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  1. Voici les 7 propositions lauréates du concours Nordicité, retenues parmi les 36 projets déposés, qui ont été dévoilées le 29 avril à la Cinémathèque québécoise. Pour voir toutes les propositions et consulter le rapport du jury http://aduq.ca/concours-nordicite/ "L’ensemble des propositions permet d’alimenter une réflexion riche qui se poursuivra dans le but de stimuler la créativité en vue de la prochaine saison hivernale. L’ADUQ souhaite ainsi mettre sur pied une série d’évènements, dont le vernissage et un débat, afin que ce concours puisse nourrir en continu la recherche sur le thème. Par la suite, une publication, voire même la réalisation de certaines propositions pourraient être envisageables. Les organisateurs se réjouissent donc de voir que le médium du concours d’idée peut réellement jouer un rôle dans la recherche d’idées novatrices, et alimenter un débat plus concret et imagé."
  2. Lac Mirabel: les appels d'offres sont lancés Jean-Paul Charbonneau 11 août 2006 - 07h31L'audacieux projet Lac Mirabel franchit un important pas vers sa réalisation avec le lancement des appels d'offres pour la réalisation des plans et devis de la future sortie 28 de l'autoroute des Laurentides (15) qui lui procurera un accès direct. Les voies du viaduc qui surplombe la voie rapide à cet endroit seront doublées afin de permettre une meilleure circulation. C'est après presque deux ans de pourparlers que les municipalités de Mirabel et de Blainville et le ministère des Transports du Québec ont signé une entente tripartite sur le financement des travaux de construction de près de 12 millions de dollars qui commenceront au plus tard en avril prochain. La direction de Lac Mirabel a été consultée par la Ville de Mirabel, désignée comme maître d'oeuvre, et le MTQ. Cette décision était attendue avec impatience par les promoteurs de ce mégaprojet unique qui nécessitera des investissements de l'ordre de 425 millions de dollars. Lac Mirabel, qui devrait être terminé en 2008, a déjà loué la très grande majorité de ses locaux commerciaux. Cette nouvelle sortie et ses bretelles d'accès aideront également au développement des deux municipalités. Du côté de Mirabel, l'administration municipale compte agrandir le parc industriel. «Notre parc industriel actuel est rempli, il est urgent de procéder à un agrandissement afin de poursuivre notre développement. La demande est très forte», a mentionné le maire de cette municipalité, Hubert Meilleur. À Blainville, l'aménagement décongestionnera la sortie 25 en plus de favoriser le développement dans la partie nord de la ville de 47 000 habitants. «Notre parc industriel va profiter également de ce futur aménagement. Il était temps qu'une entente intervienne pour les deux municipalités», a indiqué le directeur général de Blainville, Paul Allard. Lors de l'entretien, M. Meilleur a déclaré que le projet Lac Mirabel n'entre aucunement en compétition avec le Faubourg Boisbriand (ancien site de General Motors) présentement en construction au carrefour des autoroutes 15 et 640, le centre commercial Place Rosemère et la série de magasins que l'on retrouve le long de la 15 à Saint-Jérôme; bien que le tout se trouve dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres. De plus, il existe un vaste projet pour le site de l'ex-aéroport de Mirabel qui comportera notamment des glissades d'eau d'un nouveau type. ----------------------------------------- The Lac Mirabel development, which will encompass more than 14 million square-feet and include 2.2 million square-feet of retail space. Le projet lac mirabel sera le plus gros en terme de superficie, mais pas le plus gros en terme d'espaces à louer. Source: deuxième communiqué posté sur ce fil. Le super centre d'achats de Dubaï aura 9.6 millions de pieds carrés de locatif pour magasins sur un terrain de 12.1 millions de pieds carrés. De loin le plus gros en terme d'espaces à louer. Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Dubai_Mall Les chiffres indiqués ici représentes les espaces à louer et non la superficie totale.
  3. Je ne sais pas quel âge a ce projet, mais il est fort probablement plus vieux que 2002. Ce n'est pas une proposition pour le concours de l'OSM. Nomade avait proposé un projet différent de celui-ci! ----------------------------------------------------------------------- Localisation : Montréal, Québec client : Ivanhoé Cambridge Réalisation de NOMADE. Situé dans le Quartier des spectacles Montréal, la solution propose un projet d'ensemble comprenant un hôtel de 250 chambres, des espaces de bureaux, des espaces commerciaux, une salle de spectacles d'une capacité de 2 500 places, de même que la Maison des festivals et d'une agora extérieure pour accueillir les grands évènements montréalais se déroulant autour de ce périmètre. Le parti mise sur une signature architecturale audacieuse et sur une ouverture de l'îlot sur les rues adjacentes, afin de favoriser les circulations.
  4. Condos urbains U30 Illustration fournie par Les Placements Alto 10. Condos urbains U30 9125, rue Airlie (près de la 80e Avenue) 30 appartements en copropriété Promoteur et constructeur: Les Placements Alto Un Architecture Superficie: de 1090 à 1442 pieds carrés. Prix: d'environ 210 000$ à environ 278 500$ (taxes en sus, une place de stationnement intérieur incluse). La construction devrait commencer en mars. Le complexe sera construit à l'emplacement d'un ancien édifice commercial qui sera démoli sous peu, entre une garderie et un duplex. Il comptera trois étages au niveau de la rue et sera surmonté de six mezzanines, en retrait. L'édifice sera en forme de U afin d'aménager une cour intérieure. Les futurs copropriétaires auront une vue sur le jardin et jouiront ainsi d'une plus grande quiétude. Ceux qui occuperont l'étage supérieur pourront voir le fleuve Saint-Laurent. Une terrasse, par ailleurs, sera aménagée sur le toit. Les stationnements seront souterrains. Les futurs copropriétaires devraient emménager en août prochain. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  5. Le Journal de Montréal 16/05/2007 Plus d'arbres et la fin du développement immobilier. C'est ce que le plan de protection de la Ville de Montréal prévoit pour l'avenir du mont Royal. La Ville a ainsi décidé de mettre sous son aile pratiquement tous les espaces verts de l'arrondissement historique et naturel. On prévoit ajouter entre 50 et 60 hectares de forêts afin de connecter les boisés déjà existants comme le parc Summit. Ces nouvelles règles permettront, espère la Ville, de protéger les espèces végétales et animales présentes dans le parc, dont la cinquantaine d'oiseaux nicheurs et la demi-douzaine d'amphibiens et de reptiles. Les terrains jouxtant les maisons cossues situées aux abords du parc seront répertoriés en vue d'une protection réglementaire. De nouvelles normes obligeront également les autorités à ajouter une zone tampon de 30 mètres entre les boisés et la vie urbaine. Les vues aussi Même les vues du mont Royal et les points de vue depuis la montagne jouiront d'un bouclier. La Ville a identifié 85 vues et elle visera à empêcher que des constructions au centre-ville ne viennent les obstruer. Il y aura également un resserrement des règles pour les maisons et les bâtiments collés au mont Royal afin de préserver l'aspect patrimonial de ces propriétés et pour rendre pratiquement impossibles les constructions d'envergure. «Ce plan nous donne des outils qui innovent autant sur le plan scientifique que sur celui de la gestion urbaine et des espaces verts», a souligné la responsable de ce dossier au conseil exécutif de la Ville de Montréal, Helen Fotopulos. L'identité montréalaise Des fonctionnaires de la ville ont passé une bonne partie de la journée d'hier à présenter ce plan d'action aux membres de la Table de concertation du Mont-Royal. Formé en 2004, cet organisme avait pour mandat de conseiller la Ville dans la mise en valeur du site et ce plan d'action est l'aboutissement de leur réflexion. «Le mont Royal est un élément central de l'identité de Montréal et nous devons le protéger au nom des citoyens, des visiteurs et des générations futures», a indiqué le président de l'organisme, Claude Corbo. Le nouveau plan de la Ville donnera une protection à 423 hectares du mont Royal, soit 57 % de sa superficie. La ville soumettra son plan lors d'audiences publiques l'automne prochain.
