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  1. http://www.augusteetlouiscondos.com/fr https://augusteetlouiscondos.com/?fbclid=IwAR0Cbcmzp5_9r3AhQj8DM9bWoSwMLsD0pvpjVEfndiXhxyoG5CcdR8eYJg8 Partie Ouest du site Radio-Canada Une entente est intervenue entre Devimco et le Groupe Mach, propriétaire des terrains de Radio-Canada, afin de planifier et développer la partie ouest de ce site. 8.64_devimco_immobilier_inc.pdf
  2. Radio-Canada vend sa tour au Groupe Mach | Le Devoir L’avenir de la tour Pour sa part, la tour de Radio-Canada a été cédée au Groupe Mach, qui mettra aussi la main sur la section ouest du vaste terrain. La société immobilière détenue l’homme d’affaires Vincent Chiara occuperait le quatrième rang des propriétaires d’immeubles commerciaux dans la grande région de Montréal. Avec son associé Jolina Capital inc., l’entreprise est notamment propriétaire de la tour de la Bourse et de la tour CIBC. Radio-Canada avait reçu une douzaine d’offres pour l’achat de sa tour, et le diffuseur s’était associé à la firme de courtage immobilier Avison Young et Brookfield Financial pour procéder à l’analyse des offres d’achat. Quatre propositions avaient par la suite été retenues. Le Groupe Mach a refusé mercredi de commenter la transaction ou de révéler ses intentions concernant l’avenir de la tour dont il a fait l’acquisition. ICI Radio-Canada - Communiques - La nouvelle Maison de Radio-Canada ... En lien direct avec la Stratégie pour le centre-ville présentée par l’administration Coderre et en vertu de l’accord de développement conclu avec la Ville de Montréal et le règlement d’urbanisme de l’arrondissement, la revitalisation du quadrilatère occupé actuellement par Radio-Canada devrait inclure une mixité d’usages comprenant notamment des logements sociaux et communautaires, des logements abordables et des espaces verts. La proposition de Groupe Mach prévoit aussi une éventuelle reconnexion de certaines rues, pour favoriser une meilleure intégration avec le reste du quartier. Cette stratégie de développement s’inscrit dans la tendance mondiale de densification des centres urbains à la faveur d’un développement durable. LA TOUR ACTUELLE SERA PRÉSERVÉE Dans le cadre de ce vaste projet de revitalisation, Groupe Mach prévoit, dans son plan actuel, que la tour de Radio-Canada soit préservée, mais avec une nouvelle vocation. Rappelons enfin que ces deux transactions sont sujettes à l’approbation globale du Conseil du Trésor qui est prévue pour le printemps 2017. Selon l’échéancier présenté par le groupe Broccolini, la construction de la nouvelle Maison de Radio-Canada devrait être complétée pour le début de 2020. En lien direct avec la Stratégie pour le centre-ville présentée par l’administration Coderre et en vertu de l’accord de développement conclu avec la Ville de Montréal et le règlement d’urbanisme de l’arrondissement, la revitalisation du quadrilatère occupé actuellement par Radio-Canada devrait inclure une mixité d’usages comprenant notamment des logements sociaux et communautaires, des logements abordables et des espaces verts. La proposition de Groupe Mach prévoit aussi une éventuelle reconnexion de certaines rues, pour favoriser une meilleure intégration avec le reste du quartier. Cette stratégie de développement s’inscrit dans la tendance mondiale de densification des centres urbains à la faveur d’un développement durable. À propos de Groupe Mach Groupe Mach est l’un des principaux acteurs du secteur de l’immobilier québécois et l’un des plus importants propriétaires d’édifices à bureaux de Montréal et de la ville de Québec. Il développe ou redéveloppe des sites et les amène à maturité, en respectant des objectifs pratiques et réalistes en s’associant à des partenaires expérimentés tels que la firme Provencher Roy et le Groupe Montclair. Ces sites deviennent, grâce à une gestion avisée, des générateurs de nouveaux emplois et de services à la collectivité. Groupe Mach se distingue par sa vision stratégique, son expertise et son savoir-faire. Sa volonté de concilier les impératifs techniques, économiques, sociaux et environnementaux fait de lui un développeur et un gestionnaire rigoureux, responsable et intègre. Depuis bientôt 17 ans, il travaille à la composition d’un portefeuille immobilier prestigieux et bien équilibré couvrant tous les secteurs d’activité. Il regroupe plusieurs fleurons québécois tels que l’édifice Sun Life, la Tour CIBC et la Tour de la Bourse à Montréal. Il détient, à ce jour, 17 millions de pieds carrés. Avec plusieurs propriétés certifiées BOMA Best ou LEED, il remplit sa promesse de participer à l’effort collectif pour un développement durable et compte poursuivre dans cette voie en visant les plus hauts standards de l’industrie.
