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  1. Création de 500 emplois sur cinq ans dans le secteur de l’environnement au Québec. Montréal, le 2 décembre 2015 – Afin de satisfaire les besoins du marché québécois de la collecte, du transport et du traitement des matières résiduelles, Derichebourg Environnement annonce l’implantation de son siège social nord-américain à Montréal. L’entreprise prévoit créer 500 emplois au Québec, et ce, au cours des cinq prochaines années. Le leader européen de la collecte des déchets ménagers rassemblera notamment au sein de sa nouvelle filiale les ressources matérielles et humaines dédiées à la collecte des déchets ménagers sur deux arrondissements de la Ville de Montréal, soit Rosemont–La Petite-Patrie et Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. L’annonce a été faite par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, en mission en France dans le cadre de la tenue de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21), qui se tient du 30 novembre au 11 décembre à Paris. « Les collectivités doivent faire face à une réduction de budget pour la collecte de déchets, tout en améliorant leurs services aux usagers. C’est pourquoi les municipalités doivent trouver des prestataires capables d’innover et de présenter des offres concurrentielles », a déclaré M. Thomas Derichebourg, président de Derichebourg Canada Environnement. « C’est dans cette optique que Derichebourg Environnement désire accélérer son développement à l’international et plus particulièrement au Canada, en faisant de sa filiale montréalaise la plus importante en Amérique du Nord au sein du Groupe. » Derichebourg s’est engagé dans une politique de recherche et développement à long terme visant à mettre en place des filières pérennes de traitement des biens en fin de vie, respectant et même dépassant les objectifs de valorisation fixés par les directives européennes. « Avec l’arrivée d’un nouveau joueur comme Derichebourg, la métropole québécoise renforce sa position dans la valorisation des matières résiduelles et le développement des compétences dans la collecte et le traitement des déchets », a déclaré M. Denis Coderre, maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal. « La Ville de Montréal priorise toujours des services publics efficaces et efficients, essentiels pour assurer la croissance économique, générer le plus de bénéfices possible pour la collectivité et optimiser le bien-être de tous les citoyens », a-t-il ajouté. Montréal International, en collaboration avec Investissement Québec, a soutenu la société française Derichebourg dans son implantation dans la région. « Le marché de la collecte et du traitement des déchets est en pleine croissance dans le monde. Le Grand Montréal pourra dorénavant compter sur l’expertise ciblée et à l’avant-garde d’un nouvel acteur reconnu en Europe, qui pourra partager son savoir-faire avec des partenaires académiques, institutionnels et industriels au Québec », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. « Cette implantation vient renforcer l’économie du Québec et de la grande région montréalaise. De concert avec nos partenaires en prospection, nous avons eu l’occasion d’entretenir des échanges fructueux avec Derichebourg, qui ont permis de mettre en valeur avec succès nos avantages concurrentiels. Cette relation est appelée à se développer et nous comptons bien accompagner l’entreprise dans son développement au Québec », a conclu M. Pierre Gabriel Côté, président-directeur général d’Investissement Québec. Mentionnons que Derichebourg Environnement dispose d’opérations dans toute la France (Paris, Ile de France, Marseille, Caen), en Italie (Turin, Milan, Florence, Sardaigne), au Maroc (Rabat, Marrakech), et à l’Ile de la Réunion dans l’Océan Indien. À propos de Derichebourg (http://www.derichebourg.com) Le Groupe Derichebourg est un acteur majeur, au plan international, des services aux entreprises et aux collectivités. Avec un chiffre d’affaires 2014 de 2,56 milliards d’euros, l’entreprise compte aujourd’hui 28 000 collaborateurs dans le monde, répartis dans 14 pays et sur 3 continents. Derichebourg propose une gamme complète et intégrée de prestations dans deux secteurs d’activités complémentaires et à travers deux entités distinctes : Derichebourg Environnement. Services à l’environnement : recyclage et valorisation des biens en fin de vie, collecte & gestion des déchets industriels et ménagers, propreté urbaine. Derichebourg Multiservices. Services aux entreprises (multiservices) : propreté, énergie, aéronautique, intérim, accueil, manutention, milieux sensibles. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/derichebourg-implantation-siege-social-nord-americain-dans-le-grand-montreal/
  2. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/banque-industrielle-commerciale-chine-montreal/ Bonne nouvelle, évidemment, mais l'histoire ne dit pas ou ils vont s'installer.
