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vincethewipet

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Tout ce qui a été posté par vincethewipet

  1. Une statue de Rocco, luttant contre les petites fenêtres carrées. Voilà une cause qui rassemble.
  2. Mise-à-jour du chantier. Ça bouge trèèees lentement? Aucun changement extérieur, mais le chantier est entretenu, les graffitis retirés. J'ai vu une palette de matériaux livrés un jour, et elle a disparu à l'intérieur le lendemain. Il y a beaucoup de chantiers vraiment lents en ville en ce moment.
  3. Les automobilistes payent peu à l'utilisation du réseau routier en bout de ligne, et une très faible part des coûts communs. C'est pour ça que la question ressort toujours, il y a une iniquité fiscale énorme, et contraire à nos objectifs de société. Le TEC devrait être plus subventionné, parce qu'il est plus désirable sur tous les plans en termes d'impact. D'ailleurs, les banlieues ont leur quote-part à payer à l'ARTM. Si ce n'est pas avec 50$ sur l'immatriculation, ça va être 50$ sur le compte de taxes. Ces villes occasionnent des coûts sur le TEC, même s'il est moins utilisé là.
  4. Passage rapide ce midi, avec quelques arbres plantés.
  5. État de la rue Laurier Ouest, dans le Plateau Mont-Royal et Outremont Petite balade du midi, quoi de mieux que de traverser cette artère classique! J'ai donc fait la marche de Saint-Laurent à Côte-Sainte-Catherine. Pour la section côté « Plateau », De Saint-Laurent à Parc (je sais, le Plateau va un brin plus loin, mais au niveau de l'aménagement, c'est une bonne démarcation à mon avis), j'ai compté 56 locaux commerciaux (55 l'an passé, je suis donc pas pire). 49 étaient occupés, contre 47 l'an passé, donc 2 commerces de plus ouverts. Il y a 6 pancartes à louer, pareil que l'an passé. Il y avait un local inoccupé, un de moins que l'an passé, mais ce local inoccupé était à louer avant, et maintenant, c'est ça: Je ne sais pas du tout ce que ça veut dire lol. Ce tronçon de rue est assez stable. Il y a deux nouvelles pancartes à louer dans le même édifice, l'hôpital vétérinaire a déménagé à l'ouest, et quelques ouvertures pour compenser ça. Le reste, c'est stable et ça ne bouge pas. Le local de la Gascogne a été repris par un gym, il y a aussi une grande boulangerie Première Moisson sur la rue qui semble être populaire. Pour la section Outremont, j'ai compté 59 locaux commerciaux (55 l'an passé, ça change au gré des divisions et de ma faiblesse humaine), sur ce nombre 51 étaient occupés par un commerce contre 49 l'an passé, donc aussi 2 commerces de plus. Il y a 6 pancartes à louer 2 locaux inoccupés, soit 2 locaux sans occupant de plus que l'an passé. Un peu plus de mouvement du côté de Outremont, du roulement dans plusieurs beaux locaux, avec de nouveaux arrivants. Observation personnelle, à mon passage, l'achalandage dans cette section de la rue était plus « classique Outremont » que ce que j'ai observé depuis quelques années. Des personnes plus âgées, bien habillées, bref, un peu stéréotypé du secteur. L'importance de l'apparence Sur papier, le taux d'occupation de la rue Laurier est comparable à une rue comme Saint-Laurent. À s'y promener, on pense le contraire. L'aménagement propre, beau mobilier urbain, des édifices souvent dans un état impeccable même s'ils sont à louer (sauf quelques-uns). Ça a l'air en santé, attrayant, et prospère. Dès fois, ça demande juste de peinturer ses boiseries, nettoyer les façades, mettre un banc et une plante devant son commerce, c'est pas grand chose, mais ça fait une grosse différence sur la perception, plus que mes comptages de locaux pourraient laisser entrevoir.
  6. Si ce 50$ est pour payer la quote-part des villes de la banlieue, celles-ci devront payer cet argent anyway, juste autrement. Et autrement pour une ville, c'est les taxes foncières.
  7. Une nouvelle exigence sur le plan d'urbanisme? Belle photo en tout cas!
  8. L'article est drôlement nommé il me semble. Les pertes sont avant tout pour les centres commerciaux, et on admet plus qu'il n'y a pas encore de perte réelle pour les bureaux au CV ici, en dehors de l'exemple de Cominar.
