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Un autre exemple de l'imprégnation profonde du dogme religieux dans ce gouvernement......:(

 

http://www.ledevoir.com/politique/canada/325529/le-ministre-fast-chante-la-bonne-parole

 

Le ministre Fast chante la bonne parole

Hélène Buzzetti 15 juin 2011 Canada

Ottawa — Le nouveau ministre du Commerce international, Ed Fast, a un talent méconnu du grand public. Il chante. Et pas seulement dans sa douche. Lui et ses trois filles ont formé un groupe, Father's Daughter, et chantent la parole de Dieu. Ils font la tournée des églises et ont même récolté des prix.

 

Ed Fast (Abbotsford, Colombie-Britannique) a été nommé ministre du Commerce international juste après l'élection du 2 mai. C'était une importante promotion pour le député, alors qu'il n'avait jamais accédé au cabinet auparavant.

 

Le groupe familial a été créé d'abord de manière informelle en 2002, explique le site Internet. La famille avait décidé d'enregistrer ses chansons de gospel préférées. Grâce au bouche à oreille, ils se sont retrouvés invités dans les églises et les événements musicaux de l'Ouest canadien.

 

«Le désir de Father's Daughter est d'encourager les gens et de leur accorder le don de la musique et le bonheur de l'élévation morale apporté par la musique chrétienne, est-il écrit sur leur site Internet. Plus important encore, où qu'il se produise, Father's Daughter veut rejoindre les gens avec le message d'espoir que véhicule leur foi chrétienne.»

 

Un prix

 

Le groupe chante essentiellement du gospel, des hymnes à l'amour de Dieu. Sur le dernier album, les titres vont de Jésus, je t'aime au Psaume 23 et à Down in the River. Plusieurs autres sont des titres assez connus du gospel. Le groupe fera cet été la tournée des églises de l'Ouest. Samedi — jour du 56e anniversaire de M. Fast — il sera à la Chilliwack Alliance Church, en Colombie-Britannique. La famille participera aussi au festival de musique gospel de Red Deer en juillet.

 

Le troisième album de Father's Daughter, I Will Follow You, a remporté en 2010 le prix Covenant du meilleur album de gospel du Sud de l'Association de musique gospel du Canada (GMA). La déclaration de foi du GMA dit «que les Saintes Écritures, tant l'Ancien que le Nouveau Testament, viennent de Dieu et sont infaillibles. Aussi, les Saintes Écritures sont l'autorité finale en toute chose relative à la foi et au comportement.»

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Quelle impregnation? C'est sa vie privee, il peut faire ce qu'il veut... je ne vois pas la difference entre aller a l'eglise ou faire comme lui... you gotta go to the black church, praize da lawd! where everyone starts singing and dancing :P

Posted (edited)
Quelle impregnation?

 

nuff said...... :

 

http://www.ledevoir.com/politique/elections-2011/320583/des-fous-de-dieu-chez-les-conservateurs

 

 

Des fous de Dieu chez les conservateurs

 

Ottawa — Taïwan, janvier 2011. Christine Smith (nom fictif) est à bord d'un avion quand soudainement elle se sent mal. La députée libérale fédérale est allergique aux fruits de mer et elle a mangé plus tôt dans un restaurant où flottait une forte odeur de fumet de poisson. Pourtant, ce n'est pas tant le choc anaphylactique de leur collègue qui ébranle les autres députés présents que la réaction des trois élus conservateurs. Non, Mark Warawa, Jeffrey Watson et Blaine Calkins n'ont pas prodigué des soins médicaux. Ils se sont plutôt approchés de la malade, se sont agenouillés, ont apposé leurs mains sur sa tête et ont... entamé des incantations et des prières.

 

Cette anecdote est peu connue sur la colline parlementaire, et pour cause. Ceux qui ont été témoins de la scène ont été choqués de ce réflexe religieux contre-productif (l'attroupement nuisait à la respiration de la députée), mais ils hésitent à le dénoncer de peur d'être taxés d'intolérance. La principale intéressée a demandé à ce que son nom ne soit pas utilisé afin de préserver la confidentialité de son dossier médical.

