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Expos de Montréal


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Comme Denis n'est pas un démocrate, il l'a bien prouvé en démissionnant subito-presto, qu'on le sorte de la politique. Cela ne veut pas dire qu'il ne peut pas jouer un rôle public, bien au contraire. C'est un bon ambassadeur pour la Ville et je le verrais bien prendre le relais du département des affaires extérieures de Montréal. Comme on dit: le bon homme au bon endroit.

Personne n'est jetable, tous sont recyclables en cette ère de récupération tout azimut. 

  • Confused 1
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Il y a 1 heure, acpnc a dit :

Comme Denis n'est pas un démocrate, il l'a bien prouvé en démissionnant subito-presto, qu'on le sorte de la politique. Cela ne veut pas dire qu'il ne peut pas jouer un rôle public, bien au contraire. C'est un bon ambassadeur pour la Ville et je le verrais bien prendre le relais du département des affaires extérieures de Montréal. Comme on dit: le bon homme au bon endroit.

Personne n'est jetable, tous sont recyclables en cette ère de récupération tout azimut. 

Acpnc, je t'ai connu plus nuancé et pondéré. Prends-tu de mauvaises habitudes ? À te lire, Denis serait un dictateur digne d'une république de bananes. Avez-vous sur le site quelque chose de personnel contre Denis ? Je n'en reviens pas du degré de haine qu'il suscite. Coderre n'est pas un démocrate ? Il a été démocratiquement élu puis démocratiquement défait, taboire.

Denis est un homme d'action, il n'a pas de temps à perdre à siéger quatre ans, à se  tourner les pouces et à brasser du vent dans une opposition municipale. Ses talents peuvent être mieux employés ailleurs. Pas le temps de niaiser.

Et puis Denis va nous ramener les Expos malgré tout. C'est aussi un ambassadeur extraordinaire pour la Ville à l'international, qui ne nous a jamais fait honte. Arrêtez le Coderre-bashing. C'est devenu ridicule. Si Valérie n'est pas trop partisane, Denis pourrait devenir ambassadeur itinérant pour la Ville. Donnez-lui quand même un titre un peu pompeux pour ne pas blesser son ego, c'est un gars fier. Des titres existent en diplomatie, du genre "envoyé extraordinaire". Pas la peine de l'humilier. Il va faire la job. Quand il ne sera pas en train de faire son travail comme président des Expos, il pourra voyager pour le compte de la Ville et attirer des projets et des investissements. N'enterrez pas trop vite Denis Coderre. Il va rebondir et en fera mentir plusieurs. Le gars n'est pas mort politiquement, loin de là.

Modifié par ferraro
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Vous me faites rire les deux quand vous pensez qu'il y a une chance que Coderre accepte un espèce de titre d'ambassadeur pour la ville. Il ne reviendra plus dans le municipal d'aucune façon, il l'a bien dit et c'était très clair, vous êtes un peu en train de délirer.

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il y a 2 minutes, jerry a dit :

Vous me faites rire les deux quand vous pensez qu'il y a une chance que Coderre accepte un espèce de titre d'ambassadeur pour la ville. Il ne reviendra plus dans le municipal d'aucune façon, il l'a bien dit et c'était très clair, vous êtes un peu en train de délirer.

Seuls les fous ne changent pas d'idée. Qui vivra verra.

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Autant la période électorale était un freakshow sur le forum, autant l'après est une véritable marche funèbre.  Les 5-6 membres qui se répètent la même chose d'un fil à l'autre... c'est lourd. 

C'est tout neuf. Je comprends que vous ayez perdu, mais ça va là. Il fait beau. Noel est toujours le 25 décembre. Montréal reste Montréal.  Les clémentines du Maroc seront toujours sur les tablettes de votre épicerie favorite. 

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il y a 20 minutes, UrbMtl a dit :

Autant la période électorale était un freakshow sur le forum, autant l'après est une véritable marche funèbre.  Les 5-6 membres qui se répètent la même chose d'un fil à l'autre... c'est lourd. 

C'est tout neuf. Je comprends que vous ayez perdu, mais ça va là. Il fait beau. Noel est toujours le 25 décembre. Montréal reste Montréal.  Les clémentines du Maroc seront toujours sur les tablettes de votre épicerie favorite. 

