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  1. Publié le 06 février 2009 à 09h21 | Mis à jour le 06 février 2009 à 09h45 Les grands magasins dans le monde Près de neuf millions de visiteurs étrangers déambulent chaque année entre les rayons des Galeries Lafayette, à Paris. Cela signifie que plus d'un touriste sur deux fréquente le grand magasin du boulevard Haussmann, qui réalise d'ailleurs 40 % de son chiffre d'affaires avec les étrangers de passage dans la capitale. André Désiront, collaboration spéciale La Presse Aujourd'hui encore, on dit que le célèbre Harrods est le seul magasin où, si on demande un éléphant, on vous répondra : «D'Afrique ou d'Asie, sir?» Les grands magasins mythiques de la planète sont devenus des attractions touristiques à part entière. Le milliardaire d'origine égyptienne Mohamed al-Fayed (le père de Dodi, l'ultime compagnon de la princesse Diana), qui a racheté Harrods à Londres, en 1985, l'a bien compris, lui qui a transformé l'emblématique institution de Knightsbridge en «destination théâtrale du commerce». C'est ainsi qu'on y croise des chanteurs d'opéra dans les allées, que des magiciens officient au rayon des enfants et qu'on y expose le yacht utilisé dans le film Quantum of Solace, faisant d'Harrods une des principales étapes du circuit Sur les traces de James Bond, mis au point par l'Office du tourisme britannique.Avec ses plafonds rococo et sa verrière Art nouveau, le «food hall» de Harrods mérite à lui seul le déplacement. On peut en dire autant de la coupole néo-byzantine du magasin des Galeries Lafayette du boulevard Haussmann, qui est classé «monument historique» depuis 1975, des arcades du GOUM, à Moscou, ou encore de la grande verrière de KaDeWe, à Berlin, pulvérisée par l'écrasement d'un bombardier américain en 1943 et soigneusement reconstituée en 1950. Car le grand magasin de standing international n'est pas qu'un commerce maquillé en salle de spectacle: il doit aussi être une réalisation architecturale remarquable. Les pionniers de la fin du XIXe siècle l'avaient pressenti. Ils avaient fait appel à des divas de l'architecture de l'époque. C'est encore ce qu'a fait le Groupe Galeries Lafayette en confiant la conception de son magasin de Berlin, inauguré en 1996, à un prix Pritzker (le Nobel de l'architecture), l'architecte-vedette Jean Nouvel. Même les touristes qui ne sont venus que «pour voir» achètent. De toute façon, le magasinage est en voie de supplanter la visite de monuments et de musées jusqu'ici au coeur de l'activité touristique et les temples de la consommation sont devenus les cathédrales de l'ère postindustrielle. «Pendant certaines périodes de l'année, comme le Grand Prix, par exemple, le magasinage est le troisième poste de dépenses en importance des touristes en visite à Montréal, après l'hébergement et la restauration», constate Michel Archambault, titulaire de la chaire de tourisme Transat à l'UQAM. «Continental Airlines, qui dessert le petit aéroport de Tremblant, vient d'ailleurs de lancer des forfaits «magasinage à New York» destinés à la clientèle des Basses-Laurentides et de la couronne Nord.» Les Macy's, Bloomingdale et autres Saks Fifth Avenue les attendent de pied ferme. Signe des temps: le magasin Macy's de la 34e Rue est devenu la troisième attraction touristique la plus visitée de New York, après la statue de la Liberté et l'Empire State Building. Harrods, à Londres : de tout, partout, pour tous Lorsqu'il a transformé en grand magasin l'épicerie fondée par son père en 1834, Charles Digby Harrod a démontré qu'il avait des lettres, en le dotant de la devise: «Omnia ubique omnibus», ce qui signifie «De tout, partout, pour tout le monde». Aujourd'hui encore, on dit que l'institution de Brompton Road, dans le quartier de Knightsbridge, est le seul magasin au monde où, si vous demandez un éléphant, on vous répondra: «D'Afrique ou d'Asie, sir?» On peut aussi bien y acheter un collier incrusté de diamants pour Médor (chaque année, en novembre, Harrods organise un défilé de prêt-à-porter pour toutous et à cette occasion on dispense des cours de yoga pour chiens, rebaptisés «doga») que des services funéraires (en 1939, c'est à Harrods que la famille a confié le soin d'embaumer la dépouille de Sigmund Freud) ou encore des légumes et des fruits maison (le magasin exploite un potager et un verger sur son toit). Avec ses 10,5 hectares répartis sur sept étages, ses 30 restaurants et 40 ascenseurs, ses 5000 employés parlant 72 langues (5500 en périodes de soldes) et ses 75 vitrines éclairées par 11 500 ampoules, dont 300 sont changées tous les jours, Harrods est le plus grand magasin d'Europe. Des étrangers venus des cinq continents se bousculent dans l'escalier égyptien qui, à chaque