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Nameless_1

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  1. Bonsoir Anonyme, Si vous avez un problème avec l'intervention d'un membre, vous devez procéder de la façon suivante pour signaler et expliquer pourquoi cette intervention contrevient aux règles de MTLURB afin que tous les modérateurs puissent en juger: .. Toutes les interventions sur ce fil doivent désormais avoir un effet très directe et très étroit sur ce sujet: COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal. https://mtlurb.com/guidelines/ Préambules: MTLURB est un forum de discussion sur le développement immobilier du Grand Montréal. Respect: les membres doivent user de décorum et utiliser le respect dans tous leurs échanges et discussions. Les messages qui seraient sciemment faux et/ou diffamatoires, imprécis, abusifs, vulgaires, haineux, harcelants, obscènes, profanes, sexuellement orientés, menaçants, envahissants pour la vie privée d’une personne ou contraires à la loi sont interdits sur MTLURB. Pondération et mesure dans les échanges: les membres doivent user de jugement pour différencier une opinion d'une attaque ou d'un jugement d'un autre membre. Nous demandons à nos membres d'user de pondération et de retenue lorsque les débats deviennent trop émotifs. En cas de doute, prenez une pause-café. Attaques personnelles: les attaques personnelles ne seront pas tolérées sous aucune forme. Bien à vous, Nadie.
  2. Nameless_1

    Expos de Montréal

    So to resume, Expos where off to: no money, no candy when either the games where on AM radio or on TV in English. And they where expecting the fans to be being this. Am I understanding this correctly?
  3. Un résumé de l'administration Plante: grosses annonces, petits résultats.
  4. Des architectes du REM quittent le navire : Ils jugent inacceptables les structures aériennes au centre-ville de Montréal PHOTO JEAN-LOUIS FORTIN On voit ici les immenses piliers en béton du Réseau express métropolitain à Kirkland, dans l’ouest de l’île de Montréal. La Caisse de dépôt assure que les structures qui seront construites au centre-ville seront moins massives et mieux intégrées au paysage. JEAN-LOUIS FORTIN Mardi, 23 février 2021 01:00MISE À JOUR Mardi, 23 février 2021 01:00 Les deux firmes d’architectes qui travaillaient avec la Caisse de dépôt pour le prolongement du Réseau express métropolitain vers l’est de Montréal ont récemment claqué la porte, car elles ne veulent pas être associées à un projet qu’elles jugent trop laid et qui risque de défigurer le centre-ville. Un train perché sur de hauts piliers en plein boulevard René-Lévesque ? Cette perspective ne fait pas seulement l’objet d’un débat public. Ça brasse également derrière les portes closes à CDPQ Infra, la filiale de la Caisse qui gère le projet. Notre Bureau d’enquête a appris que les réputées firmes québécoises Daoust Lestage Lizotte Stecker et STGM, dont les services avaient été retenus en novembre dernier pour réaliser la signature architecturale de la phase 2 du REM, ont démissionné dans les dernières semaines. Selon nos informations, c’est spécifiquement la portion aérienne prévue entre la Gare Centrale et la rue Notre-Dame, sur René-Lévesque, qui a mené au divorce. Après d’intenses discussions encadrées par de strictes ententes de confidentialité, les positions étaient irréconciliables. « [Les firmes] avaient trop peur que leur nom soit associé à un projet qui pourrait faire des dommages à l’image de Montréal », résume une source bien au fait du dossier. Daoust Lestage et STGM ont ainsi tourné le dos à un mandat prestigieux qui représente des millions de dollars en honoraires professionnels. Ces deux firmes accompagnent déjà la Ville de Québec dans son projet de tramway. Ironiquement, c’est Daoust Lestage qui avait dessiné le siège social de la Caisse de dépôt au centre-ville de Montréal, au début des années 2000. Nouvelle stratégie CDPQ Infra a confirmé hier avoir changé de stratégie, sans