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Les écolos veulent plus d'argent

 

Une autre preuve que les écolos sont très généralement main dans la main avec les politique de gaucheux... le genre de politiques qui s'en sacre de la création de la richesse et qui cherche la décroissance économique à coup de taxes.

 

Let's go, on taxe à 100%, comme ça on ne se fera plus exploiter par les maudits capitalistes sauvages. :cartman:

 

Et ça recommence! Vraiment des généralisations comme ça je suis plus capable. :yawning:

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Québec: projet chinois de 13 G$ dans le Grand Nord

La Presse Canadienne . les affaires.com . 18-09-2011 (modifié le 18-09-2011 à 19:27)

 

La société d'État chinoise Wisco espère construire d'ici 2016 un gigantesque complexe minier de 13 milliards $ dans le Grand Nord québécois.

 

En partenariat avec la société canadienne Adriana Resources, Wisco (Wuhan Iron And Steel Group Corp.) veut réaliser au Nunavik le plus grand projet minier de l'histoire du Canada.

 

Situé dans la Fosse du Labrador à 160 kilomètres au nord de Shefferville et à 250 kilomètres au sud de Kuujjuaq, le projet du Lac Otelnuk prévoit l'extraction de 50 millions de tonnes de minerai de fer par année sur une période qui pourrait s'étendre sur 100 ans.

 

Il comporte en outre la construction d'un concentrateur et d'une usine de bouletage sur les lieux même de l'exploitation minière.

 

Le projet prévoit aussi l'aménagement d'un tracé ferroviaire de 815 kilomètres vers le sud du lac Otelnuk et l'expansion du port de Sept-Îles pour l'accueil des énormes Chinamax, des navires pouvant transporter jusqu'à 400 000 tonnes de cargo.

 

Une fois en production, quelque 2500 travailleurs permanents seraient requis pour l'exploitation du gisement.

 

Les dirigeants de Wisco, l'un des plus importants aciéristes au monde, ont effectué une visite sur le terrain le mois dernier en compagnie d'ingénieurs et géologues chinois. Ils ont également rencontré le premier ministre Jean Charest le 30 août lors de sa visite à Pékin où il a fait la promotion active du Plan Nord.

 

Avec six milliards de tonnes en réserve, le gisement du lac Otelnuk représente certes une occasion d'affaires pour les Chinois, acquéreurs de 60 pour cent du minerai de fer dans le monde.

 

Wisco veut aller vite et projette de commencer une première phase de production en 2016.

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Mine Raglan

Le Plan Nord impressionne peu au Nunavik

 

Annie St-Pierre

25/09/2011 11h18

 

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Les installations de la mine Raglan à Katinniq, près de Salluit, au Nunavik. À gauche, on peut voir le complexe d’hébergement, où loge tout le personnel.

© Photo courtoisie

 

Plan Nord ou pas, Xstrata Nickel poursuit son expansion de 530 millions de dollars et ses opérations quotidiennes sans l’aide du gouvernement du Québec jusqu’ici.

 

«Si le gouvernement du Québec veut se servir de la mine Raglan comme exemple, c’est merveilleux, on n’a rien contre ça. Le Plan Nord, c’est bien pour tout le secteur minier, mais pour nous, on est autonome, on est déjà en exploitation», expose M. Michaël Welch, vice-président aux opérations de la mine.

 

La compagnie a déjà son réseau routier et possède toutes les installations nécessaires à l’extraction du nickel ainsi qu’à l’exportation du concentré. L’agrandissement de la mine ne nécessite donc aucun soutien financier du gouvernement du Québec, l’investissement est entièrement privé.

 

Par contre, le gouvernement pourrait aménager des centrales hydroélectriques pour desservir certains villages du Nunavik, dont Salluit, comme l’ancienne ministre Nathalie Normandeau l’a signifié. Xstrata Nickel souhaite en profiter afin de diminuer ses coûts énergétiques pour Raglan.

 

«Si on est capable d’alimenter en hydroélectricité les villages du Nunavik et le complexe industriel de Raglan avec les tarifs d’Hydro-Québec en circuit fermé ici au Nord, notre structure de coûts changerait considérablement», dit M. Welch.

 

Génératrices au diesel

 

L’entreprise exploite présentement un générateur composé de six génératrices d’une puissance de 3,6 mégawatts chacune pour alimenter sa mine et le complexe d’hébergement.