  3. Louis Vuitton renonce à un projet de luxe à Tokyo 16 décembre 2008 - 08h20 Agence France-Presse Le groupe français de luxe Louis Vuitton a renoncé à ouvrir un immeuble de boutiques dans le quartier chic de Ginza à Tokyo, sur fond de récession, ont annoncé mardi le maroquinier et le promoteur immobilier. «La société n'est pas parvenue à un accord sur ce projet», a simplement déclaré une porte-parole s'exprimant au nom de LVJ Group KK, nom de la succursale de Louis Vuitton au Japon. Le promoteur immobilier japonais Hulic, chargé de la construction de l'immeuble de 12 étages, a indiqué que Louis Vuitton avait eu l'intention d'ouvrir des magasins «sur presque la totalité de la superficie de près de 12 000 m2». Selon le journal économique Nikkei, l'immeuble, qui doit ouvrir en 2010 sur l'une des artères commerçantes de Ginza, devait dépasser en surface l'immeuble Louis Vuitton de Paris, le plus grand du monde. Click here to find out more! «D'après ce que nous savons, la société a annulé le projet à cause de ses propres conditions économiques», a déclaré un porte-parole de Hulic. «Nous allons construire l'immeuble comme prévu, en invitant d'autres candidats à la location», a-t-il ajouté. Le porte-parole a souligné que le promoteur n'avait pas d'inquiétude concernant le taux de remplissage de l'immeuble, grâce à sa localisation, mais n'a pas voulu dire s'il allait réclamer des réparations au maroquinier français. Le numéro un mondial du luxe LVMH (Moet Hennessy-Louis Vuitton) a vu ses ventes au Japon chuter de 7% au cours des neuf premier mois de l'année, selon le Nikkei. Louis Vuitton a par ailleurs abaissé ses prix au Japon de 7% en moyenne depuis le 1er décembre, pour les adapter aux variations de l'euro qui s'est déprécié de 30% face au yen depuis septembre. Nombre d'analystes prédisent deux années de récession pour le secteur du luxe, pour la première fois en six ans. La banque japonaise Nomura estime que les ventes mondiales des géants du luxe devraient reculer en moyenne de 4% en 2009 et de 3% en 2010.
  4. MONTRÉAL - En l'honneur de Jean Béliveau, décédé le 2 décembre, la Banque CIBC a allumé les lumières de certains étages de son siège social de Montréal de façon à former le chiffre 4, soit le numéro porté par l'ancien célèbre capitaine des Canadiens de Montréal. Les quatre côtés du gratte-ciel situé sur le boulevard René-Lévesque, visible d'un peu partout au centre-ville, étaient illuminés de cette façon, samedi soir. «M. Béliveau était l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, mais aussi un homme exceptionnel qui a embelli la vie de bien des gens dans la province et au Canada, a déclaré Victor Dodig, président et chef de la direction de la Banque CIBC, dans un communiqué. Nos employés cherchaient une façon appropriée de lui rendre hommage.» L'homme derrière cette idée est Luc Grenier, un conseiller en placement. http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/canadiens/archives/2014/12/20141206-220113.html
  5. http://www.newswire.ca/fr/story/1120355/avec-l-appui-de-montreal-international-le-groupe-alten-s-implante-dans-le-grand-montreal-et-annonce-la-creation-de-200-emplois Avec l'appui de Montréal International - Le Groupe ALTEN s'implante dans le Grand Montréal et annonce la création de 200 emplois MONTRÉAL, le 26 févr. 2013 /CNW Telbec/ - Le Groupe ALTEN, leader européen de l'ingénierie et du conseil en technologies (ICT), implante son siège social canadien dans le Grand Montréal. Actuellement reconnu comme l'un des meilleurs employeurs de France et certifié « Top Employeurs France 2013 », le Groupe ALTEN prévoit de créer plus de 200 emplois spécialisés dans la métropole québécoise, et ce, d'ici les trois prochaines années. Le Groupe ALTEN, qui compte actuellement 16 000 employés présents dans 16 pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie, soutient les entreprises innovantes dans le développement de leurs activités en R&D et la mise en place de nouveaux systèmes d'information. La nouvelle filiale entend principalement offrir ses services aux entreprises québécoises, canadiennes et nord-américaines œuvrant dans les secteurs de l'aérospatiale et des technologies de l'information et de la communication (TIC). « Nous retrouvons à Montréal tout le savoir-faire du Groupe ALTEN. Il y a ici un bassin de talents pour notre industrie, avec des établissements universitaires et des écoles d'ingénierie de qualité. C'est là un élément clé pour développer et renforcer notre présence canadienne », a déclaré M. Maxime Leca, directeur d'ALTEN Canada. « De plus, la région excelle dans plusieurs domaines technologiques de pointe et offre un environnement d'affaires très compétitif », a-t-il ajouté. Montréal International, qui a notamment le mandat d'attirer dans le Grand Montréal des investissements directs étrangers, a accompagné l'entreprise française dans son projet d'implantation dans la région. « L'arrivée d'un géant européen comme le Groupe ALTEN, qui se spécialise dans un domaine très porteur de l'économie du savoir, met de l'avant le dynamisme de toute la région comme centre d'innovation, de R-D et de haute technologie », a déclaré M. Jacques St-Laurent, président-directeur général de Montréal International. « Les filiales de sociétés étrangères représentent un puissant levier pour le développement économique et le rayonnement de la métropole », a-t-il ajouté. "Le Grand Montréal, qui était en compétition avec d'autres grandes villes canadiennes, s'est également démarqué par son environnement d'affaires nord-américain, sa population francophone et multilingue, et sa proximité des grands centres urbains du nord-est des États-Unis, comme New York, Boston et Washington », a ajouté Maxime Leca. « Montréal est assurément une métropole cosmopolite et ouverte sur le monde. Elle réunit tous les ingrédients propices au succès et au développement des entreprises », a-t-il conclu. Mentionnons que la création d'ALTEN Canada permet de solidifier la présence du Groupe ALTEN en Amérique du Nord, après l'acquisition en 2011 de Calsoft Labs aux États-Unis
  6. Presse Canadienne Le jeudi 15 novembre 2007 Montréal L'éditeur Michel Brûlé a dévoilé une statue en hommage au général Charles de Gaulle devant le bureau des Éditions des Intouchables, à Montréal. L'ex-premier ministre Bernard Landry était présent à ce dévoilement. Pour Michel Brûlé, il était important de commémorer le «Vive le Québec libre» de Charles de Gaulle, un événement marquant dans l'histoire du Québec à ses yeux. Il a déclaré que l'ex-maire Pierre Bourque a refusé cet honneur tandis que le maire actuel de la Ville, Gérald Tremblay, était d'accord en autant que la statue «demeure cachée», selon ses dires. Pour M. Landry, le général de Gaulle a une «importance planétaire». Selon lui, de Gaulle a fait connaître la cause du Québec à travers le monde. M. Landry a déclaré qu'au moment où le général a fait sa célèbre déclaration, des analystes de toutes les villes du monde se sont tournés vers la Belle Province et ont tenté d'étudier et de comprendre la question québécoise.Bernard Landry, l'éditeur Michel Brûlé et Aslan, créateur du buste, posent devant la statue du général Charles de Gaulle.