  6. Et oui, un ''nouveau'' quartier qui se défini peu à peu. C'est un endroit bien situé qui mérite de se développer alors j'espère que cela va continuer afin de densifier davantage. http://www.orbitat.ca/index.php
  7. Images: Guide Habitation Site web: Projet Rive Gouin Danielle Bonneau La Presse Le 16 mars 2012 Magasiner avant d'acheter son condo Cette fin de semaine et la fin de semaine prochaine, les promoteurs de 80 projets résidentiels profiteront des Week-ends visites libres à Montréal pour mieux faire connaître leurs complexes. Certains ont mis les bouchées doubles, cette semaine, afin d'être prêts pour cette vaste campagne de promotion de l'habitation neuve. C'était le cas à Montréal-Nord, où le tout nouveau bureau des ventes du Rive Gouin III ouvre ses portes samedi. Le promoteur et constructeur, Rive Gouin 2, tenait à participer à l'événement afin d'attirer l'attention sur l'immeuble de 20 étages qu'il se propose de bâtir sur la berge de la rivière des Prairies, près de l'hôpital Marie-Clarac. La peinture est également toute fraîche dans le pavillon des ventes de MUV Condos, situé à l'intersection de la rue Molson et du boulevard Saint-Joseph Est, dans Rosemont. «Nous avons devancé l'ouverture officielle du pavillon pour coïncider avec le premier Week-end visites libres, précise Kayla Samuels, vice-présidente, marketing et ventes chez Développement MAP. Le projet suscite tellement d'intérêt, il fallait en profiter.» Non loin, le bureau des ventes du Angus Avenue du Mont-Royal est également inauguré samedi, rue Anne-Hébert, au sud de la rue Sherbrooke Est. «C'est la meilleure vitrine qu'on peut avoir», estime Patrick Côté, un des administrateurs du Groupe Axxco. Le Groupe Cholette, quant à lui, présente pour la première fois les appartements du Angus Nord, ainsi que les 163 unités du Zéro 1, récemment remises en vente, dans le complexe Zéro 1, à l'intersection des boulevards Saint-Laurent et René-Lévesque. Parmi les autres projets lancés en fin de semaine, notons Sfère Condos (dans Ahuntsic), Phoenix Homa (dans Hochelaga-Maisonneuve) et Marconi Condos Urbains (dans Villeray). «C'est la folie furieuse! , s'exclame l'organisateur de la campagne, Jacques Beaulieu. Les 80 projets participants représentent environ le tiers des projets actuellement offerts dans l'île de Montréal et près de la moitié des promoteurs. On est loin des six projets inscrits la première année, en 1996!» Le grand avantage? Pendant ces deux week-ends, les visiteurs peuvent se rendre d'un bureau des ventes à un autre sans prendre de rendez-vous et comparer ce qui est proposé. «Cela facilite le magasinage, précise M. Beaulieu. L'an dernier, la campagne de promotion s'est soldée par 12 000 visites dans les divers bureaux des ventes.» Dans Le Triangle, un quartier en transformation situé à proximité des stations de métro Namur et De la Savane, dans Côte-des-Neiges, quatre projets à distance de marche les uns des autres sont inscrits: Condos Rêve, Condos Vue, Luz Condos et Rouge Condominiums. Les 120 appartements de la phase 4 de Condos Vue sont d'ailleurs mis en vente officiellement aujourd'hui, dans un condo-témoin fraîchement aménagé. «C'est fait exprès, pour profiter de la visibilité», explique Richard Varadi, chargé de projets au sein du Groupe Canvar. [...] Article: http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201203/16/01-4506233-magasiner-avant-dacheter-son-condo.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO23_maison_3732_accueil_POS1
  8. Hôpital Pierre-Boucher : l’urgence devra être agrandie de 300% Le projet pourrait dépasser les 100 M$ Alexandre Lampron Le Courrier du Sud Politique - 26 janvier 2012 à 16:00 LONGUEUIL. Une évaluation des besoins cliniques de la clientèle du territoire du CSSS pierre-boucher jusqu’en 2020, conjuguée à de meilleures pratiques à mettre en place en matière de soins et services, amène l’hôpital à envisager un agrandissement et un réaménagement de son urgence. Après avoir reçu l’aval du conseil d’administration, le 24 janvier, la direction du Centre de santé et services sociaux (CSSS) s’apprête à déposer le projet aux autorités ministérielles au cours des prochaines semaines. Ces dernières devront donner leur autorisation à la réalisation du projet, à la confection des plans et devis et à la construction. «Nous devons réalistement compter quelques années d’ici à la première pelletée de terre, a avoué Donald Hainault, directeur du programme-clientèle santé physique médecine. Une fois toutes ces étapes franchies, la construction devrait s’échelonner sur environ quatre ans, et ce, sans bris de services pour notre clientèle.» Un projet de 100 M$ Si l’établissement devait se limiter à l’agrandissement de l’urgence, qui consiste à la rénovation du bâtiment existant, M. Hainault soutient que cela nécessiterait des investissements de moins 100 M$. Par contre, le projet d’ensemble nécessiterait des ajouts de lits afin de répondre plus adéquatement à la demande croissante. Ce faisant, le projet pourrait alors dépasser les 100 M$. Le projet envisagé par le CSSS pierre-boucher consiste à tripler la surface actuelle de l’urgence, afin de se conformer aux normes en vigueur au ministère de la Santé et des Services sociaux. M. Hainault