Rue Sainte-Catherine - Commerces et réaménagements
-
Les dernières mise à jour
-
358
Règlement 3 X VAIN
C'est très insidieux comme allusion car ça pourrait laisser croire que le règlement pour une métropole mixte soit la raison pour laquelle Montréal fait figure de cancre canadien par excellence en matière de nouveaux logements depuis 3 années consécutives. Il y a une autre raison qu'on ne retrouve qu'à Montréal et dont personne ne parle : la méchanceté des promoteurs qui refusent de participer à ce projet où tout le monde devrait contribuer très fort et les tâches départagées moitié-moitié : d'un côté la Ville met en place un règlement logique, réaliste et inclusif pour un monde meilleur peuplé de licornes, de l'autre les promoteurs offrent gratuitement à la Ville 60% de logements abordables dans chacun de leurs projets.- abordable
- habitation
-
(et 4 en plus)
Étiqueté avec :
-
3 875
ville mont-royal Royalmount
Offices, hotels, condos, etc... lots of phases planned. Just need costs to go down and a YIMBY admin to get this ball rolling. -
81
le-sud-ouest Poste Viger 2/Parc des Irlandais
Mardi matin le 26 mars 2024.- goose village
- parc
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
856
Économie de Montréal
Depends what industries you follow, companies like Transforce has been eating up US companies for years. -
358
Règlement 3 X VAIN
Même sujet mais plus détaillé dans le Devoir aujourd'hui: Des niveaux records de nouveaux appartements au Canada, mais pas à Montréal Selon la SCHL, la hausse des coûts, l’ampleur des projets et la pénurie de main-d’oeuvre allongent les délais de construction. La construction de nouvelles habitations dans les six plus grandes villes du Canada est restée pratiquement inchangée en 2023 par rapport à l’année précédente. On a observé une vague record de nouveaux appartements dans plusieurs régions, mais pas à Montréal, qui a connu son niveau le plus bas en huit ans, selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Les mises en chantier combinées dans les régions métropolitaines de Toronto, Vancouver, Montréal, Calgary, Edmonton et Ottawa ont diminué de 0,5 % par rapport à 2022, totalisant 137 915 habitations, rapporte l’agence fédérale dans son rapport semestriel. Cela correspond à la moyenne annuelle d’environ 140 000 nouvelles unités au cours des trois dernières années. Aled ab Iorwerth, économiste en chef adjoint à la SCHL, a affirmé que les chiffres pour 2023 étaient « meilleurs que nous le pensions ». « Nous avons été positivement surpris en 2023. Nous étions vraiment très inquiets de l’impact réel de la hausse des taux d’intérêt, a dit M. ab Iorwerth. Ils ont eu un impact, mais il semble que ce soit sur les petites structures, les maisons individuelles, par exemple. » Les mises en chantier d’appartements ont augmenté de 7 % pour atteindre un record de 98 774 logements, compensant ainsi la baisse de la construction de maisons individuelles. Toutefois, le nombre de nouvelles maisons individuelles a chuté de 20 % sur un an, en raison d’une faible demande pour des maisons chères dans un contexte de taux hypothécaires élevés. Vers une diminution en 2024 La SCHL continue de plaider la nécessité d’accélérer la construction de logements pour remédier aux écarts d’accessibilité financière et à la croissance démographique importante au Canada. En 2024, les mises en chantier devraient diminuer, malgré les prévisions de la SCHL selon lesquelles le Canada aura besoin de 3,5 millions d’unités supplémentaires d’ici 2030, en plus de ce qui est actuellement prévu, pour ramener l’abordabilité aux niveaux observés vers 2004. Selon l’agence fédérale, la hausse des coûts, l’ampleur des projets et la pénurie de main-d’oeuvre ont entraîné un allongement des délais de construction, ce qui a incité divers ordres de gouvernement au Canada à créer des programmes visant à stimuler l’offre de nouveaux logements locatifs. 