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Bed Bath and Beyond pourrais s'apeller Literie Infini lol

 

Canadian Tire = Le Quincailleur lol

 

Tim Hortons = Chez Tim

 

Future Shop = Futur

 

Les compagnies déboursent déjà de l'argent pour changer les textes sur les affiches et autres items promotionnels, il s'agit ici de changer le logo... très mineur comme investissement.

Modifié par Malek
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Bed Bath and Beyond pourrais s'apeller Literie Infini lol

 

Canadian Tire = Le Quincailleur lol

 

Tim Hortons = Chez Tim

 

Future Shop = Futur

 

Les compagnies déboursent déjà de l'argent pour changer les textes sur les affiches et autres items promotionnels, il s'agit ici de changer le logo... très mineur comme investissement.

 

Tim Hortons l'avait deja fait... autrefois c'etait "Tim Horton's" et depuis il y a eu tout un debat puis maintenant c'est "Tim Hortons" (a travers le Canada!)

 

Puis il y a "Tigre Geant" et "Giant Tiger" ailleurs...

 

Meme un "incitement" qui propose l'OQLF est fou raide, comme l'existance meme du OQLF.

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uqam+ Je te félicite pour ton premier commentaire et le ton modéré que tu privilégie. Celà me semble tout à fait important à conserver. Par ailleurs je suis d'accord avec Habsfan et LindbergMtl quant à l'inutilité de l'exercice. Moi, ce qui m'agace c'est l'insistance des nationaleux à prouver qu'ils s'occcupent de la langue, tel un Curzi qui se targue de défendre le français alors qu'il ne fait que défendre l'imbécilité dans l'affaire Paul McCartney vs Général Montcalm et al. Le sentiment d'impuissance lié au fait d'être québécois francophone. La culture anglo du Québec a passablement assimilé l'esprit gagneur que les États-Unis ont si bien su exporté depuis plus d'un siècle. Ici, à Montréal, il n'y a pas si longtemps, les anglos ne fréquentait pas les Dupuis Frères alors que les francos se morfondaient à composer avec l'indifférence de plusieurs commis chez Eaton, Morgan, Simpson, etc... Au lieu d'une Grande Bibliothèque, on avait le Palais du Commerce; une sorte de monument un peu bon enfant voué au potentiel commercial du canadien-français. Aujourd'hui, on a plein de monuments qui nous révèlent une ingéniosité, voire une créativité dans les arts comme dans les affaires, mais on aussi des ratés qui souvent nous ramènent à certaines incompétences, par exemple l'Ilôt Voyageur. Je généralise et je m'étends, mais ce que je veux vraiment faire valoir, c'est l'inutile imbécilité de réduire l'étât linguistique de Montréal; (puisqu'il s'agit toujours de Montréal) à un débat, une lutte entre deux groupes qui se méfient l'un de l'autre. D'un côté, les concitoyens anglos sont encore trop souvent inintéressés par ladite culture francophone de Montréal même si le changement s'est opéré depuis 20 ans. D'un autre côté, j'ai l'impression que peu importe l'influence de l'anglais, le français bien parlé et écrit n'est pas souhaité par une majorité de montréalais ni de québécois. On aime à se prélasser dans l'indifférence et la morosité linguistique comme si on était en vacances, et qu'un jour en revenant, on ferait l'effort de mieux écrire et parler sans embages. Les raisons sociales n'apporteront rien de neuf et ne révèleront pas un visage plus conforme du Québec. On est ce qu'on est, entouré de commerces venus en grande partie du Canada et des États-Unis, et celà fait partie de notre réalité depuis longtemps, et ce n'est ni bien ni mal.