Par contre y'a pu de beignes chez Tim, parait que Denis a tout mangé.

  • Haha 2
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Les Expos vont revenir. On peut se consoler. PM n'auront qu'à suivre la parade, d'autant plus qu'ils ne pourront pas en tirer le moindre crédit politique. 

L'autre plus haut qui répète que les autres se répètent. lol

Modifié par ferraro
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Exactement ce que je pense. 

 

AUX INVESTISSEURS DE S’ADAPTER
 
PHILIPPE CANTIN
LA PRESSE

L’élection de Valérie Plante à la mairie de Montréal permettra de répondre à une question essentielle : à quel point les gens d’affaires québécois intéressés par le retour des Expos ont-ils la volonté de réussir ?

Le départ de Denis Coderre entraîne un important brassage des cartes dans ce dossier. Mais croire que sa réélection était une condition essentielle à la concrétisation du projet est farfelu.

Bien sûr, le maire sortant a donné une extraordinaire impulsion à l’idée. Il a saisi la balle au bond au moment où une personnalité crédible devait porter ce rêve. Il a accompli ce travail avec panache, notamment en établissant de solides liens avec le bureau du commissaire du baseball, et il faut lui en être reconnaissant. Si les Expos reviennent, il méritera d’être un invité d’honneur au premier match.

Mais un projet aussi complexe et coûteux ne peut être l’affaire d’une seule personne. Si la défaite de Denis Coderre met fin au souhait de revoir les Expos, ce sera le signe que les fondations de l’édifice étaient moins solides qu’on le croyait.

L’arrivée de Valérie Plante aura un immense mérite : elle mettra fin à l’opacité malsaine qui régnait à propos du financement public d’un nouveau stade au centre-ville. Jusqu’à dimanche, la stratégie semblait de mettre les Montréalais devant le fait accompli au moment opportun. Cela aurait entraîné un ressac potentiellement dévastateur pour la suite des choses. Le retour des Z’Amours sera couronné de succès uniquement s’il se fait dans la transparence absolue.

INTERPELLER QUÉBEC ET OTTAWA

Les plus pessimistes estiment que Valérie Plante, qui ne partage pas la passion viscérale de Denis Coderre pour le baseball, laissera mourir le dossier à petit feu. Cette perspective est hautement improbable. Quel avantage aurait-elle à être la fossoyeuse d’une ambition qui, si elle est menée correctement, renforcera la place de Montréal sur la scène nord-américaine ?

La nouvelle mairesse ne s’est jamais prononcée contre le retour des Expos. Mais elle est opposée à ce que les taxes des Montréalais servent à construire un nouveau stade. Cela la disqualifie-t-elle pour porter le projet à sa manière ? Pas du tout !

Quand je lui ai parlé la semaine dernière lors de sa visite à RDS, elle m’a dit appuyer le retour des Expos, même si son style ne sera pas celui de son prédécesseur. « Je ferai le travail qui a besoin d’être fait. Je comprends qu’il faut un ambassadeur, I get it ! J’avoue aussi être très enthousiaste par rapport à la Coupe du monde de soccer [en 2026]. Je veux des évènements sportifs importants à Montréal. »

C’était deux jours avant que Stephen Bronfman et Mitch Garber, deux hommes d’affaires désireux de ramener les Expos, ne donnent publiquement leur soutien à Denis Coderre dans une opération de dernière minute sentant la panique. Et même si les dirigeants du Groupe CH n’ont pas fait de pareille sortie, on imagine facilement quelle était leur préférence dans cette élection. Ainsi, dans la dernière semaine de campagne, Denis Coderre n’a pas fermé la porte à un congé de taxe foncière en faveur du Centre Bell, une idée écartée par la nouvelle mairesse.

Valérie Plante se considère comme une « alliée du sport ». Mais son engagement est d’abord envers le sport de participation (augmentation des pistes cyclables, réfection des terrains de soccer et de baseball, mise à jour des arénas). Cela ne signifie pas qu’elle boude le sport professionnel, puisqu’elle reconnaît son effet d’entraînement dans la participation populaire. Mais ses priorités sont claires et les Montréalais l’ont appuyée.

