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Tu parle d'avoir du culôt! Voici d'autres exigences des syndicats! Ils ont perdu une bataille et ils ne sont pas content donc il faut changer les règles pour les accomoder!!!

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201103/09/01-4377705-loi-anti-scab-la-csn-promet-de-harceler-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1

 

Loi anti-scab: la CSN promet de harceler Québec

 

Le conflit de travail au Journal de Montréal étant maintenant chose du passé, la CSN estime que Québec n'a plus aucune excuse pour retarder la modernisation de la Loi anti-briseurs de grève.

 

À l'ouverture du conseil confédéral de la centrale, mercredi à Montréal, sa présidente, Claudette Carbonneau, a appelé la ministre du Travail, Lise Thériault, à aller de l'avant dans les plus brefs délais.

 

Mme Carbonneau a rappelé que la ministre Thériault disait ne pouvoir changer les règles du jeu durant la partie, soit durant le lock-out au Journal. La dirigeante syndicale estime que le gouvernement Charest s'est ainsi rangé hypocritement du côté du plus fort plutôt que d'agir pour protéger le plus faible.

 

Selon la CSN, la législation déficiente et désuète a mené à une série de décisions défavorables devant les tribunaux, créant une jurisprudence en cours de conflit qui a empêché une interprétation plus moderne du Code du travail.

 

 

Claudette Carbonneau a promis que la CSN harcèlerait sans relâche le gouvernement libéral dans ce dossier et l'a averti de ne pas utiliser la demande de révision du Code du travail formulée par le milieu patronal comme prétexte pour retarder une révision de la loi anti-briseurs de grève.

 

Pour bien imager ses propos, Mme Carbonneau a indiqué à la ministre qu'elle n'était pas obligée de pencher continuellement du côté patronal comme la tour de Pise et que, même si elle décidait de rénover la maison, elle devrait d'abord réparer un tuyeau qui fuit.

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Membres prolifiques

So much energy, so much! It sounds like a crazy idea especially considering we are being told to wipe our ass with both sides of the toilet paper, throwing people in jail for screwing in an Edison lightbulb but then dump a billion kWh a year to melt the snow off a 1 m^2 of sidewalk so that it melts and freezes to ice on the street :D

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C'est ton opinion et j'ai droit à la mienne. J'ai été syndiqué pendant 9 ans. J'ai vu de mes propres yeux ce que la "sécurité" d'être syndiqué fait aux employés. Ça les rends moins productifs, plus paresseux, j'ai même vu des employés "seniors" avertir les p'tits nouveaux de ne pas trop en faire!! Il faut le faire! J'ai été dégouté par cette expérience. J'ai même demandé de ne pas être syndiqué quand j'ai appliqué sur mon poste, et on m'a dit que je n'avais pas le droit..donc on me FORCAIT à me syndiquer, même si je ne voulais pas. JE crache sur les syndicats d'aujourd'hui. J'aimerais leur vomir dessus! Ils me dégoutent. Dans les syndicats on ne récompense pas les bons employés, on récompense les employés qui ont le plus d'acienneté. C'est écoeurant!

 

Oui, il n'y a pas de doutes, les syndicats étaient nécessaires dans les années 40, 50 et 60, car il y avait de l'abus de la part des proprios, mais c'est une toute autre affaire aujourd'hui!

 

De se baser simplement sur ton expérience personnelle à une place pour cracher sur les syndicats est assez simpliste. Ta situation personnelle n'est pas le reflet d'une société entière. Il y a encore de l'abus de certains proprios.

 

La généralisation ne mène à rien de bon, de s'exercer à nuancer sa pensée un peu n'est pas mauvais. Il faut voir plus loin que le bout de son nez.

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De se baser simplement sur ton expérience personnelle à une place pour cracher sur les syndicats est assez simpliste. Ta situation personnelle n'est pas le reflet d'une société entière. Il y a encore de l'abus de certains proprios.

 

La généralisation ne mène à rien de bon, de s'exercer à nuancer sa pensée un peu n'est pas mauvais. Il faut voir plus loin que le bout de son nez.

 

Inquiètes toi pas, je ne me fis pas uniquement sur mon experience! Je lis les journaux, le regarde les nouvelles! Il y a plusieurs aspects des Syndicats que je n'aime pas!

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Inquiètes toi pas, je ne me fis pas uniquement sur mon experience! Je lis les journaux, le regarde les nouvelles! Il y a plusieurs aspects des Syndicats que je n'aime pas!

 

Moi aussi, mais il y a des histoires positives également. Malheureusement, l'abus de pouvoir existe des deux côtés. ;)

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Moi aussi, mais il y a des histoires positives également. Malheureusement, l'abus de pouvoir existe des deux côtés. ;)

 

C'est en effet la réalité la plus incontournable, tu vise dans le mille. Raison de plus de ne pas favoriser tout l'un ou tout l'autre et d'être plus posé. J'accorderai ceci à Habsfan, il a une expérience d'un milieu particulier qui est intensément pogne-cul, celui des cols bleus. Et je partage pleinement son écoeurement de ce genre de mentalité. Mais les syndicats sont aussi présents dans d'autres corps de métiers, et n'ont pas tous cette attitude "fais-en moins". Les procureurs de la couronne qui ont fait la grève récemment sont-ils de ce genre? Je ne crois pas. Les profs d'Université, en général, ont-ils cette attitude? Je peux vous jurer que les recherchistes et réalisateurs à Radio-Canada en font plus que pas assez, même s'ils sont syndiqués. Je suis absolument convaincu que le milieu professionnel y est pour quelque chose, au moins autant sinon plus, dans l'attitude des travailleurs.