entrer dans les détails. « Après avoir sondé le marché pour sélectionner une firme d’architecture, nous avons décidé de mandater un comité aviseur pluridisciplinaire composé d’experts indépendants et québécois pour participer à l’élaboration des lignes directrices prescriptives sur l’architecture », a déclaré dans un courriel le directeur des communications de CDPQ Infra, Jean-Vincent Lacroix. Il assure que « l’intégration du REM [Réseau express métropolitain] de l’est doit être exemplaire au niveau de l’aménagement et de l’architecture, et inspirée des meilleures pratiques dans le monde ». Des voix s’élèvent Depuis l’annonce de la phase 2 du REM vers l’est, en décembre, des voix se sont élevées pour s’inquiéter de l’aspect visuel. « Ça frappe, c’est des mastodontes de blocs de béton », a notamment affirmé la mairesse de Montréal, Valérie Plante, un peu avant les Fêtes, en référence aux structures érigées pour la phase 1 du projet entre le centre-ville, la Rive-Sud et l’ouest. Au cours des 20 dernières années, Montréal s’est débarrassée de plusieurs voies en hauteur. Par exemple, une portion de l’autoroute Bonaventure a été ramenée au sol, et l’échangeur Des Pins/Du Parc a été démantelé. Selon la Caisse, il serait trop complexe et dangereux que le REM passe sous le boulevard René-Lévesque, en raison notamment de risques d’effondrement d’immeubles. LA PHASE 2 DU REM EN BREF 32 km de long, dont 7 km souterrains et 25 km aériens Coût: au moins 10 milliards $ 23 stations projetées Une antenne vers le quartier Pointe-aux-Trembles et une autre vers le Cégep Marie-Victorin Début projeté de la construction: 2023 https://www.journaldemontreal.com/2021/02/23/des-architectes-du-rem-quittent-le-navire
  5. Des travaux sur le tunnelier du REM provoquent un affaissement de terrain AGENCE QMI Lundi, 22 février 2021 21:06MISE À JOUR Lundi, 22 février 2021 21:06 Des travaux menés pour entretenir la foreuse du tunnelier utilisé pour creuser le tunnel du Réseau électrique métropolitain (REM) près de l'aéroport Montréal-Trudeau ont provoqué récemment un affaissement de terrain au Technoparc de Montréal, a appris l'Agence QMI. L'équipe du REM travaille présentement à creuser un tunnel de 3 kilomètres qui doit passer sous les milieux humides du Technoparc de Montréal et sous les pistes de l'aéroport. À ce jour, 200 mètres ont été creusés dans la portion marécageuse par le tunnelier, qui a été mis à l'arrêt le 16 février dernier pour pouvoir réaliser une opération d'entretien sur sa tête de coupe. Pour ce faire, les ouvriers ont dû aménager un espace pressurisé afin de stabiliser le sol et empêcher l'infiltration d'eau. C'est dans le cadre de ces travaux que le sol s'est tassé en surface, directement au-dessus du tunnelier «à cause de l'état géologique du terrain». «Il est important de noter qu’il n’y a eu aucun effondrement, même partiel, dans le tunnel en construction», a toutefois précisé Emmanuelle Rouillard-Moreau, porte-parole pour CDPQ Infra, la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec responsable du chantier du REM. Les gestionnaires du REM ont dû aviser le ministère de l'Environnement, qui a collaboré à une opération de remblai et à l'apport de correctifs pour stabiliser le terrain. «Une analyse pointue a été effectuée et l’intégrité des milieux humides situés à proximité n’a pas été affectée», a ajouté Mme Rouillard-Moreau, en précisant au passage que les inspections se poursuivent dans le but de pouvoir terminer de réparer le tunnelier «dans les prochaines semaines». En attendant, un sentier piétonnier traversant le Technoparc a dû être fermé jusqu'au printemps. CDPQ Infra a assuré que ce contretemps ne nuira pas à l'échéancier des travaux. La mise en service de la branche du REM vers l'aéroport est prévue pour la fin de 2024. https://www.journaldemontreal.com/2021/02/22/des-travaux-sur-le-tunnelier-du-rem-provoquent-un-affaissement-de-terrain