 

«Pour être honnête, j'ai eu beaucoup de difficulté à garder mon sérieux, raconte au Devoir un des témoins. C'était tellement aberrant, envahissant et franchement irrespectueux. [...] On n'est pas habitués de voir cela dans notre pays.»

 

Il n'en reste pas moins que les députés de l'opposition sont de plus en plus mal à l'aise devant les manifestations de l'influence religieuse sur certains élus conservateurs dans le cadre des travaux parlementaires. Autre exemple: avant le déclenchement de la campagne électorale, le Comité permanent des ressources humaines menait une étude sur le soutien offert par Ottawa aux parents adoptifs. Le 17 février, quatre jeunes adultes adoptés comparaissent pour raconter leur expérience. Le député Maurice Vellacott prend alors la parole pour révéler qu'il a lui aussi été adopté.

 

«J'ai aussi une famille biologique affectueuse avec laquelle j'ai vécu toute ma vie. Quand je dis que j'ai été adopté, je veux dire que je l'ai été par un père céleste. Ainsi, même quand je suis loin de mes parents terrestres, dans d'autres régions du monde ou du pays, ma famille indéfectible veille toujours sur moi.»

 

M. Vellacott a ensuite évoqué le «lien de la foi». «Il est beaucoup question de l'adoption dans la Bible, un ouvrage que vous aurez peut-être l'occasion de consulter un jour. C'est pour cette raison que je suis très favorable à l'adoption et que je l'appuie entièrement. Dieu le père adopte les humains depuis des milliers d'années, bien avant... Qu'est-ce qui vient en premier, l'oeuf ou la poule, l'humain ou l'adoption divine? Je crois que c'est cette dernière qui précède tout. Pour cette raison, je crois que les membres du comité devraient favoriser l'adoption pour les principes fondamentaux sur lesquels elle repose.»

 

Au moins un député siégeant au comité s'est dit «estomaqué» et «choqué». «Nous n'avons pas à mêler religion et État», fait-il valoir.

 

Opus Dei

 

Alors que l'élection fédérale bat son plein, la question se pose toujours. Par exemple, Nicole Charbonneau Barron, une ancienne porte-parole du mouvement catholique ultraradical Opus Dei, est encore une fois candidate pour le Parti conservateur dans Saint-Hubert-Saint-Bruno.

 

La Twittosphère s'est enflammée la semaine dernière lorsque des usagers ont retrouvé un article de 2009 du Globe and Mail racontant que le ministre des Sciences et de la Technologie, Gary Goodyear, refuse de dire s'il adhère ou non à la théorie de l'évolution parce que cela relève de sa «religion».

 

La candidate conservatrice dans Compton-Stanstead, Sandrine Gressard Bélanger, fait parler d'elle sur la blogosphère à cause de sa façon d'invoquer «l'univers» pour régler ses problèmes d'argent. «On fait une demande à l'univers, on essaye d'être le plus précis possible dans notre demande et on dit merci à l'univers comme si c'était réglé.»

 

Récemment, l'émission Enquête de Radio-Canada a révélé que la militante religieuse Faytene Kryskow a obtenu du député conservateur Rob Bruinooge un laissez-passer de la Chambre des communes lui permettant de circuler librement dans l'édifice du parlement. Seulement 25 laissez-passer du genre sont en circulation. Mme Kryskow dirige 4MyCanada, un organisme prônant le retour aux valeurs traditionnelles au Canada, mais le tout enrobé dans une sauce mystique. Elle organise des prêches publics au cours desquels elle parle en «langues», une succession de sons insensés par lesquels l'Esprit Saint est censé se manifester. L'imposition des mains est fréquente. Mme Kryskow était présente au parlement le 13 mai 2010 pour filmer la conférence de presse de M. Bruinooge lançant la grande manifestation annuelle pro-vie.

