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viajero

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  1. Envoyé par uqam+

    C'est encore plus "pizza" que je ne le croyais. En repassant devant, tout à l'heure, j'ai cru voir que les zones "anthracite" avaient aussi quelques briques de l'autre couleur. Deux possibilités existent : i- c'est voulu. ii- c'est une erreur des poseurs de brique. Ni une ni l'autre n'est tout à fait réjouissante.

     

    Je crois que c'est voulu et j'aime bien, ça rajoute une touche de vieillot (genre retouche de briques) comme sur certains édifices plus anciens, c'est sure que c'est pas très commun et ça peut sembler clasher pour certains avec le reste de la facture du bâtiment qui est assez moderne.

  2. L’économie du Québec se porte bien. La démonstration du prof Fortin.

     

     

    Pour bien commencer l’année économique, rien de mieux que de refaire la démonstration que les pessimistes, ceux qui sont toujours prompts à proclamer que l’économie du Québec va mal, se trompent royalement.

     

    Tout peut et doit s’améliorer, bien sûr. Les défis ne manquent pas : la démographie, l’environnement, la santé, la persévérance scolaire, les inégalités, la corruption.

     

    Mais l’économie québécoise a énormément progressé depuis 50 ans, et elle est loin d’aller mal depuis 20 ans.

     

    À l’époque, nous formions un peuple pauvre, illettré, dépendant et en mauvaise santé. La pire performance de l’Amérique du Nord.

     

       

    Le salaire moyen des francophones au Québec équivalait à 52 % de celui des anglophones. Aujourd’hui, à niveaux d’éducation et d’expérience identiques, le salaire horaire moyen des francophones ne le cède en rien à celui des anglophones.

     

    En 1960, le niveau de vie du Québec accusait un retard de 18 % sur celui de l’Ontario. Maintenant, le retard a fondu à 5 %. Et ce qui en reste s’explique entièrement par le fait que les Québécois choisissent librement de travailler moins d’heures par année que les Ontariens. Le mieux-vivre, c’est ici.

     

    L’économie du Québec est à présent plus productive que celle de l’Ontario. Les Québécois produisent plus de biens et de services par heure travaillée que les Ontariens. Il nous reste les États-Unis à rattraper.

     

     

    Economie: La pauvreté absolue, c’est quand on peut se payer un peu plus (mais à peine) que le nécessaire. Une situation moins fréquente au Québec qu’ailleurs au Canada. La pauvreté absolue, c’est quand on peut se payer un peu plus (mais à peine) que le nécessaire. Une situation moins fréquente au Québec qu’ailleurs au Canada.

     

    En 1960, les deux tiers des Québécois de 30 ans ne possédaient aucun diplôme. Seulement 5 % avaient un diplôme universitaire. Aujourd’hui, 90 % ont un diplôme secondaire ou professionnel, et 32 % un diplôme universitaire. On peut et on doit encore progresser, mais il n’y a pas de quoi se flageller !

     

    Au tournant de la Révolution tranquille, la majorité des ados québécois savaient à peine lire, écrire et compter. Aujourd’hui, nos jeunes de 15 ans se classent au septième rang mondial en mathématiques, à égalité avec les jeunes Japonais, et au premier rang de toutes les provinces canadiennes. Il faut maintenant s’améliorer en lecture.

     

    Il y a 55 ans, les entreprises francophones ne contrôlaient que 47 % de l’emploi au Québec. Aux dernières nouvelles, ce chiffre avait grimpé à 67 %.

     

    Il y a 60 ans, la population du Québec était la plus pauvre du Canada, avec celle de Terre-Neuve. En 2015, le taux de pauvreté absolue (lorsqu’on peut s’offrir à peine plus que le niveau de subsistance) est plus faible au Québec que partout ailleurs au Canada, sauf dans les provinces riches en pétrole des Prairies. De plus, l’inégalité du revenu au Québec est la moins prononcée en Amérique du Nord.