  6. Analyse : Le REM est une drogue dure Le type de station du Réseau express métropolitain qui apparaîtra sur la rue Notre-Dame. PHOTO : CAISSE DE DÉPÔT ET PLACEMENT DU QUÉBEC Michel C. Auger Publié à 4 h 01 Le REM est comme une drogue dure pour politiciens : on sait que ça pourrait être mauvais à long terme, mais l’effet instantané qu’il procure est trop fort pour y résister. À quelques mois des élections, on peut promettre de construire un nouveau réseau de transport en commun dans un territoire politiquement rentable, avec un projet clé en main dont on n’aura pas à s’occuper. Le politique n’aura pas à se salir les mains de ces décisions potentiellement impopulaires sur le tracé ou les inévitables inconvénients comme les expropriations ou les chantiers. L'intendance, un partenaire de confiance va s’en occuper : la Caisse de dépôt et placement du Québec et sa filiale CPDQ-Infra. Signez ici, Monsieur le premier ministre, la Caisse s’occupe de tout. Vous n’aurez qu’à couper le ruban à l’inauguration. C’est comme avoir le beurre et l’argent du beurre. Mais comme dans toute transaction de ce type, le fournisseur sait qu’il doit créer une relation de dépendance pour son client. Le rapport de force est donc inversé. On l’a vu cette semaine quand, dans une entrevue à La Presse, le premier ministre François Legault a parlé pour la première fois de son idée de REM de Châteauguay à Boucherville. L’annonce n’était pas que le gouvernement voulait le REM sur la Rive Sud, mais plutôt que la Caisse était intéressée par le projet! Ce n’est pas le gouvernement qui décide. Il ne fait que proposer et c’est la Caisse qui dispose. Après, on s’étonnera qu’elle ait pu dicter ses conditions. Ce faisant, le gouvernement abdique ses responsabilités, y compris celle de choisir le moyen le plus efficace et qui a le plus de chances de convaincre les automobilistes de choisir le transport en commun. Par exemple, un voyage en métro de 20 ou 30 minutes peut facilement s’effectuer debout pour la plupart des usagers. Mais quand on dépasse l’heure de trajet, les usagers voudront être assis. Sur de longues distances, un système d’autobus confortables sur des voies réservées pourrait bien être plus efficace à bien meilleur coût que les petits wagons du REM. Mais pour la Caisse, il n’y a qu’un seul modèle d’affaires et une seule technologie. C’est toujours à prendre ou à laisser. Les coûts du modèle d’affaires Mais ce modèle d’affaires a d’énormes coûts pour la collectivité. D’abord, parce que c’est la Caisse — via sa filiale CPDQ-Infra — qui dicte les aspects financiers. De la contribution des gouvernements à la construction aux redevances que, comme opérateur, elle recevra ensuite. C’est ainsi que la Caisse a pu exiger du gouvernement libéral de l’époque une redevance de 72 cents le passager/kilomètre parcouru, ce qui est nettement exagéré quand on sait que c’est quatre fois plus que le SkyTrain de Vancouver dont la Caisse est aussi l’exploitant. Des sommes qui viendront siphonner le budget du transport en commun à Montréal pour des générations. Notons aussi que la Caisse devient propriétaire de toutes les infrastructures publiques, comme le tunnel sous le Mont-Royal, dans un contrat de 198 ans, mais dont elle pourra se retirer au bout de cinq ans et vendre sa participation à quiconque, y compris une société étrangère. En passant, notons que le REM de l’Ouest et celui de l’Est ne connectent pas. L’un a son terminus à la Gare centrale, l’autre, à quelques centaines de mètres de là, angle René-Lévesque et Robert-Bourassa. Ils pourraient aussi ne pas avoir le même matériel roulant, dit CPDQ-Infra. Pourquoi? On ne peut s’empêcher de penser que le REM serait plus facile à vendre en pièces détachées… Le premier ministre Couillard voyait le REM comme son legs et il a approuvé tout ce que la Caisse lui demandait. Que ce soit le tracé, la technologie ou la propriété d’infrastructures publiques pour le REM. Parce que si on ne donne pas à la Caisse tout ce qu’elle demande, elle répond qu’il n’y aura pas de REM, et c’est tout. Le train en hauteur