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Nameless_1

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Messages posté(e)s par Nameless_1

  1. Grand intérêt autour de la vente du domaine Villa-Maria

    15 avril 2024

    ((Je ne sais pas ou mettre cette nouvelle, modérateurs, lâchez vous lousse!))

    Depuis l’été dernier, lorsqu’une congrégation religieuse de Montréal a fait part de son intention de vendre le domaine Villa-Maria, plusieurs acheteurs potentiels ont signifié leur intérêt pour cet immense site verdi, qui compte cinq bâtiments à la riche valeur historique et patrimoniale. L’avenir de ce terrain ne sera toutefois connu qu’au terme d’un processus d’appel de soumissions qui sera lancé dans les prochaines semaines, a appris Le Devoir.

    Le site, qui vaudrait plusieurs centaines de millions de dollars, abrite notamment les collèges privés Villa Maria et Marianopolis, qui accueillent respectivement des étudiants du secondaire et du collégial dans des bâtiments classés patrimoniaux. Le terrain, qui comprend également la résidence Bonsecours, un centre d’hébergement de soins de longue durée qui loge des dizaines de religieuses, de même que la Maison Notre-Dame-du-Sacré-Coeur, où demeurent plusieurs religieuses, a été acquis en 1854 par la congrégation de Notre-Dame.

    L’organisation a toutefois annoncé en juin dernier qu’elle devra mettre en vente cet immense terrain, qui chevauche l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce et la ville de Westmount, parce que ses soeurs, dont la moyenne d’âge était alors de 86 ans, n’étaient plus en mesure d’en assurer l’entretien.

    Une fois qu’un candidat aura été sélectionné par la congrégation religieuse, celui-ci sera soumis au Vatican...

    Un collège menacé

    En prévision de la vente de ce domaine, le collège Marianopolis a annoncé le mois dernier avoir fait l’acquisition du bâtiment qu’il occupe sur ce domaine depuis 2007. Son avenir est ainsi assuré. La congrégation de Notre-Dame assure par ailleurs que le respect du bail du collège Villa Maria, qui se termine en décembre 2030.

    Pour la suite, cependant, l’avenir de ce collège, qui compte plus de 1600 élèves, est incertain et dépendra des aspirations du futur acheteur du domaine dont il occupe un des bâtiments.

    « Il faut comprendre que, nous, on loue ces espaces-là pour très peu, ce n’est pas du tout rentable, donc on est bien conscients que le collège n’est pas autonome financièrement », souligne Mme Prince.

    https://www.ledevoir.com/societe/810914/patrimoine-grand-interet-autour-vente-domaine-villa-maria-montreal

    La congrégation de Notre-Dame a annoncé en juin la mise en vente de son terrain, qui chevauche l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce et la ville de Westmount.

     

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  2. Maçonnerie dangereuse 

    Montréal sous grillages

    Des bâtiments iconiques de Montréal ont vu leur maçonnerie se couvrir de grilles de protection contre les chutes de débris, dans les derniers mois, alors que la belle saison et ses touristes arrivent à grands pas.

    Les murs extérieurs de la Place des Arts, d’une tour du Complexe Desjardins et de l’église St. Michael the Archangel (Saint-Michel-Archange), un symbole du Mile End, font tous actuellement l’objet de mesures de sécurité. Ils sont loin d’être les seuls.

     

    « Beaucoup plus souvent qu’avant »

    Selon deux acteurs de l’industrie, la présence apparemment croissante de ces mesures de protection en ville pourrait être liée aux inspections plus fréquentes des façades imposées par Québec depuis 2013. Cette décision avait été prise dans la foulée de la mort d’une femme de 33 ans, tuée rue Peel par la chute d’un morceau de façade en 2009.