  9. Le Tweet du Journal Métro sur la même nouvelle est sympathique.
  10. C'est quand même drôle les réponses au Tweet du premier ministre sur cette rencontre (avec les images floues des plans). François Legault a beau être une rockstar politique en termes de popularité en ce moment, c'est juste une bande de trolls qui se plaignent de tout. Il y en a même qui lui reproche là la construction de condos en ville. Les médias sociaux sont tellement un trou noir de toxicité. Dieu merci on peut avoir des conversations sur Mtlurb.
  11. Cool, je vais mettre un masque de chauve-souris et tabasser des criminels dans les ruelles de Montréal. C'est légal!
  12. Les divisions existent en premier lieu à cause de l'impact hautement négatif de l'automobile en milieu urbain, de problèmes systémiques majeurs, de contributions massives à des crises sans précédent. C'est la base de tout le mouvement à changer les villes, qui fait tant parler. C'est une problématique polarisante par sa nature, et les automobilistes, dans leur trajet quotidien, ne sont définitivement les victimes les plus à plaindre des défis urbains contemporains. Tout le monde a de quoi se plaindre. Le défi est d'intégrer les besoins des automobilistes à une vision urbaine plus soutenable, pas à maintenir le statuquo qui ne fonctionne pas. Est-ce que la ville réussie? Visiblement pas pour plusieurs personnes, c'est évident. Ça demande une concertation régionale plus poussée, plus de ressources, et surtout, un changement de mentalité collectif. Je pense que pour réussir à faire ce changement, il faut arrêter de juger toutes les solutions en fonction d'un statuquo intouchable de l'automobile, mais plutôt des raisons pour ces changements et des moyens à prendre pour donner des alternatives. S'il y a moins d'automobilistes, ça fait moins de gens à écœurer juste parce qu'on tente d'éviter des crises majeures.
  13. Grosse parenthèse qui n'a rien à avoir avec Valérie Plante, mais je trouve dommage qu'on pense parfois cela (en général dans le public, pas toi!). Il y a des tonnes de BD primées. C'est un art à part entière. Et de plus en plus, la BD est utilisée pour parler de problèmes plus complexes, de manière parfois plus accessible pour des jeunes, mais parfois aussi pour un public plus adulte. Ça vaut la peine de faire un tour dans une belle librairie spécialisée en BD, c'est rendu un monde vraiment riche et intéressant. C'est aussi plus « dynamique » qu'un livre, ça peut donner le goût de lire d'une façon différente.
  14. Quand même un débat intéressant: est-ce qu'un politicien doit consacrer chaque moment éveillé de son mandat au service public, ou s'autoriser des projets en dehors du travail, sur son temps personnel (bien entendu, fait sur la job ce sera inacceptable)? Denis Coderre semblait être plus du premier style, mais il était vraiment vidé à la fin de son mandat. Cependant, il écoutait le hockey, alors enlevons-lui quelques points sur son dévouement.
  15. Il n'a rien évité, il devra quand même demander le permis.
  16. L'édifice déposé sur ces colonnes va être vraiment chouette.
  17. Les plantations se font en ce moment. La place a transformé la dynamique commerciale pour les restos au coin de Saint-Laurent aussi, c'est rendu une grande terrasse pour la clientèle à niveau, c'est chouette.
  18. Effectivement, une démolition, c'est une loi qui spécifie un pourcentage maximal de diverses composantes à préservées ou à démolir. C'est une mesure très technique, il n'y a aucune place à l'interprétation là-dedans. Sinon ça ne serait pas possible à appliquer. C'est vrai que le résultat final sera très similaire, fort probablement. Mais ça reste qu'une démolition demande un permis, et son propre processus, c'est une loi qui n'a pas été respectée ici. Finalement, j'espère que le proprio aura une belle amende bien méritée, et qu'on passera quand même à être chose en autorisant le projet qu'il construit vraiment, et que ça se terminera bien vite.