  7. Haïti et la Syrie face à l'Impact Mardi 02 juin 2009 LA PRESSE CANADIENNE Ajouter Partager Répondez Imprimer La stade Saputo sera l'hôte de trois matchs internationaux au cours des prochaines semaines. (Pépé) MONTRÉAL - L'Impact de Montréal a annoncé la tenue de trois matchs amicaux internationaux au Stade Saputo entre le club montréalais, l'équipe nationale d'Haïti et l'équipe nationale de Syrie. Le premier match opposera Haïti et la Syrie, le samedi 27 juin (15h30). L'Impact affrontera la sélection haïtienne le mercredi 1er juillet (19h30), puis, le mercredi 8 juillet (19h30), la formation montréalaise jouera contre la sélection syrienne. "Ces trois matchs s'inscrivent parfaitement dans la philosophie de notre club de vouloir jouer et promouvoir des matchs internationaux, a déclaré le président de l'Impact et du Stade Saputo, Joey Saputo. Ces rencontres nous permettront de faire la promotion du soccer québécois en collaboration avec les différentes communautés culturelles au Québec. C'est une excellente occasion de montrer notre talent local à la communauté du Moyen-Orient et de renouer avec le soccer haïtien. Nous sommes heureux d'annoncer qu'une partie des fonds recueillis sera remise à la communauté haïtienne." L'équipe nationale d'Haïti, actuellement au 122e rang du classement de la FIFA, participera à la prochaine Gold Cup de la CONCACAF. Il s'agira donc d'une dernière préparation pour la sélection avant son premier match contre le Honduras, le 4 juillet. "Nous voulons remercier l'Impact d'avoir fait les démarches pour organiser ces matchs internationaux, a déclaré le Dr Yves Jean Bart, président de la Fédération haïtienne de football. Nous sommes honorés de cette invitation, qui nous permet de renouer avec une longue tradition d'échanges entre le soccer haïtien et celui de Montréal. Nombreux sont nos compatriotes qui vivent à Montréal. Ils auront l'opportunité d'aller apprécier les talents de notre sélection, fière porte-drapeau d'un pays en souffrance, mais qui veut se réconcilier avec son passé glorieux." L'équipe nationale de Syrie, 99e au classement de la FIFA, prendra part à une tournée en Amérique du Nord. "C'est avec grand plaisir que nous confirmons notre voyage dans la ville excitante qu'est Montréal, a déclaré le Dr. Ahmad Jabban, président de l'Association syrienne de football. Nous avons hâte de jouer pour les supporters de notre héritage arabe et pour tous les amateurs de soccer de Montréal, qui sont de vrais connaisseurs." ============================= Mon billet est déjà réservé pour le match du 8 juillet (section 105).