affirme que l’environnement physique actuel peut comprendre certains risques pour la qualité des services offerts à la population, voire pour la sécurité et la prévention des infections. Rappelons qu’il y a plus d’un an, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, avait donné le feu vert à l’établissement à élaborer un plan fonctionnel et technique (PFT), qui permet d’établir les besoins précis pour les 15 ou 20 années à venir, à l’aide chiffres et de projections, en vue d’un éventuel agrandissement et de l’aménagement de l’urgence. Une pression supplémentaire Les données recensées par l’établissement tendent à démontrer que l’urgence représente une des plus importantes en volumétrie au Québec et que ses installations, qui ont une superficie actuelle de quelque 1100 m2, sont vétustes. L’établissement doit également composer avec une desserte du territoire qui ne cesse de croître. «Lorsque l’urgence a ouvert ses portes en 1982, elle a été conçue afin de répondre à un volume d’activités de 20 000 visites par an. Aujourd’hui, nous avons près de 53 000 visites chaque année. Bien qu’elle ait été agrandie en 2002 dans le but d’y ajouter 12 civières d’observation, portant le nombre à 35, la salle d’urgence demeure trois fois trop petite en regard des normes ministérielles recommandées», a indiqué M. Hainault. Certains secteurs, tels que la radiologie, l’imagerie médicale et la pathologie, ont déjà atteint des limites qui nécessitent des ajustements, en raison entre autres du vieillissement de la population et du rapatriement de services autrefois dispensés à Montréal.
  9. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2011/08/02/montreal-remix-ou-la-ville-selon-les-montrealophiles/
  10. Le Centre Saint-Pierre réalisera, au cours de la prochaine année, des études de préfaisabilité Une étude de marché a déjà été réalisée pour le volet hôtelier du projet de requalification Steeve Duguay/Métro L'église Saint-Pierre Apôtre JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 13 décembre 2010 15:55 Mis à jour: 13 décembre 2010 16:33 L’îlot Saint-Pierre-Apôtre, situé dans le quadrilatère formé des rues Panet, de la Visitation, Sainte-Rose et du boulevard René-Lévesque, pourrait connaître une deuxième vie. Le Centre St-Pierre, qui forme l’îlot avec l’église Saint-Pierre Apôtre et le presbytère de la rue de la Visitation, réalisera au cours de la prochaine année des études de préfaisabilité qui, si elles s’avèrent concluantes, pourraient mener à un projet de requalification évalué à près de 30 M$. «Les Oblats, qui sont propriétaires de l’îlot Saint-Pierre, nous ont dit, il y a deux ans, qu’ils ne pourraient plus continuer de s’occuper des bâtiments et qu’ils voulaient se départir de l’ensemble du quadrilatère, a expliqué le DG du Centre St-Pierre, Raymond Levac. Ils nous ont mandatés pour trouver une vocation aux bâtiments pour que ce soit rentable et que le projet poursuive la mission sociale, culturelle et spirituelle des Oblats.» Le projet hôtelier, qui prendrait forme dans le presbytère, est, pour le moment, le plus avancé. Une étude de marché a déjà été réalisée et sera analysée au début de l’année 2011 par un comité de travail qui réunit, entre autres, le Fonds FTQ, le Chantier de l’économie sociale et la Caisse d’économie solidaire. «L’étude est positive, a affirmé M. Levac. Il faudra voir si les bailleurs de fonds considèrent aussi qu’elle est concluante.» Une étude de marché sera également réalisée pour le Centre St-Pierre afin de déterminer s’il y a lieu d’augmenter sa capacité d’accueil. Le stationnement du centre pourrait quant à lui devenir sous-terrain, ce qui permettrait l’aménagement d’un jardin en surface. Enfin, l’église Saint-Pierre Apôtre fera l’objet d’études acoustiques afin de déterminer si elle peut accueillir davantage d’événements culturels et de concerts. Le sous-sol de l’église pourrait également être aménagé afin de loger des artistes. Le comité exécutif de la Ville de Montréal a approuvé, la semaine dernière, une aide financière de 127 500 $ au Centre St-Pierre afin de lui permettre de mener à bien ses études. Échéanciers Selon le calendrier envisagé par le Centre St-Pierre, un projet complet devrait être présenté à la fin de l’année 2012. Le transfert de propriété devrait aussi être complété en 2012. Les Oblats souhaitent vendre leurs bâtiments pour une somme symbolique à un organisme sans but lucratif mis sur pied par le Centre St-Pierre. Les premiers travaux devraient suivre en 2013-2014. http://www.journalmetro.com/linfo/article/718391--une-transformation-de-30-m-pour-l-ilot-saint-pierre-apotre
  11. Quelle ne fut pas ma surprise de trouver, en faisant une petite visite tardive sur mon chantier ce dimanche soir afin d'être certain que mes équipements n'ait pas été vandalisé, un petit avion s'étant crashé quelques heures plus tôt! De loin, je n'étais pas certain, et c'est en me rapprochant que j'ai pu confirmer, grâce à la lueur des phares de ma voiture, qu'il s'agissait bel et bien d'un avion! J'ai dû communiquer avec la Sureté du Québec afin d'avoir des détails sur la procédure de récupération de la carcasse, afin que ça ne nuises pas à mes travaux prévus pour demain matin. C'est sur l'autoroute 55, au kilomètre 118 environ.