 

Jason Kenney, l'avortement et le Klu Klux Klan

 

D'autres faits émergent à propos de l'actuel ministre de la Citoyenneté et de l'Immigration, Jason Kenney. À titre de président du tribunal étudiant de l'University of San Francisco, il a été en 1989-1990 au coeur d'une controverse si grande qu'elle a eu des échos dans la presse régionale.

 

Au nom de ses principes catholiques, l'université avait tenté d'empêcher un groupe d'étudiantes en droit de distribuer des dépliants parlant d'avortement. Quand les jeunes femmes ont menacé d'intenter une poursuite judiciaire, l'université a reculé et adopté un code clarifiant les paramètres de la liberté d'expression sur le campus. Jason Kenney attaque sans relâche cette décision parce qu'elle mine les principes catholiques censés animer l'université. Dans un des textes d'opinion qu'il signe dans le journal de l'université, le Foghorn, le futur ministre explique sa position.

 

«On doit demander à ces valeureux défenseurs de la "liberté d'expression" s'ils seraient si actifs si c'était le Klu Klux Klan à qui l'université refusait l'accès. Si USF devait accepter ou appuyer les activités d'un groupe dont l'objectif est de légaliser le meurtre prénatal, sur quelle base pourrait-elle refuser une aide similaire à des groupes faisant la promotion du racisme? Sur quelle base refuserait-elle l'implantation d'une cellule Man-Boy Love Association qui demande la légalisation de la pédophilie? Sur quelle base pourrait-elle refuser l'accès à un club fasciste ou une cellule de l'Église de Satan? Seul un relativisme radical qui accorde plus d'importance aux règles qu'à la vérité pourrait justifier d'accepter de telles causes. Une telle approche n'a pas sa place dans une université catholique.»

 

Jason Kenney avait lancé une pétition demandant à l'Église de retirer son statut catholique à l'université. Au San Francisco Chronicle qui l'interrogeait sur ses motifs, M. Kenney avait répondu: «Si l'université n'est pas prête à offrir un environnement éducatif cohérent avec la foi catholique, elle devrait cesser de s'appeler "catholique".» Au réseau CNN, M. Kenney avait dit que le groupe «détruit la mission de l'université». L'année précédente, M. Kenney avait tenté d'imposer la prière catholique au début de chaque rencontre du Sénat étudiant, mais l'initiative avait été défaite.

 

Au sein même de la direction de l'université, les activités du jeune Kenney et consorts étaient critiquées. Le San Francisco Bay Guardian avait publié en avril 1990 un article détaillant «le siège de la droite à USF». Un ancien professeur, Joseph Soehee, décrivait cette jeunesse illuminée ainsi: «Ils veulent le retour des années 50. Et par années 50, je ne veux pas dire les années 1950, je veux dire les années 1550: obédience, obédience, obédience

Edited by MtlMan
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Ah oui c'est vrai, l'indépendance ça va réglé tout les problème, même les problèmes qui sont les contraire de d'autre problème ! TOUT!!!!

 

Comme par exemple, le Maire de Saguenay va dire ah finalement on est indépendant, fini la prière à l’hôtel de ville.

Posted
Ah oui c'est vrai, l'indépendance ça va réglé tout les problème, même les problèmes qui sont les contraire de d'autre problème ! TOUT!!!!

 

Comme par exemple, le Maire de Saguenay va dire ah finalement on est indépendant, fini la prière à l’hôtel de ville.