Dans le projet du REM de l’Est, la Caisse veut utiliser la même technologie, qui exige de construire en hauteur pour une large partie du tracé — ce qui coûte entre deux et trois fois plus cher que de construire au sol. Pourquoi ce choix technologique? Parce qu’il permet d’avoir des trains sans conducteur, alors qu’au sol, il est impératif d’avoir une supervision humaine. La Ville de Montréal s’inquiète, à bon droit, d’un train suspendu au niveau du 4e ou 5e étage des édifices du boulevard René-Lévesque entre le pont Jacques-Cartier et la Place Ville-Marie, avec des trains qui passeraient aux deux minutes à environ cinq mètres de la façade des édifices. C’est vrai aussi sur Sherbrooke est. Outre la balafre sur une des artères les plus prestigieuses de la Ville, cela entraînera une perte de valeur foncière importante. Essayez donc de louer des bureaux ou de vendre des condos aux étages où ne verra et entendra que le train du REM qui passe aux deux minutes! La Ville suggère de faire passer le REM en sous-terrain? Impossible, inutile de discuter, répond le nouveau président de CPDQ-Infra, Jean-Marc Arbaud. Le centre-ville risquerait littéralement de s’effondrer, dit-il, en se basant sur six scénarios de construction en sous-terrain que personne n’a vus et qui n’ont pas été soumis à quelque lecture critique que ce soit. La transparence Parce que la transparence, ce n’est pas pour CPDQ-Infra. C’est ainsi qu’on a aucune indication officielle des dépassements de coûts de la première phase du REM vers la Rive-Sud, l’aéroport et l’Ouest de l’Ile. Pourtant, dès le premier budget du Québec après l’annonce du projet, la facture totale du gouvernement du Québec était déjà passée de 1,283 milliard à 2,483 milliards de dollars. Avec le résultat que le projet qui, initialement, devait coûter 5,5 milliards de dollars s’en va allègrement vers une facture finale de plus de 8 milliards — une estimation, puisque la CPDQ-Infra ne se soumet à aucun exercice régulier de reddition de comptes et que le gouvernement ne lui en demande aucun, ce qui est incroyable pour un projet de cette envergure. Ce qu’on sait, par contre, c’est qu’il y a eu des factures-surprises pour les partenaires, comme celle de 80 millions pour l’antenne vers l’aéroport ou celle des municipalités de l’Ile de Montréal qui passera de 60 à 220 millions. La dernière fois qu’on a vu un chantier de cette envergure se réaliser sans aucune transparence, ça s’est appelé le Stade olympique. On se souvient du résultat. Avant de promettre le REM dans l’Est, à Laval, et sur la Rive-Sud, la simple prudence serait d’attendre de voir ce qui arrivera de la Phase Un. De voir des trains rouler ne serait-ce que quelques kilomètres. Ou passer un premier hiver. Mais non. Pour des politiciens, le REM est une drogue dure. On veut promettre tout de suite. Et tant pis pour le long terme. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1772432/reseau-transport-en-commun-rem
  7. Londres est beaucoup plus contrasté que Paris.
  8. Réseau express métropolitain - REM tStponsiFeobruusafrmtlndry l10g Sat f11tela:00m ShuAMdtgt · In the main shaft of the Édouard-Montpetit station, the station structure rises. This future station will be equipped with high-speed elevators to descend to platform level, nearly 70 metres below the surface https://www.facebook.com/REMgrandmtl/?__cft__[0]=AZXmawp7RbA1Td97OYsR3_TEPwltEHwtnCJmTmPtV7rvjeXveohiT4u36uiNJOvm429DSdt7Kt5PzTpPB9-Lm7HGQJpNTzPNiup-J6W9EjaBvYLLP3Rm6rnU1cOwWtgKdL1PXkCyPE6jNcXQCRt5L9V9&__tn__=-UC%2CP-R
  9. Réseau express métropolitain - REM tStponsiFeobruusafrmtlndry l16g Sat f11tela:54m ShuAMdtgt · The Île-des-Soeurs station structure rises in the center of Highway 10! The entrance to this distinctive station will be accessible via a crosswalk that will connect the north and south sides of the island. https://www.facebook.com/REMgrandmtl/
  10. J'espère que la rose des vents de ce parc va être orienté "true to the north" et non pas Montréal street géographique...