7% Il s’agit du taux d’augmentation des mises en chantier d’appartements en 2023. Cette hausse a permis d’atteindre un record de 98 774 nouveaux logements. « Nous ne construisons pas encore suffisamment, notamment du côté du locatif. La demande est énorme. Je ne pense pas que nous parvenions à la suivre. Nous avons donc besoin de beaucoup plus d’investissements », a soutenu M. ab Iorwerth. Même si les taux d’intérêt élevés ont freiné la demande d’achat de maisons, puisque de nombreux acheteurs sont restés sur la touche l’année dernière, l’impact ne s’est pas seulement reflété dans la baisse des mises en chantier de maisons individuelles. M. ab Iorwerth précise que des taux plus élevés rendent également moins attrayante la construction de nouvelles structures locatives. « L’un des problèmes liés à la construction d’une structure locative est que le coût du bâtiment doit être emprunté. Évidemment, les revenus locatifs sont à venir, mais le coût de la construction est aujourd’hui », a-t-il fait valoir. « Le coût de la construction doit être emprunté auprès de diverses institutions financières et, à mesure que les taux d’intérêt ont augmenté, il est devenu plus difficile et plus coûteux d’accéder à ce financement pour construire des logements locatifs. » Montréal à contre-courant Parmi les six villes examinées, Vancouver, Calgary et Toronto ont connu une croissance du nombre total de mises en chantier, stimulée par la construction de nouveaux appartements (en location ou en copropriété), qui atteint des sommets records. Cependant, Montréal, Ottawa et Edmonton ont enregistré des baisses par rapport à l’année précédente. Le rapport de la SCHL indique que Montréal est le seul marché qui a connu une diminution notable du nombre de mises en chantier pour tous les types d’habitations. La métropole québécoise a affiché une diminution globale de près de 37 %, soit de 15 235 habitations, son plus faible niveau de construction depuis 2001. Le secteur des appartements a connu à lui seul un recul de 34,9 %. Les chiffres de Montréal reflètent en partie les pénuries de main-d’oeuvre et les problèmes de chaîne d’approvisionnement, a exposé M. ab Iorwerth. Selon lui, la métropole québécoise est plus vulnérable aux taux d’intérêt élevés que les autres villes étudiées. « En général, les structures sont un peu plus petites [à Montréal]. Il y a plus d’immeubles de trois ou quatre étages. La taille est plus petite, et donc ils réagissent plus rapidement à l’augmentation des taux d’intérêt », a-t-il expliqué. Ottawa a vu 9245 nouvelles habitations construites l’année dernière, ce qui représente une baisse de 19,5 % par rapport à 2022, tandis qu’il y a eu 13 184 mises en chantier à Edmonton, une baisse de 9,6 %. Vancouver a enregistré un nombre record de 33 244 mises en chantier en 2023, soit un bond d’environ 28 % par rapport à l’année précédente, suivie par Calgary, avec 19 579 mises en chantier, une augmentation de 13,1 %. À Toronto, il y a eu 47 428 mises en chantier, ce qui représente une hausse de 5,1 %. Par contre, M. Ab Iorwerth a noté que ces niveaux étaient « préoccupants », puisque la proportion d’appartements locatifs mis en chantier n’était que de 26 %, soit la plus faible de toutes les régions. À l’inverse, à Montréal, près de 65 % de toutes les unités mises en chantier dans la région métropolitaine en 2023 sont des appartements locatifs, note la SCHL. http://url4076.ledevoir.com/ls/click?upn=u001.u5fP6CjschWVz-2B-2BJCjMy2d0DbLyoi6nGyDdbkcYjJF4xw90C4tUdg2-2FGsDRqYuqZRVmrO9Wg41JiWZL8p3s4WoHK8Bu3YkQDeBpXq3ujN3YDo6S6kbH7Nrp5OxQu-2BUPsw56dYT9w2nPvpobgmZUEg5u5cOjbnHPhYwKjKOrFviE-3Dep5I_Xtt4-2FBpONRcUua7JLxmdyMhJQ-2B85d-2FEXCpPPJUB024nFLwWKwQINSSkzemQc78gghIehajges5DDw16R-2BgIgrFrCk1v07rsCB3yOZUAgPcpwimuLvUYxGg7BkHY0p7-2B-2BgnbW6uRwFGxtnDcYcIdEXxS07m6Wso8erp9YvJAENNMCB-2BKrWiy3jRq4xe2Aia6qsKQDv6A1XerxGqs3jbOzdg-3D-3D- 1
- abordable
- habitation
-
(et 4 en plus)
Étiqueté avec :
-
Messages recommendés
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.