  3. Un milliard investi à Brossard d'ici deux ans Le Quartier DIX30 amorce sa troisième phase, avec 200 millions pour accueillir 80 magasins de plus. 12 juin 2008 - 06h00 La Presse Laurier Cloutier Malgré le ralentissement économique et les prix fous à la pompe, les investissements immobiliers se multiplient à Brossard, en particulier au Quartier DIX30 et dans la relance du boulevard Taschereau. L'Association des gens d'affaires de Brossard prévoit que les investissements immobiliers (résidentiel, commercial, industriel) «dépasseront facilement le milliard de dollars d'ici décembre 2010», souligne le vice-président aux communications, Jean-Luc Saint-Martin. «C'est une période assez faste.» Le maire de Brossard, Jean-Marc Pelletier, traitera d'ailleurs de cette vague d'investissements et du «pouvoir d'attraction immobilier» de la ville au cours du prochain Souper trimestriel des décideurs, la semaine prochaine. Ça roule «assez fort» à Brossard, ajoute l'économiste principal de la Commission de la construction du Québec, Louis Delagrave, qui fera ses prévisions, durant la rencontre, et décrira les avantages de la ville par rapport à d'autres. «Dans le résidentiel seulement, ça tourne autour de 300 millions» et les investissements au Quartier DIX30 et par le Groupe F. Catania contribuent largement au développement, dit-il. Catania a des projets de 1,3 milliard, dont 40 millions pour les 200 000 pieds carrés de bureaux de la Tour Catania, souligne le maire Pelletier. «On a investi plus à Brossard l'an dernier que dans toute l'agglomération de Longueuil», renchérit M. Saint-Martin. Avec 274 millions, Brossard a récolté 89% de toute la construction commerciale de l'agglomération de Longueuil et 48% de la résidentielle, ajoute Jean-Marc Pelletier. «Brossard a connu une année exceptionnelle et la ville en a encore pour trois ou quatre autres bonnes», dit M. Saint-Martin. Le Quartier DIX30 amorce sa troisième phase, avec 200 millions pour accueillir 80 magasins de plus, déclare de son côté le directeur de la location, Éric Foster. Cela se compare aux 600 millions des deux premières phases, avec 200 magasins, dit-il. Une nouvelle bretelle de l'autoroute 10 donnera bientôt accès au DIX30, en plus de celle de l'autoroute 30, note-t-il. La quatrième phase ajoutera 300 millions, renchérit le maire Pelletier. «C'est majeur, on va presque doubler le DIX30.» Par contre, Brossard n'a plus que 8% de son territoire pour la construction, dont le tiers est zoné agricole. Et le maire veut un jour «finir par divorcer avec Longueuil, pour cesser de se faire parachuter ses dettes». Ex-Rona Vendredi dernier, par ailleurs, le propriétaire majoritaire de l'ex-Rona L'Entrepôt du boulevard Taschereau, André H. Gagnon, a accepté l'offre d'achat du Groupe Mach, de Montréal. «L'immeuble de 115 000 pieds carrés payé 12,5 millions sera converti en centre commercial d'une dizaine de magasins après des travaux de 4 à 6 millions», précise Vincent Chiara, président du Groupe Mach. «On récupère ainsi l'investissement sur le terrain et l'immeuble», dit André H. Gagnon, qui a déménagé ce Rona au Quartier DIX30 l'automne dernier. Vincent Chiara a «déjà signé des baux avec quelques chaînes», dont pour un supermarché IGA de 50 000 pieds carrés. Mach «est par ailleurs sur le point de conclure une entente avec Jean Coutu, pour 15 000 pieds carrés», précise-t-il. Le restaurant La Popessa, Subway et quelques autres restos-minute ont aussi signé des baux, ajoute le président qui a également attiré des professionnels, dont des dentistes. Le Groupe Mach doit par contre réaliser «beaucoup de travaux avant l'ouverture d'une partie de ces commerces d'ici décembre». Par ailleurs, un nouveau concept de Zellers va s'implanter dans les locaux de l'ex-Wal-Mart de Place Portobello, boulevard Taschereau, confirme le vice-président à l'exploitation de Cogir, Marcel Toupin. Zellers va commencer bientôt à réaménager tous les locaux de 128 000 pieds carrés de l'ex-Wal-Mart (déménagé au Quartier DIX30), avant d'ouvrir le 15 novembre prochain, indique-t-il. Quant à Ivanhoé Cambridge, elle entend miser au moins 10 millions sur la rénovation du Mail Champlain, boulevard Taschereau.