  11. J'aimerais voir ta tournée svp!
  12. Oui, ce n'est pas une vie pour personne (ou presque). Parlons maintenant de manières alternatives pour gérer cette crise (qui est loin d'être fini, une troisième vague pire que les précédentes s'en vient avec les variants). Bon, une chose doit être clair: si on avait dit au membres du gouvernement actuel "vous allez devoir gérer une crise sanitaire sans précédent au Québec", je suis certain que la plupart nous auraient dit: "j'ai déjà une job, merci beaucoup." Ceci dit, il faut qu'on arrête de jouer au yoyo avec les contribuables. Jaune, orange, jaune-orange, rouge, rouge dure, rouge mou, si ca va mieux, si ca va pire, etc. Ici, nous tentons de mitiger le risque pour les hôpitaux, ce qui est louable mais trouble. Prenons par contre le cas de la Nouvelle-Zélande. Même type de système politique, et grosso-modo une démographie assez semblable. Le but pour eux est clair la bas: COVID zéro. Frontières complètement fermés. Une éclosion? Confinement total pour trois semaines. Quand ça va bien, tout est ouvert dans le respect des mesures sanitaires de base en temps de pandémie, quand ça va mal on ferme tout. Binaire. Simple, clair et précis. Je te cite maintenant une anecdote, que je soupçonne d'être assez généralisé: les restos "Les enfants terribles". La proprio avec qui j'ai discuté quelques fois depuis dix mois, étant moi-même un client. Les mesures actuelles ne lui permettent à peine que de garder un chef, deux sous-chefs, et quelques employés pour recevoir et servir les commandes. Son but avoué est de garder le nom vivant. Elle a déjà tracé un trait sur deux de ses restaurants, financièrement irrécupérables. Moi je suis en faveurs de mesures beaucoup plus binaire avec un seul objectif: COVID zéro, tel que la Nouvelle-Zélande le fait. C'est une question de santé mentale pour beaucoup de gens tel que les entrepreneurs en restauration. Recevoir un chèque pour quelques mois afin de mitiger une crise : ça va. Mais vivre comme ça pour un an ou deux, c’est en train de devenir intolérable pour plusieurs.
  13. Il y a peut-être une opportunité de prolonger le 'mall' vers les building en construction?
  14. Je pleins ces restaurateurs qui sont confinés a la maison a recevoir des chèques du gouvernement. Ce n'est pas une vie pour des entrepreneurs, ils ont en très grande majorité respecté les directives; je le sais, j'en ai fréquenté plusieurs l'été dernier. A part les McDo, tout était parfait et je n'ai pas pogné la COVID en y allant. Comment peut-on permettre aux cinémas d'ouvrir et de négliger les restos qui sont la signature de notre belle province??
  15. Awesome. I interviewed the guy for my book in 200x something. His desk was a true open door office (I was an employee of his at the time. Not my best experience in the field btw). Sit down before him with an interesting subject, and he would spend an hour discussing with you. A true giant and builder of Quebec. Started with nothing (a small server for Joseph Elie if I remember correctly). Please, can another moderator stop this digression ? Thanks, lol!
  16. OK GANG, retour au sujet de ce fil svp. Merci. https://mtlurb.com/forum/28-discussions-politiques/ PS: un ménage du thread va suivre. PPS: cleanup complété. Back on subject svp.
  17. Moi, je suis vraiment déçu que ce projet n'ai pas été complété. J'ai fais parti de l'équipe qui a câblé les deux premières tours (cat5 et optique) et j'y ai installé deux 'sniffers' Netscout (appareils de surveillance). Pour l'époque, c'était de loin les buildings les plus hightech de la province. Le premier système VOIP (téléphonie réseau IP) sur lequel j'ai travaillé. La hauteur est modeste, mais l'ensemble aurait occupé une superficie énorme au total, un bloc au complet. De plus, il y avait au plan du projet un mail intérieur de René Lévesque jusqu'aux quais de la gare qui auraient été couverts. Regardez le design ci-dessous : les chapeaux ronds en haut et les petites colonnes droites en bas représentent les pattes et les chapeaux de transistors/circuits intégrés sur un circuit imprimé. Du génie!
  18. Belles photos Rocco, merci! J'aime ce contraste entre l'ancien et le moderne que tes images rendent si bien, surtout la première.
  19. si je devait résumer le vieux port hiver 2021 ce serait cette photo.
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