  19. En tout cas, en termes de polarisation, j'ai jeté un coup d'œil au compte Twitter de cette nouvelle formation. C'est un désastre. Le type insulte des individus à gauche et à droite sans raison, des phrases réactionnaires sans substance. Je ne suis pas certain de comprendre la stratégie ici, c'est clair que la formation n'a gagné encore aucune traction malgré bien de l'argent investi en pub (au point où les Tweets sont dans la sombre catégorie des réponses cachées par défaut), mais nous sommes un an avant les élections. Cependant, ça me semble difficile d'être pris au sérieux et d'attirer du monde pertinent avec une telle attitude. C'est rendre le nom de la formation toxique avant même qu'elle décolle. Ou bien on pense que faire ce genre de politique, ça va fonctionner à Montréal? En insultant les citoyens et en traitant tout le monde de menteur? C'est une chose d'avoir une polarisation politique sur les idées et les politiques, c'est une autre que ce soit dans la forme du discours comme ça. Je préfère pas mal ce que j'ai entendu superficiellement des autres formations en préparation pour les prochaines élections.
  20. Il n'y a aucun indice soutenant que Moishes était déçu de l'achalandage du restaurant le soir sur Saint-Laurent. Mais c'est aussi légitime de vouloir étendre son offre avec des dîners (qui n'ont jamais été offerts sur Saint-Laurent, et ne marcherait pas aussi bien qu'au CV) et une terrasse appropriée, et se rapprocher de la clientèle d'affaire, qui a peut-être une plus grande affinité avec Moishes que d'autres grandes tables que l'on voit dans le Plateau ou ailleurs dans les quartiers centraux. C'était un projet d'expansion, pas de survie. C'est bien possible que la clientèle d'affaire ait changé avec les années pour Moishes, l'offre au centre-ville a explosé en nombre et en qualité depuis plusieurs années (ça a longtemps été un brin désertique pour un centre-ville IMO), si tu veux rester compétitif pour ce marché, tu te rapproches. Moishes avait été acheté il y a quelques années pour ces produits dérivés, effectivement, pas pour le resto. Pour la gastronomie en général cependant, on voit de bonnes tables ouvrir partout en ville de nos jours. La gastronomie s'est décentralisée, ce sont souvent des restos plus petits qu'avant, et franchement les projets sont aussi plus éphémères pour bien des chefs. Le portrait est très différent des restos plus anciens à mon humble avis.
  21. Il y a quand même du mieux à Laval. Plusieurs projets sont plutôt beaux dans le tas. Le domaine public s'est amélioré aussi, avec des trottoirs plus larges, des plantations, etc. C'est définitivement plus urbain et une amélioration sur ce qu'on voyait il y a une décennie.
  22. Le bâtiment à vendre se détériorait depuis des années, les locataires sont partis les uns après les autres, sans signe que le local soit remis sur le marché, et l'édifice est en piteux état. Je pense que c'est un simple cas de négligence. Je ne m'attends pas à voir des commerces déménager là avant une vente et une rénovation! Mais tant mieux au moins que ça bouge un peu pour le futur, plutôt que d'être un trou noir. Effectivement pas de pancarte à louer pour l'ancien musée du Mtl juif. Je n'ai rien remarqué d'autre en passant devant, alors il est dans mes locaux non-occupés. C'est bien situé, ça ne m'étonnerait pas que ce soit déjà loué à plus fort prix que ce que pouvait payer un petit musée... Pour le Moishes, je l'ai considéré non-occupé. C'est fermé, mais pas de pancarte à louer pour le moment devant. Après tout, ils ont le bail jusqu'à la fin de l'année je pense, on verra plus tard. C'est possible aussi que la transition soit rapide, si c'est un local bien entretenu!
  23. Les deux n'ont rien à voir, Saint-Denis a presque le double de locaux vacants de la Main, deux fois plus de locaux à louer. La Main est bien plus diversifiée et stable dans son offre commerciale. Ça a simplement changé de clientèle avec le temps, ou la clientèle s'est juste tannée des clubs et des vieux restos. L'un ou l'autre. D'ailleurs, pour Moishes, c'est justement l'aspect destination qui posait un problème selon le propriétaire. Tu veux une clientèle locale pour l'heure du midi. Ce n'est pas la dynamique d'une rue commerciale, il y a beaucoup moins d'emplois à proximité contrairement au centre-ville.
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