 

Toutes fonctionnent au diesel et ce système énergétique, qui ventile aussi la mine souterraine, représente 25% des coûts de production de l’entreprise.

 

Dure,dure,la vie au camp

 

Les 1000 employés de la mine Raglan proviennent de partout au Québec et la plupart y sont fortement attirés par les salaires élevés, même si les conditions de vie sont parfois pénibles.

 

La moyenne d’âge des travailleurs du complexe nordique est de 47 ans pour ces employés qui sont de la Gaspésie, de Québec, de Montréal ou de l’Outaouais. Près de 17% de la main-d’oeuvre sont des Inuits résidant dans l’un des 14 villages du Nunavik, mais plusieurs sont des gens de l’Abitibi-Témiscamingue.

 

«On a beaucoup d’expertise en Abitibi dans le secteur minier, mais on a aussi beaucoup d’employés qui proviennent de l’ancienne mine de Murdochville, par exemple, mais aussi de l’Ouest canadien et des Maritimes», expose le porte-parole de l’entreprise, M. Francis Beauvais.

 

Si vivre à Raglan est attrayant pour plusieurs, la plupart des employés rencontrés par le Journal admettent que le temps est parfois long. «Quand on est ici pour 21 jours, ce sont 21 jours de travail consécutifs, sans congé le samedi ou le dimanche. Évidemment, on se sent loin, la vie de famille à distance, c’est difficile», dit André Aubé, qui travaille à Raglan depuis son ouverture, il y a 15 ans.

 

Son collègue Mario Pelletier, électricien, rajoute que les trois semaines de travail à faire avant ses congés commencent à lui peser lourd. Il aimerait bien, comme plusieurs, que la direction instaure un cycle de 14 jours de travail suivi d’autant de journées de congé. «C’est l’éloignement qui est le pire. La famille me manque surtout quand on a des petits-enfants. On a beau avoir Internet, le téléphone, on se sent loin quand même», exprime-t-il.

 

Savoir s’y faire

 

Pour sa part, Mélanie Côté, 33 ans, sait s’y faire à Raglan. Originaire de la Gaspésie, cette ingénieure supervise le service d’ingénierie minière de l’entreprise, mais elle possède aussi un diplôme en théâtre et a été enseignante. Elle a d’ailleurs rencontré son conjoint au complexe il y a trois ans.

 

«Je suis venue ici sans me donner d’objectif sur le nombre d’années que j’y serai, mais la seule chose qui pourrait me faire sortir d’ici serait d’avoir des enfants. Mais je songe à proposer à la compagnie un projet de garderie», lance-t-elle.

 

Ses consoeurs Anne-Marie Tremblay, 29 ans, de Saguenay, et Maude Ouellet, 25 ans, de la Rive-Sud de Montréal, sont d’avis que chacun s’adapte à sa façon au Nord québécois et à la vie minière de Raglan.

 

«L’énergie est différente pour chacun, mais l’important est de faire nos trois semaines ici et de durer», lance Mme Tremblay, métallurgiste, qui aime Raglan pour l’expérience professionnelle autant que pour ses revenus d’environ 140 000$ par année.

 

L’éolien au lieu du diesel?

 

Mine Raglan étudie présentement le projet d’aménager un parc éolien dans le Nord-du-Québec, qui alimenterait son complexe minier, mais les conditions météorologiques posent un grand défi.

 

Actuellement, l’entreprise mesure la vitesse du vent au Nunavik avec trois instruments temporaires, dont un à la baie Déception, qui longe le détroit d’Hudson, et un autre près de l’aéroport de Donaldson.

 

«Le projet que nous étudions est d’implanter sept éoliennes de 800 kilowatts chacune pour fournir l’énergie au complexe au lieu du diesel», explique M. Bruno Lemelin, directeur de la stratégie et des communications pour Raglan.

 

«La difficulté technique sera le coût d’installation des éoliennes avec la notion de distance pour acheminer les composantes et aussi de savoir si la neige et le givre colleraient sur les pales», poursuit-il.

 

Hydrogène

 

Mais Xstrata veut pousser plus loin ce projet en étudiant la possibilité de créer de l’hydrogène avec l’éolien. L’hydrogène serait utilisé dans les véhicules qui circulent sous la terre dans la mine et qui roulent actuellement au diesel.