Lorsqu’elle rencontrera les membres de Québec inc. intéressés par le retour des Expos, Valérie Plante devrait en profiter pour leur rappeler que ce n’est pas la Ville de Montréal qui encaissera d’éventuelles retombées fiscales liées au retour d’une équipe des majeures. Ce sont les gouvernements supérieurs qui toucheront les impôts sur les salaires des joueurs et les revenus de la taxe de vente générés par les activités de l’équipe. C’est donc à Québec et à Ottawa qu’il faudra faire des démarches pour obtenir un appui financier à la construction d’un nouveau stade.

La mairesse pourrait contribuer à la promotion de ce dossier auprès des élus provinciaux et fédéraux. Ce serait une belle façon, pour reprendre son expression, de remplir le rôle d’ambassadeur. Et la Ville de Montréal pourrait certainement envisager des aménagements autour du nouveau stade, s’ils sont structurants pour le secteur. Et pour cela, les promoteurs devraient s’assurer de faire une place au sport de participation dans leur plan.

BRONFMAN ET L’EFFET DES PARADISE PAPERS

Même si je ne perçois pas l’élection de Valérie Plante comme une catastrophe pour le retour des Expos, la journée de dimanche n’a pas été bonne pour le projet. Et cela n’a rien à voir avec son élection. Les allégations contenues dans les Paradise Papers en sont plutôt la cause.

Ces documents, dévoilés dimanche, font mal paraître Stephen Bronfman. Quand on est le leader d’un groupe ayant l’intention de demander des fonds publics pour financer – en tout ou en partie – la construction d’un stade de baseball, la perception populaire est un élément clé de l’équation. Or, les informations publiées suscitent des questions légitimes sur l’utilisation de paradis fiscaux dans la gestion de millions de dollars.

Dans un communiqué publié hier, Stephen Bronfman s’est défendu de toute irrégularité. Cette histoire risque cependant de faire des vagues longtemps.

Cela dit, les promoteurs des Expos 2.0 doivent maintenant repositionner le dossier du retour de l’équipe, qui s’appuyait trop sur Denis Coderre. On verra s’ils feront les efforts nécessaires pour avancer malgré ce dénouement électoral qu’ils ne souhaitaient pas. Cela en dira long sur leur réelle volonté de ramener l’équipe.

Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+.
 
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Il y a 1 heure, Megafolie a dit :

Exactement ce que je pense. 

 

AUX INVESTISSEURS DE S’ADAPTER
 
PHILIPPE CANTIN
LA PRESSE

L’élection de Valérie Plante à la mairie de Montréal permettra de répondre à une question essentielle : à quel point les gens d’affaires québécois intéressés par le retour des Expos ont-ils la volonté de réussir ?

Le départ de Denis Coderre entraîne un important brassage des cartes dans ce dossier. Mais croire que sa réélection était une condition essentielle à la concrétisation du projet est farfelu.

Bien sûr, le maire sortant a donné une extraordinaire impulsion à l’idée. Il a saisi la balle au bond au moment où une personnalité crédible devait porter ce rêve. Il a accompli ce travail avec panache, notamment en établissant de solides liens avec le bureau du commissaire du baseball, et il faut lui en être reconnaissant. Si les Expos reviennent, il méritera d’être un invité d’honneur au premier match.

Mais un projet aussi complexe et coûteux ne peut être l’affaire d’une seule personne. Si la défaite de Denis Coderre met fin au souhait de revoir les Expos, ce sera le signe que les fondations de l’édifice étaient moins solides qu’on le croyait.

L’arrivée de Valérie Plante aura un immense mérite : elle mettra fin à l’opacité malsaine qui régnait à propos du financement public d’un nouveau stade au centre-ville. Jusqu’à dimanche, la stratégie semblait de mettre les Montréalais devant le fait accompli au moment opportun. Cela aurait entraîné un ressac potentiellement dévastateur pour la suite des choses. Le retour des Z’Amours sera couronné de succès uniquement s’il se fait dans la transparence absolue.

INTERPELLER QUÉBEC ET OTTAWA

Les plus pessimistes estiment que Valérie Plante, qui ne partage pas la passion viscérale de Denis Coderre pour le baseball, laissera mourir le dossier à petit feu. Cette perspective est hautement improbable. Quel avantage aurait-elle à être la fossoyeuse d’une ambition qui, si elle est menée correctement, renforcera la place de Montréal sur la scène nord-américaine ?