  8. California Cities Face Bankruptcy Curbs By BOBBY WHITE MAY 28, 2009 As California seeks more funds from its cash-strapped cities and counties to close a $21 billion budget deficit, some state legislators are pushing a plan that could compound municipalities' pain by making it tougher for them to file for bankruptcy. The bill would require a California municipality seeking Chapter 9 bankruptcy protection to first obtain approval from a state commission. That contrasts with the state's current bankruptcy process, which allows municipalities to speedily declare bankruptcy without any state oversight so that they can quickly restructure their finances. The bill, introduced in January, has passed one committee vote and could reach a final vote by mid-July. The bill was sparked by the bankruptcy filing last year of Vallejo, Calif., just north of San Francisco. Vallejo's city leaders partly blamed work contracts with police and firefighters for pushing the city into bankruptcy, and won permission from a bankruptcy court in March to scrap its contract with the firefighters' union. That spurred the California Professional Firefighters to push for statewide legislation to curtail bankruptcy, said Carroll Willis, the group's communications director. "What we don't want is for cities to use bankruptcy as a negotiating tactic rather than a legit response to fiscal issues," he said, adding that he worries cities may work in concert to rid themselves of union contracts by declaring bankruptcy. If the bill passes, it could hurt cities and counties by lengthening the time before they can declare bankruptcy. That creates a legal limbo during which a municipality is more vulnerable to creditors. The proposed state bankruptcy commission would be staffed by four state legislators, which some critics worry could politicize the bankruptcy process. "This bill is impractical," said John Moorlach, a supervisor in Orange County, Calif., which filed for bankruptcy in 1994. "In many instances, haste is important. If you can't meet payroll but have to delay seeking protection, what do you do?" California towns and counties face a catalog of troubles. Earlier this month, voters rejected five budget measures, sending the state deficit to $21 billion. To overcome the gap, Gov. Arnold Schwarzenegger has proposed borrowing $2 billion from municipalities, using a 2004 state law that lets California demand loans of 8% of property-tax revenue from cities, counties and special districts. But that proposal lands as California municipalities are already facing steep declines in tax revenue because of the recession. Dozens are staring at huge deficits, including Pacific Grove and Stockton, which have publicly said they are exploring bankruptcy. Assemblyman Tony Mendoza, a Democrat who introduced the bankruptcy bill, said the initiative is needed to protect the credit rating of California and its ability to borrow and sell bonds. Mr. Mendoza added that he wants to avoid bankruptcy's repercussions on surrounding communities by offering a system that examines all of a municipality's options before filing for bankruptcy. "Municipalities should have a checks and balance system in place based on the fact that all economies are interconnected," he said. Dwight Stenbakken, deputy executive director for the California League of Cities, a nonprofit representing more than 400 cities, said the group is lobbying against the bill because "there's nothing a state commission can bring to the process to make this better." Write to Bobby White at bobby.white@wsj.com
  9. Atze

    Air France 447

    Un avion disparaît Radio-Canada Mise à jour le lundi 1 juin 2009 à 9 h 33 Photo: AFP/Jack Guez - Un Airbus A330 appartenant à Air France, à l'aéroport de Roissy, près de Paris, le 20 juillet 2006. Un Airbus transportant 228 personnes, assurant la liaison entre Rio de Janeiro et Paris, a disparu des écrans radars au large des côtes brésiliennes trois heures et demie après son décollage, vers 22 h 30, heure locale. « Air France a le regret d'annoncer être sans nouvelles du vol AF 447 effectuant la liaison Rio-Paris avec 216 passagers à bord et partage l'émotion et l'inquiétude des familles concernées », a déclaré une porte-parole de la compagnie aérienne française. Foudroyé L'appareil a traversé une zone orageuse avec fortes turbulences à 2 h GMT. Un message automatique signalant une panne de circuit électrique a ensuite été reçu à 2 h 14 GMT, a indiqué Air France. « Le plus vraisemblable est que l'avion a été foudroyé », a déclaré à la presse François Brousse, directeur de la communication d'Air France. « L'avion est entré dans un zone orageuse avec de fortes perturbations qui a provoqué des dysfonctionnements. » Une mission de recherche est en cours aux abords de l'archipel brésilien de Fernando de Noronha, a indiqué l'armée de l'Air brésilienne. Cette dernière précise que l'Airbus a disparu à environ 300 km au nord-est de la ville de Natal. L'hypothèse la plus tragique « sérieusement envisagée » « L'avion n'est certainement plus en vol à l'heure actuelle », a déclaré Pierre-Henri Gourgeon, directeur général d'Air France, lors d'une conférence de presse au siège de la compagnie, à Roissy. « À l'heure où je parle, il n'a plus de réserve de pétrole », a-t-il ajouté. Un peu plus tôt, le ministre Borloo avait déclaré au réseau France Info que « malheureusement, c'est affreux, mais l'hypothèse la plus tragique doit être sérieusement envisagée ». http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2009/06/01/001-AVION-ALERTE.shtml (1/6/2009 9H47) French plane lost over Atlantic BBC Page last updated at 13:35 GMT, Monday, 1 June 2009 14:35 UK An Air France plane carrying 228 people from Brazil to France has vanished over the Atlantic after a possible lightning strike, airline officials say. The Airbus sent an automatic message at 0214 GMT, four hours after leaving Rio de Janeiro, reporting a short circuit as it flew through strong turbulence. It was well over the ocean when it was lost, making Brazilian and French search planes' task more difficult. Charles de Gaulle airport in Paris has set up a crisis centre. "The plane might have been struck by lightning - it's a possibility," Francois Brousse, head of communications at Air France, told reporters in Paris. France's minister responsible for transportation, Jean-Louis Borloo, ruled out hijacking as a cause of the plane's