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  1. http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/459813/quebec-songe-a-proteger-une-eglise-menacee-de-demolition Québec songe à protéger une église menacée de démolition 9 janvier 2016 |Jeanne Corriveau | Villes et régions L’église Saint-Gérard-Majella sera-t-elle épargnée ? Le ministère de la Culture examine la possibilité de classer cette église de Saint-Jean-sur-Richelieu jugée exceptionnelle, mais condamnée à la démolition. Si un tel statut était accordé au bâtiment, sa destruction deviendrait impossible. Construite en 1962 selon les plans de l’architecte Guy Desbarats, l’église Saint-Gérard-Majella a été vendue en octobre dernier à des promoteurs immobiliers pour 800 000 $. Les nouveaux propriétaires prévoient de raser le bâtiment pour construire un projet domiciliaire de 104 appartements sur le site. Même si l’église dotée d’une voûte asymétrique spectaculaire a reçu du Conseil du patrimoine religieux du Québec la plus haute évaluation, soit la cote « A », la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste a décidé de la vendre, faute de financement pour la rénover. Les travaux de restauration avaient été estimés à 3 millions de dollars. Le Devoir a appris qu’après avoir reçu une demande d’intervention le 16 novembre dernier, le ministère de la Culture a décidé d’examiner la possibilité de classer l’immeuble. « Le ministère a entamé une analyse pour voir ce qu’il est pertinent de faire comme intervention en vertu de la Loi sur le patrimoine. Le classement fait partie de cette réflexion », a confirmé Philip Proulx, attaché de presse de la ministre de la Culture, Hélène David. « Le ministère a eu pour mot d’ordre de faire une analyse rapidement, étant donné qu’il y a des craintes concernant la possible démolition de l’église. » M. Proulx précise qu’advenant la signature d’un avis d’intention de classement par la ministre, la protection entrerait aussitôt en vigueur et la démolition de l’église serait interdite. Église vidée Le président de la fabrique de la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste, Louis-Charles Fontaine, ignorait qu’un classement était envisagé par le ministère lorsque Le Devoir l’a joint vendredi. « Ça serait très bien ! Je pense qu’il faut s’intéresser au patrimoine avant qu’il soit trop tard. Il est déjà tard, mais mieux vaut tard que jamais », a dit M. Fontaine. En l’absence de mobilisation pour préserver l’église et de fonds pour la rénover, la paroisse, qui compte six autres lieux de culte, avait décidé de vendre Saint-Gérard-Majella. En décembre, la fabrique a même vidé l’église et vendu le mobilier et les objets qui s’y trouvaient. « Mais avoir su qu’on aboutirait à ça, je n’aurais pas vendu les bancs et les objets », regrette M. Fontaine. La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu n’entend pas se mêler du dossier ni contribuer à la restauration de l’église, mais elle devra éventuellement autoriser le changement de zonage, la démolition de l’immeuble et la conformité du projet immobilier, a indiqué Sylvain Latour, attaché de presse du maire Michel Fecteau. Maison des patriotes Quant à la maison Chénier-Sauvé, une demeure patrimoniale de Saint-Eustache elle aussi menacée de démolition, le ministère dit suivre le dossier de près. La Ville de Saint-Eustache affirme que la maison aurait besoin de coûteuses rénovations de 2,8 millions, et elle songe à la démolir malgré une subvention de près d’un million accordée par Québec. « On a mis de l’argent sur la table pour assurer une restauration. On attend de voir quel est le plan de match [de la Ville] », a indiqué Philip Proulx. La Ville entend décider du sort de la propriété ayant appartenu au patriote Jean-Olivier Chénier dans les prochains mois.
  2. Flo

    375th B-day

    Infographie de Steve Proulx (22/10/2014) Source: https://journalmetrocom.files.wordpress.com/2014/10/infographie-375e_c100-copy.jpg
  3. Industrie québécoise de l'aluminium Une stratégie à revoir? Mise à jour le mercredi 30 juillet 2008, 14 h 12 . L'économiste de l'Université du Québec à Chicoutimi Marc-Urbain Proulx estime que le temps est venu pour le Québec de redéfinir un nouveau rapport de force avec les grandes alumineries. Dans son texte publié dans le journal Le Devoir l'universitaire avance que le contexte mondial permettrait au Québec d'obtenir une meilleure part des retombées du développement de cette industrie. Le professeur de l'UQAC souligne que les alumineries bénéficient d'avantages énergétiques importants au Québec. Il rappelle que Rio Tinto Alcan détient les droits de production hydroélectrique pour ses usines et que la valeur de cet avantage augmente à mesure que le coût de l'énergie monte en flèche en raison de la flambée des prix du baril de pétrole. Le gouvernement a donc les moyens, juge Marc-Urbain Proulx, de demander à détenir une partie de la propriété des usines. Il signale qu'en Chine et en Russie, l'État est propriétaire des installations. C'est le cas aussi, note-t-il, dans les Émirats arables qui possèdent 100 % des installations de Dubaï et sont propriétaires de 50 % et même de 75 % d'autres unités. « Partout actuellement où Rio Tinto négocie, où Alcan négocie ou d'autres compagnies comme Norsk Hydro, les États cherchent à prendre des parts et réussissent à en prendre souvent à plus de 50 % - L'économiste de l'Université du Québec à Chicoutimi, Marc-Urbain Proulx » Outre la disponibilité de l'énergie, les infrastructures de transport, la qualité de la main-d'oeuvre et la stabilité politique sont aussi des éléments qui jouent en faveur de la consolidation de cette industrie au Québec, selon le spécialiste. Il est d'autant plus important que Québec reconsidère sa stratégie, croit le professeur, que les retombées de l'industrie de l'aluminium ne sont plus ce qu'elles étaient. Les emplois sont moins nombreux en raison des avancées technologiques et les profits comme les postes de haut niveau sont désormais concentrés dans de grandes capitales comme Londres, Moscou, Sydney ou New York. L'universitaire estime que le Québec pourrait accueillir quatre ou cinq nouvelles alumineries d'ici 2025. Marc-Urbain Proulx croit que ces nouvelles unités produiront environ 2 millions de tonnes supplémentaires d'aluminium, ce qui permettrait au Québec de se maintenir à 8 % de la production mondiale. En croissance, la consommation mondiale d'aluminium devrait atteindre 70 millions de tonnes en 2025, soit deux fois plus qu'en 2005.
