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  1. Quelqu'un sait ce qu'il se passe avec le Complexe Cousineau à St-Hubert?
  2. Les Québécoises travaillent davantage 6 novembre 2008 - 06h00 La Presse Francis Vailles Les politiques familiales au Québec ont incité un grand nombre de femmes à intégrer le marché du travail ou à y demeurer. C'est ce que constatent Luc Godbout et Suzie St-Cerny, coauteurs de l'étude sur la famille et la fiscalité. Selon l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), les frais de garde d'enfants élevés «ont un impact négatif sur l'incitation à travailler, les comportements en matière de procréation et les perspectives de carrière à long terme, en particulier pour les femmes». Or, le Québec s'est doté de services de garde à contribution réduite «qui a donc levé un important obstacle à l'emploi», font valoir les auteurs de l'étude. Les garderies à 5$ par jour, puis à 7$, semblent avoir eu un effet très net. Ainsi, le taux d'emploi des femmes de 25 à 44 ans est passé de 70,3% en 1998 à 79,3% en 2007, un bond de 9 points en 10 ans. Cette hausse est deux fois supérieure à celle des Ontariennes. Le taux d'emploi des Québécoises dépasse maintenant celui des principaux pays du G7, notamment la France (75,7%), le Royaume-Uni (73,7%), les États-Unis (71,9%) et l'Italie (60,8%). Les pays nordiques comme la Norvège et la Suède dépassent encore le Québec à cet égard, avec des taux respectifs de 82,5% et 82,3%, mais l'écart se rétrécit.
  3. Salut, Est-ce que quelqu'un sait à qui appartient le terrain au sud de René-Lévesques au coin de Bleury? Il me semble qu'il s'agit d'une localisation de choix... Y-a-t-il des projets en vu (genre une expansion de SNC-Lavalin qui est en diagonale)? Juste par curiosité. Je passe régulièrement à côté. [MAPS]http://maps.google.ca/maps?f=q&hl=fr&geocode=&q=&ie=UTF8&ll=45.50564,-73.56367&spn=0.00373,0.007231&z=17[/MAPS]
  4. À quelques mètres de là, ils ont commencé à creuser sur le terrain de l'ancienne station-service. Quand je suis passé ce matin, ils enlevaient une immense citerne qui devait faire office de réservoir! Le terrain sera-t-il bientôt pour la vente? On est en droit de le penser!
  5. Édifice Robillard - Montréal Il y avait des échafauds de LM Sauvé d'installer cet après-midi quand je suis passé. Un bel édifice du Quartier Chinois qui mérite d'êter bien préservé. J'espère que c'est toute la façade qui sera restaurée. Source : L’edifice Robillard : premier cinema du Canada | Memoires des Montrealais
  6. J'ai eu vent aujourd'hui de nouveaux produits Cisco qui permettent de passer jusqu'à 60W de courant sur un câble de réseau CAT5 avec des switch UPOE. Ceci ouvre des nouvelles possibilités auparavant impensables, comme par exemple l'éclairage DEL dans les nouvelles tours sans l'apport d'électriciens!! Au lieu de passé du gros câble cuivré pour connecter une ampoule, il suffit de passer un câble réseau tout simplement et celui-ci se charge d'alimenter l'ampoule. Le besoin pour des électriciens dispendieux pour l'éclairage sera chose du passé... un simple câbleur peut faire la job. Déjà quelques gros constructeurs à Montréal envisagent cette technologie pour leur futurs constructions... à suivre.
  7. Plus tôt aujourd'hui, j'ai assisté à un go-around de LX dû au décollage de l'avion de la TU sur la 24R. Quelqu'un était sur les ondes? Qu'est-ce qui s'est passé? Envoyé de mon SM-G920W8 en utilisant Tapatalk
  8. Je suis passé par là il ya quelques jours et le gros lot en rouge est en démolition. Les deux autres lots encerclés en rouge semblent abandonnés et faisant partie de la même compagnie d'antan... Ces terrains sont immenses et pourraient très bien faire du résidentiel... à suivre. Évidemment si vous avez une idée de ce qui se passe là, n'hésitez pas à commenter le fil.