 

«Pour enlever le diesel sous terre pour la qualité de l’air, il faut aérer la mine avec un million de pieds cubes d’air qui entrent à la minute, ce qui exige énormément d’énergie. Si on est capable d’utiliser l’hydrogène pour nos véhicules, on n’aurait plus besoin d’avoir autant de ventilation, ça réduirait aussi nos coûts de façon importante», dit M. Lemelin.

 

L’entreprise dit ignorer totalement le coût total de ce projet, bien que des ingénieurs viennent de séjourner en Russie, en Finlande et en Alaska pour comparer le potentiel éolien avec celui du Nord québécois.

 

Si les études sont concluantes, Xstrata Nickel sera la première à exploiter l’éolien au Nunavik et, encore là, elle songe à le faire sans l’aide du gouvernement.

 

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/09/20110925-111837.html

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http://www.theglobeandmail.com/report-on-business/northern-quebecs-existing-infrastructure/article2017456/?from=2164964

 

That would been an interesting road trip to Salluit, if there was a road to get there. True it be 2000 km (give or take), which is only 600 km less than the distance to Miami.

 

Nunavik should see its first social housing units under Quebec’s Plan Nord by 2012.

 

Last May, Quebec announced it will build 300 new social housing units in the region over the next five years as part of Plan Nord – a much needed boost for a region that is short about 1,000 homes.

 

The plan has been slow to deliver, however.

 

Regional councillors with the Kativik Regional Government were told last June that Quebec’s cabinet had yet to approve the delivery of that housing, meaning construction materials might not be ordered in time for the final 2011 sealift.

 

But over the summer, Makivik Corp. – the contractor responsible for Nunavik housing construction – got the go ahead to order materials, said Watson Fournier, manager of the Kativik Municipal Housing Bureau.

 

That means construction may begin in the late spring of 2012, he said.

 

While that’s good news for Nunavimmiut waiting on new housing units, Quebec’s plan did not factor in the limited sealift and construction seasons that dictate when housing is built across Nunavik.

 

“We told them about this,” Fournier said. “But in their $80 billion investment, housing is a drop in the bucket. One of the major, immediate objectives of the plan could have started this year — but it didn’t.”

 

There will also be a crunch to construct the first round of Plan Nord housing in additional to existing social housing set to be built in 2012.

 

“We realized that, for the government, this year counts as year one,” Fournier said. “So we only have four years to build 300 houses [instead of five].”

 

In 2012, 141 houses are slated to be built; 74 under the Plan Nord and 66 under the existing social housing construction deal with Quebec.

 

In addition to social housing, Plan Nord promised Nunavik another 200 housing units in the next five years under a new home-ownership program.

 

Of the 200 private homes, 150 homes are destined for individual homeowners while another 50 will be built through co-operative housing projects.

 

The new home ownership program will pay 75 per cent of the cost of a $410,000 house, 30 per cent of their home insurance and $7,000 a year towards municipal services and taxes.

 

But Fournier said the KMHB is not yet mandated to deliver that program, hoping that will happen in the coming months.

 

“If we’d been mandated in the summer, people would have at least been able to clear their lots,” he said.

 

Together with the 2010 renewal of a five-year social housing agreement, in which the federal and provincial governments committed to build 340 housing units, that means Nunavik can expect 840 new units to be built across the region by 2016.

http://www.nunatsiaqonline.ca/stories/article/65674lags_in_quebec_city_mean_delays_for_nunaviks_new_plan_nord_housing/

 

The French minister of industry, energy and the digital economy, Éric Besson, is determined to take advantage of the call for foreign investments made in May by the premier of Quebec, Jean Charest. The Plan Nord scheme aims to develop an area of 1.2m sq km (twice the size of France) in the far north of the province, with a population of 120,000, a quarter of whom are Native Americans or Inuit. Under the plan, $84bn (C$85bn) is due to be invested over the next 25 years.

 

The vast expanse of land and water north of the 49th parallel is seen as a sort of El Dorado because of its mineral and energy riches. "It's a new frontier for French business," Besson said in Montreal this month, concluding a trip with the heads of 14 big firms, including Alstom, Lafarge, GDF Suez, Vinci and EDF, and the publicly owned Geology and Mining Research Agency (BRGM). According to the minister, the Plan Nord is "an incentive to rise to the challenge Charest made to French firms, urging them to move up from second to first place among foreign investors in Quebec", ahead of their US counterparts.