  4. Le professeur d'économie de l'Université du Québec à Chicoutimi, Marc-Urbain Proulx, estime que le contexte mondial permettrait au Québec de renégocier de nouvelles ententes avec les alumineries. Pour en lire plus...
  5. Montreal Croupiers Take Electronic Poker Table Battle to Court by PokerPages.com Mon, Jan 28th, 2008 @ 12:00am Three unions representing 1,450 croupiers at Quebec area casinos lodged a request with Quebec Superior Court to force the board that regulates gambling in the province, the Regie des alcools des courses et des jeux, to address complaints that the 25 automated electronic Texas Hold'em poker tables installed Jan. 18 at the Montreal Casino are illegal. The croupiers, who have been without a contract since Dec. 21, 2006, are in ongoing discussions with the Societe des casinos du Quebec. The croupiers say the tables are illegal and charmless. The PokerPro tables, made by PokerTek, a North Carolina USA-based company, do not meet Quebec's legal requirement that slot machines be pure games of chance, said Jean-Pierre Proulx, a spokesperson for the croupiers union, affiliated with the Quebec Federation of Labour. Proulx maintains that poker has a large element of strategy as well as chance, so should not be treated the same as a slot machine. The union has been waiting for a ruling from the Regie on the legality of the machines. 43 Electronic Tables Already Installed Besides the 25 automated poker tables installed at the Montreal, 13 have been installed at Lac Leamy in Gatineau and 5 in Charlevoix. According to Vito Casucci, a spokesman for Pokertek, the machines can deal 50 per cent faster than human dealers, allowing customers to spend their money faster. The union is concerned that casino staff may consequently lose their jobs and that the new poker rooms represent a trend toward more electronic games. According to a union spokesperson, the Regie has steadfastly refused to meet with them or confirm that a complaint against the introduction of the dealer-free machines has been lodged. The union filed a complaint with Quebec's alcohol and gaming regulator Dec. 7, arguing that the absence of a human dealer makes the tables illegal under Quebec law. "We are asking the court to make a ruling that the Regie has to meet with us," union spokesperson Jean-Pierre Proulx said. "They have not responded to our demands, they put our lawyer on hold and said they have no file of our complaint. Technically, the Regie is not doing their job." He said the croupiers' unions, affiliated with the Quebec Federation of Labour and representing workers from Montreal, Gatineau and Charlevoix, complained to the Regie twice in December and twice this month. Regie spokesperson Rejean Theriault said receipt of the complaints was acknowledged but the situation could not be analyzed until the machines were opened Jan. 18. "It's like investigating a murder when there's no body," Theriault said. http://www.pokerpages.com/poker-news/news/montreal-croupiers-take-electronic-poker-table-battle-to-court--30339.htm
  6. 18/03/2007Les Amis du parc Morgan, dans le quartier Maisonneuve, demandent à la Ville de cesser son «vandalisme institutionnel» et de remettre en place la clôture «patrimoniale» du parc Morgan. Monique Désy Proulx, porte-parole des Amis du parc Morgan, s'en prend à l'arrondissement Mercier - Hochelaga - Maisonneuve pour son tout dernier «acte de vandalisme», soit d'avoir enlevé l'historique clôture ornementale de fer forgé devant le parc, au pied de la grande avenue Morgan. À la demande de marchands de la rue Sainte-Catherine, qui veulent y faire une place publique pour organiser des fêtes populaires, l'arrondissement a donné suite à son projet de démantèlement de la clôture sur la façade du parc à l'été 2006. Plus convivial Le conseiller municipal Laurent Blanchard (Vision Montréal) ne croit pas que les opposants aient raison quant au caractère «patrimonial» de cette clôture et il appuie les commerçants. «Le fait d'enlever la clôture rend le site plus facile d'accès et plus convivial pour la population, comme le suggèrent les marchands», commente le conseiller, précisant que la mesure n'a aucun impact sur la sécurité publique. Mais Les Amis du parc Morgan font la vie dure au conseiller Blanchard et à la mairesse Lyn Thériault Faust et exigent que la clôture soit réinstallée pour sauvegarder l'intégrité du lieu. Dalles de ciment «Nous craignons que le parc Morgan subisse le même sort que la devanture du Marché Maisonneuve, où l'on a fait disparaître les pommiers qui entouraient la fontaine d'Alfred Laliberté pour couvrir le site de dalles de ciment. Un geste scandaleux», dit Mme Désy Proulx. Pour sa part, le conseiller Blanchard ne cache pas le peu d'attention qu'il accorde à la demande du groupe. «Ils sont quatre dans cette vaste mobilisation», ironise-t-il, rappellant que l'arrondissement a obtenu plusieurs appuis dans sa décision, dont ceux de la députée Louise Harel, du SPVM et des Loisirs Saint-Clément. Monique Désy Proulx n'a toutefois pas jeté l'éponge. Elle précise que «le noyau dur de cette mobilisation comprend actuellement huit personnes qui ont fait signer à ce jour une pétition de 500 noms pour le retour de la clôture.
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