  9. Ce projet avait passé inaperçu sur le forum. C'est au hasard d'une promenade virtuelle sur Google Map que je l'ai découvert. https://www.google.ca/maps/place/Centre+sportif+Pierre-Laporte/@45.603449,-73.4512065,252m/data=!3m1!1e3!4m2!3m1!1s0x4cc91d4e46474715:0x634fd76cf50c6b22 Voici des informations qui pourraient vous intéresser. http://espacesportif.boucherville.ca/projet/http://espacesportif.boucherville.ca/projet/ www.boucherville.ca//cgi-bin/index.cgi?page=residants0_3_2_0_454_208_221&langue=fra
  10. Ce projet est passé sous le radar de mtlurb! Le lancement a lieu demain. Je suis très très très excité par cette "2e phase" du projet Héritage. On l'attendait depuis bien longtemps! Les architectes sont Sid Lee. Je m'attends à quelque chose d'incroyable! http://5quai.com/fr/
  11. Voici un projet passé inaperçu, ils ont déja 8 étages de complété. http://www.quadrax.com/61-projets/secteur-residentiel-logements/habitations-les-trinitaires.html
  12. Je n'ai pas trouvé de fil sur le sujet, mais je me doute qu'il en existe probablement un... Il semble se tramer quelque chose sur le terrain coin Saint-Denis et des Pins. Une compagnie de décontamination (Groupe C. Laganière) fait présentement des travaux majeurs sur le terrain, mais celui-ci appartient toujours à Esso. Quelqu'un sait ce qui s'y passe?
  13. Salut, je suis passé à côté du magasin Pascal sur La Gauchetière aujourd'hui et j'ai cru comprendre qu'ils sont en vente de fermeture? Peut-être je me trompe mais si c'est le cas, le quadrilatère devient intéressant avec le stationnement...
  14. J'ai passé cet apres midi sur la 720 ouest . Et j'ai vue des ouvriers installer des nouveau rails a la hauteur de la rue Bethune un peu a l'est du viaduc Glen. Surement la 3 ieme voie qui va vers la station Vendome. Je n'ai pas pris de photos par contre.
  15. Bonsoir aux utilisateurs du forum MTL urb. J'ai le malheur de vous annoncer le décès de mon beau-père Yvon l'Aîné survenu aujourd'hui de façon subite cet après-midi vers 13h00. Il adorait prendre des photos et parlait au quotidien des gens de votre groupe, des infrastructures à Montréal et de votre forum. Il a même eu l'occasion d'aller prendre un repas et quelques bières avec certains de vous cet été. Je tenais à venir vous informer de la situation par respect car ses dernières photos auront été prises dimanche passé soit le 22 Février 2015 et je ne sais pas s'il a été en mesure de les publier. Je sais qu'il avait une passion pour les 'tower crane' et avait de très bon contact à Montréal! Mon cher Yvon, reposes en paix! Mon nom est Marc Tremblay et voici une adresse courriel pour me rejoindre s'il y a quelque chose de spécial. fantomas50@hotmail.com Bonne fin de soirée
  16. Salut Il a eu beaucoup de déconstruction qui se passe dans ce bloc récemment. Ce soir, je ai vu la photo ci-jointe. Avez-vous plus d'info? http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/ANNEXE%20-%20PLAN%20D'ENSEMBLE.PDF
  17. http://www.goethe.de/ins/ca/lp/kul/mag/mod/fla/fr12792933.htm Une banlieue nommée Montréal Hantée par les spectres du passé et malmenée par l'idéologie du progrès qui s'affirme entre autres par la "banlieurisation" de ses quartiers, Montréal s'oublie et s'efface. Balade historique et critique avec le journaliste et historien-flâneur Jean-François Nadeau. Construite sur une île, Montréal tourne pourtant le dos à l’eau, prostrée sur elle-même. Pour s’en approcher, il faut savoir dénouer le fil d’une architecture routière des années 1950. Par ces voies rapides juchées sur des structures de béton, on imaginait alors l’automobile telle un aigle qui descend du ciel vers les lieux de travail des fourmis ouvrières. Montréal avait fait enterrer les