La nouvelle mairesse ne s’est jamais prononcée contre le retour des Expos. Mais elle est opposée à ce que les taxes des Montréalais servent à construire un nouveau stade. Cela la disqualifie-t-elle pour porter le projet à sa manière ? Pas du tout !

Quand je lui ai parlé la semaine dernière lors de sa visite à RDS, elle m’a dit appuyer le retour des Expos, même si son style ne sera pas celui de son prédécesseur. « Je ferai le travail qui a besoin d’être fait. Je comprends qu’il faut un ambassadeur, I get it ! J’avoue aussi être très enthousiaste par rapport à la Coupe du monde de soccer [en 2026]. Je veux des évènements sportifs importants à Montréal. »

C’était deux jours avant que Stephen Bronfman et Mitch Garber, deux hommes d’affaires désireux de ramener les Expos, ne donnent publiquement leur soutien à Denis Coderre dans une opération de dernière minute sentant la panique. Et même si les dirigeants du Groupe CH n’ont pas fait de pareille sortie, on imagine facilement quelle était leur préférence dans cette élection. Ainsi, dans la dernière semaine de campagne, Denis Coderre n’a pas fermé la porte à un congé de taxe foncière en faveur du Centre Bell, une idée écartée par la nouvelle mairesse.

Valérie Plante se considère comme une « alliée du sport ». Mais son engagement est d’abord envers le sport de participation (augmentation des pistes cyclables, réfection des terrains de soccer et de baseball, mise à jour des arénas). Cela ne signifie pas qu’elle boude le sport professionnel, puisqu’elle reconnaît son effet d’entraînement dans la participation populaire. Mais ses priorités sont claires et les Montréalais l’ont appuyée.

Lorsqu’elle rencontrera les membres de Québec inc. intéressés par le retour des Expos, Valérie Plante devrait en profiter pour leur rappeler que ce n’est pas la Ville de Montréal qui encaissera d’éventuelles retombées fiscales liées au retour d’une équipe des majeures. Ce sont les gouvernements supérieurs qui toucheront les impôts sur les salaires des joueurs et les revenus de la taxe de vente générés par les activités de l’équipe. C’est donc à Québec et à Ottawa qu’il faudra faire des démarches pour obtenir un appui financier à la construction d’un nouveau stade.

La mairesse pourrait contribuer à la promotion de ce dossier auprès des élus provinciaux et fédéraux. Ce serait une belle façon, pour reprendre son expression, de remplir le rôle d’ambassadeur. Et la Ville de Montréal pourrait certainement envisager des aménagements autour du nouveau stade, s’ils sont structurants pour le secteur. Et pour cela, les promoteurs devraient s’assurer de faire une place au sport de participation dans leur plan.

BRONFMAN ET L’EFFET DES PARADISE PAPERS

Même si je ne perçois pas l’élection de Valérie Plante comme une catastrophe pour le retour des Expos, la journée de dimanche n’a pas été bonne pour le projet. Et cela n’a rien à voir avec son élection. Les allégations contenues dans les Paradise Papers en sont plutôt la cause.

Ces documents, dévoilés dimanche, font mal paraître Stephen Bronfman. Quand on est le leader d’un groupe ayant l’intention de demander des fonds publics pour financer – en tout ou en partie – la construction d’un stade de baseball, la perception populaire est un élément clé de l’équation. Or, les informations publiées suscitent des questions légitimes sur l’utilisation de paradis fiscaux dans la gestion de millions de dollars.

Dans un communiqué publié hier, Stephen Bronfman s’est défendu de toute irrégularité. Cette histoire risque cependant de faire des vagues longtemps.

Cela dit, les promoteurs des Expos 2.0 doivent maintenant repositionner le dossier du retour de l’équipe, qui s’appuyait trop sur Denis Coderre. On verra s’ils feront les efforts nécessaires pour avancer malgré ce dénouement électoral qu’ils ne souhaitaient pas. Cela en dira long sur leur réelle volonté de ramener l’équipe.

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La balle est dans le camp des investisseurs. Jouez carte sur table. Passez à la prochaine étape. Fini l'attentisme. Même si le projet est conditionné par le feu vert de la MLB. Bougez ! Go !

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