  12. Agrandissement du stade Molson: «Ça niaise et ça niaise...» Miguel Bujold La Presse Larry Smith ne sait plus quoi penser. Le président des Alouettes estime que son organisation a tout fait ce qui a été exigé d'elle pour le projet d'agrandissement du stade Percival-Molson. Mais le dossier, bloqué dans les bureaux de la Ville de Montréal, n'avance pas d'un pouce. «On aimerait avoir une rencontre avec le maire Tremblay le plus tôt possible, mais on ne nous répond pas, a expliqué M. Smith lors d'une entrevue téléphonique. Les gouvernements provincial et fédéral ont accepté de s'impliquer et on n'attend que la Ville de Montréal pour officialiser, mais ça niaise et ça niaise et ça niaise...» Jouant à guichets fermés depuis 1997, les Alouettes veulent ajouter 5000 sièges à leur domicile, ambition qu'ils caressent depuis plusieurs années déjà. Coût de l'aventure: entre 28 et 30 millions. Selon Smith, les gouvernements provincial et fédéral auraient accepté d'investir approximativement 10 millions chacun, alors que les Alouettes s'engagent à trouver 4,6 millions du secteur privé. Ne resterait que les 4,4 millions demandés à la Ville. «Nous avons revu nos demandes à la Ville à la baisse parce que nous comprenons la situation dans laquelle elle se trouve. Nous savons qu'elle est très sollicitée et nous sommes conscients que ce n'est pas le dossier le plus important pour elle. Mais en même temps, on parle d'un projet rassembleur qui profitera à plusieurs personnes. Et ça fait plusieurs années qu'on travaille sur ce dossier. «Depuis 1998, nous avons investi 2,5 millions afin de rénover un stade qui ne nous appartient pas, a rappelé Smith. Ça ne fait aucun doute qu'il y a une demande pour un plus grand nombre de places. Nous avons 17 400 détenteurs de billets de saison à l'heure actuelle et notre liste d'attente en compte déjà 2000 autres.» À défaut d'avoir résolu toutes les questions sur le plan financier, l'organisation aurait réglé celles concernant l'environnement. «Nous avons rencontré plusieurs groupes de pression et, sans dire qu'ils sont maintenant heureux, ils sont contentés. Nous avons modifié le projet afin de les satisfaire, a indiqué le président. On devra abattre 68 arbres si le projet se réalise, mais notre organisation s'engage à planter 300 arbres et 500 arbustes.» La Ville en dit peu De son côté, la Ville de Montréal s'est montrée avare de commentaires. «Nous sommes à l'étape de prendre une décision. On analyse présentement le dossier», s'est limité à dire le relationniste Bernard Larin. Smith, lui, croit que la Ville a eu amplement de temps pour étudier la question. «Ça fait plus de deux ans qu'on attend. Et le coût du projet augmente de deux à trois pour cent à chaque année en raison du prix des matériaux et de la main-d'oeuvre», a poursuivi l'ancienne vedette des Alouettes, qui soutient que l'avenir de la concession montréalaise est directement lié aux 5000 nouveaux sièges. «Notre bail actuel se termine en 2010. Si nous annonçons que le projet va de l'avant d'ici l'automne, nous croyons qu'il pourrait être complété à temps pour la saison 2010 ou 2011. N'importe quelle entreprise est en affaires afin de faire des profits et, présentement, ce n'est pas notre cas. Nous ne voulons pas augmenter le prix des billets de façon significative, alors la survie de l'équipe passe par l'agrandissement du stade. C'est également un must afin qu'on puisse continuer à avoir une équipe compétitive sur le terrain. «C'est le temps de bouger! C'est M. Tremblay qui décidera de l'avenir du football à Montréal.» L'essor du football Il ne fait aucun doute que le football a connu un essor fulgurant au Québec depuis une dizaine d'années. Les équipes de football mineur et universitaire ont jailli de partout et les Alouettes y sont pour beaucoup. L'organisation se fait un devoir d'être impliquée dans différentes écoles à travers la province. D'ailleurs, pour une équipe professionnelle avec des moyens limités - rappelons que les joueurs font en moyenne moins de 100 000$ par année - son implication dans la communauté est à peu près irréprochable. Puis, il y a le fait que les Alouettes évoluent devant des salles combles depuis maintenant 10 ans. Vous voulez une paire de billets pour un match au mois d'août? Bonne chance. Malgré tout ça, la Ville, elle, marche sur des oeufs. Compte tenu de toutes les demandes qui lui parviennent, c'est évident qu'il s'en trouvera pour critiquer sa décision si elle devait accepter de venir en aide à une équipe de sport professionnel, même si celle-ci ne ressemble pas vraiment aux équipes professionnelles typiques... Montréal est-elle encore une ville de sport? À ce compte, la décision du maire Tremblay nous en dira plus long.
  13. Salut à tous, J'aimerais avoir votre opinion sur une idée que j'ai eu aujourd'hui. Outre vos commentaires sur l'idée elle-même, j'aimerais surtout avoir des suggestions quant à la stratégie à adopter afin de faire réaliser un tel projet (qui contacter, comment s'y prendre, etc.). Merci! --- Avec le développement du Quartier des Spectacles, et avec le Village gay et le secteur commercial le plus dense au Canada, la rue Ste-Catherine est certainement l'une des artères les plus intéressantes en Amérique du Nord. Elle pourrait peut-être même être considérée comme l'une des meilleures au monde... si ce n'était de ce no man's land, ce secteur dénué d'âme qui se siue entre Berri et St-Laurent, soit entre le Village et le Quartier des Spectacles. J'ai pensé à un concept de développement pour ce secteur, afin de le rendre attrayant. Il s'agirait d'un secteur de transition entre le Village et le QdS, qui aurait néanmoins une identité propre. Le concept que j'ai en tête est le suivant: le secteur serait divisé en trois zones/tronçons (voir le 2e fichier joint) ayant chacun un thème particulier. La première zone, qui ferait la transition avec le QdS, aurait pour thème l'ART; la deuxième, faisant échos aux édifices de l'UQÀM, aurait pour thème le SAVOIR; et la troisième, faisant la transition avec le Quartier Gai, aurait pour thème la DIVERSITÉ. Deux éléments permettraient de reconnaître l'identité de chaque zone. D'abord, la pièce maîtresse de mon concept: d'un bout à l'autre de ce secteur, il y aurait un mince ilôt au centre de la rue Ste-Catherine (entre les deux voies), où une structure permettrait d'afficher des oeuvres de grande taille (photos, tableaux, etc.). Les passants pourraient admirer les oeuvres des deux côtés de la rue. Dans la zone ART, on retrouverait sur l'îlot des oeuvres artistiques ; dans la zone DIVERSITÉ, on retrouverait des oeuvres illustrant la diversité humaine.... vous saisissez le concept. Les oeuvres présentées seraient des expositions temporaires, pouvant être renouvellées sur une base plus ou moins régulière. Bref, les touristes visiteraient ce secteur afin d'y découvrir les différentes expositions. En plus d'être un lieu de transition entre deux quartiers, ce secteur deviendrait une destination en elle-même. Le deuxième élément consisterait en la construction de grandes arches à l'entrée de chacune des trois zones. Ces arches seraient des portes d'entrée permettant d'identifer la saveur thématique de la zone dans laquelle le passant est sur le point de pénétrer. Outre ces deux éléments principaux, on pourrait réaménager le parterre à la manière du Quartier des Spectacles, planter des arbres, proposer un mobilier urbain audacieux, etc. Je crois que toutes ces modifications permettraient de transformer un secteur sans saveur en une destination touristique d'envergure, et de faire de la rue Ste-Catherine une artère capable de rivaliser avec la Rambla de Barcelone et les autres artères majestueuses à travers la planète. Qu'en pensez-vous? Le Philosophe