loss. Flight AF 447 left Rio at 1900 local time (2200 GMT) on Sunday. It had 216 passengers and 12 crew on board, including three pilots. The passengers included one infant, seven children, 82 women and 126 men. Details of the passengers' nationalities were not being released immediately but it is believed that a number of Italians and Britons are among the French people and Brazilians aboard. Long search The Airbus 330-200 had been expected to arrive in Paris at 1110 local time (0910 GMT). It is reported to have disappeared 300km (186 miles) north-east of the Brazilian city of Natal. Brazilian air force spokesman Col Henry Munhoz told Brazilian TV it had not been picked up by radar on the Cape Verde Islands on its way across the Atlantic, and confirmed that Brazilian air force planes had left Fernando de Noronha to search for the missing airliner. A French military plane also flew out of Senegal to take part in the search. Mr Borloo said the airliner would already have run out of fuel. "Nothing on Spanish radar, nothing on Moroccan radar, nothing on French radar - we seriously have to fear the worst," he added. Douglas Ferreira Machado, head of investigation and accident prevention for Brazil's Civil Aeronautics Agency, said the search would take "a long time". "It could be a long, sad story," he told Brazil's Globo news. "The black box will be at the bottom of the sea." An Air France spokeswoman said there had been no radio contact with the plane "for a while". TIMELINE Air France Airbus A330-200 believed to be the missing plane - archive image from AirTeam Images Flight AF 447 left Rio at 1900 local time (2200 GMT) on Sunday Airbus A330-200 carrying 216 passengers and at least 12 crew Contact lost 0130 GMT Missed scheduled landing at 1110 local time (0910 GMT) in Paris Crisis centre An Air France official told AFP that people awaiting the flight would be received in a special area at Charles de Gaulle airport's second terminal. Relatives and friends of the passengers have been ushered away from the main arrivals hall, the BBC's Alistair Sandford reports from Paris. "I want to say that everyone at Air France is deeply moved and shares the grief of the relatives of the passengers, and we will do everything possible to help them," said the chief executive of Air France, Pierre-Henri Gourgeon. French President Nicolas Sarkozy expressed deep concern and called on the relevant authorities to do everything they could to find the plane, his office said. Air France has opened a telephone hotline for friends and relatives of people on the plane - 00 33 157021055 for callers outside France and 0800 800812 for inside France. This is the first major incident in Brazilian air space since a Tam flight crashed in Sao Paulo in July 2007 killing 199 people. http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/8076848.stm (1/6/2009 9H54)
  10. Montréal perd un éminent chercheur Mise à jour le lundi 4 mai 2009 à 19 h 32 Un chercheur réputé de l'Université de Montréal annonce qu'il poursuivra sa carrière aux États-Unis. Le Dr Rafick-Pierre Sékaly, qui est bien connu au pays pour ses travaux sur le sida, se dit mécontent des récentes compressions du gouvernement Harper dans la recherche scientifique au Canada. M. Sékaly a accepté le poste de directeur scientifique d'un institut de recherche de Floride, le Vaccine and Gene Therapy Institute. Il amènera avec lui une partie de son équipe de recherche, soit une vingtaine de chercheurs. Le Dr Sékaly maintiendra toutefois certaines activités de laboratoire à l'Université de Montréal. L'occasion d'une vie Outre son insatisfaction en matière de financement au Canada, Rafick-Pierre Sékaly affirme que ce déménagement aux États-Unis constitue pour lui et son équipe une occasion unique. Il a déclaré au quotidien Globe & Mail que sa décision a en partie été motivée par les nouvelles possibilités offertes aux jeunes chercheurs de talent de son équipe. « Ils commencent leur carrière et sont inquiets de leur avenir ici », a expliqué M. Sékaly. Selon lui, les jeunes scientifiques auront de meilleures perspectives d'avenir aux États-Unis, où le président Barack Obama a prévu dans son plan de relance économique une somme de 10 milliards de dollars pour la recherche médicale. Avec son nouveau poste en Floride, le chercheur s'attend d'ailleurs à doubler son budget de recherche actuel. Dans le budget fédéral de janvier, des coupes de 147,9 millions de dollars en trois ans ont été annoncées pour les trois agences qui répartissent les fonds de recherche pour les universités. En mars, un groupe de scientifiques a signé une lettre au premier ministre Harper pour protester contre ces coupes. Malgré le contexte actuel, le chercheur qui a quitté le Liban pour le Canada en 1986 dit que le pays lui a donné beaucoup. « Je ne serais pas où je suis aujourd'hui sans le soutien du Canada », a-t-il déclaré au Globe & Mail.
  11. Critiqué par un comité du Congrès pour la gestion désastreuse de son entreprise, le PDG de l'assureur déclare qu'il n'a pas le choix de verser à ses cadres les juteuses primes, qu'il a qualifiées de «répugnantes». Pour en lire plus...
  12. Komatsu va fermer son usine de Candiac Publié le 05 mars 2009 à 18h52 | Mis à jour le 05 mars 2009 à 18h56 La Presse Canadienne Candiac Le constructeur japonais de machinerie lourde Komatsu America a indiqué jeudi son intention de fermer son usine de Candiac à la fin de septembre, supprimant ainsi 245 emplois. L'entreprise a dit vouloir regrouper sa production dans une usine établie aux États-Unis. «La récession à laquelle nous faisons face force Komatsu à prendre ces mesures afin de demeurer une entreprise viable en Amérique du Nord», a déclaré par voie de communiqué le directeur de l'usine, Normand Poitras. De son côté, le Syndicat des Métallos affirme avoir offert l'intervention du Fonds de solidarité FTQ. «Rien à faire, a déclaré par voie de communiqué Richard Boudreault, permanent du Syndicat des Métallos. Le bureau chef à Tokyo a décidé de consolider ses opérations aux États-Unis. Il n'est pas question d'envisager quelque relance que ce soit. Le Québec est encore sacrifié et ce sont plus de 200 bons emplois syndiqués qui disparaissent.» L'usine de Candiac est le seul site de production canadien de Komatsu. L'entreprise a indiqué que les commandes déjà reçues y seront complétées d'ici la fin juin, et que l'usine fermera définitivement à la fin septembre.