     

    Cumulativement, depuis 15 ans, la production de richesse par habitant d’âge actif (de 15 à 64 ans) a progressé davantage au Québec qu’aux États-Unis et en Ontario. C’est + 19 % au Québec, + 15 % aux États-Unis et + 11 % en Ontario.

     

    Depuis la récession de 2008-2009, le poids de la dette publique du Québec dans l’économie a augmenté quatre fois moins qu’en Ontario et huit fois moins qu’aux États-Unis.

     

    Les finances de l’État québécois se sont sans cesse améliorées depuis 20 ans. Le poids des intérêts à payer sur sa dette a diminué de 40 %. Toutes les agences internationales de notation de crédit ont maintenu ou haussé sa cote financière.

     

    Des rassemblements économiques régionaux riches en vision, en solutions et en projets, comme Je vois Montréal,on en a encore grand besoin. Mais on aurait aussi grand besoin d’imposer un moratoire au larmoiement sur l’état de notre économie. Rien ne justifie le discours pessimiste.

     

    tableau et source:

     

    Tableau:http://www.msn.com/fr-ca/finances/economie/l%e2%80%99%c3%a9conomie-du-qu%c3%a9bec-se-porte-bien-la-d%c3%a9monstration-du-prof-fortin/ar-CCs4Rn?ocid=spartanntp

     

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    Analyse très intéressante!

  3. Tiré du journal metro

     

    Dans la foulée du rachat de l’îlot Voyageur, annoncé mercredi, la nouvelle gare d’autocars pourrait être opérationnelle d’ici fin 2011.

     

    Sans vouloir donner de date précise, le porte-parole de la Société immobilière du Québec (SIQ), Martin Roy, a indiqué que la priorité de la SIQ était de compléter les travaux dans le futur terminus pour le rendre opérationnel. À demi-mot, il a néanmoins indiqué qu’on peut penser qu’ils seront complétés pour fin 2011.

     

    Québec, par l’intermédiaire de la Société immobilière du Québec (SIQ), a mis 20 M$ sur la table pour racheter l’îlot Voyageur au promoteur Busac, copropriétaire de ce projet situé en face de la Grande bibliothèque. Le rachat de la vieille gare d’autocars juste à côté a coûté 25 M$

     

    Actuellement la future gare d’autocars sert de garage aux autobus et héberge le service de messagerie. Les départs continuent de se faire à l’ancienne gare qui jouxte l’édifice. Le reste du projet qui prévoyait notamment une résidence pour étudiants, des bureaux et un stationnement n’a jusqu’ici pas été complété.

     

    Le squelette de l’édifice de béton est exposé aux intempéries depuis trois ans ce qui suscite des interrogations quand à sa fragilisation éventuelle. «On présentera différents scenarios de développement au gouvernement d’ici quelques mois», indique M. Roy qui admet toutefois qu’aucune inspection complète de l’édifice n’a été effectuée. «Un édifice ne se dégrade pas aussi rapidement» a-t-il répondu.

     

    La SIQ, a pour mission de construire et de gérer un parc immobilier de 5G$ destiné aux ministères et organismes publics. Autant dire que l’UQAM, à l’origine du controversé projet, n’y aura probablement pas accès.

     

    Mais pour le recteur de l’université, Claude Corbo, il faut attendre que le plan directeur immobilier de l’UQAM soit complété avant de savoir si l’université cherchera à y être locataire. Quoi qu’il en soit, «le règlement de cet épineux dossier va nous permettre d’économiser beaucoup d’argent», a-t-il ajouté.

    ......................

    Enfin un peu de dévollopement, en esperant voir cette atrocité achevée et embellie!!!

  4. Euro Disney cherche des partenaires au Québec

     

     

    Christophe Giral croit dur comme fer que les...

     

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    Christophe Giral croit dur comme fer que les entreprises québécoises ont leur place dans l'univers d'Euro Disney - dont le chiffre d'affaires s'élève à 1,7 milliard $ - et qu'elles pourraient profiter d'une «vitrine incroyable» pour développer de nouveaux marchés en sol européen.

