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On peut dire ce que l'on veut sur le DIX30, être pour ou être contre, mais çà reste que c'est de loin le plus intéressant des lifestyle centre au Québec. Que ce soit par le choix ou par la conception.

 

En passant, si on regarde un gros plan du Ogilvy, ca semble être en grande partie un stationnement intérieur..

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All it is missing is like Holt Renfrew and an Apple store. Plus I wonder if Target will setup shop over there.

 

Off topic

Two of Canada’s top shopping centre developers are squaring off over plans to bring U.S.-style premium outlet malls to Canada.

 

The showdown is coming to one of Canada’s fastest growing communities – Halton Hills, west of Toronto – where both RioCan Real Estate Investment Trust and rival Calloway Real Estate Investment Trust are preparing to introduce their first factory outlet centres.

 

The outlet malls feature high-end U.S. retailers, many of them not yet in Canada. Department store retailer Saks Fifth Avenue is among the U.S. players considering launching its first off-price outlet stores in the new centres.

 

Mitchell Goldhar, majority shareholder of Calloway and sole owner of SmartCentres, is in talks to team with a major U.S. factory outlet player to help hasten the invasion of the outlet centres in this country. Earlier this year, RioCan announced it had signed a deal with Tanger Outlet Centers Inc. of Greensboro, N.C., to bring the malls to Canada.

 

The race to build factory outlet centres underscores the growing appetite among U.S. retailers and developers to operate in the Canadian market. At stake for Canadian developers is getting a piece of a potentially lucrative business as growth in traditional malls and open-air, big-box power centres reaches a saturation point.

 

The first two sites for the factory outlet malls are strategically located along Highway 401, just one interchange apart, to attract people from locations as far as an hour away, said Tony Grossi, senior managing director of RioCan’s joint venture.

 

“We are trying to draw in a much more expansive area,” Mr. Grossi said.

 

The arrival of the U.S.-style retailing to Canada will be yet another squeeze on domestic retailers. U.S. players are being lured by Canadian consumers, who are showing a stronger willingness to open their wallets than their American counterparts. In January, U.S. discount giant Target Corp. unveiled a $1.8-billion agreement to buy most Zellers stores and convert them to Target’s banner by 2013.

 

Other U.S. merchants are set to open their first stores in Canada this year, such as action sports specialist Zumiez and fashion chain Express Inc.; while existing players, among them Wal-Mart, are expanding their Canadian footprint.

 

Tanger, a pioneer in taking upscale retailers and manufacturers to outlet malls, has ties to a wide range of merchants, including Saks and its Saks Off 5th discount division. Tanger’s U.S. tenants include the off-price arms of such high-end players as Nieman Marcus, Barneys, Polo Ralph Lauren, Coach, Lacoste and Michael Kors.

 

Mr. Goldhar said he envisions 10 to 15 factory outlet malls in Canada over the next several years. Callaway and RioCan each expect their first centre to open by 2013.

 

The Calloway property is zoned for factory outlet stores, but the RioCan team has to iron out details of getting final zoning approvals for the outlet mall at its Halton Hills site. RioCan is “working through it” in meetings with the municipality, said Rags Davloor, senior vice-president at RioCan. “There are no issues, as we see it.”

 

The rapid rise of factory outlet malls comes as development of other shopping centre formats has virtually come to a halt amid a weak economy and over-development of traditional and power centres. In the U.S. retail segment, “everybody is interested in Canada,” Mr. Grossi said. “Nobody says ‘no’ to Canada. Everybody is putting in the effort, at least, doing a preliminary review.”

 

(Courtesy of CTV News)

 

I guess we will have more premium outlets within the next decade. Seeing Ogilvy for sure a premium. I just wonder what they will be selling at DIX30, is there that many people that like what they carry?