  4. http://plus.lapresse.ca/screens/bb907df5-5eb1-45aa-85a0-593e0e0587f2|_0.html?utm_medium=Facebook&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen « VISION IMMOBILIÈRE » QUÉBEC VEUT DÉPLACER LES FONCTIONNAIRES VERS L’EST DU CENTRE-VILLE MARTIN CROTEAU LA PRESSE QUÉBEC — Des centaines, peut-être des milliers de fonctionnaires qui travaillent à Montréal seront graduellement déplacés du centre-ville vers l’est au cours des prochaines années, a annoncé le gouvernement Couillard, hier. Ce plan fait partie d’une stratégie plus large, dévoilée par le président du Conseil du trésor Pierre Arcand, afin de doter le gouvernement québécois d’une « vision immobilière ». Environ 25 ministères et organismes gouvernementaux ont des antennes au centre-ville de Montréal. Environ 9000 fonctionnaires y travaillent. Or, les coûts de location de ces bureaux ont augmenté au fil des ans, a expliqué le ministre Arcand. « Compte tenu des augmentations importantes au cours des dernières années des coûts au centre-ville de Montréal, il est clair que le gouvernement va se poser des questions », a-t-il résumé. La Société québécoise des infrastructures (SQI), le bras immobilier du gouvernement, sera chargée de mener l’opération. Au fur et à mesure que les baux de location des différents ministères viennent à échéance, la société d’État examinera la possibilité de les reloger dans des quartiers où les coûts sont plus bas. M. Arcand dit avoir consulté la mairesse de Montréal, Valérie Plante, afin de faciliter la transition. Pour des raisons stratégiques, le ministre n’a pas voulu s’avancer sur le fin détail des sites ciblés, ni sur le montant des économies espérées par le gouvernement. « On a des discussions avec plusieurs personnes actuellement, a-t-il indiqué. Vous comprendrez que je n’ouvrirai pas le jeu complètement aujourd’hui. » Le document officiel de la SQI donne toutefois des indices quant au secteur ciblé par Québec. On y souligne qu’en bordure du fleuve, plusieurs sites de grande superficie sont appelés à changer de vocation. On cite en exemple la maison de Radio-Canada, des terrains sous-utilisés du port de Montréal et d’autres terrains vacants au pied du pont Jacques-Cartier. Le déplacement des fonctionnaires vers l’est permettra de faire d’une pierre deux coups, peut-on lire dans le document : réduire les loyers et contribuer au développement urbain. LA SQI PLUS SURVEILLÉE La stratégie dévoilée par M. Arcand prévoit par ailleurs que les activités de la SQI seront supervisées de plus près par les élus. Jusqu’ici, toutes les acquisitions et ventes immobilières de la société d’État étaient approuvées par son président et par son conseil d’administration. Dorénavant, les transactions de plus de 10 millions de dollars nécessiteront le feu vert du ministère du Conseil du trésor. Celles qui dépassent 50 millions devront obtenir l’aval du Conseil des ministres. Cette annonce survient quelques mois après un rapport dévastateur de la vérificatrice générale sur des transactions immobilières survenues sous le gouvernement Charest. Québec projette également d’augmenter le nombre de locaux de bureaux dont il est le propriétaire. De 28 % actuellement, M. Arcand souhaite que la proportion passe à 35 % d’ici cinq ans.