     

     

     

    Gilbert Leduc

    Le Soleil

     

    (Québec) Venu directement de Disneyland Paris, Mickey Mouse cherche des entreprises québécoises spécialisées dans le bâtiment vert et intelligent et dans les arts numériques afin d'établir de nouveaux partenariats d'affaires.

    De l'avis de Christophe Giral, le Québec... (Le Soleil, Patrice Laroche) - image 1.0

     

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    De l'avis de Christophe Giral, le Québec s'est bâti «un savoir-faire reconnu internationalement» dans les domaines du bâtiment vert intelligent et de l'image appliquée sous toutes ses formes.

     

    Le Soleil, Patrice Laroche

     

    Trêve de plaisanterie. Mickey Mouse n'était pas à Québec mercredi. Il avait plutôt délégué Christophe Giral, le directeur immobilier d'Euro Disney.

     

    Celui-ci était l'invité de la section Québec de la Chambre de commerce française au Canada, qui tient, ces jours-ci, sa semaine d'excellence en affaires Québec-France.

     

    En matinée, mercredi, M. Giral et la délégation du Val d'Europe - une ville située à une trentaine de kilomètres à l'est de Paris et qui est le royaume des deux parcs thématiques de Disneyland Paris, Disneyland et Walt Disney Studios - ont discuté avec des représentants économiques régionaux pour exprimer leurs besoins.

     

    En après-midi, ils ont rencontré huit entreprises québécoises pour explorer les possibilités d'établir des collaborations d'affaires. Parmi ces entreprises, il y avait des firmes d'architectes (Hudon et Julien Associés, Tergos), le fabricant de maisons préfabriquées Modulex et des sociétés évoluant dans les nouvelles technologies, comme Exact Modus, Frima Studio et Saga Film.

     

    Savoir-faire

     

    De l'avis de Christophe Giral, le Québec s'est bâti «un savoir-faire reconnu internationalement» dans les domaines du bâtiment vert intelligent et de l'image appliquée sous toutes ses formes.

     

    Il croit dur comme fer que les entreprises québécoises ont leur place dans l'univers d'Euro Disney - dont le chiffre d'affaires s'élève à 1,7 milliard $ - et qu'elles pourraient profiter d'une «vitrine incroyable» pour développer de nouveaux marchés en sol européen.

     

    Au cours d'une allocution, le dirigeant d'Euro Disney s'est attardé à expliquer que Disneyland Paris est bien plus que deux parcs thématiques qui attirent 15 millions de visiteurs par année, «soit plus que le musée du Louvre et la tour Eiffel réunis».

     

    Dans les faits, Euro Disney est au coeur d'un partenariat public-privé inusité. Avec le gouvernement fran*çais et les collectivités territoriales régionales, Euro Disney fait du développement urbain sur tout le territoire du Val d'Europe.

     

    Ce «triangle de décision» a littéralement transformé cette communauté. De 5000 habitants et quel*ques dizaines d'emplois agrico*les en 1989, la «nouvelle ville» qui carbure à partir des principes du développement durable et de la saine qualité de vie de ses citoyens compte aujourd'hui 28 000 habitants et plus de 20 000 emplois. D'ici 2030, Val d'Europe comptera 60 000 habitants.

     

    Pour chaque euro investi par les pouvoirs publics, le secteur privé a mis 10 euros sur la table. En tout et partout, pas moins de 9 milliards $ ont été investis jusqu'à ce jour.

     

    Partenariat

     

    Récemment, les pouvoirs publics français et Euro Disney ont con*venu de prolonger jusqu'en 2030 leur entente de partenariat. L'espace à développer passe de 1934 à 2230 hectares.

     

    Pas moins de 11 milliards $ pourraient y être investis au cours des 20 prochaines années.

     

    Depuis déjà quelque temps, Euro Disney songe à créer un troisième parc thématique qui mettrait en valeur le plein air, la santé et le bien-être.

     

    «Les Villages Nature de Val d'Europe vont devenir le plus grand champ d'interprétation du développement durable au monde», a indiqué M. Giral, qui compte sur l'expertise développée en ces matières au Québec pour collaborer à ce projet de 2,5 milliards $.