  14. Montréal, le 16 avril 2010 - Le maire de Montréal et président du comité exécutif, M. Gérald Tremblay, présente un compte rendu des principales décisions prises par le comité exécutif (CE) lors de la séance du mercredi 14 avril 2010. Affaires contractuelles À cette occasion, les élus du comité exécutif ont approuvé des dossiers concernant les affaires contractuelles de la Ville de Montréal, dont : • un contrat de 442 990 $ à Fonderie Bibby Sainte-Croix pour la fourniture des grilles de caniveaux dans le secteur de la Place des Arts du Quartier des spectacles. Ces grilles viendront assurer la sécurité des cyclistes et des piétons et contribueront à développer une signature distinctive pour le Quartier des spectacles. Il s'agit d'un pas de plus dans le développement de ce projet phare pour Montréal. • un contrat de 591 719 $ à Ambidex pour la réalisation de services généraux de design muséographiques, de la fabrication et l'installation de l'aire d'Exposition permanente de l'Insectarium. Ce contrat aboutira sur une nouvelle exposition permanente à l'Insectarium qui est déjà une figure de proue dans le domaine muséologique. Cette nouvelle exposition utilisera le mobilier existant tout en modifiant l'éclairage et en réaménageant les espaces actuels. • un contrat de 191 799 $ à Prisme 3 inc. pour le remplacement des outils d'interprétation du Biodôme. Le remplacement des outils d'interprétation est devenu nécessaire afin de s'adapter aux nouvelles réalités technologiques. La volonté de l'Administration d'offrir des équipements de qualité amènera les Muséums Nature à se démarquer davantage parmi les autres musées de ce genre. Les outils actuels ont 17 ans d'âge et sont désuets. • un contrat de 997 200 $ aux Entreprises QMD pour le remplacement et la modification des garde-corps, le réaménagement des éco transits et l'installation de bornes interactives au Biodôme. Ce contrat s'inscrit dans les efforts de l'Administration de moderniser ses équipements scientifiques. Les nouveaux garde-corps de la forêt tropicale et les bornes interactives à écrans tactiles sont des exemples concrets de cette modernisation. • un contrat de 592 012 $ à Troc-Chaînes pour les travaux de sécurisation de la falaise au périmètre du réservoir Vincent-d'Indy. La sécurisation de la falaise préviendra toute chute de roche qui pourrait endommager le réservoir ou blesser quelqu'un. Ces travaux sont préalables à la construction d'un terrain de soccer synthétique qui viendra répondre aux besoins et aux attentes des adeptes de ce sport. • un contrat de 4 050 886 $ aux Installations électriques Pichette pour la réalisation des travaux de réfection et de modernisation de distribution électrique du secteur de la filtration à l'usine Atwater. Ces travaux viendront raccorder les nouveaux systèmes de désinfection avec du nouveau filage et de nouvelles boîtes de fusibles assurant ainsi une meilleure sécurité. Le montant total accordé pour ces travaux est de 27% inférieur aux estimations de la Ville de Montréal. • l'approbation d'un accord de développement entre la Ville de Montréal et DEVIMCO pour la réalisation de la phase 1 du nouveau projet Griffintown. Il s'agit d'une excellente nouvelle pour Montréal qui voit un projet économique, commercial et résidentiel d'envergure se réaliser. • l'abrogation d'une résolution afin d'approuver un projet d'acte avec l'OBNL Ma Maison Mon Toit à des fins de construction résidentielle dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. La vente de ce terrain est conforme à la politique de cession de terrain à des fins de logements sociaux. Ce projet permettra la construction de plus de 29 logements sociaux dans un secteur de la Ville à proximité des transports collectifs. • divers soutiens financiers à même l'Entente avec le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale pour la lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale. Ainsi, Jeunesse au Soleil, Moisson Montréal, Répit-Providence, les Magasins-Partage, Intégration Jeunesse, le Dispensaire diététique le Regroupement des cuisines collectives et Cybercap et AlterGo se partageront plus de 1 M$ pour venir en aide aux plus démunis de la société. • d'autres soutiens financiers, mais cette fois à même le budget de la Ville de Montréal afin de venir en aide aux moins nantis. Ainsi, AlterGo recevra des sommes additionnelles pour organiser toutes les activités en matière d'accompagnement en loisirs. Administration et finances Également, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • une autorisation à la direction des affaires institutionnelles à payer la somme de 12 546 euros représentant la cotisation 2010 de la Ville de Montréal à Métropolis et à CGLU. La Ville de Montréal y joue un rôle très important et y consolide ses liens avec les autres grandes villes du monde. • l'autorisation d'une dépense de 105 491$ pour la rétention de services professionnels pour procéder à une étude de l'aménagement d'un lien cyclable sur le boulevard des Galeries d'Anjou. La Ville profitera des travaux effectués par le ministère des Transports du Québec sur le pont d'étagement pour y installer une piste cyclable. Il s'agit d'un autre projet qui vient confirmer le choix de l'Administration en faveur du transport collectif et actif. Réglementation Par la suite, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • l'adoption d'un règlement autorisant un emprunt de 30 millions de dollars afin de financer les travaux d'aménagement et de réaménagement du domaine public, incluant les travaux d'infrastructures et l'acquisition d'immeubles et de mobilier urbain dans le cadre du projet Griffintown – secteur Peel-Wellington. • l'adoption d'un règlement modifiant le règlement sur la salubrité, l'entretien et la sécurité des logements. L'Administration en a également profité pour adopter les mesures de renforcement de l'application de la réglementation en matière de salubrité respectant ainsi son engagement envers les locataires aux prises avec des propriétaires récalcitrants. L'Administration est donc conséquente avec le principe de tolérance zéro face à l'insalubrité. • La nomination de la salle multifonctionnelle Iro-Valaskakis-Tembeck en hommage à cette femme de tête et de cœur qui a marqué l'histoire de la danse et des arts à Montréal. Cette salle sera située dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce.
