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Quartier Sainte-Marie (Faubourgs Est): projets et nouvelles


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Il ne reste que 3 petites semaines pour voir le Village Éphémère

 

Voici la programmation pour les prochains jours

 

Mercredi, le Village sera exceptionnellement ouvert dès 18h pour le tirages des Feux de la France : Liberté, un hommage `Nelson Mandela.

http://www.facebook.com/events/487640518048164/

 

Le jeudi 24 juillet à 20h30, le Festival du Film de la Relève s'amène au Village Éphémère, avec Patty Smith aux platines.

Toutes les infos : http://www.facebook.com/events/1441975652754542

 

Vendredi, on reçoit Jazz Amnesty Sound System a.k.a. ANDY WILLIAMS & SWEET DADDY LUV pour une 5e Soirée Éphémère les pieds dans le sable

http://www.facebook.com/events/1481948792049436

 

Samedi, nous vous attendons nombreux pour le tirage des Feux de l'Australie : Simplement pyro, le monde de Baz Lurhmann.

 

Et dimanche, c'est les Vacances au Village !

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Quoiqu'il reste encore 2 semaines d’activités pour le Village Éphémère sur le terrain du dépôt à neige au Pied-du-courant, ceci démontre d’autres activités et aménagements qui mériteraient d’être explorer pour ce site, et aussi sur le site vacant de la MTQ entre la rue Dufresne et la rue Frontenac, à l’est du parc Bellerive.

 

Pour savoir plus, consultez le lien même du site les Berges:

http://lesberges.paris.fr/mode-demploi/

 

http://www.nytimes.com/2014/08/03/travel/in-paris-a-playful-path-along-the-seine.html?_r=2

 

In Paris, a Playful Path Along the Seine

 

JULY 29, 2014

 

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A game of table tennis next to tepees on the Berges de Seine (Banks of the Seine) promenade.

CreditLauren Fleishman for The New York Times

A few years ago, Voies sur Berges along the Seine on Paris’s Left Bank was one of the busiest two-lane thoroughfares in the city, with up to 2,200 vehicles passing through an hour. But on a warm afternoon in June, a different scene unfolded on the roadway. Along the water’s edge, a group of children could be heard singing “Joyeux Anniversaire” out of a large white tepee, while a glimpse into the canvas structure revealed a woman holding a candlelit birthday cake.

The tepees, free to reserve for children’s birthday parties, are just one of the abundant and often playful features of Berges de Seine (Banks of the Seine), a 1.4-mile pedestrian promenade packed with recreational activities, restaurants and bars, and creative patches of blooming flowers, plants and trees. It opened in June 2013, along the roadway adjacent to the river between the Musée d’Orsay and the Pont de l’Alma.

“The idea behind Les Berges was to reappropriate the riverbank and to create a little island of peace, pleasure and leisure in the heart of Paris,” said Annette Poehlmann, general coordinator of the city-funded project.

Photo

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Taking a break amid some of the path's greenery.

CreditLauren Fleishman for The New York Times

 

There is also a grander agenda at work. Reducing car traffic in the city has long been a pet project of Bertrand Delanoë, who was the mayor of Paris until April. For example, he championed Vélib’, a bicycle-sharing program designed to allow Parisians to rent bicycles on nearly every corner by installing self-service docking stations, and nearly a decade ago, he came up with the idea for this promenade, Ms. Poehlmann said.

After 26.6 million euros (about $36 million) spent on development work and a yearly budget of €5 million allocated through 2016 by Mairie de Paris (Paris City Hall), the promenade was inaugurated last June, and has attracted 2.5 million visitors. The pedestrian path also has a pink-laned sprinting track, a maze painted in yellow and a map of the world in green.

One early afternoon, there were echoes of Paris Plages, the popular sand-along-the-Seine event that began in 2002 and occurs for four weeks in late summer, as couples lounged on beach chairs at the waterside bar and restaurant Flow, with their shoes kicked off and glasses of wine in hand. The Grand Palais, the ornate and huge museum complex and exhibition hall, could be seen just across the water, and to the left, the top half of the Eiffel Tower.

 

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A photography exhibition.

CreditLauren Fleishman for The New York Times

 

But Les Berges offers plenty more than just sun-worshiping with a view. Near the tepees, soccer lessons were afoot, games of backgammon were underway, and an impromptu dance party to a Michael Jackson song had erupted under an arch of the Pont de la Concorde in the “audio shower,” an area set up with mirrored walls, a disco ball and speakers that allowed would-be D.J.s to play song lists off their mobile devices.