     

    https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2024-03-18/maconnerie-dangereuse/montreal-sous-grillages.php

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  3. Après l’espoir d’une nouvelle école, la déception à L’Île-des-Soeurs

     

    Après un moment d’espoir, la déception s’est installée à L’Île-des-Soeurs, où une offre d’achat avait été négociée pour un terrain qui serait voué à l’aménagement d’une nouvelle école publique réclamée depuis des années par de nombreux parents. Québec a toutefois refusé de conclure cette transaction, soulevant l’ire de résidents et d’élus locaux.

    Le manque d’écoles publiques a fait couler beaucoup d’encre au fil des ans à L’Île-des-Soeurs, un quartier montréalais desservi par le Réseau express métropolitain voué à accueillir plusieurs milliers de nouveaux résidents dans le cadre de divers projets immobiliers à venir. Or, les deux écoles primaires du quartier sont au maximum de leur capacité, au point qu’une annexe a dû être aménagée dans un bâtiment de bureaux pour l’une d’entre elles.

    Le millier d’élèves de 12 à 16 ans qui habitent le quartier doit pour sa part se déplacer dans des écoles situées à Verdun ou sur la Rive-Sud, puisque L’Île-des-Soeurs ne compte aucune école secondaire.

    https://www.ledevoir.com/societe/education/808995/apres-espoir-nouvelle-ecole-deception-ile-soeurs

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  4. SRB Pie-IX: l’entrepreneur réclame 72 M$ à la Ville de Montréal et à l'ARTM

    La firme de construction EBC affirme dans une poursuite déposée en Cour supérieure que les plans étaient inexacts

     

    Moins populaire que prévu

     

    Sa popularité est toutefois en deçà des prévisions. La Société de transport de Montréal (STM), qui l’exploite, tablait sur un achalandage quotidien de 70 000 personnes. Or, il n’y a qu’environ 25 000 usagers qui l’utilisent chaque jour, révélait La Presse au mois de septembre.

    La construction de la phase 2 du projet, entre l’avenue Pierre-De Coubertin et la rue Notre-Dame Est, a quant à elle débuté en septembre. Elle avait été mise sur pause pendant quelques mois en raison de l’explosion des coûts. Le chantier ira finalement de l’avant avec une facture projetée de 167 M$, par rapport aux 78 M$ prévus au départ.

     

    https://www.journaldemontreal.com/2023/12/06/srb-pie-ix-lentrepreneur-reclame-72-m-a-la-ville-de-montreal-et-a-lartm

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  5.  

    «Sortir les autos des îles»: le projet de monorail de 14 stations entre Montréal et le parc Jean-Drapeau relancé?

     

    Un groupe mené par l’ex-ministre libéral Raymond Bachand veut relancer le projet de monorail touristique de 14 stations de près de 12 kilomètres de long reliant le Vieux-Montréal et le parc Jean-Drapeau.

    «Il a 15 millions de personnes qui passent dans le Vieux-Montréal et le parc Jean-Drapeau chaque année. On ne le raisonne pas comme Disney et Vegas. On pourrait tout relier cela avec un monorail», a expliqué en entrevue au Journal l’ex-ministre libéral Raymond Bachand, qui vient de s’inscrire comme lobbyiste pour faire mousser ce projet.

    «Sortir les autos des îles créerait en soi une attractivité pour Montréal», a-t-il poursuivi.

    Projet de 1,1G$

    https://www.journaldemontreal.com/2023/09/19/relance-dun-projet-de-monorail-de-14-stations-entre-montreal-et-le-parc-jean-drapeau

     

     

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  6. Les bureaux continuent de se vider au Canada

    Une salle de conférence vide.

    Le taux d’inoccupation des espaces de bureaux au Canada a atteint un sommet historique de 17,7 % au premier trimestre de 2023, selon CBRE, une firme-conseil en immobilier commercial. 

    Dans les trois derniers mois, 2,7 millions de pieds carrés d’espace de bureaux sont devenus vacants à travers le pays. Plus de 80 % de cet espace inoccupé supplémentaire se trouve à Toronto.

    Le total national a été principalement influencé par Toronto, où les locataires redimensionnent leurs bureaux à mesure qu'ils clarifient leurs besoins d'espace, peut-on lire dans un rapport publié mardi.