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C'est en effet la réalité la plus incontournable, tu vise dans le mille. Raison de plus de ne pas favoriser tout l'un ou tout l'autre et d'être plus posé. J'accorderai ceci à Habsfan, il a une expérience d'un milieu particulier qui est intensément pogne-cul, celui des cols bleus. Et je partage pleinement son écoeurement de ce genre de mentalité. Mais les syndicats sont aussi présents dans d'autres corps de métiers, et n'ont pas tous cette attitude "fais-en moins". Les procureurs de la couronne qui ont fait la grève récemment sont-ils de ce genre? Je ne crois pas. Les profs d'Université, en général, ont-ils cette attitude? Je peux vous jurer que les recherchistes et réalisateurs à Radio-Canada en font plus que pas assez, même s'ils sont syndiqués. Je suis absolument convaincu que le milieu professionnel y est pour quelque chose, au moins autant sinon plus, dans l'attitude des travailleurs.

 

:highfive: Merci pour ton intervention convaincante. Dommage que les gens s'arrêtent à des perceptions et des généralisations en mettant tout le monde dans le même bateau. Tout le monde connait les abus de certains syndicats qui ont une tradition de conflits réguliers, mais ils sont l'exception. Dans l'extrême majorité il se fait un excellent travail et même dans plusieurs compagnies on peut même parler de co-gestion réussie avec l'employeur.

 

Mais bien sûr on entend davantage parler des conflits que des situations qui fonctionnent, d'où cette propension à généraliser. La bonne entente ne fait jamais les manchettes. Cependant les mauvaises nouvelles font partie de l'actualité comme si elles étaient plus intéressantes que ce qui marche vraiment dans notre société. Pas étonnant que les gens soient si négatifs aujourd'hui, ils carburent à ce fiel quotidien.

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  • 4 semaines plus tard...

Paris sewers to heat schools and president's palace

 

 

PARIS — The Paris sewers -- whose murky labyrinths have been reviled and romanticized through history -- are at the center of a renewable energy experiment to harness heat for buildings, including the presidential palace.

 

 

Paris wants green sources to fuel 30 per cent of its energy needs by 2020 and a new heating project at a primary school is the city's first using power from sewers, where temperatures average between 12 and 20 degrees Celsius (53 to 68 Fahrenheit).

 

 

The technology takes advantage of the warm waste water flowing into the sewers from showers, dishwashers and washing machines. A steel plate containing heat-conveying fluid is submerged in the waste and feeds a heat exchanger pump -- in this case located in the school's cellar -- which circulates heat through an existing network of radiators.

 

 

Engineers say the process is safe, non-polluting and -- more importantly, does not smell.

 

 

"It's very modern, intelligent from the point of view of sustainable energy and it's really a hallmark of the dynamism of Paris," said Paris Mayor Bertrand Delanoe, outside Wattignies school on the city's southeastern side.

 

 

Paris is not the first place to turn to sewage as a source of energy -- the technology has been used elsewhere in France, as well as in Norway, Japan and Canada, where it helped heat the 2010 Olympic Village -- but it is one of the most high profile.

 

 

Indeed another future beneficiary of sewer-generated heat in Paris will be none other than President Nicolas Sarkozy, whose Elysee Palace plans to use its own sewer heat system from mid-2011, a spokeswoman there told Reuters.

 

 

Home in the 19th century to rats, pickpockets, intrepid tour groups and the odd corpse, the Paris sewers were described by Victor Hugo as "the conscience" of the teeming city and were immortalized in his epic novel Les Miserables, as well as in Gaston Leroux's "The Phantom of the Opera" a few years later.

 

 

Today, the sewers pump 285 million cubic meters (10 billion cubic feet) of waste water per year through a vast maze some 2,400 km (1,491 miles) in length, and tourists still descend into the city's bowels to view the system first hand.

 

 

The heating technology is not universally applicable, however, as the harnessed heat can only be used within 200 meters (656 feet) of its source -- making it impractical for city districts lying far away from the sewage network.

 

 

That means that only 10 per cent of Paris could be heated through sewer energy, said Denis Penouel, the city's head of water and sanitation.

 

 

Another challenge for developers is the big initial cost of setting up the infrastructure. "It's a project that consumes a lot of capital," said Thierry Franck de Preaumont, president of CPCU, the local heating utility involved in the project.

 

 

The Wattignies school project, which cost 400,000 euros ($568,360), will take care of 70 per cent of its heating needs.

 

 

Next up are a handful of similar projects at a municipal swimming pool and a local town hall.

 

© Copyright © Reuters

 

 

Read more: http://www.montrealgazette.com/life/Paris+sewers+heat+schools+palace/4560698/story.html#ixzz1Iel604Mf

 

 

 

Read more: http://www.montrealgazette.com/life/Paris+sewers+heat+schools+palace/4560698/story.html#ixzz1IekxpGAR

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