 

Je pense que les anglos seront de plus en plus intrigués et attirés par l'idée de vivre au Québec si on leur donne un échantillon plus convaincant du français qu'il pourrait adopter. Je pense que l'avenir de Montréal passe par une harmonie franco-anglo qui suscite l'envie de pas mal d'autres villes en Amérique mais qui nécessite qu'on s'y attarde. On parle de grappes technologiques et de sommets et d'états généraux sur ceci ou celà mais je ne me souviens pas d'un quelconque sommet sur l'harmonie entre personnes des 2 groupes linguistiques. Tout celà reste informel comme s'il y a vait une gène qu'on ne doit pas surmonter, un orgueil qu'on évite de ravaler; pendant ce temps on se fait damer le pion par une ville qui était bien moins méritante en fait d'ouverture il y a peu, et qui maintenant se forge une identité cosmopolite, passant de l'Ugly Duckling à la (presque jolie) jeune femme. Je pense sincèrement qu'il serait temps d'allier la commune puissance des 2 groupes plutôt que de prétendre que les anglos n'existent pas. Je pense qu'il serait temps de se rendre compte de l'Importance historique des 2 groupes fondateurs plutôt que d'insinuer que plusieurs milliers d'immigrants de pays francophones demeurent la seule voie d'avenir pour protéger la langue. Engageons-nous plutôt à susciter le goût de la langue à nos enfants en évitant les quand qu'on puis les ça l'a.

Modifié par montréaliste
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En lisant ce billet, je me suis remis dans le ton de ce que je venais d'écrire plus haut. Je m'étais dit qu'il y aurait probablement quelques personnes qui se sentiraient méprisés par mon propos.

 

http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/stephane-laporte/201109/03/01-4431353-de-la-comprehension-du-quebecois-en-france.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B40_chroniqueurs_373561_accueil_POS1

 

Croyez-moi, je suis plutôt ambivalent quant à mes allégeances, d'un côté je suis assez farouchement québécois nationaliste lorsqu'il s'agit d'avaler des Persichilli à la Harper. Un aperçu de ce que pense Persichilli; le nouvel attaché de presse du P.M. Harper:

 

http://www.thestar.com/opinion/article/616633--quebec-s-profitable-game

 

Le problème avec l'allégeance à l'anglais ou au français à Montréal est qu'il nous a mené à une certaine déchéance, ce qui a profité aux villes canadiennes qui ont su récolter, voire attirer nos citoyens et nos sièges sociaux dans le passé. Montréal s'en est tiré pas mal à cause de sa bonhommie, son dynamisme, ses institutions solides et sa créativité entre autres choses. Mais je crois sincèrement que le rapprochement, ou la fusion culturelle plutôt que le côtoiement de l'anglais et le français nous aide plus qu'elle nous nuit. La fusion culturelle se produit tous les jours de façon insoupçonnée et informelle mais la reconnaissance de cet atout n'est pas au rendez-vous. Je ne pleure pas l'étât du fait anglo à Montréal, il y a une robustesse dans l'histoire anglo et multi-ethnique qui rayonne bien au-delà de nos frontières. L'important, c'est de surmonter les petites chicanes du passé qui ont su nous comprimer, parce que l'écuménisme culturel ne pouvait pas encore se manifester, alors que bien des revendications se devaient d'être règlées au nom de la majorité francophone. On devra toujours demeurer vigilant quant au fait français, mais encore là, on ferait mieux de promouvoir un meilleur français entre francos de fait, que de chercher la bête chez l'immigrant qui sera toujours magnétisé par l'anglais; avec raison. Donc, le défi pour Montréal est de surmonter comme je disais les petites histoires de familles; ce que j'appelle le tétinage, pour le remplacer par une véritable synergie que comporte notre ville polyglotte et cosmopolite. Cet avantage là n'est pas suffisamment mis de l'avant. Le fait qu'un jeune anglo sente le besoin de s'épanouir à l'extérieur du Québec parce qu'il manque une masse critique d'anglos devrait nous inquièter autant que le manque de bilinguisme des deux groupes. Il faut développer un confort, un épanouissement culturel des deux groupes qui soit reconnu comme un projet montréalais et québécois par extension. Je pense que Montréal pourrait rattraper son écart avec les autres métropoles nord-américaines au niveau démographique

et économique, en projetant cette caractéristique unique d'écuménisme qui partout ailleurs tire de l'arrière, parce que plus morcelée. Peut-être que Miami est la ville avec un dynamisme culturel écuménique qui se rapproche le plus de Montréal, mais les anglos de Montréal ont davantage de connaissance du français que les anglos de Miami ont de l'espagnol. Il existera toujoursune friction, une tension à Montréal qui est naturelle; mais je souhaite qu'on facilite la bonne entente anglo-franco par la promotion et la reconnaissance de l'importance des 2 groupes linguistiques.