  15. Publié le 24 novembre 2009 à 00h00 | Mis à jour à 00h10 Éric Clément La Presse La nouvelle administration Projet Montréal du Plateau-Mont-Royal veut faire de l'arrondissement un modèle de gestion «humaniste et écologiste»: il y aura moins de contrats avec le secteur privé, plus de contributions des citoyens et priorité sera donnée à la lutte contre la pauvreté. De plus, il n'y aura plus de chargement de neige la fin de semaine, a appris La Presse. Le nouveau maire Luc Ferrandez a vite compris que sa tâche ne serait pas aisée. Depuis le 2 novembre, il travaille sept jours sur sept, afin de prendre connaissance des dossiers afin de remettre le Plateau-Mont-Royal sur les rails d'une saine gestion. L'administration précédente, dirigée par l'ex-mairesse Helen Fotopulos et l'ex-directrice générale Johanne Falcon, a laissé en héritage une dette de 4 millions et des relations de travail conflictuelles. Les sept élus Projet Montréal du Plateau veulent administrer différemment, en dépensant moins, dans la convivialité et en faisant participer ressources internes et citoyens. Hier, le maire a trouvé 30 minutes, pas une de plus, pour exposer à La Presse l'ampleur du travail à accomplir. «Les besoins sont énormes, a-t-il dit. Notre matériel roulant a vieilli, les immeubles ont de grands besoins, tout comme les rues. Mais on présentera demain soir (ce soir) un budget équilibré et notre plateforme électorale sera appliquée au fur et à mesure. On veut qu'en quatre ans, le Plateau-Mont-Royal devienne la vitrine d'un quartier humaniste et écologiste. On va le faire avec de la broche et du tape, mais on va le faire! La notion de frugalité, on connaît ça.» Selon lui, le plus gros problème dans le Plateau, «c'est la pauvreté et le logement social». «On doit se doter de quelques maisons de chambres et s'occuper des plus démunis», a-t-il dit. Mais, grosse différence d'appréciation par rapport à l'administration précédente, le déneigement le plus vite possible en tout temps ne sera plus considéré comme une obligation absolue. Un Sommet sur le déneigement «On va instituer un Sommet sur le déneigement afin de trouver des solutions, car on ne dépassera plus jamais le budget pour déneiger, a dit M. Ferrandez. On ne fera plus de déneigement à tout prix. On ne donnera pas de contrats supplémentaires. On ne fera pas de chargement de neige la fin de semaine. Ce n'est pas vrai que ce sera prioritaire.» Le maire et ses collègues vont aussi créer une «équipe voirie» chargée de travaux effectués auparavant par le secteur privé, par exemple la construction de dos d'âne et de saillies de trottoirs. Mais pas dans les prochains mois, car ça prend de l'équipement et une formation. «Au début, on ne fera pas d'argent, mais ça va changer après quelques années. Faire un dos d'âne, ça coûte entre 5000$ et 8000$. On veut que ça nous coûte 3000$ afin d'en faire davantage, pas pour faire de l'argent», a-t-il soutenu. Projet Montréal poursuivra l'expérience de budget participatif créée par l'équipe de Mme Fotopulos, mais ne mettra plus un sou dans cette activité. «Cela coûtait 330 000$ avant, a dit M. Ferrandez. Avec nous, ça coûtera zéro dollar. Les citoyens seront informés par l'Internet. Pas besoin de publier des brochures en couleur pour ça.» Projet Montréal va aussi changer la gouvernance. Le maire va créer huit commissions qui travailleront avec la direction du Plateau. Ces commissions seront formées de citoyens-experts, par exemple des avocats, des ingénieurs ou des architectes, prêts à donner de leur temps pour mieux gérer l'arrondissement et à moindre coût. Parmi les dossiers que traiteront ces commissions, il y aura notamment la pauvreté et le logement social, le bruit, le verdissement, l'aménagement du territoire, l'utilisation des espaces publics et la culture. Pendant ce temps, le maire va consacrer 80?% de son temps à l'audit des services. Il veut tous les passer en revue afin de changer les façons de faire. Il précise que la nouvelle directrice générale, Isabelle Cadrin, a déjà fait «un très bon travail» et ce, en à peine quelques mois. «Elle a comprimé les dépenses; par exemple, elle a réussi à replacer des employés. Cela permet d'économiser un demi-million en salaires. Et puis, des parcs à 5 millions dans le Plateau, on n'en fera pas. On est capable de reverdir pour moins cher. Et il n'y aura plus de cabinet de la mairesse et moins d'attachés politiques, ce qui permettra d'économiser 150 000$», a conclu M. Ferrandez. ---------------------- J'aime bien le mentalité faisons avec ce qu'on a en respectant nos moyens, plus de politiciens devraient suivre cette mentalité de fiscalité à droite. Pour le déneigement, c'est drôle, le dépassement de couts à sûrement dû être à cause du record de neige l'an passé, 4 mètres! On verra bien jusqu'à quand la patience des citoyens et des commerçantes va durer avec des rues remplis de neige http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200911/23/01-924386-plateau-mont-royal-finis-les-chargements-de-neige-la-fin-de-semaine.php
  16. Mercredi 15 Juillet 2009 à 23h01 Un banquier de la LNH en déroute Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le groupe financier CIT est au bord de la faillite. Après avoir tergiversé pendant plusieurs jours, l’administration Obama a finalement choisi de ne pas se porter à la rescousse de cette institution financière vieille de 101 ans. Ce groupe financier établi à New York l’a révélé en tout début de soirée, après que la négociation de son titre à la Bourse de New York eut été arrêtée quelques heures plus tôt. Aux yeux du gouvernement, CIT ne tombe pas dans la catégorie des institutions financières qui sont dites trop importantes pour tomber. Son actif sous gestion, de 75 milliards de dollars américains, est le dixième de celui de la défunte banque d’affaires Lehman Brothers. Toutefois, la clientèle de ce banquier se compose essentiellement de PME américaines, notamment dans l’industrie de la guenille. Ainsi, la faillite de CIT, qui est presque jugée inéluctable par l’agence de notation de crédit Standard & Poor’s maintenant que le gouvernement américain l’abandonne à son sort, pourrait faire des ravages dans l’économie des États-Unis. D’ailleurs, et c’est ce qui intéressera les amateurs de hockey, CIT a financé nombre d’équipes de la Ligue nationale, à la suite de son acquisition en 1999 de la firme torontoise Newcourt Credit Group. En 2006, un consortium bancaire dirigé par CIT aurait consenti 240 millions US à George Gillett, le propriétaire du Canadien de Montréal, afin qu’il puisse refinancer le club, la division sports et spectacles et le Centre Bell, selon l’hebdomadaire américain SportsBusiness Journal. L’an dernier, CIT a offert une facilité de crédit de 100 millions de dollars à la Rexall Sports Corporation afin de permettre à cette entreprise propriété de Daryl Katz de mettre la main sur les Oilers d’Edmonton. (Lire le communiqué ici.) CIT Group aurait aussi financé les Sénateurs d’Ottawa, les Devils du New Jersey et les Nashville Predators, selon le Globe & Mail. «Cela va être horrible (pour la LNH), a confié à ce quotidien torontois un conseiller financier non identifié qui travaille auprès d’équipes de hockey. Je ne sais pas ce qui va arriver quand ces financements arriveront à échéance.»