rails de ses tramways, lesquelles reviennent néanmoins la hanter depuis chaque printemps après que, sous l’effet du gel de l’hiver, le vieux métal remonte à la surface des grandes artères pour en percer le bitume. Montréal est d’une autre espèce que la ville de Québec. Elle n’a pas ce charme lisse et la beauté plastique qui font la fierté de ces villes dites du patrimoine mondial. Les maisons aux lignes élégantes, les rues finement dessinées, fer forgé, grilles, tout cela n’est pas Montréal, sauf pour une toute petite portion de la vieille ville, celle qui était protégée autrefois des attaques amérindiennes par une palissade de bois. Vieilles choses, vieilles gens, c’est longtemps ainsi qu’on a voulu présenter le Québec aux visiteurs de l’Amérique. Par habitude, la vallée du Saint-Laurent a continué de se voir ainsi, de s’admirer à travers une tradition mortifère où le passé est envisagé tel un embaumement nécessaire à préserver l’idée d’un pays qui plait aux autres, un pays qui ne devient nôtre qu’à cette fin. Sur les rives du grand fleuve, «rien ne doit mourir, rien ne doit changer», observait Louis Émond dans son roman Maria Chapdelaine. «Notre maître, le passé», répétaient à sa suite les esprits en soutane. Pourtant, tout de ce passé éclate depuis longtemps à l’ombre des gratte-ciel, au pied du mont Royal, là où se regroupaient les tribus iroquoïennes. Cela continue à l’heure où l’on se gargarise d’avoir pris conscience du patrimoine, une idée commode dont se repaît volontiers une humanité satisfaite de ne pas avoir à penser plus loin quand il est question d’histoire et de vie collective. À Montréal, les façades des vieilles maisons qui bordent les artères commerciales ont éclaté. On le voit bien lorsqu’en marchant on s’adonne à regarder de l’autre côté de la rue: sous la poussée du petit et du grand commerce, des ajouts ont été greffés aux vieilles structures déjà en place. Cela donne des façades aux volumes très divers qui s’avancent ou s’éloignent de la rue, donnant lieu à des perspectives toujours mal assurées. Après la guerre, l’administration de la ville prit peur devant ces quartiers aux maisons basses issus des temps sombres de la colonie. L’image de ces maisons bancales aux toits de tôle ou d’ardoise ne correspondait pas au passé épique qu’on souhaitait forger au nom de l’avenir de cette métropole. Un court film des actualités de l’époque montre le maire Jean Drapeau expliquant comment il entend transpercer le cœur du vieux Montréal d’une voie rapide où les voitures fileraient comme des flèches. Ce projet ne fut pas réalisé. Mais on rasa néanmoins d’autres quartiers en entier. Du faubourg à la banlieue À l’Est, le faubourg à la mélasse fut entièrement détruit par des grues afin de faire place nette à un immense stationnement capable d’accueillir les ouvriers de la télévision et de la radio publiques. Même chose pour Victoriatown, un secteur situé près du vieux port. Au centre, le quartier dit du «red light», haut lieu des jeux illégaux, de la prostitution, de l’alcool et des fêtes nocturnes, disparut entièrement pour laisser place à des HLM. En rasant les maisons des pauvres, on croyait chasser la pauvreté. Pourtant le malheur des inégalités sociales restait à demeure. Me promenant au milieu de ces immeubles ternes et sans caractère de la fin des années 1950, j’y rencontrai un jour une dame âgée. Elle habitait là depuis la construction, me raconta-t-elle. Mais quelques jours à peine après y avoir aménagé avec son mari, celui-ci était tué par l’explosion d’une conduite de gaz. Depuis, elle vivait seule avec ses souvenirs. À Montréal, des dizaines de milliers de personnes furent ainsi déplacées puis oubliées. Et on a continué de raser