étage, débouche sur les statues des pharaons les plus connus de l'Antiquité. Ils s'émerveillent de la dextérité des ouvreurs d'huîtres près du bar à champagne, sous le plafond rococo du spectaculaire «food hall» surmonté d'une verrière Art nouveau. Et ils provoquent de monstrueux embouteillages au pied de l'escalier roulant qui les dépose, au sous-sol, devant le mémorial dédié à la princesse Diana et à Dodi al-Fayed, fils du propriétaire des lieux. Macy's, à New York : miracle sur la 34e Rue Le jour de 1858 où Rowland Macy a ouvert sa mercerie à l'enseigne de R.H. Macy & Co, il a réalisé un chiffre d'affaires de 11,06 $. Aujourd'hui, le navire amiral de la chaîne Macy's, situé à l'angle de Broadway et de la 34e Rue, accueille quotidiennement 100 000 clients (250 000 le lendemain du Thanksgiving). Aux États-Unis, c'est une icône, consacrée en 1947 par le film Miracle sur la 34e Rue (en vedette: Nathalie Wood) et révérée chaque année, par 50 millions de téléspectateurs de la chaîne NBC, qui rediffuse la Macy's Parade du Thanksgiving (où les vedettes viennent se joindre aux employés du magasin). Contrairement à bien d'autres grands magasins du monde, Macy's n'a pas pris le virage du luxe. Mais les touristes (qui passent habituellement par le Visitor's Center du 2e étage où on leur remet une carte de réduction de 11 % sur présentation de leur passeport) y dénicheront des articles introuvables ailleurs. Car Macy's joue la carte de l'exclusivité. C'est le seul magasin de New York (avec Bloomingdale, filiale du groupe Macy's, qui exploite 860 magasins à rayons aux États-Unis) où on trouvera les produits de décoration de la collection Martha Stewart ou les vêtements de sport de Tommy Hilfiger Sportswear. La liste des marques maison est impressionnante. Et le magasin est immense: avec une superficie de 198 500 m2, soit près de deux fois celle d'Harrods, c'est le plus grand magasin du monde. Il est donc impératif, pour ne pas s'y perdre, de se procurer un des Macy's Visitors Guide distribués à l'entrée. Isetan, à Tokyo : du kimono au fukubukuro La majorité des grands magasins du monde ont commencé par être des merceries et Isetan ne fait pas exception puisque, avant de devenir un hyakkaten, c'est-à-dire un «magasin aux 100 comptoirs», c'était une boutique de kimonos. Aujourd'hui, le magasin de Shinjuku (un des arrondissements les plus animés de la mégapole japonaise) est devenu la référence mode des jeunes évaporées et des métrosexuels tokyoïtes et une destination incontournable pour les touristes asiatiques branchés. Les grandes marques internationales du luxe y sont omniprésentes, mais contrairement à ce qui se passe dans les autres grands magasins, elles n'y disposent pas d'un comptoir ou d'un stand particulier. Les marchandises griffées y sont regroupées par produits et non par marques (un concept que certaines maisons, comme Louis Vuitton, réfutent, ce qui explique leur absence chez Isetan). Semaine du rouge à lèvres, salon du chocolat, festival du kimono... les activités spéciales s'y succèdent à une cadence continue. À éviter le 2 janvier, alors que plus de 200 000 Japonais se ruent chez Isetan pour acheter des fukubukuro - ces pochettes surprises contenant plusieurs articles souvent vendus à un prix inférieur à leur valeur réelle (mais il y a aussi de mauvaises surprises)! À moins, bien sûr, de se réfugier dans ce havre qu'est le luxueux spa du huitième étage! Les étrangers peuvent avoir recours à un service d'interprète (s'adresser au Customer Services) et ils ont droit à la détaxe (s'adresser au Tax Refund Office du sixième étage). Les Galeries Lafayette, à Paris : la mode en mouvement Depuis son inauguration, en 1912, l'édifice du boulevard Haussmann est, avec sa coupole néo-byzantine à vitraux, qui se déploie à 33 mètres de hauteur, et les balustres ornées de feuillage des étages disposés en balcons autour du grand hall, l'enveloppe la plus spectaculaire et la plus réussie des grandes surfaces parisiennes. Bijoux hors de prix, horlogerie de prestige, maroquinerie et chaussures haut de gamme arrivent aujourd'hui en tête des ventes de la grande surface qui réalise 40 % de son chiffre d'affaires avec les articles de luxe. Ce sont eux - et «la mise en scène d'une mode en mouvement» - qui attirent les touristes étrangers, qui y dépensent, en moyenne, 750 euros par visite (1275 $). Les plus prodigues étant les Saoudiens et les Russes qui y abandonnent, respectivement, 1235 et 826 euros (mais les Canadiens ne seraient pas en reste, selon Virginie David, porte-parole du magasin, qui révèle que nos compatriotes figurent sur la liste «des 20 clientèles étrangères les plus lucratives de la maison»)! Première étape d'un train de rénovations qui s'étirera jusqu'en 2012, les