  17. Publié le 22 juin 2009 à 12h48 | Mis à jour à 17h17 Souhaitant mieux coordonner leurs efforts dans la lutte contre les changements climatiques, les groupes environnementaux de la planète ont décidé de se regrouper et de faire de Montréal l'épicentre de cette nouvelle alliance internationale. Le gouvernement Charest, Équiterre et Montréal international ont annoncé lundi la création du tout nouveau secrétariat de la Campagne internationale action climat (CIAC), dont le quartier général s'établira dans la métropole. Ce bureau, où n'oeuvreront que quatre employés, aura pour mandat de coordonner certaines des plus importantes activités militantes à venir aux quatre coins de la planète dans la prochaine année : Bangkok et Barcelone (rencontres préliminaire sur le climat), Pittsburgh (G-20), New York (assemblée des Nations Unies), etc. L'objectif est d'accroître la pression sur une douzaine de pays connus pour leur timide engagement en faveur d'une réduction des émissions de gaz à effet de serre, afin qu'ils s'engagent à ratifier un accord international ambitieux, lors de la Conférence de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre prochain. Nommément, le Brésil, l'Inde, l'Arabie saoudite, la Pologne, le Japon et le Canada se retrouvent dans cette liste. «L'objectif est que ces pays s'entendent sur un accord international, à Copenhague, a précisé la ministre québécoise de l'Environnement, Line Beauchamp. Pour cela, nous devons rejoindre certains États clés, certains États stratégiques, afin de les convaincre de l'importance d'une telle entente.» Idée d'Équiterre L'idée de créer la Campagne internationale action climat a été lancée par Équiterre en 2006. Le Québec a ensuite accepté de verser 300 000 $, l'année suivante, afin qu'elle se concrétise. Après quoi la principauté de Monaco, le gouvernement britannique et certaines grandes fondations internationales ont accepté de se joindre à l'effort, qui se chiffre aujourd'hui à environ 10 millions de dollars. Le gouvernement fédéral, pour sa part, n'a rien versé, ce qui lui a d'ailleurs attiré certaines critiques, lors du point de presse des différents partenaires. La création du secrétariat du CIAC s'inscrit dans une vaste campagne appelée tcktcktck (à prononcer tic, tic, tic, comme une horloge), qui doit prendre de l'ampleur au fur et à mesure que la conférence de l'ONU sur les changements climatiques approchera. Une vingtaine de groupes font partie de cette coalition, dont Oxfam, Greenpeace, le Conseil mondial des églises, Global Humanitarian Forum, Union of Concerned Scientists et le Pew Environment Group. Il existait déjà des regroupements, comme Kyoto plus, Power Up et le Réseau action climat, mais les groupes environnementaux estimaient nécessaire de mettre sur pied une coalition dont l'unique mandat est d'encadrer le travail sur le terrain : manifestations, mobilisation, etc. «Le constat est qu'il manquait quelque chose, à l'international, pour s'assurer qu'il y ait un accord en décembre, qu'il soit ratifié et mise en oeuvre rapidement», a précisé Steven Guilbeault, d'Équiterre. Les bureaux du secrétariat seront situés au centre-ville et déménageront éventuellement dans la future Maison du développement durable, qui sera construite rue Sainte-Catherine, à côté du Théâtre du Nouveau Monde. Par ailleurs, Greenpeace a frappé un grand coup, lundi en Europe, en publiant à la fois une fausse édition du International Herald Tribune (50 000 copies, principalement à Bruxelles) ainsi qu'un faux site web, en tout point pareil à celui du journal (on y retrouve même de fausses publicités, à s'y méprendre). En manchette de cette édition datée du 19 décembre 2009, on aperçoit les chefs d'État de France, Nicolas Sarkozy, et d'Allemagne, Angela Merkel, tout sourire à la suite d'un accord ambitieux survenu à Copenhague...
  18. Selon un rapport de la CREPUQ Les universités du Québec ont besoin de rénovations Agence QMI Jean Nicolas Aubé 08/06/2009 09h45 Après avoir été négligées pendant une trentaine d’années, les infrastructures des universités du Québec auraient actuellement besoin de plus de 1,5 milliard de dollars en rénovations. Selon un rapport commandé par le ministère de l’Éducation (MEQ), les 18 universités québécoises auraient précisément besoin de 1, 542 300 $ afin de ramener l’état de leurs infrastructures à un niveau jugé acceptable. Le rapport réalisé l’année dernière par la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) recommande rien de moins que 5771 interventions soient rapidement réalisées dans les universités de la province. Du nombre on parle par exemple de systèmes de ventilation désuets, de toitures qui fuient ou de façades d’édifices qui perdent des morceaux. L'étude avance même que, vu le très mauvais état des infrastructures, il faudrait investir 100 millions $ chaque année pendant quinze ans afin de remettre en état les immeubles des 18 universités québécoises. Montréal au sommet de la liste Parmi tous les établissements universitaires du Québec, c’est principalement ceux de Montréal qui sont dans le besoin selon les résultats de l’étude publiée ce matin dans La Presse. En fait, sur les six établissements requérant le plus grand nombre d’interventions au Québec, cinq sont montréalais. On retrouve en première position, avec 622 millions $ de rénovations requises, l’Université McGill. Elle est suivie de près par l’Université de Montréal, l’Université Laval à Québec, la Polytechnique, l’Université Concordia et l’UQAM. Fait à noter, les deux tiers des travaux répertoriés dans cette étude doivent être réalisés immédiatement ou d’ici deux ans. Québec consacre actuellement 42 millions $ par année à l'entretient et à la rénovation de ses infrastructures universitaires. Les données de cette étude datent de 2007. Elles n’avaient jamais été rendues publiques par le MEQ.