depuis. Le boulevard Saint-Laurent, ancien haut lieu du théâtre burlesque en Amérique, ne propose désormais aux regards qu’une suite peu avantageuse de terrains vagues et d’immeubles abandonnés entrecoupés il est vrai par des immeubles tout neufs aux allures froides de l’architecture dite internationale, celles qu’aime s’offrir l’argent dans tous les pays du monde. Même chose rue Sainte-Catherine où parmi un groupe d’autres immeubles le Spectrum, scène mythique de la musique, a été rasé avant même que l’on obtienne des assurances solides que quelque chose d’autre y serait reconstruit avant longtemps. Disparu dans le même pâté de maisons le restaurant Anatolia dont j’aimais les gâteaux sucrés servi sans façon. Dans le quartier Griffentown, les anciennes usines et les vieilles maisons tombent les unes derrières les autres. Il n’y a pas si longtemps, j’étais allé y voir La femme image, un film surréaliste de mon ami photographe Guy Borremans. Je n’arrive plus même à savoir où cette projection a pu avoir lieu lorsque je me promène à pied dans les environs. Montréal m’échappe petit à petit tandis que les projets du genre de celui de Griffentown se multiplient, sans vision d’ensemble. La vie de Montréal a migré vers ses marges, sans qu’on reconnaisse pour autant à celles-ci droit de cité. Les représentations hautaines et distantes que l’on fait sans cesse de la vie à Longueuil, Laval, Brossard, Repentigny et autres banlieues unies par un indicatif téléphonique commun, le 450, empêchent de concevoir ce que Montréal est à devenir globalement. Devant le pont Champlain qui menace semble-t-il de s’affaisser, une de ces banlieues a poussé en quelques mois à peine, au milieu de champs de culture. On trouvait là auparavant des maisons de ferme en pierres avec leurs toitures à coyaux. Elle dataient du milieu du XIXe siècle, au temps où ceux qui y vivaient avaient tenté de se soulever sans succès contre l’Empire britannique. Ces maisons ont été rasées ou abandonnées pour laisser place à des rangées complètes de maisons d’une architecture composite d’inspiration victorienne où domine la pierre de synthèse, l’aluminium, les reproductions de statues grecques, les cheminées Renaissance. L’esthétique du collage règne. Montréal est aussi devenue cela. Mais comme dans toutes les grandes villes, on continue de croire que cette ceinture ne tient rien d’autre que ses propres boursouflures, qu’elle ne fait pas corps avec le squelette de la ville. La banlieue apparaît pourtant aujourd’hui comme le lieu suprême d’un oubli volontaire qui a permi à la disneylandisation de s’établir sur toute une ville. À Montréal comme ailleurs, c’est le triomphe de la culture de la distraction dont parlait déjà Walter Benjamin. Jean-François Nadeau historien et journaliste au quotidien Le Devoir est notamment l’auteur de Bourgault (2007) et de Adrien Arcand, führer canadien (2010). On peut l’entendre régulièrement sur les ondes de Radio-Canada. Copyright: Goethe-Institut Kanada Mai 2014 Si vous avez des questions sur cet article, écrivez-nous! Mail Symbolweb@montreal.goethe.de MTL/MUC: Blogue urbain Le long des rues de leur ville, Éric à Montréal et Verena à Munich, ils gardent l’œil ouvert pour dénicher des coins de rues, cafés et vitrines riches de singularités. Suggestions Allemagne: faits et réalités Services offerts par le Goethe-Institut Signandsight
  18. Est-ce juste moi qui a des problèmes avec ce site dernièrement? Il passe en mode 1990 de temps en temps ou avec plein d'items manquants...?
  19. Y paraît qu'une nouvelle tour à bureaux sera érigée à cet endroit très prochainement. Si jamais l'un d'entre vous passe par là, pouvez-vous confirmer ? Avons-nous déjà un fil pour ce projet ?