  13. L'assureur américain déclare une perte colossale de 62G$US au 4e trimestre, portant ses pertes à 100G$US pour 2008. Washington, déjà actionnaire majoritaire d'AIG après lui avoir versé 150G$US, est prêt à investir 30G$US de plus. Pour en lire plus...
  14. La Royal Bank of Scotland déclare une perte historique de 43 milliards de dollars pour l'année 2008, soit la plus importante perte nette jamais déclarée par une entreprise britannique. Pour en lire plus...
  15. Le géant américain des médias réduit la valeur de ses actifs de 24milliards de dollars américains et déclare une perte nette de 16 milliards pour 2008. Pour en lire plus...
  16. Le géant pétrolier déclare un bénéfice net de 45,2 milliards de dollars américains pour 2008, une hausse de 11% par rapport à 2007 et un record absolu pour une entreprise cotée en bourse. Pour en lire plus...
  17. Air France ajoute des vols vers Montréal Publié le 30 janvier 2009 à 06h31 | Mis à jour à 06h32 Marie Tison La Presse (Montréal) Alors qu'un bon nombre de transporteurs aériens réagissent au ralentissement économique en réduisant leur capacité, Air France s'engage sur le sentier de la guerre en augmentant de 11% sa capacité sur la liaison Montréal-Paris. Le transporteur veut faire jouer son arme secrète, une multiplication des fréquences. «Je suis encore optimiste», a déclaré le directeur général de la filiale internationale et des Pays-Bas d'Air France-KLM, Erik Varwijk, dans une entrevue accordée à La Presse Affaires hier. L'été dernier, Air France offrait trois vols quotidiens entre Montréal et Paris. L'été prochain, le transporteur offrira un vol additionnel. Il utilisera certains appareils plus petits que ceux de l'année dernière, mais le nouveau vol lui permettra quand même d'offrir une centaine de sièges de plus. M. Varwijk a affirmé que le coefficient d'occupation de l'été dernier justifiait cette décision. Mais il a surtout insisté sur le fait que l'ajout d'un nouveau vol offrait plus de flexibilité aux passagers et leur donnait accès à un plus grand nombre de correspondances à l'aéroport Charles-de-Gaulle, notamment vers l'Afrique et l'Asie. «C'est une façon logique d'attirer de nouveaux clients», a affirmé M. Varwijk. Dans l'ensemble, Air France-KLM n'augmentera pas sa capacité cette année. Si Air France augmente sa capacité vers le Canada, l'Amérique du Sud et l'Afrique, elle la diminue pour l'Inde. «Nous gardons une flexibilité à la hausse et à la baisse, a déclaré M. Varjwijk. Nous pouvons ajouter ou diminuer des fréquences, nous pouvons ajouter ou retirer des appareils.» L'entreprise a notamment retardé la prise de possession de certains appareils, comme des Boeing 777. Par contre, Air France devrait recevoir comme prévu l'été prochain le premier des 12 appareils A380 commandés à Airbus. «L'A380 est encore une bonne idée, c'est encore un avion très efficace», a plaidé M. Varwijk. Air France n'a pas encore déterminé de façon définitive où elle fera voler l'A380, mais ce ne sera pas sur la liaison Montréal-Paris. Encore une fois, il s'agit de faire jouer l'avantage de la multiplication des fréquences. L'utilisation de l'énorme A380 aurait forcé le transporteur à réduire le nombre de vols quotidiens entre les deux villes. M. Varwijk estime qu'Air France-KLM peut compter sur d'autres avantages pour tirer son épingle du jeu dans le contexte actuel. «La situation financière de l'entreprise est solide, a-t-il soutenu. Nous pouvons passer au travers la tempête.» Il a notamment soutenu que, cinq ans après la fusion d'Air France et KLM, il y a encore bien des synergies à aller chercher. L'entreprise n'a fait que commencer à combiner ses équipes de vente à l'échelle mondiale, ses systèmes informatiques et ses équipes d'approvisionnement. En outre, Air France-KLM s'apprête à lancer une coentreprise avec Delta-Northwest, ce qui permettra aux entreprises de partager les revenus liés aux liaisons entre l'Europe et l'Amérique du Nord. «Ce n'est pas quelque chose de nouveau, cela faisait déjà 11 ans que KLM avait formé une coentreprise avec Northwest», a-t-il rappelé. Air France-KLM a également annoncé récemment une prise de participation de 25% dans le transporteur italien Alitalia. «L'avenir est dans la coopération entre les transporteurs», a lancé M. Varwijk. Air France-KLM n'entend cependant pas répondre au ralentissement en adoptant une grille tarifaire à la Air Canada. Le transporteur canadien offre ses différents services à la carte. Le tarif est plus élevé si le passager désire plus de flexibilité, ou s'il veut un repas, ou s'il veut enregistrer des bagages supplémentaires. «C'est quelque chose qu'on voit moins en Europe, a déclaré M. Varwijk. Si les clients veulent ce type de différenciation, nous regarderons l'idée, mais pour l'instant, il n'y a pas une grande demande pour cela.» Par ailleurs, Air France-KLM ne ferme pas la porte à l'idée de commander un jour des appareils de la CSeries, la nouvelle famille d'appareils de 110 à 130 places de Bombardier. M. Varwijk a cependant déclaré que l'entreprise regardait également du côté d'Embraer, et même des nouveaux manufacturiers de biréacteurs régionaux de Russie et de Chine.