  19. Ottawa annonce un gel des tarifs, jusqu'en 2011, dans les parcs nationaux et lieux historiques du pays afin d'inciter les Canadiens à les fréquenter. Pour en lire plus...
  20. Il faut plus qu'une affirmation pour faire de Montréal une authentique ville de design. Les mots ne veulent rien dire s'il ne se traduisent pas par une réelle intervention sur le terrain. Afin de passer du rêve à la réalité il faut nécessairement créer officiellement une politique du design qui encouragera et favorisera cet aspect si important dans tout projet proposé à la ville. Nous avons déjà une politique d'intégration des arts dans les constructions publiques qui a enrichi le contenu des projets en assimilant l'art au quotidien. Il faut maintenant s'intéresser de plus près au contenant parce qu'il se construit encore trop d'immeubles et de projets sans intérêts qui risquent d'appauvrir l'aspect visuel de la ville pour de nombreuses années. Qui voudrait du projet des Tours Lafontaine construit sur la rive sud, au centre de la ville? Sommes-nous immuniser contre d'autres laideurs comme l'ancien Forum? Avons-nous un pouvoir réel d'intervention qui pourrait, à défaut de forcer, du moins fortement encourager la qualité du design de toutes nouvelles constructions, petites et grandes? Le quartier international, au centre-ville, est un bel exemple de réussite dont il faut s'inspirer pour appliquer le même principe aux autres quartiers de la ville. Il y a aussi une véritable volonté d'agir dans le même sens pour le quartier des spectacles et j'ai bien hâte d'en voir le résultat final. Mais ces politiques sont ponctuelles et limitées, ce qu'il faut c'est une formule claire qui pourra définir les grandes lignes des interventions souhaitées afin d'améliorer l'esthétisme et la qualité de tous projets à venir et ce à la grandeur de la ville. Cela va de la qualité et du choix des matériaux, aux couleurs choisies, jusqu'au design proprement dit qui offrira une facture originale s'intégrant harmonieusement dans l'environnement. Je pense à un comité d'experts indépendant et reconnu qui aurait pour rôle d'évaluer la qualité des propositions, de suggérer des améliorations et qui pourrait aussi récompenser les projets les mieux réussis. A cela il faudrait plus que la présentation de prix citrons ou oranges puisqu'à ce stade il est déjà trop tard pour intervenir. Il ne s'agit pas non plus d'ajouter un autre niveau de bureaucratie qui pourrait ralentir le développement mais plutôt d'intervenir à la présentation d'un projet et des demandes de permis afin d'obtenir le meilleur résultat possible sur un site donné. Il faut que le message soit compris, on ne peut se glorifier d'un titre sans fondement véritable et pour le moment Montréal a encore des preuves à donner pour mériter cette réputation enviable que plusieurs autres villes ont gagné par des efforts soutenus et bien réussis. On aime comparer Montréal à Barcelone notamment et on sait que là bas on soigne tout autant les petits projets que les gros. Tout dans une ville doit contribuer à cet esprit d'esthétisme et de qualité, de belles places publiques, de beaux éclairages, du mobilier urbain confortable et au design original, des rues agréables bordées d'immeubles audacieux qui rivalisent de beauté architecturale. Le design est porteur de richesse et attire l'oeil, il est hautement rentable économiquement et contribue largement à l'attrait touristique d'une ville tout en favorisant le bien-être de ses résidents. Cette proposition est une idée parmi tant d'autres et je n'ai pas le monopole des bonnes idées, mais je voudrais vraiment arriver à croire un jour que Montréal mérite le titre de ville de design. Mais pour le moment ce n'est encore qu'un rêve.
  21. La Saskatchewan investira 950 millions de dollars dans la société d'État afin d'augmenter sa capacité de production. Pour en lire plus...
  22. Quebecor se retire de La Presse canadienne La Presse canadienne Édition du jeudi 12 mars 2009 Toronto -- Le groupe Quebecor affirme qu'il se retirera l'année prochaine de la coopérative Presse Canadienne, en misant sur le développement de sa propre agence de presse créée plus tôt cette année. L'entreprise possède notamment Le Journal de Montréal, Le Journal de Québec, les journaux Sun ainsi que plusieurs autres publications de langues française et anglaise au Canada. Quebecor est aussi propriétaire du plus important réseau de télévision privé au Québec, TVA, en plus d'une chaîne de télévision à Toronto, de plusieurs sites Internet, du câblodistributeur Vidéotron et d'un service de téléphonie au Québec. Une porte-parole de Quebecor Média a confirmé hier que le chef de la direction, Pierre Karl Péladeau, a fait parvenir une note de service à des employés afin de les aviser que la compagnie entend quitter la coopérative pour développer sa propre agence de presse. Dans cette note, M. Péladeau affirme que Quebecor doit s'adapter aux changements dans l'industrie des médias. «Comme vous le savez, la presse écrite traverse une période de bouleversements au Canada et à l'étranger, écrit-il. Plus que jamais, nous devons profiter de nos forces, et elles sont nombreuses: nous devons tout simplement tirer le maximum de celles-ci. C'est pourquoi nous devons continuer de construire et accélérer le développement de notre propre réseau -- en l'occurrence notre propre agence de presse, QMI -- afin de fournir et de partager le contenu entre tous nos médias partout au pays.»
  23. En vue de la visite du président Obama, le premier ministre Charest a demandé à son homologue fédéral Stephen Harper de faire la promotion de l'hydroélectricité afin que les États-Unis modifient leur politique sur les grands projets. Pour en lire plus...
  24. Une entreprise norvégienne investira 600 millions de dollars dans l'ancienne papetière d'UPM Kymmene à Miramichi. Elle compte employer plus de 300 personnes d'ici trois ans afin de fabriquer des pièces de panneaux solaires. Pour en lire plus...
  25. Les sénateurs adoptent un amendement afin que la mesure qui oblige l'achat de fer et d'acier aux États-Unis pour les projets d'infrastructures respecte les accords internationaux. Pour en lire plus...
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