 

Il y a déjà plus de chance que ça les règle qu'avec le statut quo comme aujourd'hui! :silly:

Posted (edited)

So wait, it is bad because the guy said some words to someone in the House of Commons, but don't they have to say a prayer before every session and before Question Period? It is basically everyone inside the government a Christian religious fanatic then :P (Quebec does it as well and so do all the other provincial legislatures AFAIK)

 

Ouverture d’une séance

 

 

 

Avant le début d’une séance, le Président quitte son bureau et se rend, en passant par le Hall d’honneur, à la Chambre des communes. Il s’y rend en cortège d’honneur appelé « défilé du Président ». La procession est ouverte par le sergent d’armes, ou son suppléant, muni de la masse, suivi du Président, d’un page qui porte la prière du jour, du Greffier de la Chambre et des autres greffiers au Bureau. Lorsque le cortège pénètre dans l’enceinte de la Chambre, les députés se lèvent et restent debout le temps que le Président arrive au fauteuil. Le sergent d’armes s’arrête à l’extrémité du Bureau et attend que le Président prenne place au fauteuil, puis pose la masse sur le Bureau, fait une révérence, et va prendre place à la barre de la Chambre. Une fois le quorum constaté, le Président lit la prière et ouvre la séance[2].

 

Lorsque le Président s’absente, le président de séance le remplace dans le cortège[3]. Dès que le président de séance entre dans la Chambre, le Greffier informe cette dernière de l’absence inévitable du Président et le président de séance assume alors la présidence. Lorsqu’il y a quorum, l’Occupant du fauteuil lit la prière[4] et ouvre la séance.

 

À la fin d’une séance, le Président ou le président de séance ajourne la Chambre puis quitte la salle, précédé du sergent d’armes, ou son suppléant, muni de la masse. Ils empruntent alors les portes situées derrière le fauteuil.

 

[2] Le mercredi, à l’ouverture de la séance, les députés chantent l’hymne national. Pour plus d’information sur cette pratique, voir le chapitre 10, « Le programme quotidien ».

 

[3] Loi sur le Parlement du Canada, L.R. 1985, ch. P‑1, par. 43(1); art. 8(1) du Règlement. Le président de séance serait le Vice‑président de la Chambre, le vice‑président des comités pléniers ou le vice‑président adjoint des comités pléniers.

 

[4] Pour plus d’information sur la prière, voir le chapitre 10, « Le programme quotidien ».

 

http://www.parl.gc.ca/procedure-book-livre/document.aspx?language=f&mode=1&sbdid=20eebae9-94ef-4699-bd55-551e40bdbf67&sbpid=&sbpidx=2

 

Activités quotidiennes

 

 

 

Chacun des trois éléments des Activités quotidiennes de la Chambre — la Prière, les Déclarations de députés et les Questions orales — est traité séparément dans le Règlement.

* Prière

 

Avant d’ouvrir les portes au public au début de chaque séance de la Chambre, le Président prend place au fauteuil et lit la prière, après s’être assuré de la présence d’un quorum de 20 députés, y compris l’Occupant du fauteuil, avant que la Chambre n’entame ses travaux[4]. Pendant la lecture de la prière, le Président, les députés et les greffiers au Bureau se tiennent debout. Selon la pratique actuelle, la prière est lue partiellement en français et partiellement en anglais. Une fois la prière terminée, la Chambre observe un moment de silence pour permettre à chacun de se recueillir et de méditer en privé. À la fin de ce moment de silence, le Président ordonne l’ouverture des portes. C’est alors que la télédiffusion des travaux commence et que le public est admis dans les tribunes[5].

Historique

 

Même si la lecture d’une prière au début de chaque session n’est exigée par le Règlement que depuis 1927[6], cela fait partie des activités quotidiennes de la Chambre depuis 1877. La Chambre avait alors chargé un comité d’examiner l’opportunité d’utiliser une forme de prière à la Chambre[7]. Ce comité recommandait, dans son rapport, que les travaux de la Chambre commencent chaque jour par la lecture d’une prière et en proposait même la forme[8]. Au cours de la discussion qui a suivi immédiatement l’adoption du rapport du comité, il a été décidé que la lecture de la prière aurait lieu avant l’ouverture des portes de la Chambre comme c’était déjà la pratique au Sénat du Canada et à la Chambre des communes britannique[9].