Farther along, a 40-member orchestra played compositions from the jazz legends Charlie Parker and Thelonious Monk, a concert that was part of Les Berges’s jam-packed calendar of cultural and sporting events that in the coming weeks will include a contemporary art exhibition, kite races and speed badminton lessons.

 

In a city that can teem with crowds from all over the world, especially in summer, what some visitors may value most about the Banks of the Seine are its relative pockets of greenery and tranquillity. The Floating Garden Niki de Saint Phalle — five “floating islands” moored to steel stakes buried under the riverbed and connected by footbridges — provided one such sanctuary. On one island, a row of seven wooden chaise longues, all occupied, provided users an unobstructed view of the Seine against a backdrop of swaying feather reed grass that hinted at a simpler time. “The vegetation there is the vegetation of the Seine waterfront as it was 100 years ago,” Ms. Poehlmann said. “They have been reintroduced.”

But for peace and quiet, Parisians reserve one of the four Zzzs, slate-gray maritime shipping containers that are the size of a room and outfitted with glass panels, each with its own mini-terrace and plantings that include runner beans and nasturtiums. On this afternoon, a group of eight stylishly dressed women had gathered in one to fete the coming wedding of Lucie Meyer-Landrut, a 30-year-old communications specialist and former Parisian who lives in Oslo. “We used to drive along this part of the river,” Ms. Meyer-Landrut said. “Now, it feels like we’re in a little private garden in the heart of Paris.”

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10489983_638189072936745_2175965360361320864_n.jpgVillage Éphémère shared ADUQ association du design urbain du quebec'sphoto.

 

Ce soir aura lieu la finale de l'International des Feux Loto-Québec avec pour thème "Hommage à Pink Floyd".

 

L'équipe ADUQ, qui sera votre hôte au Village éphémère à cette occasion, vous invite à lire l'allocution inaugurale de Martin Paré du 20 juin dernier (http://aduq.ca/2014/07/allocution-inaugurale-du-village-ephemere-20-juin-2014/) afin que nous puissions jouir de cette soirée et des derniers week-end avec, fraichement en tête, l'essence et la mission du #vfmr.

 

Événement Facebook du 2 août:https://www.facebook.com/events/316509551849812/

 

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Allocution inaugurale du Village Éphémère Au pied-du-courant le 20 juin 2014

 

 

 

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© Jean-Michael Seminaro

 

Mesdames, Messieurs, représentants de la classe politique, chers journalistes,

 

D’abord, merci à tous de vous être déplacés en si grand nombre. C’est avec un immense plaisir que l’ADUQ vous accueille à l’inauguration de cette deuxième édition du Village éphémère qui se tiendra cet été pendant quelques semaines. Le Village éphémère vise à construire collectivement un espace sous-exploité et ainsi exposer la force créative du Québec, à l’image de sa relève en design.

 

L’Association du design urbain du Québec (ADUQ) est un organisme sans but lucratif qui se consacre à promouvoir le design urbain au Québec. Le design urbain est une pratique professionnelle émergente qui occupe la charnière entre l’architecture et l’aménagement du territoire et qui s’intéresse, entre autres, à la face publique et urbaine de l’architecture, ainsi qu’à l’espace physique et tridimensionnel de la planification du territoire.

 

L’ADUQ se veut un levier pour faire reconnaitre le design urbain auprès des collectivités et est devenu une véritable plateforme d’échange sur la pratique du design urbain au Québec. Inclusive, l’Association vise à réunir tous les professionnels de l’aménagement dont la pratique est axée sur le domaine public et la dimension collective de la ville : architectes, architectes paysagistes, urbanistes, designers de l’environnement, ingénieurs, etc. Depuis sa fondation en 2012, l’ADUQ a su réunir plus de 300 membres, dont une branche importante dans la région de Québec.

 

Tel que mentionné, le Village éphémère au Pied-du-Courant en est en fait à sa deuxième édition. La première édition avait pris place au bassin Peel, sur le canal de Lachine à Montréal, le temps d’une soirée d’août 2013. Sans budget ni publicité, ce projet un peu fou s’est avéré être un succès au-delà de nos espérances en attirant des dizaines de designers et près d’un millier de personnes en une soirée seulement. Alors qu’initialement l’ADUQ n’avait pas projeté le Village Éphémère 2013 comme le premier d’une série, pour plusieurs il semblait évident qu’il ne s’agissait là que d’une première édition. Ce grand succès nous a donc convaincus d’organiser cette seconde édition.