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Why is everyone mad at this Persichilli guy? His article isn't exactly incorrect, surely you see his point... though admittedly I never heard of him before... Quebec has since the 1970's been playing the same game as North Korea does with nuclear weapons, just, obviously, on a less threatening but probably more lucrative scale.

 

MONTREAL — A group whose mission is to fight against “Canadian francophobia” says it will file a complaint with Canada’s human rights commission over the nomination of a unilingual anglophone as communications director for Prime Minister Stephen Harper.

 

The nomination of newspaper columnist Angelo Perschilli to the post has already raised eyebrows in Quebec after it was reported he wrote a column in the Toronto Star last year criticizing the number of francophones in Ottawa’s corridors of power.

 

Perschilli has since said he intends to treat Quebecers with the “utmost respect.” But that hasn’t stopped the Ligue québécoise contre la francophobie canadienne from announcing on Saturday it would file a complaint against Perschilli’s nomination, saying his assuming the post would subject “all francophones” to “a patent and illegal discrimination.”

 

Montreal Gazette

Modifié par Cyrus
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Montréaliste,

 

Vos deux messages mériteraient de longues réponses. Mais la plupart des Montréalais ont développé le réflexe de ne pas se laisser entraîner dans les débats linguistiques. En partie par lassitude, en partie parce qu'ils savent que les désaccords sont insurmontables, et en partie parce qu'on fait souvent face sur ce terrain à des provocations irrationnelles et puériles (comme le fait de comparer le Québec au Moyen-Orient ou à la Corée du Nord...), auxquelles il ne vaut pas la peine de répondre.

 

Ce réflexe de contournement du débat a sans doute des effets malsains, puisque de ne jamais discuter à fond de certains enjeux contribue probablement à laisser en place bien des mythes et des malentendus. Mais il vaut encore mieux se taire que de se lancer des insultes par la tête.

 

 

Tout à fait d'accord avec le fait qu'ouvrir le débat équivaut à ouvrir un "can of worms" comme on dit en anglais. On a pas besoin d'aller loin pour être témoin de çà, de toute évidence.

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  • 4 mois plus tard...

L'accent aigu, c'est grave pour le Médac

 

Le Robin des banques cible Metro. Yves Michaud, le fondateur du Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires (Médac) est sur tous les fronts de la défense des actionnaires. Sa prochaine bataille se déroulera lors de l'assemblée générale du groupe Metro Richelieu.

 

Yves Michaud sera présent et entend intervenir avec vigueur lors de l'assemblée des actionnaires de Metro. Objet de sa colère? La défense de la langue française.

 

Il vient de déposer une plainte devant l'Office québécois de la langue française (OLF) pour non-respect de la Charte de la langue. «Metro, sans accent aigu sur le e, n'existe pas dans le dictionnaire, rage Michaud. Il s'agit d'un mot français qui prend un accent. C'est grave de déformer ainsi le nom d'une entreprise québécoise d'origine, qui dessert une majorité de clients francophones et dont les actionnaires sont majoritairement québécois».

 

La réponse de Metro:

 

La réplique de la haute direction de Metro a été de dire que contrairement à ce qu'on pourrait croire, l'appellation Metro, sans accent, existe depuis toujours.

 

«Metro n'avait pas d'accent à l'époque pour se distinguer du métro de Montréal», a affirmé M. La Flèche.

 

Il a souligné que Metro ne se voulait ni français ni anglais, mais une simple marque de commerce. «Est-ce que Rona est français ou anglais?», a-t-il demandé.

 

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/01/20120131-115609.html

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C'est ben niaseux c't'affaire là ! Franchement :mad:

 

Y'a tellement d'autres fronts sur lesquelles il pourrait combattre pour la langue française, mais non. L'épais choisi le combat le plus ridicule que j'ai jamais vu en faveur de la langue française.

 

Metro c'est un nom un putain de nom. Un nom ça s'écrit comme on veut. Kärl ou Carl, Camille, Kàmil ou Kamille, Fido ou Phydeau, whatever !!!! C'est con.

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