Modifié par jesseps
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:( Je reste sur ma "faim" et ne vois rien qui se démarque vraiment au niveau architectural. De plus on parle ici d'espace entièrement privé ouvert au public. On est donc dans une autre dynamique sociale qui m'apparait artificielle, avec un seul grand propriétaire qui gère absolument tous les aspects de l'activité économique et qui a plein contrôle de l'espace urbain immédiat. Une formule qui ressemble à une sorte de monopole et qui risque de nuire à la vitalité d'autres secteurs dans le voisinage.

 

C'est l'anti-thèse du développement naturel des centres-ville et des rues commerciales, où les espaces publics appartiennent à la communauté et les espaces privés partagés par un ensemble de propriétaires, qui proposent des services en constante évolution et selon les besoins de la clientèle de proximité, tout comme régionale.

 

Aussi séduisante que puisse paraitre la formule Dix30, tout est beau quand tout est neuf, mais comment vieilliront ces espaces démesurés avec le temps? Parce qu'ici on ne parle plus d'un centre commercial quelconque mais bien d'une quartier entier qui risque de faire le vide commercial autour de lui, et qui pourrait même péricliter avec le désintéressement de son unique propriétaire. Les villes reprendront-elles les espaces normalement publics à grands frais? Tireront-elles leur juste part en impôts fonciers et ne risquent-elles pas de couteux contentieux avec ces puissantes compagnies à la fibre sociale très limitée?

 

Je me console en me disant que cette "expérience urbaine" se vive loin du centre de Montréal et ne nuira pas à son atmosphère citadine beaucoup plus proche de la population. On entre dans l'artifice quand tous les détails sont planifiés d'avance et où on pourrait techniquement refuser l'accès à quiconque ne correspond pas au profil de client recherché.

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:( Je reste sur ma "faim" et ne vois rien qui se démarque vraiment au niveau architectural. De plus on parle ici d'espace entièrement privé ouvert au public. On est donc dans une autre dynamique sociale qui m'apparait artificielle, avec un seul grand propriétaire qui gère absolument tous les aspects de l'activité économique et qui a plein contrôle de l'espace urbain immédiat. Une formule qui ressemble à une sorte de monopole et qui risque de nuire à la vitalité d'autres secteurs dans le voisinage.

 

Selon le meme principe du developement monopolistique et de croissance naturelle, tu dois aussi logiquement t'opposer a des developpements comme le quartier des spectacles, le quartier internationale, etc... ?

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Selon le meme principe du developement monopolistique et de croissance naturelle, tu dois aussi logiquement t'opposer a des developpements comme le quartier des spectacles, le quartier internationale, etc... ?

 

Aucun rapport de comparaison parce que justement les quartiers dont tu parles sont des entités immobilières dont les parties publiques appartiennent au public, et le reste est un conglomérat de propriétaires qui ont des objectifs communs dans une thématique particulière sans toutefois être exclusive. Bien au contraire, il est justement intéressant d'attirer des promoteurs qui se rassemblent dans un secteur donné en lui donnant une vocation bien définie. Cela a l'avantage de créer une masse critique en favorisant une activité et un échange entre différents partenaires d'un même milieu. Cependant ces mêmes quartiers soutiennent d'autres activités complémentaires puisqu'on ne cherche pas à en faire des ghettos mais des environnements ouverts avec une économie vraiment diversifiées.

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Aucun rapport de comparaison parce que justement les quartiers dont tu parles sont des entités immobilières dont les parties publiques appartiennent au public, et le reste est un conglomérat de propriétaires qui ont des objectifs communs dans une thématique particulière sans toutefois être exclusive. Bien au contraire, il est justement intéressant d'attirer des promoteurs qui se rassemblent dans un secteur donné en lui donnant une vocation bien définie. Cela a l'avantage de créer une masse critique en favorisant une activité et un échange entre différents partenaires d'un même milieu. Cependant ces mêmes quartiers soutiennent d'autres activités complémentaires puisqu'on ne cherche pas à en faire des ghettos mais des environnements ouverts avec une économie vraiment diversifiées.

 

La thematique du quartier des spectacles n'a rien avoir avec des promoteurs qui se regroupent avec une vision commune, ou vas-tu chercher ca? C'est une construction intelectuelle completement gouvernementale le quartier des spectacles. Mon point, c'est que c'est l'antithese du developement organique; c'est du planning dirigiste.