 

Certains ont suggéré, beaucoup plus tard, de récrire ou de reformuler la prière dans un esprit œcuménique et d’en confier la lecture à un chapelain plutôt qu’au Président[10]. On a aussi recommandé de changer la façon dont la Chambre procède à la prière. Bon nombre de députés ont exprimé le vœu, au cours des ans, que le public soit admis avant la lecture de la prière[11]. La Chambre a adopté, en 1976, une motion recommandant de modifier le Règlement de manière à admettre le public aux tribunes avant la lecture de la prière. La motion prenait cependant la forme non pas d’un ordre mais d’une recommandation, et ne comportait aucune instruction de mise en œuvre du changement. C’est pourquoi le Président a décidé de maintenir la pratique qui consiste à lire la prière avant d’admettre le public tant que le Comité permanent de la procédure et de l’organisation n’aurait pas examiné la question et fait rapport à la Chambre; l’affaire n’a cependant pas eu de suites[12]. Il est toutefois arrivé, en de rares occasions, que le public entende la prière[13].

 

La forme de la prière n’a subi aucun changement important jusqu’en 1994[14], sauf pour les mentions du monarque et de la famille royale[15]. La Chambre a adopté, en 1994, un rapport recommandant une nouvelle formule de prière qui tient davantage compte des différents cultes pratiqués au Canada[16]. Cette prière a été lue pour la première fois lorsque la Chambre s’est réunie pour amorcer ses travaux le 21 février 1994[17] :

 

Dieu tout‑puissant, nous te remercions des nombreuses grâces que tu as accordées au Canada et à ses citoyens, dont la liberté, les possibilités d’épanouissement et la paix. Nous te prions pour notre Souveraine, la Reine Elizabeth, et le (la) Gouverneur(e) général(e). Guide‑nous dans nos délibérations à titre de députés et aide‑nous à bien prendre conscience de nos devoirs et responsabilités. Accorde‑nous la sagesse, les connaissances et la compréhension qui nous permettront de préserver les faveurs dont jouit notre pays afin que tous puissent en profiter, ainsi que de faire de bonnes lois et prendre de sages décisions. Amen.

 

Rien n’a été explicité au sujet de l’usage du français et de l’anglais pour la prière. Lorsque la lecture de la prière a d’abord été approuvée en 1877, il a été convenu que la prière serait lue dans la langue dans laquelle le Président était le plus à l’aise[18]. Deux ans plus tard, le Président Blanchet, le premier Président bilingue des Communes, a lancé la coutume de la lecture de la prière dans les deux langues, en alternance de jour en jour[19]. Jusqu’aux années 1970, de nombreux Présidents, selon leur aisance à s’exprimer dans les deux langues, ont fait de même. Depuis lors, certains Présidents ont récité la prière en alternant les deux langues, tandis que d’autres ont récité une prière bilingue.

 

Lorsque la Chambre se réunit le premier jour d’une nouvelle législature ou tout autre jour où elle doit élire un Président, la prière est lue après l’élection du Président[20]. Dans ces cas, le premier point à l’ordre du jour, soit l’élection du Président, a préséance sur toutes les autres affaires[21]. La Chambre n’est dûment constituée pour entreprendre ses travaux qu’après avoir élu un Président[22]. Lorsque la Chambre se réunit après l’élection du Président, la prière est lue avant que l’assemblée se rende au Sénat pour informer le (la) gouverneur(e) général(e) de son choix[23].

 

1994... c'est la faute du maudit chretien Chretien :rotfl:

Edited by Cyrus
Posted

Cyrus: come on man, tu vois bien que les deux exemples sont différents. Le texte que tu souligne ne fait que mettre en évidence des résidus de vieux protocole auquel personne ne croit vraiment anyway. Comme mettre la main sur la bible au Tribunal et jurer de dire toute la vérité. Ça n'empêche personne, pas même un paquet de croyants, de mentir à tour de bras!

 

Par contre, l'article du Devoir montre bien le sentiment militant et même prosélytiste de plusieurs membres de la députation conservatrice. Beurk.

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