Russie. Se pays à déjà une grosse ligue qui semble vouloir faire compétition avec la nhl Si la nhl ne fait pas d'expansion en Europe, c'est probablement la ligue russe qui va le faire, et alors, notre ligue national pourrait avoir une sérieuse rivale.

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J'ai des doutes pour Moscou et les autres villes de Russie. Se pays à déjà une grosse ligue qui semble vouloir faire compétition avec la nhl Si la nhl ne fait pas d'expansion en Europe, c'est probablement la ligue russe qui va le faire, et alors, notre ligue national pourrait avoir une sérieuse rivale.

 

Le problème avec la Super-Ligue Russe est qu'a part les villes de Moscou et St-Petersbourg, les autres villes russes sont sont soit très loin et/ou elle ont des arenas qui datent des années 50. Les joueurs vont se retrouver dans des situation très désagréables et vont se jeter sur al NHL Europe le plus rapidement possible.

 

C'est une des raisons pourquoi j'ai nommé des villes comme Londres, Stockholm, Berlin, St-Petersbourg, Prague, Zurich ou Genève) elles sont tous des villes avec des arenas modernes

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  • 2 semaines plus tard...

Bettman a des projets pour l'Europe

 

Dimanche 28 septembre 2008

LA PRESSE CANADIENNE

 

La Ligue nationale présente des matchs de la saison régulière en Europe. Il reste à savoir quel genre de succès ils connaîtront.

 

Dans une entrevue accordée à la Presse Canadienne avant le début de la 91e saison de la LNH, le commissaire Gary Bettman a dit souhaiter que la ligue continue d'intensifier sa présence en Europe.

 

Il se rappelle fièrement l'enthousiasme des partisans venus de partout assister à l'ouverture de la saison 2007-08 à Londres. Et il espère que ce sera encore mieux cette année lorsque deux matchs seront présentés dans les capitales suédoises et tchèques.

 

"Nous avons maintenant l'occasion d'aller dans des marchés de hockey plus développés d'où proviennent plusieurs de nos joueurs. D'après les premières indications, la réception que nous obtenons est fabuleuse", a raconté Bettman.

 

Celui-ci ne cache pas son désir d'augmenter la visibilité de sa ligue en Europe. Etape par étape cependant, comme le fait que quatre équipes y entreprendront leur saison régulière en fin de semaine prochaine contre deux l'an dernier.

 

 

Environ 30 pour cent des joueurs de la LNH proviennent des pays européens. A Stockholm, les Suédois auront l'occasion d'accueillir une des leurs grandes vedettes, Daniel Alfredsson, lorsque les Sénateurs d'Ottawa affronteront les Penguins de Pittsburgh. A Prague, si Jaromir Jagr n'est plus un membre des Rangers de New York, ceux-ci miseront sur deux autres Tchèques, Peter Prucha et Michal Rozsival, pour affronter le Lightning de Tampa Bay.

 

En plus d'attirer de nouveaux amateurs, ces matchs en Europe pourraient aussi mener à de nouvelles commandites, des ententes sur les produits dérivés et des contrats de télévision plus lucratifs, a rappelé Bettman.

 

De ce côté-ci de l'océan, la LNH tentera d'établir un record d'assistanxce pour une quatrième année consécutive. Aussi, les cotes d'écoute aux Etats-Unis pour la dernière finale de la coupe Stanley entre les Penguins et les Red Wings de Detroit ont été supérieures à ce qu'elles étaient avant le lock-out.

 

Ce sont là d'autres raisons d'être optimiste pour Monsieur le commissaire.

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Des signes de la crise dans la LNH?

 

(Corus Sports)- À l'émission «Sport du lit» sur CKAC Sports, Jacques Demers a émis des inquiétudes sur certaines équipes de la LNH qui pourraient avoir de la difficulté à payer ses joueurs dès le début de la saison.

 

Demers affirme : «Ce sera un problème majeur si la situation ne se résorbe pas rapidement.»

 

«Certains propriétaires ont des difficultés au niveau monétaire, en raison de leur lien avec les grosses banques américaines.»

 

«À ce moment-ci, certaines équipes ont beaucoup de difficultés et elles auront de la difficulté à payer les joueurs.»

 

Déjà, dans le domaine des médias, certains gestes de rationalisation sont portés : le Palm Beach Post de la région de Miami a cessé de couvrir les activités des Panthers.

 

À Los Angeles, un seul journaliste couvre maintenant les Kings et les Ducks d'Anaheim.

 

À Philadelphie, le journaliste assigné à la couverture des Flyers a été remercié et dirigé vers celle des Eagles, au football.

 

En audio, le commentaire de Jacques Demers.

 

Sébastien Goulet / Corus Sports

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Publié le 01 octobre 2008 à 05h02 | Mis à jour à 05h02

Pierre Boivin: «Quel impact aura la crise sur notre dollar?»

 

Marc Antoine Godin

La Presse

La crise financière qui secoue les États-Unis pourrait avoir des répercussions dans le monde du hockey. Mais, questionné à ce sujet hier, Pierre Boivin n'anticipe pas de problème à court terme.

 

«À Montréal, je ne pense pas qu'on va ressentir la secousse aussi fort. En fait, pour que des équipes connaissent des difficultés à cause de la crise économique, il faudrait qu'on soit rendus très loin.

 

«La grande question, c'est de savoir quel impact aura cette crise sur le dollar canadien. J'ai parlé à des gens de cinq banques depuis hier, et personne ne peut le prédire... »

 

Mais de là à dire que la Ligue nationale traversera cette période comme si de rien était, il y a un pas que Pierre Boivin ne veut bien sûr pas franchir.

