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ToxiK

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Tout ce qui a été posté par ToxiK

  1. J'espère que ça restera Champlain, mais j'ai peur qu'on se retrouve avec le Pont Elizabeth II Bridge.
  2. J'ai remarqué la même chose depuis la rue Sherbrooke au niveau du parc Lafontaine. Je me demande de quoi ça a l'air depuis le Mont-Royal, ou juste à côté dans le Quartier des Spectacles. Une très belle amélioration pour le skyline de Montréal.
  3. J'ai vu ça depuis Sherbrooke en face du parc Lafontaine. Je trouve que ça fait très beau.
  4. Peut être pas, mais si on regarde le terrain en question sur Google Maps, on peut voir qu'il y a des maisons autours (et je ne suis pas certains que ce sont des maisons à 800 000$). Si on dit qu'il faut 1000 maisons unifamiliales de la même tailles pour loger 1000 familles, je ne crois pas que ce terrain soit assez grand. Encore moins s'il faut installer un centre de commerce international avec un stationnement. À moins qu'il ne soit prévu que les 1000 familles débordent du secteur, et encore.
  5. Est-ce que le terrain est assez grand pour installer 1000 familles (dans des maisons assez grosses) et pour construire un centre de commerce international en plus d'un grand stationnement?
  6. Je ne veux pas diminuer les accomplissements de M. Poirier, mais rien de ce qu'il a fait ne peut se comparer à la construction d'un tunnel sous le fleuve St-Laurent. Bien qu'il n'y ai pas de demande de fonds public, le projet de M. Poirier implique d'utiliser des infrastructures publiques pour compléter son projet. En fait, il construit un demi-lien avec la Rive-Sud (le tunnel) et accaparera le pont de la Concorde pour compléter le lien vers Montréal. Évidement, tout projet de pont ou tunnel privé engendrera une plus grande circulation sur les voies public des deux coté du lien, mais dans ce cas ci, ce n'est pas une diffusion du traffic dans le réseau local, mais une quasi-monopolisation d'un pont entre Montréal et le Parc Jean-Drapeau (l'entretien de ce pont reviendra à la ville de Montréal et profitera directement à la clientèle payante de M. Poirier). Je suis d'accord avec les partenariat public-privé, mais dans ce cas-ci le partenariat est injuste cas tous les bénéfices vont au privé alors que les coûts sont partagés avec le public. Sans compter les inconvénients pour les usagers actuels du pont de la Concorde et de l'achalandage supplémentaire que ce tunnel aurait sur l'autoroute Bonaventure (qui accueil déjà pas mal de voitures). De plus, avec ce projet, on augmente la circulation de transit dans les alentours du Vieux-Montréal et dans le Parc Jean-Drapeau, deux choses qui ne sont pas souhaitables. Je veux bien que les usagers du parc et du Vieux-Montréal aient accès à ces sites en voitures, mais la circulation de transit devrait être déviée vers des structures mieux aménagées pour ce type de transport. Le pont Jacques-Cartier et le futur pont Champlain (que je souhaite avec au moins 8 voies de circulations automobiles) sont mieux adaptés pour une circulation plus massive que le parc Jean-Drapeau.
  7. Il y a encore beaucoup de questions (l'article est en partie au conditionnel). De plus, est-ce que les coûts pour aller chercher ce pétrole feront en sorte que ce sera rentable. On parle aussi de pétrole de schiste. Bien que la méthode pour aller chercher ce pétrole semble différente de celle assez controversée pour aller chercher les gaz de schiste, l'opposition de la population (locale ou non) sera grande, probablement plus grande que pour les projets d'oléoducs.
  8. 1: Les réserves de pétroles du Québec ne sont pas prouvées. 2: Une bonne partie des gens qui refusent le projet impliquant le pipeline vont s'opposer de la même façon à une éventuelle exploitation du pétrole québécois. 3: Même si on réduit considérablement notre consommation de pétrole (ce que je souhaite), rien ne nous empêche de faire du raffinage pour exporter l'essence. Les salaires des travailleurs seront financés par les acheteurs à l'étranger de l'essence raffinée.
  9. Est-ce qu'on sait où sont situés les 6 bureaux qui vont déménager dans l'îlot? J'essaye de voir l'impact que ces déménagements pourraient avoir sur le marché des bureaux. Si ce ne sont que des bureaux secondaires loin du centre-ville, ou facilement reconvertibles dans une autre fonction, alors l'impact sur le marché des bureaux au centre-ville ne sera pas très grand. Cependant, si on vide des tours à bureaux au centre-ville pour remplir ce nouveau bâtiment, alors on pourrait voir des projets retardés ou annulés (dépendant de la quantité de locaux qui se videront).