  18. Un «moment périlleux» de l'histoire américaine * Presse Canadienne, * 13:10 «Nous n'avons pas à un instant à perdre», a déclaré M. Obama. Les États-Unis sont à un «moment périlleux» de leur histoire, nécessitant une relance rapide de l'économie, a souligné le président américain Barack Obama à quelques heures du vote de la Chambre des représentants. Il s'est dit «confiant» par rapport aux chances d'adoption du texte. "Nous n'avons pas à un instant à perdre", a déclaré M. Obama, qui a reçu à la Maison-Blanche les PDG de plusieurs entreprises. Il a appelé chacun à abandonner "un certain sens de l'irresponsabilité qui a prévalu de Wall Street à Washington". Le président américain a rencontré mardi les représentants républicains de la chambre basse et s'est dit optimiste sur ses chances de faire adopter son plan de relance à 825 milliards $ US par le Congrès. De nouveau interrogé à ce sujet mercredi, il a simplement répondu; "je suis confiant, nous allons le faire adopter". Un porte-parole présidentiel a déclaré mardi soir que le soutien de républicains lui était probablement acquis. "Je pense que nous aurons un soutien républicain pour cette loi", a déclaré Robert Gibbs, sans s'avancer sur l'ampleur de cet appui. Le président, qui plaide pour une politique non partisane bien qu'il dispose d'une majorité aux deux chambres, a rencontré mardi les élus au Capitol, peu après une tentative des chefs de l'opposition à la Chambre des représentants de rassembler leurs troupes contre le plan de sauvetage de la Maison-Blanche. Barack Obama, qui voyait ensuite les républicains au Sénat, s'est montré optimiste. Certes il ne s'attend pas à obtenir "un soutien à 100 pour cent" mais promet de "continuer à accueillir les bonnes idées" de l'opposition et "espère que nous pourrons mettre la politique de côté". Le chef de la minorité républicaine à la chambre basse, John Boehner, a assuré que son camp était impatient de poursuivre le travail avec M. Obama "pour améliorer" le projet de relance économique. Les républicains voudraient que le plan soit davantage consacré à des baisses d'impôts et limite la dépense publique. M. Obama aurait évoqué avec des responsables démocrates la possibilité de lâcher du lest sur une mesure donnant davantage de responsabilités aux Etats régionaux en ce qui concerne la planification des naissances, y compris la contraception, dans le cadre de la couverture de santé fédérale Medicaid destinée aux bas revenus. Dans la soirée de mardi, la commission sénatoriale des Finances a voté pour l'élargissement d'une forte réduction des impôts visant les revenus moyens et élevés. La commission a accepté une proposition mixte qui permet à plus de 20 millions de contribuables d'échapper l'impôt minimum en 2009. La mesure est estimée à environ 70 milliards $ US. Le Congrès doit se prononcer en séance plénière sur le plan de relance dans les prochains jours.
  19. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) pourrait procéder à une nouvelle baisse de sa production en mars à sa prochaine réunion à Vienne si les cours du brut restent à la baisse, a déclaré samedi à Alger le ministre algérien de l'Energie et des mines Chakib Khelil. Pour en lire plus...