 

«Tout dépendra de la longueur et de la profondeur de la crise, précise M. Boivin. Mais je ne peux pas m'imaginer qu'un marché comme celui de New York, où 30 000 banquiers ont perdu leur emploi, ne s'en ressentira pas.»

 

Il n'est pas farfelu d'entrevoir un impact auprès des compagnies qui achètent des loges. Ou encore auprès de tous ceux qui, s'ils ont perdu leur pactole, seront moins enclins à acheter des abonnements de saison.

 

«Les ententes avec nos partenaires corporatifs ainsi que les loges sont vendues longtemps à l'avance, note toutefois M. Boivin.

 

«Et les équipes qui ont le défi de remplir leur édifice l'ont toujours, peu importe les événements des derniers jours.»

 

Il est vrai que la situation à Montréal est beaucoup plus favorable qu'ailleurs. Même les Red Wings de Detroit, champions en titre de la Coupe Stanley et champions d'un modèle de gestion saine, sont mis à plus rude épreuve.

 

«Aux États-Unis, l'humeur économique est préoccupante dans n'importe quelle industrie», a dit Ken Holland, le directeur général des Red Wings.

 

«Mais chez nous, la ville de Detroit et l'État du Michigan connaissent des ennuis depuis déjà deux ans, avec les problèmes des trois géants de l'automobile.

 

«Et puis il y a le lock-out qui a durement touché la vente d'abonnements de saison. Heureusement, on se maintient depuis deux ans. Nous avons joué à guichets fermés la majorité de l'année, et c'est bien sûr que notre conquête de la Coupe a aidé.

 

«Mais il faut trimer dur pour que ça reste ainsi.»

 

Attention au surendettement

 

Les six équipes canadiennes contribuent à plus de 35 % des revenus de la ligue. On connaît la situation précaire de plusieurs marchés américains, comme Nashville et Phoenix.

 

Avec les événements des derniers jours, pourrait-on atteindre un point où des équipes en viendraient à payer leurs joueurs à même leur marge de crédit ? « Les équipes utilisent déjà leur marge de crédit pour tout un tas de dépenses, fait valoir Pierre Boivin.

 

«Ce qu'il faut se demander, c'est s'il n'y a pas d'équipes qui sont en position de surendettement. Mais la LNH fait très attention à ce niveau-là. Elle a des barèmes que les équipes doivent respecter.

 

«Toutes les équipes doivent remettre à la ligue leurs rapports financiers et ceux de leur amphithéâtre. La ligue est au courant de tout. Et s'il le faut, elle peut reprendre possession d'une concession, comme ça a déjà été le cas avec les Sabres de Buffalo. »

Mais on est encore loin de tout ça.

 

Pour l'instant, estime même Pierre Boivin, le dollar-loisir n'est pas menacé par la récession. «En périodes difficiles, les gens ont besoin d'évasion, de divertissements, suggère le président du Canadien. Ils ne se tournent pas nécessairement vers le sport, mais je crois que ce sont surtout les plus grosses dépenses - les voyages, les rénovations, l'achat d'une nouvelle voiture - qui vont écoper.»

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  • 2 semaines plus tard...

La NHL est de plus en plus ligue de garage. Sincèrement, sans contrat de télévision valable au USA et sans presque aucune couverture médiatique au USA, je me demande encore comment certains marchés sont en mesure de survivre. Peut-être que ceci va changer...

 

15 des 30 équipes déficitaires?

 

Mise à jour le mercredi 15 octobre 2008 à 8 h 32

 

Le réputé magazine Forbes dresse un portrait peu reluisant de la LNH en situation de crise économique: 15 des 30 équipes sont déficitaires.

 

La LNH, elle, précise que seulement une demi-douzaine de ses équipes perd de l'argent depuis deux ans.

 

« La situation n'a pas changé la saison dernière, dit le commissaire adjoint Bill Daly à La Presse Affaires. Notre santé financière est bonne. »

 

Ce constat tient... pour l'instant seulement, précise l'économiste Philip Merrigan.

 

« Les abonnements de saison sont généralement achetés durant l'été, soit avant le début de la crise financière, ajoute le professeur de l'UQAM. Les effets négatifs de la crise pourraient avoir lieu la saison prochaine. Si les gens ont le choix entre leurs billets de hockey et leur hypothèque, le choix ne sera pas difficile. »

 

Un fait demeure, pour l'instant, le ralentissement économique américain a eu peu d'impact sur le circuit Bettman. Les ventes des abonnements de saison (+4 %) et de billets individuels (+12 %) sont même en hausse cette année.

 

Ne pas célébrer trop vite

 

Les dirigeants de la LNH se gardent toutefois de sauter trop vite aux conclusions. Ils ont vu la NBA licencier lundi 80 employés, soit 9 % de son effectif. « Je ne nie pas que l'état de l'économie nous préoccupe, explique Daly, mais nous pensons pouvoir neutraliser tout ça. »

 

Le président du Canadien Pierre Boivin a rejoint les propos de Daly dans une entrevue accordée il y a deux semaines à La Presse.

 

« Les gens ont besoin de divertissement dans les périodes difficiles. Ce sont surtout les grosses dépenses, comme les voyages, les rénovations, les voitures, qui vont écoper. »

 

M. Merrigan contre-attaque: il ne voit pas comment une institution centenaire comme Lehman Brothers puisse disparaître, mais que les Hurricanes de la Caroline soient à l'abri de la crise. Selon lui, certaines équipes pourraient déménager.

 

Les joueurs aussi s'en ressentiront, puisque leurs salaires sont basés sur les revenus. Le propriétaire des Sénateurs Eugene Melnyk a d'ailleurs révélé le mois dernier qu'il hésitait à offrir une prolongation de contrat à Daniel Alfredsson... en raison de la crise économique.

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