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Chaque jour, Montréal vibre d'un nombre incalculable de mots, en français et en anglais. Des mots qui façonnent le visage de la ville, comme en témoigne le déplacement de la frontière linguistique entre francophones et anglophones, historiquement située sur le boulevard Saint-Laurent.

 

Chez les commerçants, Molière et Shakespeare tentent de gagner la faveur des consommateurs.

 

Sur les bancs d'école, la commission scolaire anglophone offre des cours d'immersion en français pour retenir ses élèves, tandis qu'au cégep, de jeunes francophones optent pour l'anglais. Et ce, alors que nombre d'enfants de la loi 101 jonglent avec les deux langues, voire avec d'autres.

 

 

Pour prendre le pouls de ces évolutions, Radio-Canada vous propose une série spéciale sur l'évolution de la langue française dans la métropole. Vous trouverez ici les reportages de nos journalistes au fil de leur diffusion dans la semaine du 18 octobre à Désautels et au Téléjournal 18 h.

 

Et vous?

 

Nous aimerions aussi connaître votre point de vue. Avez-vous constaté des changements dans votre quotidien ou dans votre quartier? Nous attendons vos commentaires et vos témoignages, en mots ou en images. Vous pouvez nous écrire dans la section des commentaires ci-dessous ou à temoin@radio-canada.ca.

 

Si vous le souhaitez, vous pouvez nous indiquer de quel lieu vous parlez, afin de nous permettre de créer une carte interactive avec tous vos témoignages.

 

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/10/18/004-ville-francophone.shtml

 

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Une série de reportages sera présentée cette semaine. Ça risque d'être intéressant. Personnellement, je m'inquiète de l'évolution du français dans la métropole; il la caractérise et est l'empreinte de notre histoire.

Modifié par yveslachance
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Non, Montreal peut etre une ville international et avoir un caractère prédominant français. C'est la première façon de se distinguer des autres villes nord américaines.

 

Il est grandement temps de mettre sur pied un système d'éducation ou les élèves, anglophones comme francophones, puissent terminer leur études tout en étant parfaitement bilingue et en ayant pleinement connaissance de la fragilité de la langue française en amérique du nord.

 

Paris est international et française tout comme Tokyo est international et Japonaise etc.....

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steve_36 : ville est un mot féminin. Conséquemment, tu aurais dû écrire "internationale". "nord-américaines" (ça prend un trait d'union).

Il est grandement temps de mettre sur pied un système d'éducation ou les élèves
le "où" prend un accent grave. "bilingue" s'accorde avec "les élèves" donc prend un s à la fin. Paris est internationale tout comme Tokyo. Tokyo est japonaise et non pas Japonaise (c'est un adjectif) et Tokyo n'est pas une personne. Amérique du Nord.

 

ayant pleinement connaissance de la fragilité de la langue française en amérique du nord.

Nous le constatons dans ton commentaire. Je m'inquiète.

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steve_36 : ville est un mot féminin. Conséquemment, tu aurais dû écrire "internationale". "nord-américaines" (ça prend un trait d'union).

le "où" prend un accent grave. "bilingue" s'accorde avec "les élèves" donc prend un s à la fin. Paris est internationale tout comme Tokyo. Tokyo est japonaise et non pas Japonaise (c'est un adjectif) et Tokyo n'est pas une personne. Amérique du Nord.

 

Et bien, je crois que ce n'est pas si mal.......... surtout après avoir bu 8 bières et n'ayant terminé que mon secondaire 3 !!!!

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Un autre fil sur l'anglais vs le francais.

 

YESSSSSS!! Enfin! C'est ce qu'il manquait sur mtlurb!

 

Oups désolé je savais pas qu'il y avait eu plein de sujets là-dessus. Mais disons que c tait plus pour transmettre l'info p/r aux reportages qui seront à Radio-Canada cette semaine sur le sujet!

J'ai écouté celui d'hier soir et j'ai trouvé ca excellent, et disons que j'ai aimé le fait que de plus en plus d'anglos ne dénigrent plus le francais, mais voient son apprentissage comme un véritable atout pour la vie à Monréal!

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j'ai aimé le fait que de plus en plus d'anglos ne dénigrent plus le francais, mais voient son apprentissage comme un véritable atout pour la vie à Monréal!

 

S'est vrai, il y a de plu en plu de jeune anglofones qui se sente de plu en plu comphortable avec le fransais a Monréal.

 

Yara, pourrais-tu me corriger!! ;);)

Plus que les années avancent, plus qu'il y a de gens bilingues dans notre ville!

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Pas moins de 17% des francophones de 25 à 44 ans ont quitté Montréal pour ses banlieues entre 2001 et 2006, calcule Statistique Canada dans une étude sur les migrations entre les métropoles et les périphéries.

 

L'exode des francophones de cet âge était nettement plus massif que celui des anglophones ou les allophones qui, dans ces deux catégories, ont pris cette même décision dans une proportion de 11% pendant la même période, ont constaté Martin Turcotte et Mireille Vézina, auteurs de l'étude.

 

Lorsqu'ils quittent la ville de Montréal, les francophones sont plus portés à se diriger vers les municipalités situées à l'extérieur de l'île, comme Longueuil, Terrebonne ou Repentigny. «Alors que seulement 3% des personnes de langue maternelle française (et ayant quitté la ville de Montréal) avaient choisi une municipalité située sur l'île de Montréal, c'était le cas de 26% des anglophones et de 11% des allophones.»

 

Dans la région de Montréal, c'est Laval qui est la plus populaire auprès des immigrants ayant choisi de partir en banlieue.

 

 

Statistique Canada s'est penché sur les migrations autour de Montréal, mais aussi sur celles des régions de Toronto et de Vancouver. Plusieurs réalités se recoupent. Ainsi, dans les trois cas, c'est chez les 25 à 44 ans que l'on est le plus susceptible de partir vers la banlieue, et ce, dans une même proportion pour les trois métropoles (14%).

 

Cependant, quand ils deviennent parents, ce sont les Montréalais qui décident le plus massivement de partir vers le 450. Ainsi, à Vancouver, entre 27% et 29% des personnes devenues parents entre 2001 et 2006 avaient choisi de partir s'établir en banlieue. À Montréal, pas moins de 34% des nouveaux parents avaient fait ce même choix.

 

Dans les trois cas, les familles monoparentales avaient moins tendance que la moyenne des autres familles à opter pour la périphérie, et ce, même à revenus égaux, peut-être parce qu'elles ont «moins de temps à consacrer à faire la navette, l'entretien de la maison et ainsi de suite», avancent les auteurs.

 

Aussi bien à Montréal qu'à Vancouver ou à Toronto, c'est dans la catégorie des revenus de 70 000$ à 99 999$ après impôts que les gens avaient le plus tendance à déménager vers la banlieue. Les titulaires d'un diplôme, qu'il soit du collégial, d'une école de métier ou universitaires préfèrent généralement la banlieue. Autre caractéristique commune: aussi bien à Montréal, Vancouver que Toronto, les artistes et les professeurs semblent tous préférer habiter la grande ville. Dans ces trois coins de pays, moins de 7% des professeurs d'université avaient déménagé en banlieue entre 2001 et 2006.

 

http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201010/21/01-4334567-un-exode-francophone-vers-la-banlieue.php

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