Galeries viennent d'inaugurer un «Espace luxe» de 2000 m2 au premier étage du Lafayette Coupole (le magasin s'étale maintenant sur plusieurs pâtés de maison, en incluant les annexes que sont Lafayette Maison, Lafayette Enfant et Lafayette Homme). De Balenciaga à John Galliano, on y découvre les créations de 23 «signatures incontournables» et neuf «talents d'avant-garde». Sur le même étage, le magasin héberge une galerie d'art - la Galerie des Galeries - où les expositions se succèdent au rythme de six par année. L'objectif étant de «mettre en valeur la transversalité (oui, oui!) qui existe entre la mode, les arts plastiques et le design». Car on vient aussi aux Galeries Lafayette pour se cultiver, ce qui constitue, après tout, une forme de rédemption après avoir sacrifié aux démons de la consommation! KaDeWe, à Berlin : le plus gargantuesque Dans les jours qui ont suivi la chute du mur de Berlin, en novembre 1989, des dizaines de milliers d'Ossies - vocable dont les Allemands de l'Ouest affublent leurs compatriotes de l'Est - se ruèrent sur KaDeWe, le grand magasin de Berlin qui, pour eux, personnifiait le nec plus ultra de la consommation effrénée. À leurs yeux, le plus grand magasin d'Europe continentale n'était pas seulement une enseigne commerciale: c'était un symbole, dont le nom lui-même évoquait l'Ouest, avec son lustre, son clinquant, ses excès de consommation, bref tout ce qui leur était interdit depuis quatre décennies. KaDeWe est l'allitération de Kaufhaus Des Westen, autrement dit, «le magasin de l'Ouest», mais pour tous les Allemands, KaDeWe est l'icône berlinoise par excellence, au même titre que la porte de Brandebourg. Paradoxalement, cette cathédrale du commerce teuton est dirigée par un jeune Français (il vient à peine de franchir le seuil de la quarantaine). Lorsqu'il est arrivé aux commandes, en 2004, Patrice Wagner a installé au rez-de-chaussée un «boulevard du luxe» où toutes les grandes marques de la maroquinerie et de la bijouterie sont représentées et, surtout, il a réaménagé la section Gourmet du septième étage. Un antre de 7000 m2 qui, avec ses 34 000 produits, son comptoir à saucisses plus long qu'un paquebot (300 mètres), sa brasserie Bocuse, sa crêperie Lenôtre, sa boutique Fauchon et sa cave dirigée par un sommelier alsacien (on y trouve le plus vieux vin du monde - un Eltville de 1864 - ou encore des Romanée Conti à 5500 euros), laisse pantois. À tel point que le très français Nouvel Observateur s'ébaudissait, l'an dernier, en ces termes: «C'est de loin le plus formidable, le plus gargantuesque et le mieux conçu de tous les magasins de bouffe du monde. En comparaison, Harrods et la grande épicerie du Bon Marché ressemblent à l'arabe du coin de chez nous.» Le GOUM, à Moscou : comme en 1893 Après la chute de l'empire soviétique, le GOUM de la place Rouge a été rebaptisé. Il porte désormais le nom de ... GOUM! En passant sous les fourches de la privatisation, le Goussoudarstevniy Universalniy Magazin (Magasin Universel d'État) est devenu le Glavniy Universalniy Magazin (Magasin Universel Principal). Ce n'est plus un magasin à rayons, comme c'était le cas sous le régime soviétique, mais une galerie marchande où 200 commerces cohabitent sous trois monumentales verrières avec des restaurants - élégants ou non - et des cafés comme le Bosco, où l'élite moscovite se donne rendez-vous. Les grandes marques du luxe comme Louis Vuitton ou Chaumet, y côtoient des enseignes aussi banales que Nike ou Levi's. L'édifice historique, dont la façade occupe tout le côté est de la place Rouge, est exploité par l'oligarque Mikhaïl Kousnirovitch, qui a racheté les actions de la société GUM. Si les Moscovites lui préfèrent souvent le TSOUM (Tsentralniy Ouniversalniy Magazin - Magasin Central Universel), voisin du Bolchoï, les étrangers se pressent sous ses arcades. Et c'est normal, car la structure de marbre, de grès et de granit inaugurée par le tsar Alexandre III a retrouvé son lustre d'antan. Celui de 1893, alors qu'il était le plus grand et le plus beau magasin du monde. Ailleurs dans le monde Madrid : El Corte Inglès Milan: La Rinascente Stockholm: NK (Nordiska Kompaniet) Séoul : ShinSegae Mexico : El Palacio de Hierro Autres grands magasins Paris : Le Printemps, le Bon Marché et le Bazar de l'Hôtel de Ville. Londres : Selfridges (propriété de la famille canadienne Weston, qui exploite également Holt Renfrew). New York : Bloomingdale, Saks Fifth Avenue, Bergdorf Goodman et Neiman Marcus. Tokyo: Mitsukoshi. Montréal : Ogilvy's et Holt Renfrew.
  2. La chaîne américaine de grands magasins Macy's va supprimer 7000 emplois en raison de la chute de la consommation aux États-Unis. Pour en lire plus...
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