 

Toujours en quête de création d’espaces publics significatifs et de lieux rassembleurs, l’ADUQ renouvèle l’expérience ici pour une période de deux mois. Le Village éphémère est un concept fondamentalement participatif, évolutif et à géométrie variable. Il s’agit avant tout d’un espace public et donc essentiellement appropriable par tous.

 

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© Jean-Michael Seminaro

 

Le concept de mise en espace repose sur l’idée d’une promenade maritime (ouboardwalk) à laquelle se greffent une série de pavillons faisant face à une plage artificielle surplombant le port et au fleuve d’un espace public central multifonctionnel accueillant une multitude d’activités et d’installations.

 

Le choix du site s’explique entre autres par sa position géographique exceptionnelle. En effet il s’agit de l’un des rares endroits sur l’île où nous puissions observer en un coup d’œil le port, le fleuve, les îles de Boucherville, la Ronde, le fort Sainte-Hélène, le pont Jacques-Cartier, le pont Victoria, le centre-ville, la montagne, le mat du stade olympique, etc.

 

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© Jean-Michael Seminaro

 

Le choix du site s’explique aussi par l’achalandage naturel dont jouit le site grâce à l’International des feux Loto Québec. L’idée fut donc d’y greffer bouffe de rue, mobilier urbain, etc. pour agrémenter les soirs d’été et intégrer une programmation pour faire vivre le site les jours d’ouverture.

 

Mais outre le concept de mise en espace et l’aspect festif du lieu, plusieurs enjeux d’aménagement majeurs font du secteur du Pied-du-Courant un lieu profondément déchiré : transit routier sur Notre-Dame et sa configuration autoroutière, traverses piétonnes désuètes, piste cyclable située du côté nord de la rue, port comme lieu refermé sur lui-même, manque de verdure, présence de nombreuses friches urbaines sous-investies, etc. L’idée est donc de semer un germe sur cette friche aride, devant laquelle des milliers d’automobilistes circulent pourtant chaque jour sans s’en soucier, en un lieu public animé, le temps d’un été.

 

Le concept de mise en espace repose sur l’idée d’une promenade maritime (ouboardwalk) à laquelle se greffent une série de pavillons faisant face à une plage artificielle surplombant le port et au fleuve d’un espace public central multifonctionnel accueillant une multitude d’activités et d’installations.

 

Le choix du site s’explique entre autres par sa position géographique exceptionnelle. En effet il s’agit de l’un des rares endroits sur l’île où nous puissions observer en un coup d’œil le port, le fleuve, les îles de Boucherville, la Ronde, le fort Sainte-Hélène, le pont Jacques-Cartier, le pont Victoria, le centre-ville, la montagne, le mat du stade olympique, etc.

 

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© Jean-Michael Seminaro

 

Depuis de nombreuses années, l’accès au parc Bellerive est une revendication des gens du quartier et de comités de citoyens. Seule fenêtre du quartier Sainte-Marie sur le fleuve, le parc Bellerive est en quelque sorte le symbole de Montréal, c’est-à-dire une ville qui tourne le dos à son fleuve, un fleuve pourtant si magnifique et que les Montréalais souhaitent se réapproprier.

 

Ainsi, l’idée est donc de démontrer aux plus septiques la potentialité du site : d’en révéler les possibles. En faisant fi des contraintes, l’ADUQ a donc lancé cette idée de faire le meilleur Village éphémère possible, et ce, avec très peu de moyens. C’est encore une fois cette année grâce au pouvoir créatif des designers du Québec, et particulièrement de Montréal, ville UNESCO de design que tout ceci devient possible.

 

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© Jean-Michael Seminaro

 

Aussi, par ce geste éphémère bon marché conçu par de jeunes citoyens optimistes et cela, pour tous leurs concitoyens, l’idée est de démontrer aux décideurs qu’ils ont tout intérêt à prendre des mesures à long terme pour assurer le renouvèlement du site et du front maritime du Saint-Laurent à la hauteur des aspirations de la population de Sainte-Marie et de tous les Montréalaises et Montréalais.

 

Enfin, pour terminer cette allocution, j’aimerais faire quelques remerciements. Vous l’aurez compris, bien qu’il s’agisse de l’initiative de l’ADUQ, de nombreux acteurs de la scène du design ont participé à construire collectivement ce projet qui prend forme.