    **************

    Un bon exemple qu'il y a espoir de percer le marché europpéen, un premier pas dans la direction du libre-échange Canada-Europe

  5. Publié le 23 octobre 2010 à 05h00 | Mis à jour le 23 octobre 2010 à 05h00

     

    Écoquartier D'Estimauville: les Suisses voient grand

     

     

    Le projet de la firme d'Angelo Labate serait... (Photothèque Le Soleil)

     

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    Le projet de la firme d'Angelo Labate serait plus ambitieux que ce que prévoient les plans d'aménagement de la Ville de Québec (photo).

     

    Photothèque Le Soleil

     

     

    Isabelle Mathieu, envoyée spéciale

    Le Soleil

     

    (Montreux, Suisse) «Nous, on veut faire du développement durable, pas juste de la peinture verte.»

     

    Après deux visites à l'hôtel de ville de Québec, Angelo Labate, président de la firme de développement Vaestas, a pu décrire, hier à Lausanne, au maire Régis Labeaume sa vision pour développer l'écoquartier D'Estimauville.

     

    Le groupe Vaestas enregistré au Canada, mais créé à partir de la compagnie mère K-werkstatt de Zurich, affirme vouloir aller encore plus loin que les plans d'aménagement déjà connus par les fonctionnaires de la Ville et une firme suédoise spécialisée dans les écoquartiers.

     

    Règle de base, l'écoquartier D'Estimauville du secteur Beauport combinera les résidences (condos et appartements locatifs), les commerces et les lieux de travail «de manière à ce que tout le monde soit heureux d'y vivre», dit Angelo Labate.

     

    Les bâtiments sont mieux isolés pour diminuer la consommation d'énergie, l'ensoleillement est maximal et les stationnements, bien cachés, décrit l'homme d'affaires suisse, accompagné de son architecte, de son géographe, de son responsable du financement ainsi que de Suzanne Sinclair, une sommité suisse dans les projets de développement durable.

     

    Angelo Labate n'a pas dévoilé de plans hier, mais promet une «architecture moderne» et des habitations qui seront accessibles aux petites familles comme aux plus fortunés.

     

    L'entreprise K-werkstatt a à son actif plusieurs projets de bâtiments verts en Europe et quelques petits complexes où se marient les habitations et les commerces.

     

    Mais rien d'aussi gros que le projet d'écoquartier D'Estimauville, convient Angelo Labate, ajoutant qu'en Europe, les surfaces à développer ne sont jamais aussi vastes. De plus, la lourdeur administrative et la lenteur des décideurs compliquent le travail des développeurs, ajoute-t-il.

     

    Angelo Labate s'est aussi intéressé cette année à développer des terrains à Montréal, dans le Quartier des spectacles. La Ville de Montréal souhaite voir construire des commerces et des locaux pour bureaux sur l'îlot Balmoral.

     

    Des partenaires québécois

     

    Pour trouver le milliard de dollars d'investissement nécessaire au vaste projet immobilier D'Estimauville, le groupe Vaestas affirme qu'en plus d'arriver avec son propre financement européen, elle s'associera à des investisseurs québécois.

     

    Régis Labeaume convient que le projet de Vaestas est, de loin, le plus avancé. «Les Européens, ça fait longtemps qu'ils économisent l'eau et qu'ils comptent chaque pied carré, fait-il remarquer. Ils ont une très grande expérience.»

     

    La Ville de Québec demeurera à l'écoute de toutes les propositions des développeurs jusqu'à ce qu'elle soit prête à prendre une décision, mais elle ne fera pas d'appel d'offres pour 1 milliard $, dit Régis Labeaume. «On va plutôt y aller par une signature d'entente de gré à gré», explique-t-il. Dans ce qui deviendra le plus vaste chantier de Québec, le risque est assumé quasi entièrement par le promoteur immobilier, fait remarquer Régis Labeaume.

     

    La Ville doit pour sa part assurer la décontamination des terrains et aménager les infrastructures routières.