  20. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/francois-cardinal/201407/07/01-4781621-montreal-lanti-bilbao.php Montréal, l'anti-Bilbao Agrandir Trait d'union original entre le marché Jean-Talon et le boulevard Saint-Laurent dans la Petite Italie, la place Shamrock a été inaugurée samedi. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE =author%3AFran%C3%A7ois+Cardinal&sort=recent"]FRANÇOIS CARDINAL La Presse On aurait dû profiter du remplacement du pont Champlain pour doter Montréal d'une oeuvre architecturale spectaculaire qui aurait fait «boum» et attiré les foules du monde entier... C'est le commentaire qui s'est retrouvé le plus souvent dans ma boîte de courriels, ces derniers jours, avec une foule d'images de ponts à couper le souffle conçus par des starchitectes comme Santiago Calatrava et Norman Foster. Plusieurs évoquent le Viaduc de Millau, parfois l'impressionnant pont à haubans Trinity River Bridge, puis citent l'exemple de Bilbao, cette ville espagnole peu connue et peu visitée, qui est devenue un épicentre touristique grâce à la construction d'un musée hors de l'ordinaire, signé Frank Gehry. Pourquoi pas Montréal? Parce qu'on ne copie pas ce qui se fait ailleurs pour se distinguer, d'abord. Parce que Montréal n'est pas Bilbao, ensuite. En fait, j'oserais même dire que Montréal est l'anti-Bilbao par excellence. Je comprends l'attrait pour les grandes vedettes de l'architecture. Je ne cracherais pas sur une oeuvre signée Renzo Piano, Zaha Hadid ou Rem Koolhaas, si tant est qu'une seule de ces vedettes se présentât ici. Mais c'est loin d'être une nécessité pour Montréal, dont la marque de commerce est tout sauf éclatante, tapageuse, spectaculaire. La métropole québécoise ne possède pas de grands boulevards haussmanniens, mais de jolies rues vibrantes comme Mont-Royal, de la Commune et de la Gauchetière dans le Quartier chinois. Elle n'a pas de belles artères comme l'Embarcadero de San Francisco ou les Ramblas de Barcelone, mais des avenues aux portions électrisantes, comme Saint-Denis, Saint-Laurent et Sainte-Catherine. Elle n'a pas un musée Guggenheim qui fait la une des revues d'architecture, mais elle compte bon nombre de musées d'envergure et de festivals qui font sa renommée pour leur vigueur. Ne nous faisons pas des «à-croire», Montréal n'est pas une vibrante mégalopole qui attire les stars de la planète, ce n'est pas le haut lieu de la finance du continent, ce n'est pas une ville riche qui attire le gratin mondial ou son portefeuille, et donc il est normal que ce ne soit pas le lieu des constructions les plus audacieuses. Pourquoi, de toute façon, Montréal irait-il se battre sur ce terrain en se sachant entouré de plus prospères comme Toronto et Calgary, qui attirent justement les Foster, Gehry, Calatrava? Oui, on retrouve ici quelques oeuvres architecturales impressionnantes, comme Habitat 67 et le Stade olympique, mais ces emblèmes font partie du passé. Comme le statut de métropole du pays fait partie du passé. La force de Montréal, aujourd'hui, n'est pas dans le grandiose, mais dans ses plus petites et plus simples composantes: la qualité de vie, l'hétérogénéité de ses quartiers, le dynamisme de ses artères commerciales, le soin apporté au design de ses commerces, la place faite aux vélos, la qualité de sa bouffe bon marché, la vitalité de ses marchés publics, le vivre ensemble, l'impressionnante créativité de ses résidants, la vigueur de sa scène culturelle, l'énergie de ses festivals, etc. Autant de choses que l'on voit certes dans d'autres villes, mais qui atteignent à Montréal un niveau de concentration impressionnant pour une ville de cette taille. On l'a vu ce week-end encore, avec l'inauguration samedi de la place Shamrock dans la Petite Italie, un trait d'union original entre le marché Jean-Talon et le boulevard Saint-Laurent inspiré par l'urbaniste danois Jan Gehl. L'exécution n'est peut-être pas à la hauteur des ambitions, mais l'intention d'animer l'espace public y est avec ce carrousel à vélos gratuit. Voilà qui fait très «Montréal», comme ces murales qui ont vu le jour sur la «Main» ces dernières semaines, les sculptures de Mosaïcultures que l'on recycle aux quatre coins du centre-ville depuis une semaine, les camions de bouffe bariolés, la place des Festivals et ses terrasses, les Piknic Electronik, les pianos publics du Plateau, etc. Il est d'ailleurs intéressant de noter qu'après avoir passé deux mois ici pour capter l'essence de Montréal, l'équipe du magazine allemand Flaneur n'a pas retenu le caractère «bling-bling» d'une grande artère commerciale dans sa dernière édition, dévoilée vendredi dernier, mais bien la beauté de la rue Bernard, l'intérêt de ses commerces et commerçants, la singularité de ses ruelles que David Homel qualifie d'«allées sournoises». Il n'y a absolument rien de misérabiliste à le souligner et le reconnaître, bien au contraire: la force de Montréal est d'être une ville à échelle humaine qui ne se prend pas pour une autre, simple, belle et réservée à la fois, une ville qui se découvre dans ses menus détails plus que dans ses artifices, une ville qu'il faut regarder sous toutes ses coutures pour en cerner les mérites et qualités. Comme le futur pont Champlain signé Poul Ove Jensen...