 

Tout d’abord, merci du solide appui de la classe politique : Madame Hélène Laverdière, députée fédérale de Laurier-Sainte-Marie; Madame Manon Massé, députée provinciale de Sainte-Marie-Saint-Jacques; Madame Valérie Plante, conseillère de ville du district de Sainte-Marie; Monsieur Denis Coderre, Maire de Montréal et de l’arrondissement Ville-Marie. Un merci particulier au Conseil de l’arrondissement Ville-Marie qui nous a généreusement consenti une subvention de 10 000 $ via son Programme de soutien financier aux initiatives culturelles.

 

Merci également aux partenaires 2013-2014 de l’Association du design urbain du Québec qui, sans eux, la réalisation de ce Village n’aurait jamais pu être possible.

 

Merci aussi aux nombreux collaborateurs qui ont grandement contribué à la réalisation de ce projet collaboratif.

 

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© Jean-Michael Seminaro

 

Merci aux différents services de la Ville de Montréal et de l’arrondissement Ville-Marie, particulièrement à l’équipe de la Division de la Culture et des bibliothèques.

 

Merci aux Voies culturelles des faubourgs qui nous ont supportés depuis le début et qui seront impliquées dans la programmation ainsi qu’aux Amis du courant Sainte-Marie (jadis Comité du parc Bellerive).

 

Merci au Ministère des Transports du Québec qui nous ont permis de louer cet espace résiduel sous-investi pour lui donner une personnalité le temps d’un été.

 

Et surtout, merci à tous les membres de l’ADUQ ainsi qu’à toutes les équipes qui se sont investies de près ou de loin dans ce projet collectif.

 

Et finalement, un grand merci à l’OSBL La Pépinière & Co (créateurs d’espaces) qui assurera la magnifique programmation et la gestion du site pendant tout l’été.

Merci à tous et soyez nombreux à nous visiter cet été!

 

Martin Paré, vice-président ADUQ

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https://www.facebook.com/events/1143480305767562/?ref=22

 

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Les dimanches 3 et 10 août, le Village Éphémère se transformera en un grand marché d'art et d'artisanat.

 

Venez parcourir les étales de nos exposants dès 13h, profiter de la plage, de la cuisine de rue et du bar éphémère avec la musique de DJ MAUS et le guitariste JIMMY DI STEFANO qui animeront le soirée dans un cadredes plus uniques à Montréal !

 

Entrée gratuite!

 

:: MUSIQUE ::

 

JIMMY DI STEFANO (guitariste) : 16h30 -18h

 

DJ MAUS : 18h - 22h

www.djmaus.com

https://www.facebook.com/mausdj

https://soundcloud.com/djmaus

 

___

 

ARTISANS - des espaces sont toujours disponibles, pour réserver et recevoir plus d'information, contacter jerome@pepiniere.co

 

+++

 

APÉRO DESIGN - la communauté de LUNETTES & GLASSES s'invite au village : https://www.facebook.com/events/807704895928983/?ref=22

 

BIO DJ MAUS

DJ et productrice résidente au Stereo, Salon Daomé et Peopl, Maus a connu d’autres époques glorieuses de la vie nocturne locale et internationale au cours desquelles elle a trôné au SONA et à l’ARIA, pour ne nommer que ceux-là. Depuis 1999, elle a pris part à de nombreux festivals musicaux d’ici et d’ailleurs dont Igloofest, le Festival International de Jazz, Montréal en Lumière SONAR et BPM. Depuis 2005, Maus a signé ses productions house et deep tech sur les étiquettes Thoughtless Music, Techsound, Mile End et Vicitms. Elle a tournée l’Europe, l’Australie et le Mexique et a joué dans plusieurs villes de l’Amérique latine, la Chine et les É.-U.

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J'aime particulièrement la citation de Daniel Campo dans le texte:

 

 

''When people are able to alter a space to suit their needs and desires, a learning process is able to flourish based on the trial and error of ideas put forth into action, as well as the sense of adventure and self-discovery that happens when doing so. ''

 

 

Nous laissons carte blanche aux fonctionnaires dans la planification de nos espaces publics, et dans la définition de ses fonctions. Contraines de temps et budget dicte trop souvent des ‘one size fits all’ avec un mobilier fixe quand une espace public doit être multifonctionnel et évolutif. Pourquoi pas tenter différentes formules innovatrices (et éphémères) en observant comment les citoyens s'approprient, un peu comme on fait avec les enfants pour tester des nouveaux jouets?