  20. Le pessimisme s'installe au Canada Mise à jour le mercredi 7 janvier 2009 à 14 h 08 Réunis à Toronto par l'Economic Club, mercredi, les économistes des grandes banques du pays ont averti les Canadiens que les six premiers mois de l'année seront difficiles. Économie « La première moitié de 2009 sera particulièrement terrible pour le Canada », a déclaré à ce propos l'économiste en chef de la Toronto Dominion, Don Drummond. Selon M. Drummond, si le Canada a été en mesure jusqu'ici d'éviter d'être heurté de front par la crise qui ébranle actuellement les États-Unis, les difficultés américaines devraient rattraper le Canada dès ce trimestre. Il faut ainsi s'attendre, toujours selon ces mêmes économistes, à ce que des dizaines de milliers d'emplois soient perdus au pays et que le taux de chômage grimpe au fil des prochains mois. Du côté de la croissance du produit intérieur brut, il ne devrait pas y avoir de reprises avant le second semestre, voire plus tard, et cette reprise devrait demeurer relativement faible pendant encore plusieurs mois. L'économiste de la Banque de Montréal Sherry Cooper croit toutefois que les politiques monétaires mises en avant par la Banque du Canada à la fin de l'année dernière devraient permettre au Canada de sortir de la récession assez rapidement. Les Canadiens pessimistes Or, il n'y a pas que les économistes des grandes banques qui envisagent des temps difficiles, les Canadiens seraient aussi des plus pessimistes en ce qui a trait à l'économie canadienne. Selon les résultats d'un sondage de la firme Pollara Strategic Insights présenté mercredi aux membres de l'Economic Club of Canada, la confiance des Canadiens à l'égard de l'économie de leur pays atteint son plus bas niveau observé depuis 25 ans. En effet, pas moins de 91 % des Canadiens sondés dans cette étude ont déclaré que le Canada était en récession contre seulement 22 % il y a un an. Consommation au Canada Interrogés sur l'évolution de l'économie canadienne au cours des prochains mois, 57 % des répondants ont déclaré croire que la situation économique va se détériorer au Canada au cours des 12 mois à venir. Au moins 68 % des personnes sondées s'attendent également à ce que l'économie des États-Unis continue elle aussi de se détériorer au cours de l'année à venir. En ce qui a trait à l'emploi, 68 % des répondants s'attendent à une détérioration marquée de l'emploi au pays, alors que 31 % s'attendent à voir un proche ou un membre de leur famille perdre son emploi en 2009. Pour ce qui est des prix, 50 % des Canadiens sondés ont dit craindre une augmentation de l'inflation en 2009, tandis que 80 % d'entre eux craignent plutôt de voir augmenter la dette du Canada. Ils n'étaient que 4 % à exprimer cette crainte il y a un an. En ce qui a trait à leur situation personnelle, 17 % des personnes sondées ont déclaré que leur situation économique s'était améliorée en 2008, 45 % ont affirmé qu'elle était demeurée stable, tandis que 36 % ont noté un recul de leur situation économique personnelle l'an dernier. Méthodologie Ce sondage présenté mercredi aux membres de l'Economic Club of Canada par le président de la firme Pollara Strategic Insights, Michael Marzolini, a été réalisé entre le 11 et le 18 décembre dernier auprès d'un échantillon de 2670 Canadiens et Canadiennes d'âge adulte. Sa marge d'erreur est de plus ou moins 2 %, 19 fois sur 20. Ce sondage est effectué chaque année par la firme Pollara Strategic Insights depuis 1985.
  21. Un déficit de 30 G$ au Canada ? 19 décembre 2008 - 09h55 Agence France-Presse Stephen Harper juge réaliste la mise en place d'un plan de 20 à 30 G$ pour stimuler l'économie. Le Canada va enregistrer l'an prochain son premier déficit budgétaire en plus d'une décennie, qui pourrait excéder les 30 G$, a reconnu dans une entrevue de fin d'année le premier ministre Stephen Harper. M. Harper a dit à la chaîne CTV que le gouvernement pourrait avoir à dépenser jusqu'à 30 G$ US pour tenter de relancer l'économie canadienne, qui vient d'entrer en récession au quatrième trimestre. «Certaines personnes pensent qu'un déficit de 5 à 10 milliards (suffirait pour relancer l'économie). D'après nous, cela sera franchement insuffisant compte tenu des défis auxquels nous faisons face», a-t-il déclaré. «Un plan de l'ordre de 20 à 30 G$ US semble plus réaliste», a-t-il ajouté. Avec de telles dépenses, le déficit pour l'année fiscale 2009-2010, débutant le premier avril prochain, pourrait facilement excéder les 30 G$ US. Mercredi, le ministre des Finances Jim Flaherty avait en effet déclaré qu'il anticipait un déficit budgétaire de quelque 5,9 G$ US pour l'an prochain, sans compter les sommes supplémentaires qui seraient investies pour soutenir l'économie. Élève modèle du G7 en matière de discipline budgétaire, le Canada a enregistré des budgets à l'équilibre ou excédentaires au cours des onze dernières années. Il y a trois semaines encore, M. Flaherty prévoyait de modestes excédents budgétaires pour le Canada pour les quatre prochaines années fiscales. Menacé d'être renversé par l'opposition qui l'accuse d'être resté les bras croisés face à la dégradation rapide de la situation économique, le gouvernement conservateur minoritaire a depuis avancé à la fin de janvier la présentation de son projet de budget en indiquant qu'il comprendrait de nombreuses mesures de relance.
  22. Au terme d'une rencontre avec ses homologues des provinces et territoires, le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, déclare que le Canada connaîtra un déficit en 2009. Pour en lire plus...
  23. La chaîne de magasins britannique Woolworths annonce la fermeture de toutes ses succursales d'ici janvier et le licenciement de ses 27000 employés. Pour en lire plus...
  24. Le voyagiste déclare une perte sur les instruments financiers visant à se protéger des fluctuations du prix du carburant et sur le papier commercial adossé à des actifs. Pour en lire plus...
  25. Tous les ministres de l'OPEP sont d'accord pour une réduction de la production de pétrole, déclare le président de l'organisation. Pour en lire plus...
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