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Membres prolifiques

  • 6 mois plus tard...
  • 8 mois plus tard...
  • 2 mois plus tard...

C'est un projet très discret, autant par son marketing que par sa location géographique et son accessibilité. Ceci étant dit, ça sera surement quelque chose d'assez particulier pour ceux qui auront les moyens d'y habiter.

 

IMG_2753.jpg

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  • 1 mois plus tard...

Couple things:

 

1) Nice big crane on site this morning. Probably working on the roof.

 

2) This building is now visible anywhere on Atwater between Tupper and Sherbrooke, due to the leaves falling. Never noticed this before.

 

3) Project should go under "Construction"!!! Took me a while to find this thread.

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  • 2 mois plus tard...
  • 1 année plus tard...

Haven't posted here in a while. Journal de Montreal digs up some dirt.

 

http://www.journaldemontreal.com/2014/12/13/grand-luxe-a-flanc-de-montagne

 

Les ventes de condos de luxe ne s’essoufflent pas dans les environs du centre-ville de Montréal. Pour preuve: les promoteurs du M sur la Montagne achèvent la conversion de l’ancien Collège Marianopolis, et les acheteurs fortunés prennent possession de leurs unités sur le flanc du mont Royal.

 

C’est un sprint pour le notaire du promoteur. En une journée, le 8 décembre, il a signé la vente de quatre condos, pour la modique somme de 13,8 M$.

 

Au total, depuis octobre, le promoteur a réalisé des ventes totales de 34,6 M$, en incluant les taxes.

 

L’unité la plus chère, à 5,6 M$, a été acquise par l’épouse d’un magnat de l’immobilier.

 

Son entreprise possède une cinquantaine d’immeubles dans la province et aux quatre coins des États-Unis.

 

Parmi les acheteurs figure aussi la femme d’un riche avocat spécialisé dans le droit fiscal, ancien associé d’un grand cabinet montréalais.

 

D’autres résidents ont fait fortune dans la ferraille, les voyages ou l’assurance.

 

Au total, 30 des 42 unités du projet sont vendues, selon l’une des courtières chargées des ventes du projet, à l’agence de luxe Sotheby’s Westmount.

 

Aucune unité ne s’est vendue à moins de 1,9 M$.

 

Tout en écoulant leurs unités, les promoteurs du M sur la Montagne, Carlo Bizzotto et Tony Miceli, poursuivent Les Prêtres de Saint-Sulpice, qui leur ont vendu le vieux Collège Marianopolis pour 46 M$ en 2008.

 

Leur entreprise, Développement Cato, réclame un remboursement de 27 M$.

 

Les promoteurs considèrent avoir payé un prix trop élevé puisqu’en 2010 la Ville de Montréal a revu à la baisse l’envergure des immeubles qu’ils pouvaient construire à flanc de montagne.

 

La municipalité a refusé leur projet original et a choisi de limiter le développement aux édifices existants, sans permettre la construction d’immeubles supplémentaires.

 

L’ancien maire Gérald Tremblay avait déclaré qu’il voulait éviter que ce qui restait de vert sur la montagne se fasse «grignoter morceau par morceau».

 

En 2010, Cato voulait carrément faire annuler la vente. Vendu, c’est vendu, ont répondu les Prêtres, qui se battent pour ne pas devoir rembourser des sommes au promoteur.

 

L’entreprise Cato est finalement allée de l’avant avec un projet réduit, mais elle cherche aujourd’hui à obtenir un dédommagement des Prêtres de Saint-Sulpice.

 

Les deux parties se retrouveront en cour en 2016 seulement.

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