 

 

Les terrains publics sous-utilisés autour du pont Jacques-Cartier en face du fleuve sont des terrains fertiles pour ce genre d’expérimentation. Ce lieu pourra devenir un peu comme Les Berges de la Seine à Paris, en mettant accent sur le design urbain. L'ADUQ, et les usagers qui ont fréquenté le Village Éphémère dans le dépôt à neige lors des différents événements, l’ont fait la preuve. Il me semble que nous n’avons que gratté le potentiel de la polyvalence du site, en profitant de cet emplacement enviable en face du fleuve.

 

 

http://www.globalsiteplans.com/environmental-design/urban-planning-and-design/the-village-ephemere-the-transformation-of-a-vacant-public-space-in-montreal/

 

Global Site Plans

 

August 01 2014

 

The Village Éphémère: The Transformation of a Vacant Public Space in Montreal

 

Facing the St. Lawrence River, just steps away from the Jacques Cartier Bridge, exists a vacant concrete lot called Pied-du-Courant. Used as a snow dump during the winter, it remains unused throughout the rest of the year. This summer the Urban Design Association of Quebec (ADUQ), along with other collaborators, worked together to recreate this space located in Montreal’s east end.

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In its second year of operation, the Village Éphémère aims to bring locals to lesser-known areas around the city in order for people to experience a different side of Montreal. Last year, the success of a one day event at the Peel Basin transformed this year’s project into a two month-long affair. Open Thursday through Sunday, from June until August with free admission, it allows citizens to enjoy food trucks, drinks, music, a sandy beach, city views and installations and interactive art work.

 

The original intention, as stated by one of the collaborators Pépinière, was to create a new Montreal underground scene, separate from the central city. In this case, psychological boundaries caused by the major bridge and the rail yards act as a barrier for citizens, deterring many from crossing over into this area. However, “re-creators” are encouraged to walk, bike, or take public transport to the lot, as there is no parking available to automobiles. This encourages people to assimilate to new surroundings and also diminishes the notion of inaccessibility to the area.

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The Village Éphémère itself is organized as a continuous, albeit small, promenade where multiple pavilions face a central multifunctional space, and beyond that, the river and a view of the LaRonde Amusement Park. Different installations from different Quebec designers reinforce the visitors’ experiences. Twenty projects were chosen to set up their installations on the site and were further aided by a crowd-funding campaign to do so. Each piece of work can be easily dismantled, and thus marks the transitory nature of the project. It allows people to see the potential of the vacant public space. Once the event is finished, people can then go back to make their own experiences, transforming the space to suit their own needs though doing so within the boundaries of the law. Residents of the Ste-Marie neighborhood, who also collaborated on the project, hope that it will bring further attention to the under-utilized Bellerive Park which lies adjacent to the lot.

 

As in Daniel Campo book The Accidental Playground, he shares the value of ad-hoc and incremental urban design. When people are able to alter a space to suit their needs and desires, a learning process is able to flourish based on the trial and error of ideas put forth into action, as well as the sense of adventure and self-discovery that happens when doing so. Thus the Pied-du-Courant lot in its seasonal vacant form can be reclaimed by users as a site for creation, experimentation, and leisure.

 

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The success of the two renewal projects led the collaborators to create another pop-up space this winter in a new location. Thus the third installation of the Village Éphémère will do double duty in bringing attention to another under-used space in the city, while also reinforcing the creative use of outdoor spaces during the colder months.

 

How are under-utilized public spaces treated in your city? Are pop-up events or shops occurring in your community?

Credits: Images by Caitlin Dixon. Data linked to sources.

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https://www.facebook.com/events/762129577183067/?ref=22

 

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Le mercredi 6 août, l’équipe ADUQ vous invite à une soirée de discussion et de réflexion sur l’identité du secteur du Pied-du-Courant. C’est avec la participation de Dinu Bumbaru d’Héritage Montréal (http://www.heritagemontreal.org/fr/) et grâce à l’expertise de Monsieur Jean Décarie, que nous explorerons l’histoire et la transformation du quartier accueillant le Village éphémère (https://www.facebook.com/VillageEphemere). Nous nous pencherons sur la relation entre le fleuve et la ville de Montréal, l’axe d’aménagement ferro-industrialo-portuaire et son rapport à la ville, de même que nous discuterons de l’avenir du secteur pour imaginer ensemble des interventions riches pour le devenir de ce quartier, autant que pour la métropole.