  21. Ça m'étonne que ça soit passé inaperçu? http://coolopolis.blogspot.ca/2013/12/bridge-and-wellington-demolished.html
  22. http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=11970&start=0&postdays=0&postorder=asc&highlight=&sid=10dea0201b46489d072563afd5c50efb metrodemontreal.com Un lieu de discussion du transport en commun de Montréal et d'ailleurs Belle collection de veilles photographes Quelques exemples:
  23. Emploi: des signes positifs au Québec Stéphane Rolland . les affaires.com . 08-11-2013 (modifié le 08-11-2013 à 09:28) Le marché de l’emploi québécois donne des signes d’embellie en octobre tandis que la province a créé près de 40 000 emplois à temps plein et que la population active augmente, selon les données de Statistique Canada. En un mois, il s’est créé 34 100 emplois, toujours dans la province. De ce chiffre, on enregistre la création de 39 600 emplois à temps plein et la perte de 5 600 emplois à temps partiel. L’emploi augmente ainsi de 0,8% en un mois et de 0,6% en un an. Le temps plein augmente de 1,2% en un mois et de 1,5% en un an. Le temps partiel recule de 0,7% en un mois et de 3,3% en un an. Le taux de chômage passe ainsi de 7,6% à 7,5%. La diminution est cependant réduite par une augmentation de la population active de 32 400 personnes, un gain de 0,7% en un mois. Le taux d’activité passe ainsi de 64,8% à 65,3%. Généralement, les économistes attribue une augmentation du taux d’activité au fait que les travailleurs en plus de confiance en leur capacité de trouver du travail. À l’inverse, une baisse peut vouloir dire que plus de personnes quittent le marché de l’emploi découragé de pouvoir s’y insérer. Voilà pourquoi, en période de ralentissement économique ou de récession, des baisses du taux de chômage sont accueillies négativement lorsqu’elles s’expliquent par une baisse des effectifs sur le marché du travail. La publication des données survient alors que Québec doit composer avec des revenus moins élevés que prévu en raison d’une croissance économique plus faible qu’anticipée. Les partis d’opposition accusent le gouvernement minoritaire du Parti québécois de mener une piètre politique économique. En septembre, Pauline Marois a d’ailleurs dévoilé un plan pour créer 43 000 emplois supplémentaires d’ici 2017. Dans le reste du pays, le taux de chômage est resté stable à 6,9% tandis qu’on a créé 12 300 emplois. Les économistes espéraient la création de 11 000 emplois. La création d’emplois dans le secteur public aura permis de compenser les pertes dans le secteur privé. Lien: http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/emploi-des-signes-positifs-au-quebec/563509
  24. Je sais que c'est un sujet sensible ici, mais je le partage quand même. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201309/09/01-4687615-congestion-la-solution-de-labeaume-passe-par-lauto-avant-le-tramway.php Labeaume ne fait désormais plus du tramway une priorité, mais plutôt l'élargissement des autoroutes (sans voies réservées pour le RTC)... moi qui le défendait parfois, il est sans doute (juste pour ça) un des pires maires. Ce n'est pas une vision d'avenir que de répéter les erreurs du passé! Vous en pensez quoi?
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