  5. The revitalization of Montreal’s Downtown East Over the next few years, the eastern part of downtown will have 3 new projects: Carre St-Laurent, Maison Radio-Canada and Quais De Lormier. Luciano D’Iorio, Corporate Real Estate Broker shares the details. Video report http://www.btmontreal.ca/videos/5199789169001/
  6. And another one, Second Cup, IGA, Pharmaprix already booked!!! Groupe Mach or should I say Saputo is on Fire!!! http://www.creativethinking-design.com/projets/details/faubourg-sherbrooke/
  7. Un supermarché de l'auto dans le Technoparc 11 avril 2008 - 06h24 La Presse Laurier Cloutier Un projet de complexe Auto Mart de 10 à 15 concessions d'automobiles devrait prendre le départ à partir de mai 2008 dans le Technoparc mal-aimé de l'autoroute Bonaventure, à Montréal, entre les ponts Champlain et Victoria. Vincent Chiara, président de l'important Groupe Mach, a proposé d'acheter un terrain de 750 000 pieds carrés et la Ville de Montréal doit lancer un appel d'offres dès ce mois-ci. L'Auto Mart nécessiterait un investissement de 50 millions de dollars, sans parler du financement d'un immeuble de bureaux adjacent et d'un héliport pour les PDG qui pourraient doubler le coût des travaux, dont le début est prévu au début de 2009. Le Groupe Mach gère un portefeuille immobilier d'une valeur de 1 milliard de dollars, qui comprend une propriété de 4 millions de pieds carrés et les ex-ateliers Alstom, situés juste derrière le terrain du Technoparc à racheter d'ici mai 2008 pour l'Auto Mart. Seules les voies ferrées du CN et de VIA Rail séparent les deux propriétés. En Europe et aux États-Unis En Europe, puis aux États-Unis, les constructeurs d'automobiles et les concessionnaires ont déjà lancé plusieurs Auto Mart, mais ces complexes multimarques n'ont pas encore vraiment débarqué au Canada et au Québec. Le Groupe Mach en est encore au «stade préliminaire» avec son Auto Mart, souligne Vincent Chiara. Il n'en a pas moins intéressé une bonne douzaine de concessionnaires et de constructeurs d'automobiles «d'Allemagne, du Japon, de l'Amérique du Nord». Le président précise qu'il n'a encore conclu aucun contrat avec eux, seulement «des ententes de principe et des lettres d'intention». Le Groupe Gravel Auto, qui possède une dizaine de concessions, fait partie des intéressés, confirme le président, Jean-Claude Gravel. Il déménagerait à l'Auto Mart les concessions qu'il exploite à la Place-Ville-Marie, à L'Île-des-Soeurs et sur le boulevard Décarie. Vincent Chiara n'aménagera toutefois à l'Auto Mart que des salles d'exposition et des locaux pour lancer de nouveaux véhicules, car la Ville ne veut pas de terrains de stationnement à perte de vue sur l'autoroute Bonaventure. Les concessionnaires vont garder leurs stocks de véhicules à leurs autres installations ou à proximité de l'ex-Alstom, dont les locaux seraient transformés en ateliers mécaniques, avec 150 employés, pour servir aussi les parcs d'automobiles, la nuit. «Aussitôt qu'il pourra racheter le terrain et obtenir de petites modifications au zonage», Vincent Chiara veut travailler sur les plans pour ouvrir le chantier dès 2009, assure-t-il. Un terrain contaminé Pourtant situé à un endroit stratégique, le Technoparc de l'autoroute Bonaventure n'a pas facilement trouvé preneurs chez les industriels car son terrain contaminé a subi du remplissage et n'a donc pas une grande capacité portante. Ce sont plutôt les studios de cinéma Mel's, Téléglobe et Bell Mobilité qui se sont installés à proximité du futur Auto Mart. Le terrain convoité devrait donc coûter moins cher et Vincent Chiara a prévu des concessions sur pieux et dalles de béton autoportantes. Chaque salle d'exposition coûtera de 200$ à 250$ le pied carré, soit 4 millions pour des locaux de 20 000 pieds carrés, à multiplier par 10 ou 15 concessionnaires. Vincent Chiara souligne qu'Auto Mart attirera surtout de nouvelles concessions et quelques déménagements. À terme, l'autoroute Bonaventure doit être déplacée en retrait du fleuve et le trafic visé passera ainsi derrière l'Auto Mart.Vincent Chiara va donc construire des concessions avec deux façades, à un coût plus élevé, mais avec une architecture plus conforme à un emplacement de choix. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080411/LAINFORMER/804110644/5943/LAFRONTPAGE
  8. Publié le 02 septembre 2009 à 06h58 | Mis à jour à 07h03 Le mont Royal devient un enjeu électoral Sara Champagne La Presse Un ambitieux projet de clinique médicale en plein flanc du mont Royal est passé à un cheveu de devenir l'un des enjeux majeurs de la campagne électorale au centre-ville, hier soir. Mais les élus ont in extremis donné raison aux citoyens et à l'organisme Les Amis de la montagne, qui s'insurgent contre le projet. Du moins jusqu'à la prochaine séance du conseil d'arrondissement de Ville-Marie, prévue début octobre. Au cours d'une assemblée qui a donné le ton à la campagne électorale dans l'arrondissement de Ville-Marie, les élus ont retiré à la dernière minute une résolution afin de changer la vocation d'un projet résidentiel en un lieu de pratique pour 125 médecins de l'Hôpital général de Montréal, affilié au Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Trois élus ont appuyé la décision de retirer le projet, contre un, Karim Boulos, conseiller indépendant, vivement opposé au projet qui aurait préféré le garder à l'ordre du jour. Pas plus tard qu'hier, une consultation publique était pourtant encore prévue à l'agenda des élus du centre-ville, soit le 10 septembre prochain. Même que le maître d'oeuvre des plans architecturaux, Claude Marcotte, de Daniel Arbour et associés, également derrière la transformation de Marianopolis, devait mener une présentation. En fin de journée hier, lors d'un entretien avec La Presse, le président du groupe immobilier Mach, Vincent Chiara, a convenu qu'il y avait beaucoup de grogne de la part des citoyens du district Peter-McGill, vivant aux abords de l'Hôpital, avenue Cedar. «On a parlé aux citoyens, a-t-il dit. Le stationnement les inquiète, la circulation et le changement de vocation aussi. On comprend les citoyens. On va faire le travail nécessaire.» Selon les plans déposés à l'arrondissement, dont La Presse a pu prendre connaissance, la direction du CUSM a conclu une entente de principe afin de louer à long terme le projet du Groupe Mach, dont l'enveloppe de quatre étages a déjà été érigée, avec stationnement souterrain d'une centaine de places. Au départ, quand le projet a été approuvé, en 2007, il était question de construire 64 unités résidentielles de luxe, nécessitant un investissement d'environ 30 millions. Ce n'est pas la première fois que le terrain du Groupe Mach, dans la montagne protégée, divise élus et citoyens. Avant d'être approuvé, le projet avait fait l'objet de trois référendums. Chaque fois, l'arrondissement a eu assez de signatures des résidants pour exiger du promoteur qu'il refasse ses devoirs. La construction a finalement débuté en 2007-2008, après huit ans de pourparlers avec la Ville. Par ailleurs, à mesure que les élections approchent, les échanges sont de plus en plus musclés dans Ville-Marie. Cinq élus provenant de trois partis municipaux, dont le maire et un indépendant, siègent à la même table. Au moment de mettre sous presse, la séance promettait de se poursuivre jusqu'à tard en soirée.