 

Besson announced the start of preparations "to lay the foundations of a global partnership", linking Quebec and France, to be built into the Plan Nord. Further discussions will be held in October, when Charest is due to visit Paris. Charest has toured China and Japan to promote his scheme. Charest foresees two main challenges: the difficulty accessing a territory lacking infrastructure, and a shortage of labour which could hold back development. "We need both highly skilled and unskilled workers," he said.

 

As for Besson, he sees this opening for investments as a possible answer to the need to "secure France's supply of strategic metals". At the end of January he set up the Strategic Metals Committee (Comes) to frame a plan to secure access to rare minerals such as lithium, uranium, beryllium and germanium. The north of Quebec abounds in such raw materials. It is also richly endowed with diamonds, gold and base metals, not to mention its hydro-electric potential. But only a few foreign firms, such as Tata Steel of India, Jien from China and the Norwegian Yara, have committed themselves, and all are engaged in mining.

 

Besson highlighted two other promising sectors: wave power and the digital development of the far north. "We are building a cutting-edge industry with [EDF and DCNS] current turbines", which could be sited in Quebec's marine environment, he said. He added that "the Plan Nord would be inconceivable without internet access". Vivek Badrinath, head of Orange Business Services, is counting on his expertise in international connectivity services and his links with firms such as Bell Canada to win valuable tenders. Vinci Construction has its eye on road and mining infrastructure. This article originally appeared in Le Monde

http://www.guardian.co.uk/world/2011/sep/20/quebec-plan-nord-france-investment

Modifié par jesseps
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  • 4 semaines plus tard...
Stornoway Diamond Corp. (TSX:SWY) reports that construction and production of the Renard Project, Quebec’s first diamond mine, is on schedule for construction to begin in mid-2013 and diamond production in mid-2015. Stornoway is part of the Plan Nord project, announced May 9, which will see mining firms and the Quebec government invest $80 billion over 25 years to mine gold, diamonds, copper, molybdenum, rare-earths, nickel, lithium and uranium in northern Quebec. The Renard Project currently has an indicated resource of 24 million carats, an inferred resource of 17 million carats and a potential mineral deposit ranging between 24-49 million carats, the company says. An updated feasibility study is expected shortly, the company says. Stornoway is expecting to have road access, through the extension of route 167, to the Renard site by mid-2013, the company says. Route 167 leading into the Otish Mountains will have a width of 10.6 meters and maximum speed limit of 70 km/h. It is a $332 million plan to extend route 167 into the Otish Mountains of northern Quebec funded by the government of Quebec and Stornoway. Stornoway is a Canadian-based diamond exploration and development company.

http://www.kitco.com/reports/KitcoNews20111021_MM.html

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  • 2 semaines plus tard...

Plan Nord

Alouette investira 1,5 miliard $ à Sept-Îles

Agence QMI

Annie Saint-Pierre

31/10/2011 11h54

 

L'aluminerie Alouette de Sept-Îles ajoute un investissement de 1,5 milliard$ dans le Plan Nord à l'intérieur de son projet d'expansion de phase 3 qui porterait sa capacité de production à 900 000 tonnes par année.

 

La direction de l'usine reçoit le premier ministre Jean Charest et le ministre du développement économique Sam Hamad cet avant-midi dans les installations de Sept-Îles.

 

L'annonce est prévue pour 11 heures mais il est connu que Alouette veut réaliser ce projet d'agrandissement depuis plusieurs années déjà.

 

Par contre, comme tout repose sur l'approvisionnement hydroélectrique dans le secteur des alumineries, c'est la conclusion d'un contrat à long terme avec le gouvernement qui a permis le lancement de ce projet.

 

Québec attribuerait donc un bloc de 500 mégawatts d'électricité à Alouettte pour lui permettre de faire fonctionner les nouvelles cuves de production. D'ailleurs le gouvernement du Québec est actionnaire à 13% dans l'aluminerie Alouette.

 

Jusqu'ici, l'agrandissement de l'aluminerie de Sept-Îles ne figurait pas dans les projets du Plan Nord, qui sont surtout concentrés dans le domaine minier.

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  • 3 semaines plus tard...
Six mois seulement après la présentation du Plan Nord au Québec, les sociétés minières ont engagé des investissements d'au moins 10,5 milliards de dollars que le gouvernement du Québec est incapable de supporter en infrastructures sur la Côte-nord et en Abitibi-témiscamingue.

 

http://tvanouvelles.ca/lcn/economie/archives/2011/11/20111121-071751.html

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