 

A savoir si c'est bien ou pas, ca se debat mais ca reste tout sauf du developement organique. Jane Jacobs te dirait que le developement organique de l'art, c'est lorsque les artistes emmenagent leur studios dans des anciens buildings industriels desaffectes a loyer modique et change leur vocation.

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Du développement organique à l'extrême pour voir ça à l'oeuvre en Amérique du nord, il faut aller du côté de la grande région de New York et New Jersey. J'y reviens pour la xième fois, et putain que c'est le bordel du n'importe quoi n'importe ou, pêle-mêle, fourre-tout, j-ai-mon-terrain-je-construits-ce-que-veux.

 

C'est spécial, plusieurs d'entre vous n'aimeront pas, mais au moins le New Jersey demeure l'État américain avec le plus haut PNB/h et New York le centre de l'univers.

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La thematique du quartier des spectacles n'a rien avoir avec des promoteurs qui se regroupent avec une vision commune, ou vas-tu chercher ca? C'est une construction intelectuelle completement gouvernementale le quartier des spectacles. Mon point, c'est que c'est l'antithese du developement organique; c'est du planning dirigiste.

 

A savoir si c'est bien ou pas, ca se debat mais ca reste tout sauf du developement organique. Jane Jacobs te dirait que le developement organique de l'art, c'est lorsque les artistes emmenagent leur studios dans des anciens buildings industriels desaffectes a loyer modique et change leur vocation.

 

Effectivement les quartiers dits spécialisés sont des créations municipales et visent une concentration d'activités sous un même thème. On tente d'attirer des acteurs du milieu pour qu'ils s'établissent préférablement dans le secteur plutôt qu'ailleurs et cela dans le but de renforcer la synergie potentielle qui peut en découler.

 

L'objectif d'attirer l'ONF en est un bon exemple. Des troupes de danses, salles de spectacles et autres acteurs du milieu des arts font partie des organismes que l'on tente aussi de concentrer à l'intérieur du périmètre du Quartier des Spectacles notamment.

 

On est loin ici bien sûr du développement organique qui m'apparait comme un mouvement libre de contrainte et beaucoup plus naturel, comme le présente Malek, qui cependant n'apporte pas nécessairement la même réponse au niveau urbanistique. Il y a des exemples de ce type de concentration dans certains immeubles industriels anciens sur Ste-Catherine, St-Laurent et autres, mais pas vraiment de concentration importante digne de mention.

 

Mais ce n'était pas mon propos quand je critiquais le Quartier DIX30 qui est nettement à l'autre extrême du spectre. Je faisais ressortir le simple fait qu'une seule entité propriétaire planifiait et gérait tout le périmètre à développer, en devenant une sorte de pouvoir monopolistique qui risque à moyen terme de concurrencer sérieusement tout le développement commercial des alentours. Un peu comme l'a fait le West Edmonton Mall pour le centre-ville d'Edmonton, mais pour l'instant, ici à plus petite échelle.

 

Je ne suis bien sûr pas contre le développement et il normal que d'autres pôles commerciaux se développent à la périphérie, mais il faut être prudent et protéger l'âme des villes qui se manifeste beaucoup par les rues commerciales existantes où justement le développement est plus organique et plus près des besoins de la population environnante.

Modifié par acpnc
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Un peu comme l'a fait le West Edmonton Mall pour le centre-ville d'Edmonton, mais pour l'instant, ici à plus petite échelle.

 

There is an interesting point to make in regards to Edmonton... when WEM was built, it was way out in the farmer's fields, etc much like Dix30 is today. But now, WEM, which is just on the other side of 170 St is in the "inner ring road" of Edmonton, and there is continuous urban development all around it for miles (well only about 2 miles on the west, but several north and south and of course to the east)... soon we will look Dix30 like it's Cote-Vertu in Ville Saint-Laurent :rotfl:

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