  10. La propagande ne fait pas toujours dans les détails. Les grands titres seront quelque chose comme: Un pont de 5 milliards de dollars en cadeau au Québec (financé entièrement par des péages) Ce dont le ROC (et même le ROQ) se souviendra sera le cadeau de 5 milliards, pas les péages.
  11. Je crois que le prix de 5 milliards en est un volontairement exagéré. Si on promet un pont à 2 milliards et qu'il coûte 2,5 milliards, le gouvernement passe pour incompétent ou fraudeur. Si on promet un pont à 5 milliards et qu'il coûte 2,5 milliards, le gouvernement passe pour un génie. De plus, si on promet un pont à 5 milliards au Québec, ce sera vu comme un autre cadeau pour le Québec, ce qui continuera à promouvoir une des fonction du Québec dans le Canada, soit d'être un bouc-émissaire et d'attirer l'attention ailleurs que sur les autres problèmes. Ultimement, la population canadienne retiendra un cadeau de 5 milliards pour le Québec alors que la vraie facture ne sera que (par exemple) de 2 ou 3 milliards. Le gouvernement canadien obtiendra une "diversion" d'une valeur de 5 milliards de $ pour la moitié du prix. Sans compter que si on annonce un projet de 5 milliards, non seulement ça parait mieux comme promesse électorale au Québec, mais on peut prévoir le futur péage (ou tous autres frais refilés aux Québécois) en fonction de 5 milliards de $. Si la facture est moins élevée, ou bien ou "oubliera" de le mentionner ou d'ajuster les tarifs, ou bien on dira que c'est grâce à la bonne gestion canadienne et que les économies réalisées doivent revenir à tous les Canadiens. Et même si le Québec se plaignait et obtenait une baisse de tarifs, ça donnera encore une diversion en nous plaçant dans le rôle de la province quêteuse. Encore une fois, nous serions le bouc-émissaire.
  12. Ça fera un transfert pour les usagers de l'aéroport. Ce n'est pas une bonne chose.
  13. Se pourrait-il que Métro croit que Griffintown soit éventuellement vu comme une destination?
  14. Moi aussi! Ça va donner un peu plus de vie au quartier et peut être garder des clients du Centre Bell un peu plus longtemps dans le secteur. C'est une belle façon de profiter de l'achalandage qu'engendre le Centre Bell. Il y avait un McDonald tout près du Forum dans le temps.
  15. Une entreprise peut avoir des intérêts divergents de ses employés de la même façon qu'un syndicat peut avoir des intérêts divergents de ses syndiqués (ou un gouvernement de ses citoyens). Je ne suis pas contre les syndicats, mais je n'aime pas ce qu'ils sont en train de devenir. Leur job est de défendre leurs membres, pas de s'impliquer dans toutes les causes sociales. En quoi s'associer aux carrés rouges aide-t-il les membres du syndicat face à l'employeur? Que les syndicats se concentrent sur leur travail et qu'il laisse la Révolutions aux autres. Cela dit, je veut bien qu'on discute des syndicats et de leur place dans la société, mais on devrait peut être le faire dans la section politique plutôt que de détourner ce fil (qui est assez intéressant). Est-ce qu'un modérateur pourrait déplacer les messages concernant les syndicats dans un nouveau fil?
  16. Techniquement, il ne tape pas sur les syndiqués, mais sur les syndicats. Ce n'est pas la même chose. Les syndicats font leurs "profits" avec les cotisations syndicales, et plus il y a d'employés, plus le syndicat récoltera de cotisations (qu'il pourra détourner vers des carrés rouges au autres causes). Il n'y a pas grand chose de plus payant pour un syndicat qu'un fonctionnaire inefficace. S'il est permanent, il sera très difficile de congédier ce fonctionnaire. Il faudra engager d'autres employés pour compenser son inefficacité. De plus, contrairement à une entreprise privée, il est presque impossible pour un gouvernement de faire faillite (tant qu'il reste des contribuables à presser comme des citrons) ou de délocaliser ses activités. La carotte est placée de façon que ce soit plus payant pour un syndicats qu'une organisation ait besoins de plus d'employés pour faire un même travail. Ça ne veut pas dire que les syndiqués veulent être inefficaces (encore moins qu'il aiment travailler avec des gens inefficaces) De plus, si Jean-Martin Aussant peut dire qu'on ne peut pas faire confiance au privé dans la santé parce qu'il est plus profitable pour celui-ci de ne pas guérir complètement les patients, on peut dire de la même façon qu'un syndicat n'a pas intérêt à ce que l'organisation où travaillent les employés qu'il représente soit efficace (c'est encore plus vrai dans un gouvernement à cause du plus faible risque de fermeture). En ce qui concerne cette méthode de construction, ça semble intéressant. Il faut absolument augmenter la productivité au Québec. J'espère que suite à la corruption dans l'industrie de la construction, on va commencer à changer les façon de faire. Un peu (ou même beaucoup) d'innovation ferait beaucoup de bien.