  9. Je crois que quelqu'un a poste un document sur ce gars recement: Vincent Chiara André Dubuc, les affaires 11:34 Pour en savoir plus Autres textes : Groupe Mach Articles de l'industrie Envoyer à un ami Imprimer cet article Écrire à l'auteur Le locateur est le Groupe Mach, appartenant à Vincent Chiara. Photo : Groupe Mach La Ville de Montréal a conclu une entente de 10 M$ avec un propriétaire immobilier, Vincent Chiara, qui a organisé une activité de financement pour le parti de Gérald Tremblay en 2005. En août 2007, la mairie de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension signait de gré à gré un bail d’une durée de dix ans au 405, rue Ogilvy, à l’extrémité ouest de l’arrondissement, dans le quartier Parc-Extension. La mairie locale y occupe autour de 45 000 pieds carrés. Les engagements financiers frisent les 10 millions de dollars sur la durée du contrat. Le locateur est le Groupe Mach, appartenant à Vincent Chiara. Avocat, partenaire des familles Saputo et Lieberman, M. Chiara est devenu un acteur incontournable de la scène immobilière à Montréal. Il est aussi un ami du parti du maire Gérald Tremblay. Il a organisé une activité de financement à Laval ayant rapporté 54 000 $ à Union Montréal en 2005. Le propriétaire a payé l’immeuble 8 millions en juin 2006. « Avec notre bail, on paie son bâtiment », fait remarquer Anie Samson, mairesse de l’arrondissement. Membre de l’opposition, minoritaire dans son propre conseil, Mme Samson s’est opposé au déménagement parce que, pour elle, la priorité allait au réinvestissement dans les infrastructures. Elle critique aussi la situation géographique du 405, Ogilvy, trop excentrique par rapport au centre de l’arrondissement. Une décision légale Le ministère des Affaires municipales et des régions a confirmé la légalité du contrat dans une lettre dont nous avons obtenu copie. Cette décision coûtera plus cher aux contribuables de l’arrondissement. Les élus locaux ont en effet demandé sans succès à la ville centre des crédits additionnels récurrents de 271 443 $ à compter de 2009 pour absorber la différence dans les coûts de location. À la suite de ce refus, l’arrondissement devra éponger seul la facture. Pas de surcoût, selon l’arrondissement Le directeur de l’arrondissement soutient à l’opposé que le nouveau bail n’entraînera pas de déboursés additionnels. Du même souffle, il défend le bien-fondé du contrat avec M. Chiara. « Si vous faites une analyse comparative du coût payé au pied carré du bâtiment qu’on occupe versus toutes les autres mairies d’arrondissement qui se sont implantées, vous allez voir que le prix qu’on paie est nettement inférieur », dit Stéphane Chénier, directeur d’arrondissement, dans un entretien. Le directeur affirme que les économies découlant de la centralisation des activités en un lieu unique viendront en bonne partie compenser le surcoût à titre de loyer. De plus, la Ville peut revendre les immeubles municipaux devenus excédentaires avec le départ du personnel de l’arrondissement. La vente du 2525 Jarry Est et d’un terrain voisin permet ainsi à l’arrondissement d’engranger environ un million de dollars dans ses coffres. Un coût en évolution Cependant, M. Chénier ne peut nous dire combien exactement la mairie va payer pour son nouveau bail. « Il reste encore des hypothèses de coûts d’aménagement qui ne sont pas complétées. C’est sûr qu’il y a eu une augmentation du prix des matières premières qui va se répercuter sûrement sur le coût du bail. » Qui plus est, l’arrondissement assumera toute augmentation de taxes et des frais d’exploitation pour la durée du bail. « Pour l’instant, le coût revient à un dollar de moins au pied carré que ce qu’on payait avant dans le locatif privé. Mais on loue dans le privé plus de pieds carrés qu’avant », ajoute-t-il. Avant le regroupement au 405, Ogilvy, l’effectif de 140 personnes était dispersé dans deux immeubles municipaux et dans bureaux privés. Le bureau des élus, par exemple, était situé au 529, rue Jarry Est, propriété de Pierre Kadijevic. Ce dernier avait obtenu le contrat par appel d’offres public en 2002. Il se dit outré par la façon de faire de l’arrondissement. Il croit qu’on s’est servi de lui pour justifier le contrat conclu avec le Groupe Mach. Pourquoi un contrat de gré à gré ? Au fait, pourquoi l’arrondissement n’a-t-il pas procédé par appel public pour ainsi s’assurer d’obtenir le meilleur prix ? M. Chénier rappelle que les élus de l’arrondissement lui ont donné le mandat en mars 2007 de trouver un local répondant à l’ensemble des besoins avant que les baux du privé n’arrivent à échéance le 31 décembre 2007. « On est allés à la solution optimale, qui était réalisable dans les délais qu’on avait, au meilleur coût possible. », se défend-il aujourd’hui.
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