 

Déroulement :

 

_ 18 h : Accueil

 

_ 18 h 15 : Présentation par Martin Paré, vice-président de l’ADUQ qui assurera le rôle de médiateur de la soirée. Monsieur Paré est urbaniste et conseiller à la mise en valeur du territoire à la Ville de Vaudreuil-Dorion.

 

_ 18 h 30 : Conférences des invités :

 

- Dinu Bumbaru : Directeur des politiques à Héritage Montréal et l’un des fondateurs du programme de l’Université de Montréal en conservation de l’environnement bâti.

 

- Jean Décarie : Urbaniste retraité de la Ville de Montréal, concepteur du Réseau Vert et membre actif du Collectif pour des passages à niveau sécuritaires.

 

- Christian Thiffault : Architecte et designer urbain, il est aussi professeur invité à la maîtrise en design urbain de l’Université de Montréal. Depuis 2012, siège à titre d’expert-conseil sur le Comité Jacques-Viger.

 

_ 19 h 15 : Période de questions et de discussions

 

_ 20 h : Réseautage informel et cocktail

 

 

 

Nous vous attendons à 18 h, le 6 août, pour saisir cette occasion de vous enrichir du savoir de nos conférenciers et, par la suite, éclairés de ces nouvelles connaissances sur l’héritage de ce lieu, de contribuer à la discussion subséquente par vos questionnements et réflexions sur des enjeux d’actualités.

 

* Événement gratuit et ouvert à tous !

 

**Prenez note qu’en cas de météo défavorable l’événement pourrait être déplacé au 11 août.

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http://journalmetro.com/actualites/montreal/534684/le-passe-du-village-ephemere/

 

5 août 2014 | 20:44

 

Le passé du Village éphémère

 

Par Laurence Houde-Roy

Métro

 

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Village éphémère

 

Le secteur au Pied-du-Courant, à côté du pont Jacques-Cartier, a été pris d’assaut par le Village éphémère depuis le début de l’été. Des experts rappelleront à la population, mercredi soir, quel est l’impact de l’histoire du quartier sur son développement.

Bout de la ville

«C’est un endroit qu’on imagine au coeur de Montréal avec le métro et Radio-Canada, soutient Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal. Mais il y a 150 ans, c’était le bout de la ville. C’est pour ça qu’on y a installé la prison des patriotes, d’ailleurs, et une pompe à vapeur pour les égouts qui est sous le pont Jacques-Cartier.» Comme le pont n’existait toujours pas à cette époque, la vue y était plus dégagée, et un meilleur lien s’était créé entre le fleuve, le ciel et le sol.

Quartier déstructuré

«Aujourd’hui, c’est un secteur un peu déstructuré», regrette M. Bumbaru. Le bout de la ville étant devenue la continuité, il considère toutefois que son passé permet au quartier d’être fertile à l’expérimentation. «Plusieurs coops d’habitation sous le pont Jacques-Cartier ont gagné des prix d’architecture. Elles sont faites dans des conditions complexes, sur des sites étriqués», ajoute-t-il.

Perdu entre la prison éloignée, le pont fait en hauteur, le Village éphémère aurait ainsi permis de mieux définir l’espace, avec cette loge pour regarder le fleuve, se réjouit M. Bumbaru.

Discussion sur le Pied-du-Courant par l’Association du design urbain du Québec

Au Village éphémère, mercredi soir, 18h

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Dinu Bumbaru : Directeur des politiques à Héritage Montréal et l’un des fondateurs du programme de l’Université de Montréal en conservation de l’environnement bâti.

 

- Jean Décarie : Urbaniste retraité de la Ville de Montréal, concepteur du Réseau Vert et membre actif du Collectif pour des passages à niveau sécuritaires.

 

- Christian Thiffault : Architecte et designer urbain,

 

Dinu propose quelques idées pour dynamiser le Pied-Du-Courant, un secteur qui jouit d'une connexion exceptionnelle au fleuve et offre une vue sur plusieurs emblèmes montréalais. — at Village Éphémèr

 

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ADUQ association du design urbain du quebec

 

Merci à nos invités conférenciers, à Héritage Montréal pour leur collaboration et à tous ceux présents hier, ce fut une soirée enrichissante et des plus inspirante.

 

Suite à la période de discussion, ponctuée de témoignages de gens du secteur et des Amis du courant Sainte-Marie, l’ADUQ est fière de pouvoir affirmer que le #vfmr aura réussi à tourner les regards sur ce lieu et, nous l’espérons, servira de levier à des initiatives vers une transformation positive de ce quartier.

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