  17. Il y avait des travailleurs et de la machinerie (et une toilette portable...) sur le terrain aujourd'hui. On dirait que la construction de la phase 2 commence.
  18. C'est exactement le genre d'attitude qui me dégoute le plus au Québec. Au lieu de construire des tours à condos qui rapporteront des taxes, les NIMBY veulent simplement qu'on leur donne l'argent des taxes (taxes qu'on ne pourra pas prélever parce qu'on n'aura pas de tours à condos...) et qu'on les laisse faire. On veut tout sans faire les sacrifices nécessaires pour obtenir ce qu'on veut. Je veux bien aider les gens qui malgré tous leurs efforts ont des difficultés à arriver, mais j'ai des problèmes quand des gens demandent (ou plutôt exigent!) qu'on subventionne leur style de vie plus facile ou avec moins de sacrifices ou d'efforts. Bon, pour le projet, c'est exactement le genre de réactions auxquelles je m'attendais. La population locale ne veut pas de tours qui cachent la vue (vue qu'ils n'ont pas vraiment maintenant...) et ne veut surtout pas que de méchants riches viennent polluer leur air par leur présence. Je suis certains qu'ils accepteraient bien qu'on leur offre une promenade et un tramway, et qu'on leur débarrasse de la possibilité d'une autoroute sur Notre-Dame, mais à conditions que ce soit les autres qui payent et qu'eux même n'aient pas à supporter de tours à condos. Reste à voir maintenant ce Projet Montréal va dire. Iront-ils de l'avant avec le projet (du moins avec la partie du projet qui empêcherait toute transformation de Notre-Dame en autoroute) sans les tours à condos? Trouveront-ils le moyen de convaincre la population d'accepter le projet dans son ensemble? Ou bien abandonneront-ils le projet tout simplement? Et s'ils l'abandonnent, est-ce que ce sera avant ou après être élus (s'ils sont un jour élu, évidement)?
  19. Vers la fin du vidéo, Louise Harel parle du projet de la porte Ste-Marie. Je croyait que ce projet était mort depuis longtemps. Serait-il en train de renaitre?
  20. 28 minutes de travaux communautaires... et on le laissera partir au tiers de sa peine...
  21. Il faut aussi regarder la clientèle des entreprises qui installent leurs bureaux en banlieue. Si ces entreprises s'installent en banlieue simplement à cause de coûts plus bas par exemple, alors la banlieue fait concurrence au centre-ville. Cependant, si les entreprises s'installent en banlieue pour être plus proches des entreprises avec qui elles font affaires, ou bien si leur clientèle est composée de particuliers qui vivent en banlieue, alors ces entreprises ne désertent pas le centre-ville à cause de faiblesses de celui-ci mais simplement pour s'installer plus près de sa clientèle.
  22. Ce serait préférable si en plus de la valeur ajoutée sur la fabrication du produit on pouvait aussi garder au Québec les profits engrangés par le produit, mais on ne s'en tire pas mal du tout avec les emplois. Si on suppose que 50 % de la valeur de vente du produit (j'ai prix ce pourcentage au hasard) reste à Montréal en tant que salaires et frais de bâtiments et de fournisseurs, ce 50% représente pratiquement entièrement de l'exportation de notre point de vue. Si un jeu vidéo se vend 60$, ça fait 30$ par unité vendue qui reste à Montréal. Il y aura bien sur des ventes locales, mais la grande majorité des ventes se fera en dehors du Québec. Si on compare avec un magasin d'alimentation, même avec une marge bénéficiaire très mince de (disons) 5%, près de 100% des ventes seront locales et seulement 95% (au mieux) des revenus resteront au Québec (et encore, ce serait en supposant que 100% des produits vendus proviendraient du Québec). Avec un jeu vidéo qui nous laisserait 50% des revenus au Québec mais donc 98% des ventes seraient faires hors Québec, on s'en tire quand même avec 49% de l'argent des ventes qui restent au Québec (sous forme de salaire et autres frais locaux, mais pas comme profits).
  23. Ça, ou les emplois vont déménager en banlieue. Et si ça fait en sorte que plus de montréalais se mettent à travailler en banlieue qu'il y a des banlieusards qui travaillent à Montréal, on verra tous les maires de banlieue exiger des péages plus élevés sur tous les ponts (en se demandant pourquoi personne n'y avait penser avant...)
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