    Dans la Ville Reine, 17,5 % des espaces de bureau sont vacants. Ce taux a quadruplé depuis la fin de l'année 2019. Il s'établissait alors à 4,2 %.

    Mark Meehan, le directeur de recherche de CBRE, attribue cette hausse du taux d’inoccupation à plusieurs facteurs.

    De nombreux employeurs continuent de jongler avec leur politique de télétravail, explique-t-il, et ceux qui y voient un modèle durable diminuent leurs espaces de bureaux.

    Certaines entreprises décident également de réduire leurs dépenses en vue d’un potentiel repli économique.

    Le secteur des technologies a par ailleurs connu une période trouble dans les derniers mois alors que de nombreuses entreprises ont procédé à des licenciements, remarque M. Meehan.

    Mais le facteur le plus important de la hausse du nombre de bureaux vacants est la nouvelle offre d’espaces récemment construits, soutient-il.

    Fin janvier, Shopify a par exemple remis sur le marché près de 350 000 pieds carrés d’espace de bureaux que l’entreprise tente de sous-louer après avoir renoncé à déménager une partie de son personnel dans un tout nouveau complexe à Toronto.

     
    Un édifice du centre-ville de Toronto.

    La compagnie de services de commerce en ligne Shopify avait prévu de louer plus de 31 580 mètres carrés dans le nouveau complexe The Well, au centre-ville de Toronto. (Photo d'archives)

    Photo : Radio-Canada / Spencer Gallichan-Lowe

    Sans les bureaux nouvellement construits, détaille M. Meehan, le taux d’inoccupation au centre-ville de Toronto serait de 8,2 %. Le taux actuel est de 15,3 %.

    Des employeurs en réflexion

    Le groupe Altus recense également une hausse des bureaux vacants au pays. Son vice-président aux solutions de données, Ray Wong, soutient que plusieurs entreprises évaluent encore la place qu’elles souhaitent accorder au travail à distance.

    Veulent-ils ramener les employés au bureau? Et si oui, quelle forme ça prend? Est-ce que c’est trois ou quatre jours par semaine? illustre-t-il.

    M. Wong estime que cette réflexion pourrait s’étendre pour les six prochains mois, ou même quelques années dans certains cas.

    La question pourrait se poser pour la prochaine décennie aux yeux de M. Meehan.

    Ajuster la manière dont une entreprise utilise son espace de bureaux est assez difficile, explique-t-il. Les baux commerciaux sont souvent de longue durée, ce qui empêche les employeurs de modifier la grandeur de leur espace à leur guise.

    Plusieurs entreprises seraient aussi réfractaires à passer vers un modèle où les employés n’auraient pas de places assignées.

    Quoi qu’il en soit, les employeurs chercheraient davantage de flexibilité en attendant de formuler officiellement leur politique de télétravail.

    Je pense que la flexibilité était l’élément le plus sous-estimé dans les baux commerciaux avant la pandémie, soutient M. Meehan. Aujourd’hui, sa valeur est indéniable.

    Selon les chiffres de CBRE, seule Montréal a enregistré une diminution substantielle de ses espaces de bureaux vacants. Edmonton, Toronto et Ottawa ont toutes atteint des records d’inoccupation dans leur région métropolitaine.

    Avec 29,9 %, Calgary demeure la ville canadienne ayant le plus haut taux d’inoccupation de ses bureaux.

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  7. il y a 55 minutes, KOOL a dit :

    @Nameless_1: je me suis permis de rendre à nouveau visible le texte de Rocco que tu avais censuré car il n'apportait rien de constructif. Tu avais parfaitement raison mais dans le fond la tour 6 du Square Children n'ira pas non plus en construction. Et après tout le foquaillage entourant ce projet et qui au final pénalise tout le monde, mieux vaut en rire. 

    Sans rancune j'espère. :cool:

    sans rancune aucune :)

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