     

    M. Labate a indiqué au maire Labeaume qu'il serait à Québec le 2 décembre pour présenter son concept d'écoquartier à l'occasion du colloque d'architecture organisé par la Ville.

    ******************

    Vraiment cool apparament une vision plus grande que qrevu en terme de taille, de plus

    il font mention d' un projet dans le quartier des spectacles, À Suivre...!!

  6. (tranche de vie) Moi je suis quebecois francophone d origine. mais je travaille chez rogers pour le cable, internet et telephone, et tous nos clients sont a l exterieur du quebec donc je travaille a 97% en anglais depuis 2 ans, j etais meilleur en espagnol qu en anglais avant de commencer chez rogers, mais je parle tjrs tres bien espagnol et le comprend parfaitement, heureux de voir que presque tlm est bilingue!!

  7. DEUX TERRAINS DE VENDUS

     

    La Société de développement Angus (SDA) acquiert deux nouveaux terrains au centre-ville de Montréal: celui de l'immeuble appartenant à Main Importing Grocery et celui accueillant l'édifice du Montréal Pool Room.

     

    La vente a officiellement été signée le 18 janvier dernier.

     

    « Il s'agit d'un pas de plus dans la réalisation du projet qui revitalisera tout un secteur qui en a cruellement besoin », a affirmé Christian Yaccarini, PDG de la SDA.

     

    Ces acquisitions font partie du projet du Quadrilatère Saint-Laurent, qui s'intègre dans le Quartier des spectacles, situé entre le boulevard Saint-Laurent, la rue Clark, le boulevard René-Lévesque et la rue Sainte-Catherine.

     

    Le restaurant Montréal Pool Room était toutefois considéré comme une institution par plusieurs, celui-ci existant depuis 1912.

     

    Le Café Cléopâtre reste à convaincre

     

    « Pour compléter le programme d'acquisition, il ne manque plus que le terrain de l'actuel Café Cléopâtre, pour lequel le programme d'expropriation est commencé », note la SDA. Le propriétaire de ce commerce conteste toutefois l'avis d'expropriation.

     

    La construction du Quadrilatère Saint-Laurent, au coût de 160 millions et qui devrait abriter notamment des bureaux d'Hydro-Québec, doit débuter en août. La SDA prévoit aussi construire un édifice culturel, le 2-22, dans le quartier.

  8. Mises en chantier

     

    En hausse partout, sauf au Québec

    Mise à jour le lundi 9 novembre 2009 à 12 h 10

     

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    Le nombre de mises en chantier a augmenté au mois d'octobre, pour se situer à 157 300, comparativement à 149 300 en septembre, selon les données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

     

    La hausse des mises en chantier d'habitations en octobre est attribuable à l'intensification de la construction de logements collectifs.

     

    — Bob Dugan, économiste en chef au Centre d'analyse de marché de la SCHL

     

    « Le nombre mensuel de mises en chantier de ce type de logement a atteint son deuxième sommet en importance depuis octobre 2008 », a ajouté M. Dugan.

     

    Dans les centres urbains, les mises en chantier ont augmenté de 5,2 % en octobre dernier par rapport à septembre, pour se situer à 139 900. Plus spécifiquement, les logements collectifs ont connu une hausse de 13,8 %, à 72 600.

     

    Du côté des maisons individuelles, le mois d'octobre connaît une régression de 2,7 %, à 67 300.

     

    Évolution des mises en chantier par provinces

     

    Colombie-Britannique: 15 %

    Ontario: 14,8 %

    Prairies: 6,5 %

    Atlantique: 1,2 %

    Seul le Québec connaît une baisse, de 11,63 %.

     

    :mad:

  9. http://www.iscanco.com/office_res1.html

     

     

    Je ne sais pas si quelqun avait remarqué ce projet d'édifice à bureau qui serait construit a côté du Pont Jacque cartier près de la tour telus sur rue de La Fayette, j'ai découvert ca sur google street view et voici le lien du projet par son develloppeur iscanco, beau projet de 9-10 étages qui boucherait un beau trou et contriburais à l'expansion du Centre-Ville de Longueuil!!

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